COLLECTION JEUNE - VIEUX. Vacances en Suisse (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE - VIEUX. Vacances en Suisse (3/3)
À s’en faire péter la sous-ventrière.
C’est comme ça que l’on dit lorsqu’on s’empiffre plus que de raison.
Trois croissants, deux chocolatines, ou pour d’autres de mes lecteurs deux pains au chocolat, le tout avec deux doubles expressos, record pour moi.
Arrivé hier en Suisse plus précisément à Genève, dès le premier soir je fais la connaissance de Ludivine première femme à baiser avec moi depuis le départ de ma vie d’Odile.
Cocu et content, c’est ce que dit Lama dans sa chanson, ça c’est dans l’irréalité, car depuis trois mois je fais ceinture côté sexe.
Marche sous le soleil le long du lac et ce matin sucette plus pénétration avec Ludivine, femme âgée mais environ du même que Colette m’ayant tout appris du sexe dans ma jeunesse.
• Tu devais me parler d’une femme qui a été ta maîtresse si j’ai bien compris ce que tu m’as dit hier ?
C’est la bouche pleine, que je réponds, ce qui est incorrect.
• Colette, elle s’appelait Colette, étant celle qui était ma voisine et qui a été la première, elle devait avoir environ ton âge, cinquante-cinq ans.
• Tu es gentil, cinquante-cinq, j’en ai trois de plus à cet âge, ces trois ans comptent beaucoup, tu le verras quand tu y seras.
• Je peux te dire que je gagne au change, tu es deux fois plus bandante qu’elle.
• Merci, tu es gentil, mais en regardant mes seins dans la glace, je vois le ravage du temps.
Tient, reprend un autre croissant, c’est agréable de te voir manger.
• Serais-tu mon ange noir qui me force à manger pour entretenir mes kilos en trop ?
• Non, regarde ma combinaison, elle est blanche surtout depuis que je t’ai rencontré, je suis ton ange blanc.
Nous quittons la sandwicherie et à quelques mètres de là nous retrouvons la moto que nous avons déposée avant d’aller nous rassasier devant une boutique de réparation moto.
Nous sommes allés manger, par appétit, mais surtout, car elle était fermée.
Lorsque nous arrivons, un homme en combinaison est en train de sortir des motos certainement d’occase ou en réparation.
• Bonjours madame, vous avez trouvé l’origine du bruit !
Votre fils vous a aidé, bonjour jeune homme.
• Bonjour monsieur, maman m’a dit qu’elle avait entendu un bruit bizarre et en bon fils j’ai pris une fusée pour venir de Paris.
Le vendeur comprend qu’il a fait une bévue, lorsque je prends maman par le cou et que je lui claque un gros bécot sur sa jolie bouche.
• Excusez ma bévue, que vous faut-il ?
• Un casque, s’il vous plait, celui de maman étant blanc, j’en veux un noir.
• Oui, noir pour mon fils, mais avec le wi-fi comme le mien.
J’adore lorsque nous roulons, entendre ses mots d’amour en me caressant comme il me l’a fait lorsque nous sommes venus vers votre boutique.
J’espère que nous allons faire un bout de chemin ensemble pendant nos vacances, en plus du casque, je voudrais une combinaison des gants et des chaussures.
• Encore une fois, je m’excuse, vous formez un très beau couple.
• Inutile d’en faire trop surtout que nous sommes peut-être mère et fils et que l’inceste nous plait.
J’aux rarement vues un homme aussi penot.
• Venez au fond de mon magasin, j’ai ma cabine d’essayage, je pense qu’il vous faut un soixante, j’en ai deux modèles en noir dans cette taille.
Essayez-les pendant que je continue à sortir les motos dans l’allée du magasin.
L’homme tire un rideau qui va nous isoler du reste du magasin.
• Nous étions venus pour un casque, pas pour un ensemble pour moto.
• Nous allons monter dans les montagnes, tu risques de prendre froid et je crois que maman tient énormément à toi.
Je te l’offre, c’est bien le minimum qu’une maman peut faire pour protéger son poussin.
• Maman, tu as raison, alors dans ce cas suces.
Je sors ma verge de mon short, maman s’agenouille et me prend la verge en main.
Rapidement masturbation et fellation font bon ménage ensemble.
• Oui, suce-moi bien, maman salope, tu m’as vidé la moitié de mes couilles au réveil ce matin.
• Maman est une salope, tu as raison mon poussin, ton sperme sera comme un chocolat Suisse après le petit déjeuner que nous avons pris.
