COLLECTION LE MARIN. Le marin sur les quais de Seine (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION LE MARIN. Le marin sur les quais de Seine (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Le marin sur les quais de Seine (2/3)
J’ai réveillé le marin de son sommeil pour qu’il vous raconte ce qui lui est arrivé fin mai 1969 lors d’une permission.

Je me promène sur les quais de Seine le long des bouquinistes admirant le magnifique paysage de Paris au mois de mai.
Je cherche aussi des livres de cul vendu sous le manteau qui va me permettre de faire le barbot sur l’escorteur Vauquelin.
Ce bateau que je vais retrouver après deux ans autour du monde avec l’aviso Victor Schoelcher accompagnant le porte-hélicoptère Jeanne d’arc.
Schoelcher, l’homme ayant fait abolir l’esclavage en France.

Je cherche des livres, mais aussi un coup à tirer.
Je sais, je suis trivial, mais à mon âge, j’ai le temps de m’attacher et ce que je cherche c’est à séduire afin de me vider les couilles dans une chatte poilue et dégoulinante de cyprine.
Je pense l’avoir trouvée auprès d’une jeune femme de 17 ans certainement originaires de l’autre côté de la Méditerranée, voire des côtes africaines donnant sur l’atlantique.
Hélas, malgré son jeune âge, elle est enceinte.
Je vais pour passer ma route, mais elle engage la conversation.
Elle me dit être chaude comme la braise et après être aller dans un café de l’autre côté des quais, elle me tire par la main pour me conduire dans la chambre d’un hôtel voisin.
Je viens de sucer ses seins, buvant du lait prévu pour la naissance de son enfant.
Étrange sensation, car c’est un goût un peu étrange, loin de celui du goût de nos vaches normandes.
En faisant attention à son gros ventre, je l’aide à s’assoir sur le lit et ma bouche rejoignant son sexe, bavant d’envie.

• Viens prend moi, je veux que tu éteignes ce feu qui brûle au plus profond de moi et que mon mari refuse d’éteindre.

Ce qu’une femme veut, je le veux.
Surtout que ma maman ma toujours appris de respecter les gens, surtout les femmes.
Maman était une femme d’expérience, même si je pense que toute sa vie elle a été fidèle à mon père.
Si elle l’a trompée, c’était discrètement et je lui en suis reconnaissante.

J’ai aidé Fatima à s’assoir sur le lit, je l’aide à monter dessus.
Elle écarte ses cuisses, me laissant le temps d’admirer l’intégralité de sa chatte.
Dire que dans quelques semaines, son mari pourra voir la tête de son bébé sortant du même endroit où il avait mis sa queue pour décharger ses spermatozoïdes.
Je la veux, je m’avance pour la pénétrer comme j’ai pénétré de nombreuses femmes à travers le monde.
Certes, il est dit qu’un marin à une femme dans chaque port, c’est vrai, mais la plupart c’étaient des putes payées trois francs six sous.
J’ai baisé une jeune américaine de 21 ans à Houston, jeune fille de bonne famille, mais là c’est une autre histoire que le marin vous racontera un de ces jours.
Je suis sur elle, à bout de bras pour éviter de lui appuyer sur le ventre.
Je la pénètre de quelques centimètres.

• Je vais faire mal au bébé.

Je tombe sur le côté.

• Attends, tu vas me prendre par-derrière.
Les femmes dans mon pays font comme ça.

J’étais jeune en ce temps-là, j’aurais pu penser qu’elle voulait que je l’encule.
Par chance, une autre histoire dans mes tours du monde dans la zone rouge d’Acapulco, m’en dissuade.
Acapulco là où des hommes ont le courage de plonger dans une minuscule gorge de trente cinq mètres de haut.
Un exemple vous est donné sur la photo en profile de Chris71 sur le site HDS.
Là encore, je vous réserve la primeur dans une autre histoire de ce qui nous est arrivé.
Fatima avec mon aide se met à quatre pattes, j’ignorais que l’on disait en levrette.
Sexuellement les jeunes nous apprenions sur le tas.

