COLLECTION LE MARIN. Ma copine dans un cinéma porno (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION LE MARIN. Ma copine dans un cinéma porno (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LE MARIN. Ma copine dans un cinéma porno (1/1)
Je relisais certaines des plus de 2 000 histoires que j’ai écrites et diffusées sur le site HDS.
Parmi elle, j’ai retrouvé la « collection le marin » principalement l’histoire qui m’est arrivée à Casablanca.
Cette histoire dans la ville de ma meilleure amie Wafae depuis que je publie sur ce site et lu des milliers de fois m’a remis en mémoire une autre aventure du temps de ma jeunesse.
Dans ces années-là, celles d’après mai 68, j’étais en permission à Paris et dans les quartiers que l’on disait mal famé, il y avait des cinémas diffusant des films pornos.
Même sur les Champs Élysées, devenus la plus belle avenue du monde, à partir de 1974 un cinéma diffusait en exclusivité le film érotique « Emmanuelle » étant resté à l’affiche plusieurs années.
J’étais, moi aussi avec Emmanuelle, mais je l’avais rencontré sur les bords de Marne, au petit robinson à côté de chez gégène guiguette un peu rétro ou je passais mes soirées pendant mes week-ends de permission.
Je me souviens d’avoir déjà écrit, dans ces années, fin 60 et début 70 sur ces lieux qui ont ponctué une partie de ma vie.
Pour nous les garçons de dix-huit ou dix-neuf ans, baisé avec de jeunes femmes de notre âge, c’était plutôt rare, les trois quarts ayant peur de monsieur le curé et de ces prêches assassins du dimanche.
De nombreux copains se sont fait avoir, car elles acceptaient décarter leurs cuisses seulement après que nous leur ayons passé la bague au doigt.
Que dire de celles qui acceptaient de nous sucer, les fellations étaient les affaires des putes ?
Heureusement, dans ces années-là, ces femmes qui se vendaient pour un bref moment de bonheur, racolaient même dans les rues.
C’est pourquoi j’ai toujours été plutôt chez « gégène » que « petit Rob. »
Chez Gégène, la moyenne d’âge avoisinait la cinquantaine bien que la plupart étaient là pour danser oubliant qu’elles avaient des chattes pour baiser.

Dans l’armée dans ces années-là, nous étions obligés de garder notre tenue militaire même pendant nos perms.
Je dansais parfaitement le tango et la valse, ma maman m’ayant appris dans notre salle à manger en repoussant la table dans un coin de la pièce.
Dans notre tenue nous avions la clef pour que ces femmes d’un certain âge, quelles uns, étant mariées, nous emmènent dans leur lit.
Notre petite boule rouge au-dessus de notre tête sur ce que nous appelions notre bachi.
Ces femmes vous les trouviez souvent par deux, sorties sans leurs maris restés devant la télé commençant à se démocratiser à regarder de la boxe ou du catch commenté par Roger Couderc.
Certaines fois, elles profitaient de l’absence des maris pour venir danser et plus si possible, combien d’entre elles, ont fait cocu leurs mecs à qui elles avaient juré fidélité.
J’en ai connu trois dans ces années-là, avec deux nous avons fini la nuit à la place de l’absent, j’adorais éjaculer sur leurs oreillers même si la femme changerait les draps avant leur retour.
La troisième, c’est chez sa copine que je l’ai baisé dans la chambre d’amie qui l’accompagnait.
Le plus drôle alors que je me prélassais récupérant de la fin de nuit venant juste de se terminer, c’est lorsque je l’ai vu se préparer pour aller à la messe de dix heures.
J’aurais bien voulu faire une partie à trois, ce qui aurait été une nouveauté pour moi.
C’est plus tard que je l’ai fait, mais sa copine Georgette a refusé catégoriquement de se joindre à nous, elle partait à la messe elle aussi.
Je me souviens du nom de Georgette, c’était aussi le nom de la sœur de ma mère, mais celle que j’ai baisée toute la fin de nuit, impossible de vous dire, comment elle s’appelait.
Elle avait dû me le dire au fil de la soirée, mais déjà à ce moment je pensais à niquer plus qu’à retenir son nom.
Pour elle aussi je me souviens d’une chose, elle a hurlé son plaisir quand je l’ai baisé en levrette après lui avoir bouffé la chatte.
C’était la première fois qu’un homme se servait de sa langue pour la lécher et donner du plaisir à son clito.
Quant à la levrette, j’ai eu l’impression que les nombreux orgasmes, en continus, qui la traversaient, c’était la première fois du moins avec une telle intensité.

Bref, revenons à Emmanuelle, non pas Sylvia Christel l’actrice du film, mais la grande blonde rencontrée le premier jour de ma perm.
J’étais parti pour chez gégène, j’avais les couilles bien pleines.
À Toulon ou j’étais basé, le quartier des putes, appelé Chicago m’aurait permis de me les vider.
Mais la solde dans ces années-là était si petite qu’il m’avait été impossible de payer pour me les faire vider.
Je venais de garer ma vieille, plus que vieille 4 L, une presque épave.
Là encore dans ces années-là, les contrôles techniques étaient inexistants, lorsque j’ai croisé Alain, un pote de longue date.
Lui allait « au petit rob » alors j’ai dérogé à mes habitudes.
Dans ces années-là, dans les bals il y avait des orchestres, les DJ étaient inexistants et nous connaissions les plaisirs des slows montrant neuf fois sur dix les envies de la fille.
Deux copains, deux copines, qui dansaient les danses de ces années-là principalement le twist et le rock and roll.
Ces danses modernes pour l’époque, je savais aussi les danser, même si maman s’était le charleston.
Je suis né à la sortie de la guerre, au moment où j’ai commencé à comprendre la vie, maman faisant partie de ces femmes allant à la messe.
J’ai eu quelquefois l’impression qu’elle avait connu la vie avec des soldats américains défilant sur les Champs lysés et que c’étaient avec eux qu’elle avait connu cette danse de nègre comme disaient certains.
Le Rock en roll faisait fureur, mais notre salle était trop petite pour que nous le dansions.
Dans le quartier où nous habitions, je connaissais Hugette, à la fin de la guerre, les partisans l’avaient rasé, car elle avait couché avec un officier allemand simplement, car elle était tombée amoureuse.
Si maman a fricoté avec les alliés, je suis sûr d’être sorti des couilles de mon père, notre ressemblance est trop grande pour que j’aie le moindre doute.

