COLLECTION JEUNE - VIEUX. Vacances en Suisse (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE - VIEUX. Vacances en Suisse (1/3)
« Genève, terminus, nous espérons... »
Classique de la SNCF.
J’arrive de Paris après une année de travail harassant et j’ai décidé de me régénérer en visitant la Suisse à pied.
Tous les ans je partais faire ces randonnées avec mon sac à dos et mes chaussures de marche avec ma femme Odile.
C’est la première année depuis sept ans, fatidique sept ans, que je me retrouve seul, Odile ayant cassé le pacs qui nous unissait.
Comme le disait Brassens, je vivais heureux lorsqu’un soir alors que je rentrais du travail, je suis journaliste dans un canard de sport, elle m’a annoncé notre rupture.
J’avais l’impression de la rendre heureuse, mais d’après elle c’était loin d’être le cas et elle partait emmenée par un amant invisible qui avait tous les mérites de la terre.
Il est vrai qu’à trente ans, je considérais que nous étions un couple bien installé et que j’aurais bien aimé que notre amour se concrétise par la venue d’un enfant.
Il semblerait qu’une grossesse lui ait fait peur malgré qu’elle semblait être sexuellement épanouie.
Comme l’on dit, « partant au quart de tour » en bon petit soldat, chaque fois qu’elle me sollicitait, surtout la nuit, elle adorait baiser dans le noir, je faisais les efforts nécessaires pour la satisfaire.
Nous étions un couple qui avait eu d’autres partenaires avant de nous mettre ensemble profitant de la possibilité de nous pacser sans faire tout ce tralala qu’un mariage impose.
Depuis mes seize ans où j’ai sauté notre voisine pour la première fois, je me considère comme un bon étalon, faisant jouir ma partenaire avant de prendre mon propre plaisir.
Colette était mariée avec enfants tous sorties de ses jupons elle avait cinquante-cinq ans et moi comme je l’ai dit seize.
Elle m’a tout appris de mon futur métier d’hommes et j’aime pratiquer diverses positions comme la levrette et autres du kamasoutra.
J’aime parler du kamasoutra, sans à aucun moment de ma vie, avoir lu une ligne de ce bouquin.
Après Colette, il y a eu quelques coups d’un soir, grâce à ma belle gueule avec divers partenaires qui m’ont sollicité.
Ce fut le cas avec Odile, femme de mes vingt ans.
Je l’ai croisé dans une boîte et pour fêter mon anniversaire, elle m’a emmené dans ses deux pièces avec salle de bains profiter de mon trois-pièces avec vue sur la mer.
Je venais de finir mes études de journalisme et j’avais eu la chance d’être engagé par mon journal de sport, rubrique « sport de raquette » où je suis devenu l’un des meilleurs experts.
Bref, je voyage beaucoup pour suivre des compétitions et c’est certainement cela qu’Odile m’a reproché et où elle a pris cet amant.
C’était ce que l’on appelle un vulgaire rond de cuir de l’administration des impôts dans laquelle elle avait trouvé un emploi de secrétaire après son école lui ayant appris à se servir d’un traitement de texte.
C’est donc pour me changer les idées étant seules depuis plus de trois mois, que j’ai décidé de partir seul randonner dans les Alpes pour me refaire une santé à l’air pur de nos montagnes.
L’air du lac pour commencer et une petite grimpette vers quelques sommets afin de respirer encore plus frais dans les hauteurs des Alpes dans les jours prochains.
Premier jour, petite mise en train, le soir j’ai fait une quinzaine de kilomètres le plus possible en longeant le lac.
Il est dix-sept heures lorsque je passe dans un village où j’achète un sandwich que je vais déguster dès que ma tente sera installée.
Une marque très connue vendant des tentes igloos, installées en deux temps trois mouvements et peu encombrante en volume et en poids à transporter.
Ajoutez à ça, un tapis de sol roulé au-dessus du sac et sans être dans un grand confort, vous passez de bonnes nuits réparatrices.