C’est la deuxième fois que Ludivine me prend dans sa bouche, tout à l’heure au bord du lac, on pouvait nous voir, mais de loin depuis le chemin comme ça était le cas lorsque je la baisais en levrette.
Là, me faire sucer à deux pas du mécanicien ou patron du magasin de moto m’excite au plus haut point.
Avoir cette femme qui m’était inconnue hier me sucer en me caressant les couilles d’une main et me masturbant de l’autre, malgré notre différence d’âge, je suis aux anges.
Lorsque je veux sortir pour éviter de lui arroser la luette, elle me presse contre elle, faisant entrer ma verge plus loin.
C’est la première fois que l’on me fait une gorge profonde, maman doit avoir l’habitude, car d’autres auraient des hauts le cœur, elle, ça semble naturel chez elle.
• Oh ! pardon.
• Qui s’était ?
• Le vendeur qui venait voir si tout allait bien.
C’est ainsi que casqué et botté couvert de la combinaison noire, nous avons quitté le magasin.
Maman a voulu à toute force récompenser son jeune fils en payant l’intégralité de l’ensemble.
Il fallait voir les yeux du patron du magasin de moto qui doit encore se demander si ces deux clients se sont fichus de sa gueule ou si nous sommes des pervers.
• Tu conduis, si tu as ton permis avec toi.
Voilà, nous avons repris la route, au lieu de marcher à pied, mais les bras de celle que je venais de découvrir, me soignant de la défaillance d’Odile après sept ans de vie commune.
Grâce aux casques connectés, tout en admirant les paysages, maman m’a expliqué que si moi j’avais subi un revert avec ma femme que de son côté elle avait fichue à la porte sa dernière conquête.
Céline était lesbienne alors qu’elle était bi sexuel et qu’au bout d’un moment sucer sa chatte ça lui suffisait.
Depuis son adolescence, elle a enchainé hommes ou femmes dans son lit et que ce qu’elle sentait bander sous sa main si j’en étais d’accord, je serais sa prochaine victime.
Lorsque nous nous arrêtons au pied d’un torrent pour pique-niquer, nous avons plus niqué que piquer.
Elle avait une boulimie de sexe dès que le trike était arrêté et que nos combinaisons séchaient sur les branches d’un arbre.
Là, on se retrouvait nous-mêmes, bête de sexe alors que plusieurs fois, dans une auberge ou chez un client, les gens nous prenaient pour mère et fils.
Chaque fois nous jouions ce jeu pervers, finissant par d’une façon ou d’une autre mélanger nos corps.
J’ai parlé de clients, c’est drôle, j’ai du mal à dire Ludivine, par instinct je lui dis, maman », ce qui l’a fait rire, j’aime lorsqu’une femme rit.
Vous connaissez le dicton.
Maman, donc à des points de chute dans ces montagnes ou on lui a signalé des pièces intéressantes à vendre pour sa boutique.
Après les avoir vus et le travail de restauration à faire, elle les achète si ça vaut le coup.
Ce serait moi, cette lampe, cette armoire où autre commode iraient toutes à la déchèterie.
Mais, maman, si je le désire, est prête à me faire voir ce qu’elle est capable de faire de ces meubles ou objets acheter une bouchée de pain.
De retour à Paris, elle me fait découvrir son univers.
Sa boutique avec à l’étage son atelier de réparation et au-dessus son logement.
Depuis que nous nous sommes rencontrés, j’ai appris et j’ai pu même compter tous les amants et amantes qu’elle a eu au cours de sa vie, chaque tatouage représentant l’un d’eux.
Il reste une place pour moi, c’est drôle, c’est celui sous son sein à la hauteur de son cœur.
Je quitte mon journal et le monde des raquettes pour sa boutique et son atelier de réparation de ces vieux objets qui sont arrivés après notre retour.
Son grand-père en bourgogne était ébéniste et au fil de ses vacances lui a appris le métier.
Héritant de cet immeuble, elle en a fait sa boutique, son atelier et son logement.
Maintenant, je sais désosser un meuble ancien pour changer les parties en très mauvais état.
J’ignorais que j’avais des dons pour les travaux manuels.
Je savais déjà que mes mains sur le corps d’une femme étaient à leurs convenances.
Maman, me le rappelle chaque jour lorsque je la dénude avant de lui faire l’amour.
Il nous arrive fréquemment de fermer la boutique pour que nous fassions l’amour dans l’arrière-boutique ou dans l’atelier.
Un soir, je revenais de mon ancien appartement ou je vivais avec Odile lorsqu’une silhouette familière m’est apparue.
