COLLECTION LE MARIN. Casablanca (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Casablanca (4/5)
Il y a quelques mois que je n’ai pas raconté une histoire du marin que j'étais quand j’avais 18 ans.
Je repense à une aventure que j’ai eue lors d’un de mes voyages, nous avions fait escale à Casablanca.
C’est Radia, jeune marocaine qui a réveillé ce souvenir, mais s’ils sont restés toujours très vivant dans mon esprit.
Ces moments qui ont changé ma vie d’homme sont gravés dans ma mémoire.
Qamar, ma maîtresse marocaine, m’apprend la patience envers les femmes.
Je suis un bon élève et mon amie semble satisfaite de notre soirée et notre nuit.
Je suis étonné par les mœurs de ce beau pays, bien différents des nôtres.
Après le petit déjeuner, nous nous préparons pour sortir en ville, je veux visiter Casablanca.
Surtout qu’il y a soixante ans, la télé était balbutiante et en noir est blanc.
On pouvait s'occuper autrement.
À cette époque, notre république voulait décider du bien et du mal pour notre peuple, il y avait un ministre de la communication qui avait le droit de censure.
Les films pornos, il ne fallait pas en parler.
Alors, découvrir des pays à mon âge surtout au bras de Qamar, je n’étais pas peu fier.
Surtout que sur un bateau comme le nôtre, le nombre des marins qui sortaient à terre étaient nombreux.
Avant de sortir, ma chérie entoure sa tête de son châle.
La première chose dont je me souvienne, c’étaient les rues de Casablanca.
Chez nous, les routes étaient déjà en bitume, ici la rue principale est en terre.
Nous croisons de nombreux hommes guidant des ânes, tirant des charrettes avec de nombreux gros ballots de paille, ou autres céréales.
Incroyables pour une ville de cette importance, Lyon, Marseille, dans ces années 60, étaient modernes par rapport à ce que je découvre.
Nous arrivons au pied de la grande mosquée, c’est d’ici que partent les prières, un homme en djellaba entre.
- Peut-on visiter, je voudrais faire quelques photos, j’aimerais monter au sommet du minaret, on doit survoler la ville ?
- Impossible et pour toi et pour moi.
Pour toi car les étrangers, pardon, les non-musulmans, sont considérés comme impurs.
Les femmes sont autorisées à entrer, mais moi, ma tenue aujourd’hui, malgré ma tête couverte, est aussi considérée comme impure.
Mon dieu, que ce pays est étrange en rapport du nôtre, maman va encore à la messe, c’est seulement à ces moments-là, qu’elle met un « carré » comme elle dit sur sa tête.
À mon âge, la faim vient vite, malgré notre petit déjeuner.
- Connais-tu le couscous, ici, c’est le plat national ?
Vous allez rire, jamais je n’avais entendu le nom de ce plat.
Il y a 50 ans le couscous n’était pas devenu ce qu’il est aujourd’hui, presque un plat national en France, aussi prisé que la choucroute et surtout le bœuf bourguignon et même la paella espagnole ou la pizza italienne.
J’oublie volontairement les hamburger Américain.
Elle m’emmène dans un restaurant, non loin de mon bateau.
Je fais encore sensation, plusieurs marins sont là.
Demain, dès que nous serons en mer, ils viendront me demander où et comment j’ai connu Qamar.
C’est là que je vois quatre copains mécanicien mangeant ensemble.
Ceux de dos se retournent fréquemment, sans nul doute, ils parlent de nous.
Effet de groupe, je vois Charles, notre quartier maître chef, se lever et venir vers notre table.
- Bonjour Mademoiselle, que faites-vous avec ce puceau, si vous voulez connaître un homme véritable, un vrai, venez avec moi, je vous emmènerai au nirvana.
- Jeune homme, si Christian est un puceau, vous vous êtes un gros lourdaud.
J’ignore qui vous a appris la politesse, mais il s’est loupé.
Votre copain m’a fait l’amour divinement et dès que nous serons rentrés chez moi, je vais de nouveau me donner à lui.