Je trouve un emplacement sympa le long de mon chemin et avant de manger après m’être installé, je pose mon short et je vais piquer une tête, la chaleur lourde m’ayant transformé en fontaine dégoulinante.
Ça fait presque une demi-heure que je nage, l’eau un peu fraiche au début est divine quand j’entends le bruit d’une moto.
Alors que l’orage monte, sur le chemin que j’ai suivi, je vois arriver un magnifique trike qui s’arrête, le conducteur en descendre à quelques mètres de mon campement.
La silhouette est frêle, mais semble harmonieuse.
Il ôte son casque et secoue sa chevelure en passant une de ses mains dedans.
Le conducteur est, en fait une conductrice, je suis assez prêt, mais, hélas, trop loin pour mieux discerner ses traits.
Elle ouvre son coffre et en sort une tente identique à la mienne, mais certainement pour deux personnes.
Je nage jusqu’aux bouts des roseaux et je sors à quelques mètres de cet étrange attelage, trike et femme genre femme du monde.
Elle a posé son casque dans son coffre et passant près d’elle pour rejoindre ma propre tente, elle m’interpelle.
• Je cherchais un coin pour camper, mais vous parlez bien français, j’ai demandé ma route tout à l’heure, les gens parlaient Allemand.
• Je suis parisien, alors vous pensez bien que le Français je le parle couramment.
• Le monde est petit, je suis moi-même parisienne, j’ai une boutique de meubles et d’objets de luxe près de la Madeleine.
Je m’appelle Ludivine, mais en réalité Lucienne.
• Je suis journaliste sportif et j’habite près de la seine à l’ouest de Paris, mes parents m’ont appelé Christophe.
Lucienne, si cette femme sentant le fric possède réellement une boutique de luxe dans les beaux quartiers, je comprends qu’elle ait changé de pseudo alors que moi, j’écris sous mon vrai nom.
« Chez Lucienne », ça fait poissonnerie et à la vue de la moto blanche, de sa combinaison en cuir blanc, elle pue le fric à plusieurs centaines de mètres à la ronde.
Plus prêt, je vois que cette femme a de longues heures de vol derrière elle, surtout ses yeux, deux jolies petites pattes les marquent.
• Je vais vous aider à monter votre tente.
• Merci, ça va me permettre de faire comme vous et me baigner pendant ce temps avant l’orage qui monte.
Je vois que vous me regardez avec insistance, vous devez vous demander ce qu’une femme de mon âge vient faire ici et planter sa tente alors que je pourrais descendre dans les meilleurs palaces du coin.
Ma liberté.
Avant d’en dire plus, elle ôte sa combinaison s’épluchant comme une banane libérant des seins tombants et parfaitement bronzés.
Mais ce qu’elle me montre surtout c’est son corps couvert de tatouages de couleur.
Elle enlève ses bottes de moto et sans s’arrêter ôte le reste de sa combinaison, me montrant sa nudité.
Une véritable œuvre d’art.
Laissant le tout au sol, elle s’élance vers l’eau plongeant directement la tête la première.
Je suis subjugé, mais comme un con, je me retrouve à installer une nouvelle tente pendant qu’elle s’éloigne dans un crawl parfait.
Je termine lorsqu’elle me rejoint, mon dieu, comment une femme comme elle peut-elle être une véritable fresque à elle toute seule ?
• Vous êtes un ange, pour votre peine pendant que je me prélassais dans l’eau, je vous invite à diner, j’ai ce qu’il faut dans le coffre de mon trike Harley-Davidson.
Je suis assez prêt pour que je constate de nouveau, ces petites pattes près de ses yeux me montrant l’âge qu’elle doit avoisiner la soixantaine, elle est couverte de tatouage sauf le visage.
Elle se retourne, à non, sa nuque elle aussi est tatouée.
Je me garde bien de lui faire une remarque sur son âge, l’une des femmes que j’ai aimé avait presque soixante-dix ans.
Comme celle que je décide d’appeler Ludivine, montrant le peu d’intérêt pour les noms anciens, va vers son coffre lorsque la foudre semble taper très près et les premières gouttes tomber.