Je lui ai tapé sur l’épaule découvrant que mon souvenir de la silhouette de ma femme était toujours intact.
• Christophe, c’est incroyable de te retrouver là dans le cœur de Paris.
• Es-tu heureuse depuis que tu m’as quitté ?
• On croit toujours que le soleil est meilleur à l’ouest, je me suis lourdement trompé.
Sabine s’est rapidement montrée possessive et instable sexuellement.
Nous sommes quittées et j’ai rendez-vous pour un travail dans une boutique à deux pas d’ici, il faut bien que je travaille, tu m’entretenais et elle aussi.
C’est naturellement que je lui ai ouvert la porte de la boutique de Ludivine qui était là fidèle à elle-même dans la plénitude de ses presque soixante ans dans son tailleur blanc.
Le blanc il semblerait que ce soit la marque de ma maîtresse, c’est ce que j’ai découvert lorsque nous avons fait retour à Paris.
• Je viens vous voir pour la place, elle est toujours disponible.
Excusez, je donne mon numéro de portable à mon ex et je suis à vous dans un instant.
• Inutile Odile, je suis ici chez nous avec Ludivine, Ludivine, c’est mon ex, voit comment le monde est petit.
Voilà, nous embauchons Odile, maman ayant besoin d’une nouvelle vendeuse lorsque nous travaillons dans l’atelier.
Rapidement une certaine connivence se fait entre mes deux femmes.
Comme je l’ai dit, il reste une seule place près du cœur de mon aimée près de son cœur.
Ce sont des pigeons enlacés qu’elle se fait tatouer en notre présence.
Odile a emménagé avec nous, nous faisons ménage à trois.
• 6-3, 6-3, 6-0, Djoko vainqueur du tournoi de Roland Garros 2023.
Je suis dans les tribunes entre maman et mon autre campagne.
La boutique est fermée le temps du tournoi.
Au retour chez nous, j’admirerais deux femmes faisant l’amour.
Lorsque Odile m’a parlé de cette femme qui m’avait cocufié, ce que j’ignorais, j’ai toujours pensé à un mâle qui me l’avait enlevé.
Maman, m’ayant expliqué qu’elle alternait les hommes et les femmes, vivre à trois nous évite toute désillusion dans les années futures et moi je suis encore assez vert pour les satisfaire.
C’est comme ça que l’on dit lorsqu’on s’empiffre plus que de raison.
Trois croissants, deux chocolatines, ou pour d’autres de mes lecteurs deux pains au chocolat, le tout avec deux doubles expressos, record pour moi.
Arrivé hier en Suisse plus précisément à Genève, dès le premier soir je fais la connaissance de Ludivine première femme à baiser avec moi depuis le départ de ma vie d’Odile.
Cocu et content, c’est ce que dit Lama dans sa chanson, ça c’est dans l’irréalité, car depuis trois mois je fais ceinture côté sexe.
Marche sous le soleil le long du lac et ce matin sucette plus pénétration avec Ludivine, femme âgée mais environ du même que Colette m’ayant tout appris du sexe dans ma jeunesse.
• Tu devais me parler d’une femme qui a été ta maîtresse si j’ai bien compris ce que tu m’as dit hier ?
C’est la bouche pleine, que je réponds, ce qui est incorrect.
• Colette, elle s’appelait Colette, étant celle qui était ma voisine et qui a été la première, elle devait avoir environ ton âge, cinquante-cinq ans.
• Tu es gentil, cinquante-cinq, j’en ai trois de plus à cet âge, ces trois ans comptent beaucoup, tu le verras quand tu y seras.
• Je peux te dire que je gagne au change, tu es deux fois plus bandante qu’elle.
• Merci, tu es gentil, mais en regardant mes seins dans la glace, je vois le ravage du temps.
Tient, reprend un autre croissant, c’est agréable de te voir manger.
• Serais-tu mon ange noir qui me force à manger pour entretenir mes kilos en trop ?
• Non, regarde ma combinaison, elle est blanche surtout depuis que je t’ai rencontré, je suis ton ange blanc.
Nous quittons la sandwicherie et à quelques mètres de là nous retrouvons la moto que nous avons déposée avant d’aller nous rassasier devant une boutique de réparation moto.
Nous sommes allés manger, par appétit, mais surtout, car elle était fermée.
Lorsque nous arrivons, un homme en combinaison est en train de sortir des motos certainement d’occase ou en réparation.
• Bonjours madame, vous avez trouvé l’origine du bruit !
Votre fils vous a aidé, bonjour jeune homme.