Vous pouvez retourner faire le coq près de vos copains, Monsieur le malotru.
Comme on dit vulgairement, je vois Charles retourner vers mes copains, la queue entre les jambes.
Je prends conscience que Qamar a parlé assez fort pour que les autres entendent.
Il n’est pas fier.
On nous amène le couscous, dans un plat, j’attends des assiettes et des fourchettes.
Qamar voit bien que je suis surpris.
- Christian, je t’ai appris à satisfaire les femmes, je vais faire maintenant ton éducation marocaine.
Je viens d’aller me laver les mains avec toi, tu te souviens, tu te serrais sur mes fesses et nous nous sommes embrassés.
Si nous n’avions pas été dans un restaurant, je me serais certainement donnée.
Tu bandais sous ton pantalon blanc.
Ce couscous, nous allons le manger avec nos mains.
Pardon notre main droite directement dans le plat, la main gauche est considérée comme impure chez nous.
- Alors je suis impur, je suis gaucher.
- Fait un effort, mais si tu n’y arrives pas, fait comme tu peux.
- Bismillah.
Elle éclate de rire.
- Ça veut dire « au nom de Dieu », si tu veux, tu prends du pain pour saisir les aliments qui sont devant toi.
Avec quelques difficultés, j’arrive à manger, tant bien que mal, inutile d’énumérer de quoi ce plat est composé, vous le savez tous.
La chose intéressante, c’est que dépassant les conventions, ma main, plutôt mes doigts, s’égarent dans le plat, lui saisissant ses doigts, alors que je la regarde intensément.
- Arrête Christian, j’adore tes doigts sur mes doigts, personne ne peut nous voir, mais ma petite culotte commence à se mouiller, mais continue, hélas pour la chaise.
Ici encore dans ce restaurant, une chose me contrarie, le thé, autant le couscous, j’adore autant le thé à toutes les sauces, très peu pour moi.
Une bonne bouteille de vin pourrait faire l’affaire, même du pays s’il y en a, mais Qamar ne commande que du thé.
De plus, avant d’arriver à l’escale, nous avons été briffés sur le pays, je sais que les musulmans ne boivent pas d’alcool, alors je bois mon thé.
À Rio, je compte bien me rattraper, mais là encore, c’est une autre histoire.
- Hamdoulah.
Ça veut dire, merci à Allah dans ma langue.
• Haboula.
Elle éclate de rire, j’adore son rire, surtout qu’à la table voisine, ils sont tous le nez dans leur assiette.
Ils se sont fait servir à l’Européen, il y a même une bouteille de vin sur la table.
Avant de sortir, pour venir à l’ambassade, le commissaire de bord, un officier supérieur, nous a fait distribuer des dirhams marocains, je me lève, je vais demander au patron combien nous devons.
Ouf, j’ai assez pour payer, je suis fier de régler l’addition avant de l’aider à se lever et de partir.
Nous passons près de la table, de mes copains, elle ouvre son sac et sort des billets.
- Jeune homme, voici, quelques billets, allez sur le port, il y a un café à la façade rouge, vous ne pouvez pas vous tromper.
Entrez, demandé Aïcha, c’est une grande brune avec des yeux très maquillés, c’est une amie originaire de mon village.
Elle a voulu s’émanciper quand nous étions jeunes.
Elle est tombée dans les pattes d’un souteneur, dites-lui que vous venez de la part de Qamar, elle vous dégorgera le poireau.
Une pute, c’est tout ce que vous méritez.
Elle me prend la main et nous quittons l’établissement.
À bord demain, j’espère ne pas essuyer leur vengeance, je serais obligé de faire le coup de poing.
Je ne suis pas bagarreur, mais je sais défendre l’honneur d’une femme.
Ça fait partie des valeurs que mon père m’a apprise.
Quand je me suis engagé, mon père ne m’a donné qu’un conseil.
- Tu as appris au catéchisme que si on te frappe la joue gauche, tends la droite.
Je suis d’accord sauf si ton honneur ou celui de ta femme est en jeu.