• Tous aux abris, je sens que ça va dégringoler.
Comme un con, un mauvais réflexe pendant qu’elle ferme son coffre et part se mettre à l’abri dans sa tente, me fait faire de même, mais vers la mienne, alors que j’aurais pu me réfugier près d’elle.
Surtout que l’eau qui tombe, ce sont quelques gouttes, me laissant la bite tendue.
Est-ce la peur de l’orage ou le livre ouvert du corps de Ludivine qui me fait de l’effet.
Je finis par ouvrir ma tente, à quelques mètres de moi c’est calme plat, elle doit dormir.
Je mange mon infâme sandwich et moi aussi je m’allonge sur mon taps de sol cherchant en vain le sommeil.
Lorsqu’un gros orage frappe une région, la température décline, le nôtre a dû aller tomber dans une vallée voisine, il fait toujours aussi chaud.
J’ouvre de nouveau ma tente et sortant mon tapis, je m’allonge à la belle étoile.
J’admire le ciel, à Paris avec la pollution il y a longtemps que ces millions d’étoiles nous sont cachées.
Certains comptes les moutons, moi ce sont ces myriades d’étoiles que j’admire, mes yeux se ferment.
• C’est moi, soit sans crainte.
J’ouvre un œil, mon rêve est réalité, Ludivine m’a sorti ma queue et la masturbe lentement.
Je dois être honnête, dans mon rêve aidé par le soleil dont les rayons tapaient mon entrejambe me chauffant la bite, la main qui me masturbait était moins marquée par l’âge.
Aucune crainte, la bouche, mais surtout la langue qui me titille le gland, je les accepte avec gourmandises.
J’adore sauter les nanas le matin et là je sens que je teins un vrai petit numéro de bonne femme que je vais pouvoir lire à livre ouvert, ses tatouages aidant.
Je bande souvent en me réveillant depuis ma première carte postale enfant, mais là, inutile d’aller pisser, je resterais tendu afin de satisfaire celle qui a franchi le pas entre nous...
Classique de la SNCF.
J’arrive de Paris après une année de travail harassant et j’ai décidé de me régénérer en visitant la Suisse à pied.
Tous les ans je partais faire ces randonnées avec mon sac à dos et mes chaussures de marche avec ma femme Odile.
C’est la première année depuis sept ans, fatidique sept ans, que je me retrouve seul, Odile ayant cassé le pacs qui nous unissait.
Comme le disait Brassens, je vivais heureux lorsqu’un soir alors que je rentrais du travail, je suis journaliste dans un canard de sport, elle m’a annoncé notre rupture.
J’avais l’impression de la rendre heureuse, mais d’après elle c’était loin d’être le cas et elle partait emmenée par un amant invisible qui avait tous les mérites de la terre.
Il est vrai qu’à trente ans, je considérais que nous étions un couple bien installé et que j’aurais bien aimé que notre amour se concrétise par la venue d’un enfant.
Il semblerait qu’une grossesse lui ait fait peur malgré qu’elle semblait être sexuellement épanouie.
Comme l’on dit, « partant au quart de tour » en bon petit soldat, chaque fois qu’elle me sollicitait, surtout la nuit, elle adorait baiser dans le noir, je faisais les efforts nécessaires pour la satisfaire.
Nous étions un couple qui avait eu d’autres partenaires avant de nous mettre ensemble profitant de la possibilité de nous pacser sans faire tout ce tralala qu’un mariage impose.
Depuis mes seize ans où j’ai sauté notre voisine pour la première fois, je me considère comme un bon étalon, faisant jouir ma partenaire avant de prendre mon propre plaisir.
Colette était mariée avec enfants tous sorties de ses jupons elle avait cinquante-cinq ans et moi comme je l’ai dit seize.
Elle m’a tout appris de mon futur métier d’hommes et j’aime pratiquer diverses positions comme la levrette et autres du kamasoutra.
J’aime parler du kamasoutra, sans à aucun moment de ma vie, avoir lu une ligne de ce bouquin.