• Bonjour monsieur, maman m’a dit qu’elle avait entendu un bruit bizarre et en bon fils j’ai pris une fusée pour venir de Paris.
Le vendeur comprend qu’il a fait une bévue, lorsque je prends maman par le cou et que je lui claque un gros bécot sur sa jolie bouche.
• Excusez ma bévue, que vous faut-il ?
• Un casque, s’il vous plait, celui de maman étant blanc, j’en veux un noir.
• Oui, noir pour mon fils, mais avec le wi-fi comme le mien.
J’adore lorsque nous roulons, entendre ses mots d’amour en me caressant comme il me l’a fait lorsque nous sommes venus vers votre boutique.
J’espère que nous allons faire un bout de chemin ensemble pendant nos vacances, en plus du casque, je voudrais une combinaison des gants et des chaussures.
• Encore une fois, je m’excuse, vous formez un très beau couple.
• Inutile d’en faire trop surtout que nous sommes peut-être mère et fils et que l’inceste nous plait.
J’aux rarement vues un homme aussi penot.
• Venez au fond de mon magasin, j’ai ma cabine d’essayage, je pense qu’il vous faut un soixante, j’en ai deux modèles en noir dans cette taille.
Essayez-les pendant que je continue à sortir les motos dans l’allée du magasin.
L’homme tire un rideau qui va nous isoler du reste du magasin.
• Nous étions venus pour un casque, pas pour un ensemble pour moto.
• Nous allons monter dans les montagnes, tu risques de prendre froid et je crois que maman tient énormément à toi.
Je te l’offre, c’est bien le minimum qu’une maman peut faire pour protéger son poussin.
• Maman, tu as raison, alors dans ce cas suces.
Je sors ma verge de mon short, maman s’agenouille et me prend la verge en main.
Rapidement masturbation et fellation font bon ménage ensemble.
• Oui, suce-moi bien, maman salope, tu m’as vidé la moitié de mes couilles au réveil ce matin.
• Maman est une salope, tu as raison mon poussin, ton sperme sera comme un chocolat Suisse après le petit déjeuner que nous avons pris.
C’est la deuxième fois que Ludivine me prend dans sa bouche, tout à l’heure au bord du lac, on pouvait nous voir, mais de loin depuis le chemin comme ça était le cas lorsque je la baisais en levrette.
Là, me faire sucer à deux pas du mécanicien ou patron du magasin de moto m’excite au plus haut point.
Avoir cette femme qui m’était inconnue hier me sucer en me caressant les couilles d’une main et me masturbant de l’autre, malgré notre différence d’âge, je suis aux anges.
Lorsque je veux sortir pour éviter de lui arroser la luette, elle me presse contre elle, faisant entrer ma verge plus loin.
C’est la première fois que l’on me fait une gorge profonde, maman doit avoir l’habitude, car d’autres auraient des hauts le cœur, elle, ça semble naturel chez elle.
• Oh ! pardon.
• Qui s’était ?
• Le vendeur qui venait voir si tout allait bien.
C’est ainsi que casqué et botté couvert de la combinaison noire, nous avons quitté le magasin.
Maman a voulu à toute force récompenser son jeune fils en payant l’intégralité de l’ensemble.
Il fallait voir les yeux du patron du magasin de moto qui doit encore se demander si ces deux clients se sont fichus de sa gueule ou si nous sommes des pervers.
• Tu conduis, si tu as ton permis avec toi.
Voilà, nous avons repris la route, au lieu de marcher à pied, mais les bras de celle que je venais de découvrir, me soignant de la défaillance d’Odile après sept ans de vie commune.
Grâce aux casques connectés, tout en admirant les paysages, maman m’a expliqué que si moi j’avais subi un revert avec ma femme que de son côté elle avait fichue à la porte sa dernière conquête.
Céline était lesbienne alors qu’elle était bi sexuel et qu’au bout d’un moment sucer sa chatte ça lui suffisait.
Depuis son adolescence, elle a enchainé hommes ou femmes dans son lit et que ce qu’elle sentait bander sous sa main si j’en étais d’accord, je serais sa prochaine victime.
Lorsque nous nous arrêtons au pied d’un torrent pour pique-niquer, nous avons plus niqué que piquer.
Elle avait une boulimie de sexe dès que le trike était arrêté et que nos combinaisons séchaient sur les branches d’un arbre.
Là, on se retrouvait nous-mêmes, bête de sexe alors que plusieurs fois, dans une auberge ou chez un client, les gens nous prenaient pour mère et fils.
Chaque fois nous jouions ce jeu pervers, finissant par d’une façon ou d’une autre mélanger nos corps.
