COLLECTION LE MARIN. Les mûres et ma fille (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION LE MARIN. Les mûres et ma fille (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Les mûres et ma fille (1/2)
Quelle peuvent être les liens entre des mûres et ma fille ?
Je vais vous l’expliquer.
Nous sommes en septembre 68, les grondements de la révolution ayant principalement impacté Paris avec ses manifestations dans les milieux étudiants.
Principalement le Quartier Latin avec comme tête de pont, la Sorbonne.
Le grand Charles était le président et ayant modifié la constitution avec Michel Debré, en 1966, il fait voter par référendum l’élection du Président de la République au suffrage universel.
Sans que je m’y intéresse, nous venions de basculer de la quatrième à la cinquième république.
Dans ces années-là, bien loin il est vrai, la majorité pour les jeunes et le droit de vote étaient à 21 ans.
Ce point d’histoire rappelé, revenons-en, dans un premier temps à nos mûres.
En mai, j’étais revenu de mon premier tour du monde et ayant passé mon permis, je me suis acheté une Fiat 850, coupé, très à la mode dans ces années-là.
Avec Alain, mon copain et Henri, un autre copain, nous visitions la Bretagne, notre bateau étant basé à Lorient.
Nous venions d’aller à Carnac voir les menhirs lorsque Henri a eu envie de pisser un coup.
Je me suis arrêté le long d’une haie sauvage dans un petit chemin ou tous les trois, nous avons baissé le pont de nos pantalons.
Nous étions en tenue blanche d’été lorsque j’ai vu dans cette haie des mûres.
J’adorais ces fruits que j’allais cueillir avec ma grand-mère qui en faisait des confitures que je mangeais avec du beurre sur des tartines.
J’en revenais la bouille couverte de ce fruit tachant énormément.
Nous remontions la haie, moi d’un côté et les copains de l’autre.
J’ai entendu parler dans mon dos.

• Je peux vous aider !

Me retournant, j’ai vu un homme la trentaine une bêche en main.

• Savez-vous que vous êtes sur une propriété privée ?
• Excusez, nous nous sommes arrêtés et nous avons mangé des mûres.
• Sur notre terrain donc sur une propriété privée.
Ma femme doit les cueillir demain pour en faire des confitures pour l’hiver, laissez-en quelques-unes.

La femme est arrivée, blonde la trentaine.

• Loïc, tu les connais !
• Non, ils sont du Victor, je dois vous dire, je suis second-maitre sur un sous-marin de la base de Lorient, je vis ici avec Gaëlle, ma femme.

Je faisais la connaissance de cette femme, mais dans un faux mouvement de la mûre s’est retrouvée sur ma chemisette blanche.

• Loïc fait entrer ces jeunes hommes, je vais voir ce que je peux faire pour nettoyer cette tache.

1 mètre 83 pour 70 kilos, sous les quolibets d’Alain et d’Henri, j’ôte ma chemisette montrant mon corps athlétique.
Dans ces années-là, j’avais de magnifiques plaques de chocolat, hélas, bien vite disparu depuis.
Gaëlle, dans une petite robe à fleurs, prend ma chemisette et part vers ce que je saurais plus tard être leur salle de bains.
Elle revient, une chemisette propre en main.

• Les dégâts étaient trop importants, je l’ai mis dans notre machine à laver.
Voici celle de Loïc que j’avais gardée dans notre armoire.
Vous avez la même carrure du moins du temps où nous nous sommes connus.
• Dis que j’ai grossi !
• Hélas, chéri, comme tu le dis souvent, tu as gagné des abdos Kronenbourg.

Des Kros, comme nous disions, nous en avons devant nous, sorties du réfrigérateur.
J’essaye la chemisette, elle me va, à un détail près.
Je passe de quartier maître à quartier maître chef en une fraction de seconde.

• Si un jour, tu passes dans le coin, tu nous la rendras et tu pourras reprendre la tienne.

Nous avons quitté ce couple, sans retoucher aux mûres évitant ainsi une nouvelle tache.
Je me souviens du cacou que j’étais en repartant grâce à ce grade offert par Gaëlle.
Nous étions en septembre et nous sommes repassés en tenue bleu d’hiver.
En rangeant les tenues dans mon placard, j’ai retrouvé la chemisette.
Nous étions un samedi et étant de repos, j’ai décidé de retourner dans le village dont je tairai le nom où se trouvait le couple.

• Oui, que me voulez-vous ?
Christian en tenue bleue, j’ai mis un temps à te reconnaître.
J’étais dans le garage à travailler sur ma moto.

Sa robe à fleurs est remplacée par une combinaison du même genre que celle que nous avons sur les bateaux nous les mécaniciens.
Elle est un peu grande pour elle et elle est mal fermée me montrant la lisière de ses seins.

• Loïc est là, je lui rapporte la chemisette que tu m’as prêtée.
• Viens, pose là sur ce guéridon, je dois finir le travail commencé afin de pouvoir aller à mon travail lundi.