Après Colette, il y a eu quelques coups d’un soir, grâce à ma belle gueule avec divers partenaires qui m’ont sollicité.
Ce fut le cas avec Odile, femme de mes vingt ans.
Je l’ai croisé dans une boîte et pour fêter mon anniversaire, elle m’a emmené dans ses deux pièces avec salle de bains profiter de mon trois-pièces avec vue sur la mer.
Je venais de finir mes études de journalisme et j’avais eu la chance d’être engagé par mon journal de sport, rubrique « sport de raquette » où je suis devenu l’un des meilleurs experts.
Bref, je voyage beaucoup pour suivre des compétitions et c’est certainement cela qu’Odile m’a reproché et où elle a pris cet amant.
C’était ce que l’on appelle un vulgaire rond de cuir de l’administration des impôts dans laquelle elle avait trouvé un emploi de secrétaire après son école lui ayant appris à se servir d’un traitement de texte.
C’est donc pour me changer les idées étant seules depuis plus de trois mois, que j’ai décidé de partir seul randonner dans les Alpes pour me refaire une santé à l’air pur de nos montagnes.
L’air du lac pour commencer et une petite grimpette vers quelques sommets afin de respirer encore plus frais dans les hauteurs des Alpes dans les jours prochains.
Premier jour, petite mise en train, le soir j’ai fait une quinzaine de kilomètres le plus possible en longeant le lac.
Il est dix-sept heures lorsque je passe dans un village où j’achète un sandwich que je vais déguster dès que ma tente sera installée.
Une marque très connue vendant des tentes igloos, installées en deux temps trois mouvements et peu encombrante en volume et en poids à transporter.
Ajoutez à ça, un tapis de sol roulé au-dessus du sac et sans être dans un grand confort, vous passez de bonnes nuits réparatrices.
Je trouve un emplacement sympa le long de mon chemin et avant de manger après m’être installé, je pose mon short et je vais piquer une tête, la chaleur lourde m’ayant transformé en fontaine dégoulinante.
Ça fait presque une demi-heure que je nage, l’eau un peu fraiche au début est divine quand j’entends le bruit d’une moto.
Alors que l’orage monte, sur le chemin que j’ai suivi, je vois arriver un magnifique trike qui s’arrête, le conducteur en descendre à quelques mètres de mon campement.
La silhouette est frêle, mais semble harmonieuse.
Il ôte son casque et secoue sa chevelure en passant une de ses mains dedans.
Le conducteur est, en fait une conductrice, je suis assez prêt, mais, hélas, trop loin pour mieux discerner ses traits.
Elle ouvre son coffre et en sort une tente identique à la mienne, mais certainement pour deux personnes.
Je nage jusqu’aux bouts des roseaux et je sors à quelques mètres de cet étrange attelage, trike et femme genre femme du monde.
Elle a posé son casque dans son coffre et passant près d’elle pour rejoindre ma propre tente, elle m’interpelle.
• Je cherchais un coin pour camper, mais vous parlez bien français, j’ai demandé ma route tout à l’heure, les gens parlaient Allemand.
• Je suis parisien, alors vous pensez bien que le Français je le parle couramment.
• Le monde est petit, je suis moi-même parisienne, j’ai une boutique de meubles et d’objets de luxe près de la Madeleine.
Je m’appelle Ludivine, mais en réalité Lucienne.
• Je suis journaliste sportif et j’habite près de la seine à l’ouest de Paris, mes parents m’ont appelé Christophe.
Lucienne, si cette femme sentant le fric possède réellement une boutique de luxe dans les beaux quartiers, je comprends qu’elle ait changé de pseudo alors que moi, j’écris sous mon vrai nom.
« Chez Lucienne », ça fait poissonnerie et à la vue de la moto blanche, de sa combinaison en cuir blanc, elle pue le fric à plusieurs centaines de mètres à la ronde.
Plus prêt, je vois que cette femme a de longues heures de vol derrière elle, surtout ses yeux, deux jolies petites pattes les marquent.
• Je vais vous aider à monter votre tente.