J’ai parlé de clients, c’est drôle, j’ai du mal à dire Ludivine, par instinct je lui dis, maman », ce qui l’a fait rire, j’aime lorsqu’une femme rit.
Vous connaissez le dicton.
Maman, donc à des points de chute dans ces montagnes ou on lui a signalé des pièces intéressantes à vendre pour sa boutique.
Après les avoir vus et le travail de restauration à faire, elle les achète si ça vaut le coup.
Ce serait moi, cette lampe, cette armoire où autre commode iraient toutes à la déchèterie.
Mais, maman, si je le désire, est prête à me faire voir ce qu’elle est capable de faire de ces meubles ou objets acheter une bouchée de pain.
De retour à Paris, elle me fait découvrir son univers.
Sa boutique avec à l’étage son atelier de réparation et au-dessus son logement.
Depuis que nous nous sommes rencontrés, j’ai appris et j’ai pu même compter tous les amants et amantes qu’elle a eu au cours de sa vie, chaque tatouage représentant l’un d’eux.
Il reste une place pour moi, c’est drôle, c’est celui sous son sein à la hauteur de son cœur.
Je quitte mon journal et le monde des raquettes pour sa boutique et son atelier de réparation de ces vieux objets qui sont arrivés après notre retour.
Son grand-père en bourgogne était ébéniste et au fil de ses vacances lui a appris le métier.
Héritant de cet immeuble, elle en a fait sa boutique, son atelier et son logement.
Maintenant, je sais désosser un meuble ancien pour changer les parties en très mauvais état.
J’ignorais que j’avais des dons pour les travaux manuels.
Je savais déjà que mes mains sur le corps d’une femme étaient à leurs convenances.
Maman, me le rappelle chaque jour lorsque je la dénude avant de lui faire l’amour.
Il nous arrive fréquemment de fermer la boutique pour que nous fassions l’amour dans l’arrière-boutique ou dans l’atelier.
Un soir, je revenais de mon ancien appartement ou je vivais avec Odile lorsqu’une silhouette familière m’est apparue.
Je lui ai tapé sur l’épaule découvrant que mon souvenir de la silhouette de ma femme était toujours intact.
• Christophe, c’est incroyable de te retrouver là dans le cœur de Paris.
• Es-tu heureuse depuis que tu m’as quitté ?
• On croit toujours que le soleil est meilleur à l’ouest, je me suis lourdement trompé.
Sabine s’est rapidement montrée possessive et instable sexuellement.
Nous sommes quittées et j’ai rendez-vous pour un travail dans une boutique à deux pas d’ici, il faut bien que je travaille, tu m’entretenais et elle aussi.
C’est naturellement que je lui ai ouvert la porte de la boutique de Ludivine qui était là fidèle à elle-même dans la plénitude de ses presque soixante ans dans son tailleur blanc.
Le blanc il semblerait que ce soit la marque de ma maîtresse, c’est ce que j’ai découvert lorsque nous avons fait retour à Paris.
• Je viens vous voir pour la place, elle est toujours disponible.
Excusez, je donne mon numéro de portable à mon ex et je suis à vous dans un instant.
• Inutile Odile, je suis ici chez nous avec Ludivine, Ludivine, c’est mon ex, voit comment le monde est petit.
Voilà, nous embauchons Odile, maman ayant besoin d’une nouvelle vendeuse lorsque nous travaillons dans l’atelier.
Rapidement une certaine connivence se fait entre mes deux femmes.
Comme je l’ai dit, il reste une seule place près du cœur de mon aimée près de son cœur.
Ce sont des pigeons enlacés qu’elle se fait tatouer en notre présence.
Odile a emménagé avec nous, nous faisons ménage à trois.
• 6-3, 6-3, 6-0, Djoko vainqueur du tournoi de Roland Garros 2023.
Je suis dans les tribunes entre maman et mon autre campagne.
La boutique est fermée le temps du tournoi.
Au retour chez nous, j’admirerais deux femmes faisant l’amour.
Lorsque Odile m’a parlé de cette femme qui m’avait cocufié, ce que j’ignorais, j’ai toujours pensé à un mâle qui me l’avait enlevé.
Maman, m’ayant expliqué qu’elle alternait les hommes et les femmes, vivre à trois nous évite toute désillusion dans les années futures et moi je suis encore assez vert pour les satisfaire.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comme dit "Cyrill" c'est une fin inattendue... Une superbe fin !
Merci !
Merci !
Quelle chute inattendue...
Merci beaucoup pour ce texte
Cyril
Merci beaucoup pour ce texte
Cyril