Il est préférable de prendre une volée que de baisser son pantalon.
J’ai fait mienne cette devise toute ma vie, à ce jour ça m’a réussi, je me suis battu deux ou trois fois, mais je suis toujours debout.
- Christian, dis-moi, peux-tu me montrer ton bateau, j’aimerais voir où tu navigues.
- Je suis bête, je suis sûr qu’hier si nous n’avions pas plongé sur ton matelas, nous aurions pu le voir de ta terrasse !
Pas lui, mais l’éclairage que l’on a mis en place le matin, première corvée avant celle à l’ambassade.
- Tu as l’air de regretter !
- Attention, Qamar, je vais faire un incident diplomatique, je vais te prendre sur mes genoux et te donner une bonne fessée.
Encore des éclats de rire.
- Tu verras quand nous serons rentrés, mais avant, il est possible que je te fasse faire la visite du bateau, ça a commencé à partir de 14 heures.
Nous passons devant un bar à la façade rouge, mon quartier maître chef va pouvoir se dégorger le poireau comme l’a dit Qamar.
Le bateau est là, plus de cent cinquante mètres de long, nous passons près de la coupée avant, celle des officiers, alors que pour les visites, il faut passer par l’arrière réservé à l’équipage et à la visite du bord.
De nombreux hommes attendent, une ou deux femmes toutes avec un châle comme Qamar attendent, il n’y a que des femmes habillées à l’Européenne.
Nous arrivons à la hauteur de la coupée des officiers quand une grosse voiture arrive et s'arrête.
Le commandant en second, avec son maître d’hôtel, en descend et arrive devant la porte de la voiture.
Le chauffeur en descend et vient ouvrir la porte arrière.
Un châle sur la tête alors qu’elle est en jeans et basket, Madame l’ambassadrice en descend ainsi que trois bambins.
Le plus vieux, un garçon, saute au cou de ma maîtresse.
- Qamar, que faites-vous là, c’est vrai, j’ai dû téléphoner à cet officier pour votre ami, il nous a invité à visiter le carré des officiers et le bateau pour mes enfants…
Je repense à une aventure que j’ai eue lors d’un de mes voyages, nous avions fait escale à Casablanca.
C’est Radia, jeune marocaine qui a réveillé ce souvenir, mais s’ils sont restés toujours très vivant dans mon esprit.
Ces moments qui ont changé ma vie d’homme sont gravés dans ma mémoire.
Qamar, ma maîtresse marocaine, m’apprend la patience envers les femmes.
Je suis un bon élève et mon amie semble satisfaite de notre soirée et notre nuit.
Je suis étonné par les mœurs de ce beau pays, bien différents des nôtres.
Après le petit déjeuner, nous nous préparons pour sortir en ville, je veux visiter Casablanca.
Surtout qu’il y a soixante ans, la télé était balbutiante et en noir est blanc.
On pouvait s'occuper autrement.
À cette époque, notre république voulait décider du bien et du mal pour notre peuple, il y avait un ministre de la communication qui avait le droit de censure.
Les films pornos, il ne fallait pas en parler.
Alors, découvrir des pays à mon âge surtout au bras de Qamar, je n’étais pas peu fier.
Surtout que sur un bateau comme le nôtre, le nombre des marins qui sortaient à terre étaient nombreux.
Avant de sortir, ma chérie entoure sa tête de son châle.
La première chose dont je me souvienne, c’étaient les rues de Casablanca.
Chez nous, les routes étaient déjà en bitume, ici la rue principale est en terre.
Nous croisons de nombreux hommes guidant des ânes, tirant des charrettes avec de nombreux gros ballots de paille, ou autres céréales.
Incroyables pour une ville de cette importance, Lyon, Marseille, dans ces années 60, étaient modernes par rapport à ce que je découvre.
Nous arrivons au pied de la grande mosquée, c’est d’ici que partent les prières, un homme en djellaba entre.
- Peut-on visiter, je voudrais faire quelques photos, j’aimerais monter au sommet du minaret, on doit survoler la ville ?