• Christian j’aimerais aller voir un porno dans un cinéma.

Cette demande faite par Emmanuelle m’est tombée dessus comme peut vous tomber un seau d’eau placé sur une porte entrouverte, comme nous le faisions du temps du collège.
Nous avions tout préparé pour que notre prof de science, une grande femme sèche je le pense de partout, son père étant anglais.
Ça m’a valu trois jours de mise à pied, car c’est le proviseur qui est rentré devant elle, venu nous parler de dégradations dans le collège.
Certes, j’étais allé chercher le seau d’eau, mais pour le placer nous étions trois.

• Tu es certaine de vouloir aller dans cette salle, ou il joue « Les faveurs de Sophie » !
• Oui, j’ai lu que c’était l’histoire d’une jeune femme héritant de sa sœur décédé d’un accident de voiture avec un de ces vieux clients plein de fric.
Ce qu’elle découvre, c’est que la maison dans laquelle elle trouve des vêtements équivoques, c’est là que sa sœur se prostitue et c’est elle qui va prendre le relais.

Voilà comment on se retrouve dans une salle glauque presque au fond de la salle.
Le film commence, c’est un lapin qui fait tuer la sœur, la voiture ayant fait une embardée.
Nous sommes six avec nous deux à divers rangs.
Devant nous l’homme qui est assis au mouvement de sa main doit s’astiquer le manche.
C’est à ce moment les scènes devenant de plus en plus chaude que j’ai senti la main d’Emmanuelle se poser sr ma verge.
J’ai défait mon pont, sorte de bavette des pantalons de notre tenue sous lequel j’étais nu.
Sans sa main, je bandais, les images étant assez subjectives, sa main puis sa bouche.
Comme je l’ai dit, se faire sucer, c’était rare, surtout dans un cinéma porno.
J’étais très concentré sur ce que ma copine me faisait lorsque la porte d’entrée près de nous a laissé passer la lumière du jour.
Les sièges étant attachés entre eux, j’ai senti un mouvement, de leurs parts.
La scène sur l’écran étant claire, en tournant la tête j’ai vu un homme qui venait de s’assoir.
Emmanuelle était à deux doigts, plutôt à un coup de langue de me faire décharger, ce qui a dû se passer m’a échappé.
L’homme a dû se rapprocher et d’un coup j’ai senti Emmanuelle me quitter pour se retourner et à son tour sucer ce gars qui bien sûr nous était inconnu.
J’ai vu le gars passer sa main sous sa jupe, la salope s’est avancée sur son siège malgré l’exiguïté de l’endroit.
J’en ai fait de même, les doigts, deux, étaient déjà au fond de son vagin.
Je pensais qu’elle allait en rester là, mais encore plus pute que je le pensais, elle s’est soulevée et s’est enfourchée sur la bite du type, me cocufiant alors que j’étais à son côté.
Sophie sur l’écran jouissait, j’ignore si c’était feint, mais Emmanuelle, je peux dire qu’elle criait de plaisir.
Les autres hommes se sont retournés et le mouvement s’est fait plus pressant, ils ont quitté leur place pour venir vers nous.
Qui l’a porté dans l’allée où la place était plus facile pour la baiser une nouvelle fois sans qu’elle s’offusque.
C’est ainsi que je peux la voir faire une fellation aux vieux, un jeune et même un noir, certainement un de ceux qui habitent le quartier, au gré des images.
J’ai devant moi deux porno, l’un sur l’écran, l’autre en direct lorsqu’ils la prennaient en sandwich.
Qui de Sophie ou d’Emmanuelle est la plus salace, celle qui se fait payer pour tourner un film ou celle qui prend plus de place que l’actrice dans cette salle que j’ai déjà dit glauque.
Comment tout ceci c’est terminé ?
Je l’ignore.
J’ai refermé mon pont, malgré ma bite bandante.
Je suis sorti de la salle en passant par l’autre porte laissant cette fille à ses turpitudes.
En remontant la rue pour récupérer ma voiture, j’ai croisé une pute, elle fumait près d’un réverbère.

• Combien tu prends ?
• C’est gratuit pour un petit marin si tu me laisses toucher ton pompon.

J’ai fait mieux, j’ai détaché celui sur mon bachi et je lui ai offert, soyez sans crainte, nous les achetions par paquet de dix et j’en ai dans ma 4 L.
Lorsque je suis sorti, j’ignorais que c’était la dernière fois que je voyais Emmanuelle, pour ma part la fois suivante où je suis allé dans ces guiguettes.
Je suis retourné chez Gégène, les vieilles il y en a des salopes, mais bien moins que celle qui s’est défoulée dans ce cinéma qui a disparu depuis.
Les portables et Internet ayant fait leur œuvre.

Les avis des lecteurs

La chipie, pour moi toutes les femmes sont des Emmanuelle, Christine et autres femmes réelle ou irréelle, comme j'aime les chippies...

Histoire Libertine
Qu’est devenu Emmanuelle ?
La chipie



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Histoire sexe : Une rose rouge
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