En levrette donc, j’en profite pour lui bouffer la chatte qui dégouline d’envie.
Je la saisis par ses hanches, je pénètre, on dirait que le bouche d’un dragon m’aspire au fur et à mesure que j’entre au plus près de son bébé.
Une glace placée judicieusement là, certainement pour que les mateurs prennent leur pied, me renvoie l’image du couple improbable que nous formons.
Certains à bord après quelques jours de mer entre deux escales d’environ quinze jours déliraient sur les femmes qu’ils souhaitaient baiser.
Les bonnes sœurs, les femmes mariées, certains, des vierges, mais aucun, des femmes enceintes.
Fatima à quatre pattes, ses seins prenant tous leur placent dans le tableau en tombant tellement ils ont pris du volume.
Les grosses aréoles presque noires terminées par ces tétines que j’ai eu plaisir à sucer dès le début pour en extraire ce lait dont je vois couler une goutte sur le droit.
Son ventre, tendu vu sa position, pourrait me rebuter, mais au contraire, il me stimule.
Je sais au plus profond de moi que cette image de notre couple éphémère serait la seule fois de ma vie que j’aurais le plaisir de le voir.
En quelques coups bien assénés, je dois éteindre le feu qui est en elle, remplaçant les flammes qui auraient pu sortir de sa bouche par des cris de plaisir.
De l’autre côté du quai, les bouquinistes et mes promeneurs doivent entendre que j’ai réussi à rendre heureuse que mon mari délaissait.

• J’ai faim, j’ai toujours faim depuis que j’ai vu que j’étais enceinte.
Merci Christian, ça restera entre nous.

Nous sommes dans la baignoire quand elle me dit ça.
Ça fait trois fois que je la prends, le temps passant, la nuit commence à tomber.
La dernière fois avant notre bain, elle m’a sucé comme les salopes le font dans les livres qui tournent entre nous à bord et que je recherchais dans ma balade.
C’est elle qui m’a allongé pour venir s’empaler sur ma bite bandant de nouveau malgré les deux premiers coups ou son bébé a dû ressentir les vibrations de mes jets de sperme.
Je sors de l’eau, je me sèche, la chambre est déjà assez dévastée.

• Pourrions-nous avoir de quoi manger ?
Oui, des sandwichs se seraient parfaits avec une bière et un thé.
Jambon beurre ?
Oui, c’est parfait.

De la salle de bain, j’entends.

• Pas de cochon, du fromage.

Des années plus tard j’ai compris qu’elle était musulmane alors qu’en 1969, nous ignorions pour le cochon.
C’est au matin que, ce qui aurait pu être une cata s’est produit.
Je venais de la prendre en levrette.
Nous savions qu’il fallait nous séparer, mais nous repoussions le moment.

• Christian, je perds les eaux, il y en a plein le lit.

Comme, réveille, on fait plus sympa, mais là !
Quand elle me prend la main semblant vouloir que nous restions soudés.
Mon premier réflexe, c’est de m’habiller et de filer comme un mal propre.
Mais l’éducation de maman me revient à l’esprit, toujours affronter les choses en face, fuir est minable.

• Oui, la réception, appelez les secours...

Juste le temps de recouvrir Fatima du drap, et de remettre col, vareuse et pantalon à pont et direction l’hôpital le plus proche.
Je récupère mon bachi toujours sur sa tête, même dans la baignoire.
Je lui tiens la main quand elle crie aussi fort qu’au moment où ma queue la faisait jouir.
Là c’est moins banal quand la sache femme propose au papa de couper le cordon.
Et pour finir elle me place mon fils dans mes bras.
La totalité de ce que le mari de ma petite amie aurait dû vivre à la naissance de son fils.
Je suis comme un con quand je vois Fatima parler à l’oreille de l’infirmière près d’elle.
Elle opine de la tête, me prend me bébé avec un joli sourire et quitte le local d’accouchement.

• Tu as fait appeler ton mari !
Pourtant, tu étais à presque trois mois d’accoucher, ton fils est loin d’être un prématuré !
• J’avais peur que tu refuses de me faire l’amour, mon fils à 15 jours d’avance, j’étais enceinte de huit mois et demi.
• Je crois que notre histoire se termine là, félicitation au papa et longue vie à vous deux.

C’est ainsi que se termine mon histoire avec Fatima, je rentre chez moi, ma perm se termine et je rejoins l’escorteur Vauquelin à Brest à la flotte de l’atlantique.
Terminé, pas entièrement.
Je viens de finir mon quart à la machine, rappelons que je suis mécanicien.
Je suis dans le poste où nous pouvons lire et jouer aux cartes quand je vois le journal le Parisien sur la table.
Le Parisien, journal portant bien son nom à Brest, c’est intrigant, bien que plusieurs copains restent dans ma région.
Surtout une photo suivi d’un article.

« La princesse héritière du ... a accouché dans un petit dispensaire de Paris en tout incognito...

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