- Impossible et pour toi et pour moi.
Pour toi car les étrangers, pardon, les non-musulmans, sont considérés comme impurs.
Les femmes sont autorisées à entrer, mais moi, ma tenue aujourd’hui, malgré ma tête couverte, est aussi considérée comme impure.
Mon dieu, que ce pays est étrange en rapport du nôtre, maman va encore à la messe, c’est seulement à ces moments-là, qu’elle met un « carré » comme elle dit sur sa tête.
À mon âge, la faim vient vite, malgré notre petit déjeuner.
- Connais-tu le couscous, ici, c’est le plat national ?
Vous allez rire, jamais je n’avais entendu le nom de ce plat.
Il y a 50 ans le couscous n’était pas devenu ce qu’il est aujourd’hui, presque un plat national en France, aussi prisé que la choucroute et surtout le bœuf bourguignon et même la paella espagnole ou la pizza italienne.
J’oublie volontairement les hamburger Américain.
Elle m’emmène dans un restaurant, non loin de mon bateau.
Je fais encore sensation, plusieurs marins sont là.
Demain, dès que nous serons en mer, ils viendront me demander où et comment j’ai connu Qamar.
C’est là que je vois quatre copains mécanicien mangeant ensemble.
Ceux de dos se retournent fréquemment, sans nul doute, ils parlent de nous.
Effet de groupe, je vois Charles, notre quartier maître chef, se lever et venir vers notre table.
- Bonjour Mademoiselle, que faites-vous avec ce puceau, si vous voulez connaître un homme véritable, un vrai, venez avec moi, je vous emmènerai au nirvana.
- Jeune homme, si Christian est un puceau, vous vous êtes un gros lourdaud.
J’ignore qui vous a appris la politesse, mais il s’est loupé.
Votre copain m’a fait l’amour divinement et dès que nous serons rentrés chez moi, je vais de nouveau me donner à lui.
Vous pouvez retourner faire le coq près de vos copains, Monsieur le malotru.
Comme on dit vulgairement, je vois Charles retourner vers mes copains, la queue entre les jambes.
Je prends conscience que Qamar a parlé assez fort pour que les autres entendent.
Il n’est pas fier.
On nous amène le couscous, dans un plat, j’attends des assiettes et des fourchettes.
Qamar voit bien que je suis surpris.
- Christian, je t’ai appris à satisfaire les femmes, je vais faire maintenant ton éducation marocaine.
Je viens d’aller me laver les mains avec toi, tu te souviens, tu te serrais sur mes fesses et nous nous sommes embrassés.
Si nous n’avions pas été dans un restaurant, je me serais certainement donnée.
Tu bandais sous ton pantalon blanc.
Ce couscous, nous allons le manger avec nos mains.
Pardon notre main droite directement dans le plat, la main gauche est considérée comme impure chez nous.
- Alors je suis impur, je suis gaucher.
- Fait un effort, mais si tu n’y arrives pas, fait comme tu peux.
- Bismillah.
Elle éclate de rire.
- Ça veut dire « au nom de Dieu », si tu veux, tu prends du pain pour saisir les aliments qui sont devant toi.
Avec quelques difficultés, j’arrive à manger, tant bien que mal, inutile d’énumérer de quoi ce plat est composé, vous le savez tous.
La chose intéressante, c’est que dépassant les conventions, ma main, plutôt mes doigts, s’égarent dans le plat, lui saisissant ses doigts, alors que je la regarde intensément.
- Arrête Christian, j’adore tes doigts sur mes doigts, personne ne peut nous voir, mais ma petite culotte commence à se mouiller, mais continue, hélas pour la chaise.
Ici encore dans ce restaurant, une chose me contrarie, le thé, autant le couscous, j’adore autant le thé à toutes les sauces, très peu pour moi.
Une bonne bouteille de vin pourrait faire l’affaire, même du pays s’il y en a, mais Qamar ne commande que du thé.