• Merci, ça va me permettre de faire comme vous et me baigner pendant ce temps avant l’orage qui monte.
Je vois que vous me regardez avec insistance, vous devez vous demander ce qu’une femme de mon âge vient faire ici et planter sa tente alors que je pourrais descendre dans les meilleurs palaces du coin.
Ma liberté.
Avant d’en dire plus, elle ôte sa combinaison s’épluchant comme une banane libérant des seins tombants et parfaitement bronzés.
Mais ce qu’elle me montre surtout c’est son corps couvert de tatouages de couleur.
Elle enlève ses bottes de moto et sans s’arrêter ôte le reste de sa combinaison, me montrant sa nudité.
Une véritable œuvre d’art.
Laissant le tout au sol, elle s’élance vers l’eau plongeant directement la tête la première.
Je suis subjugé, mais comme un con, je me retrouve à installer une nouvelle tente pendant qu’elle s’éloigne dans un crawl parfait.
Je termine lorsqu’elle me rejoint, mon dieu, comment une femme comme elle peut-elle être une véritable fresque à elle toute seule ?
• Vous êtes un ange, pour votre peine pendant que je me prélassais dans l’eau, je vous invite à diner, j’ai ce qu’il faut dans le coffre de mon trike Harley-Davidson.
Je suis assez prêt pour que je constate de nouveau, ces petites pattes près de ses yeux me montrant l’âge qu’elle doit avoisiner la soixantaine, elle est couverte de tatouage sauf le visage.
Elle se retourne, à non, sa nuque elle aussi est tatouée.
Je me garde bien de lui faire une remarque sur son âge, l’une des femmes que j’ai aimé avait presque soixante-dix ans.
Comme celle que je décide d’appeler Ludivine, montrant le peu d’intérêt pour les noms anciens, va vers son coffre lorsque la foudre semble taper très près et les premières gouttes tomber.
• Tous aux abris, je sens que ça va dégringoler.
Comme un con, un mauvais réflexe pendant qu’elle ferme son coffre et part se mettre à l’abri dans sa tente, me fait faire de même, mais vers la mienne, alors que j’aurais pu me réfugier près d’elle.
Surtout que l’eau qui tombe, ce sont quelques gouttes, me laissant la bite tendue.
Est-ce la peur de l’orage ou le livre ouvert du corps de Ludivine qui me fait de l’effet.
Je finis par ouvrir ma tente, à quelques mètres de moi c’est calme plat, elle doit dormir.
Je mange mon infâme sandwich et moi aussi je m’allonge sur mon taps de sol cherchant en vain le sommeil.
Lorsqu’un gros orage frappe une région, la température décline, le nôtre a dû aller tomber dans une vallée voisine, il fait toujours aussi chaud.
J’ouvre de nouveau ma tente et sortant mon tapis, je m’allonge à la belle étoile.
J’admire le ciel, à Paris avec la pollution il y a longtemps que ces millions d’étoiles nous sont cachées.
Certains comptes les moutons, moi ce sont ces myriades d’étoiles que j’admire, mes yeux se ferment.
• C’est moi, soit sans crainte.
J’ouvre un œil, mon rêve est réalité, Ludivine m’a sorti ma queue et la masturbe lentement.
Je dois être honnête, dans mon rêve aidé par le soleil dont les rayons tapaient mon entrejambe me chauffant la bite, la main qui me masturbait était moins marquée par l’âge.
Aucune crainte, la bouche, mais surtout la langue qui me titille le gland, je les accepte avec gourmandises.
J’adore sauter les nanas le matin et là je sens que je teins un vrai petit numéro de bonne femme que je vais pouvoir lire à livre ouvert, ses tatouages aidant.
Je bande souvent en me réveillant depuis ma première carte postale enfant, mais là, inutile d’aller pisser, je resterais tendu afin de satisfaire celle qui a franchi le pas entre nous...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une rencontre inespérée et inattendue va changer le programme de ce monsieur aventurier en suisse ,la suite svp
Bof.
Merci cher lecteur...
Parfait j’attend la suite avec impatience