Je me suis exécuté et je l’ai suivi vers le garage.
Une magnifique moto était là, lorsque j’ai passé mon permis avant d’acheter ma 850, j’avais hésité avec un permis moto, mais j’étais amoureux de cette Fiat.

• Loïc est parti en mer ce matin avec son sous-marin, il reviendra dans six jours si tout va bien.
Je suis seule, tu connais, c’est la dure loi des femmes de marins.
• Pour ma part, je suis célibataire, regarde tu as du cambouis sur ton joli bout de nez.

J’étais revenu porter la chemisette, je me retrouve avec la femme d’un second-maître sous-marinier en mission sous les eaux à lui rouler une pelle.
Ça s’est fait naturellement, lorsque j’ai passé mon doigt sur son bout de nez.
J’ai pris sa bouche, puis ses seins en faisant glisser le haut de sa combinaison.
De son côté, elle est assez active et semble avoir l’habitude du pantalon à pont qu’a porté Loïc, son mari.
Les boutons défaits, le pont tombé, sa main s’insinue dans mon boxer et trouve mon sexe déjà bien bandé.
Depuis le retour de permission après ma première mission autour du monde, j’ai eu le plaisir de sexer une femme mariée en mal de sexe.
Gaëlle quitte ma bouche pour plonger vers mes couilles, mais surtout ma verge qu’elle fait directement entrer au fond de sa gorge.
Avant qu’il tombe au sol, je prends dans la poche de ma vareuse, la capote si trouvant.
Je veux éviter de lui remplir la bouche, je la relève, tout en déchirant la pochette avec mes dents.
Pendant que je la place sur mon pieu, c’est elle qui fait tomber sa combinaison m’apparaissant nue dans la splendeur de sa trentaine.
Si j’ai eu, une fraction de seconde des scrupules à baiser la femme d’un sous-off grade que j’aspire à atteindre, je veux cette femelle en chaleur.
Dire que son mari est seulement parti depuis ce matin !
Dans quel état va-t-elle être au bout de sa semaine de mer.
Elle semble être une chaude du cul profitant de la moindre occasion.
Une fois la protection placée, je l’assieds sur la selle de sa moto et je la plante directement.
Comme je l’ai dit pendant ma perm, j’ai connu cette femme qui semblait vouloir se venger de son mari l’ayant cocufié.
Lorsqu’elle me reprend la bouche, ses mains autour de ma nuque, c’est une véritable chienne que je saillis.
Mes mains se portent autour de ses reins pour mieux me propulser en elle.
Elle se cabre en arrière au risque de faire tomber la moto et éructe littéralement lorsqu’un orgasme la traverse.
Au moment où j’ai éjaculé, mes jets ont été si puissant que j’ai senti que quelque chose clochait.
Je me suis retiré, la capote avais littéralement explosé, dispersant le sperme qu’elle contenait.
J’ai eu l’impression que j’étais sorti à tant et un peu foireux, j’ai prétexté un rendez-vous incontournable pour me sauver comme un voleur.
Je me suis bien gardé de revenir chez Loïc et Gaëlle, peu enclin à vivre un conflit familial dès le retour du cocu.

Le temps a passé, j’ai quitté la marine à 24 ans et je suis allé vivre en Bourgogne région où se trouvait la jeune femme que j’ai épousée.
Je voulais faire carrière, mais Michel mon beau-père avait une ferme non loin de Dijon.
Là encore dont je tairai le nom, la seule chose que je peux dire, c’est que c’est au nord-ouest de Dijon, en direction de Châtillon.
Avec ma formation de mécanicien, c’était bien utile pour entretenir le matériel, nul besoin de payer pour ce travail.

La Bretagne et le coup de la baise sur la moto était devenu un vague souvenir, mais fort plaisant au demeurant.
Au fil des années, j’éviterais de parler de ma famille, sauf des engueulades de plus en plus fréquentes avec mon épouse.
Moi très calme, j’avais appris à fermer ma gueule comme le font de nombreux maris.
Un jour, elle m’a tellement cassé les couilles, excusez l’expression, c’est la seule qu’il m’est venu.
Souvent, je lui disais qu’un jour je me tirerais et qu’elle recevrait mon avocat pour le divorce.
Si je l’avais épousé c’était que je l’aimais et c’était plus pour lui faire peur que par envie de séparation qu’un soir j’ai tourné ma clé de contact.
J’ai roulé jusqu’à épuisement stoppant sur la place d’un village où j’ai été réveillé par le garde champêtre.
Lui demandant où j’étais, je me suis aperçu que je m’étais rapproché de la mer, elle devait me manquer.
J’ai décidé de pousser jusqu’à Lorient lorsqu’une haie m’a rappelé certains moments de ma jeunesse.
J’ai fait demi-tour, c’était la haie où nous avions cueilli des mûres avec Alain et Henri.
Je suis descendu lorsqu’une jeune fille blonde sortait au volant de sa voiture...

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