De plus, avant d’arriver à l’escale, nous avons été briffés sur le pays, je sais que les musulmans ne boivent pas d’alcool, alors je bois mon thé.
À Rio, je compte bien me rattraper, mais là encore, c’est une autre histoire.
- Hamdoulah.
Ça veut dire, merci à Allah dans ma langue.
• Haboula.
Elle éclate de rire, j’adore son rire, surtout qu’à la table voisine, ils sont tous le nez dans leur assiette.
Ils se sont fait servir à l’Européen, il y a même une bouteille de vin sur la table.
Avant de sortir, pour venir à l’ambassade, le commissaire de bord, un officier supérieur, nous a fait distribuer des dirhams marocains, je me lève, je vais demander au patron combien nous devons.
Ouf, j’ai assez pour payer, je suis fier de régler l’addition avant de l’aider à se lever et de partir.
Nous passons près de la table, de mes copains, elle ouvre son sac et sort des billets.
- Jeune homme, voici, quelques billets, allez sur le port, il y a un café à la façade rouge, vous ne pouvez pas vous tromper.
Entrez, demandé Aïcha, c’est une grande brune avec des yeux très maquillés, c’est une amie originaire de mon village.
Elle a voulu s’émanciper quand nous étions jeunes.
Elle est tombée dans les pattes d’un souteneur, dites-lui que vous venez de la part de Qamar, elle vous dégorgera le poireau.
Une pute, c’est tout ce que vous méritez.
Elle me prend la main et nous quittons l’établissement.
À bord demain, j’espère ne pas essuyer leur vengeance, je serais obligé de faire le coup de poing.
Je ne suis pas bagarreur, mais je sais défendre l’honneur d’une femme.
Ça fait partie des valeurs que mon père m’a apprise.
Quand je me suis engagé, mon père ne m’a donné qu’un conseil.
- Tu as appris au catéchisme que si on te frappe la joue gauche, tends la droite.
Je suis d’accord sauf si ton honneur ou celui de ta femme est en jeu.
Il est préférable de prendre une volée que de baisser son pantalon.
J’ai fait mienne cette devise toute ma vie, à ce jour ça m’a réussi, je me suis battu deux ou trois fois, mais je suis toujours debout.
- Christian, dis-moi, peux-tu me montrer ton bateau, j’aimerais voir où tu navigues.
- Je suis bête, je suis sûr qu’hier si nous n’avions pas plongé sur ton matelas, nous aurions pu le voir de ta terrasse !
Pas lui, mais l’éclairage que l’on a mis en place le matin, première corvée avant celle à l’ambassade.
- Tu as l’air de regretter !
- Attention, Qamar, je vais faire un incident diplomatique, je vais te prendre sur mes genoux et te donner une bonne fessée.
Encore des éclats de rire.
- Tu verras quand nous serons rentrés, mais avant, il est possible que je te fasse faire la visite du bateau, ça a commencé à partir de 14 heures.
Nous passons devant un bar à la façade rouge, mon quartier maître chef va pouvoir se dégorger le poireau comme l’a dit Qamar.
Le bateau est là, plus de cent cinquante mètres de long, nous passons près de la coupée avant, celle des officiers, alors que pour les visites, il faut passer par l’arrière réservé à l’équipage et à la visite du bord.
De nombreux hommes attendent, une ou deux femmes toutes avec un châle comme Qamar attendent, il n’y a que des femmes habillées à l’Européenne.
Nous arrivons à la hauteur de la coupée des officiers quand une grosse voiture arrive et s'arrête.
Le commandant en second, avec son maître d’hôtel, en descend et arrive devant la porte de la voiture.
Le chauffeur en descend et vient ouvrir la porte arrière.
Un châle sur la tête alors qu’elle est en jeans et basket, Madame l’ambassadrice en descend ainsi que trois bambins.
Le plus vieux, un garçon, saute au cou de ma maîtresse.
- Qamar, que faites-vous là, c’est vrai, j’ai dû téléphoner à cet officier pour votre ami, il nous a invité à visiter le carré des officiers et le bateau pour mes enfants…
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