COLLECTION LES CHIENNES. Fidèle à notre maître jusqu’à la mort, quoique (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. Fidèle à notre maître jusqu’à la mort, quoique (1/1)
Vers le 20 avril 1945, dans notre bordel berlinois, l’arrivée des troupes russes se faisait entendre.
Moi, la veuve de Von Schuss dit le Baron Noir lors de la 2e guerre mondiale, me donnait une situation privilégiée au début de cette guerre.
Il a été descendu par un chasseur anglais d’un type Spitfire aux commandes d’un chasseur Messerschmitt après avoir descendu douze de nos ennemies, record à ce moment de la guerre.
Dès cet instant, je devenais, ainsi que Gretta et Olaf nos enfants, personnages, héros de notre patrie dirigé par notre grand maître Adolf.
Mon mari ayant donné sa vie pour la grandeur de notre fureur, mes enfants et moi étions prêts à tout pour suivre ses traces même au péril de notre vie.
J’étais invitée aux soirées mondaines, ma fille férue de musique a pu rejoindre le philharmonique de Berlin où elle jouait du violon.
Les places étaient rares, à cette époque, ceux ou celles qui la composaient, étaient exemptées de toute aide à la patrie.
Le Baron Noir de son vivant considérait que tous ces planqués étaient la honte des familles allemandes.
Pour sa mémoire, j’aurais dû refuser l’offre du commandant de la place de Berlin, mais quelle mère refuserait une telle protection pour sa fille, même en écornant les convictions profondes de notre famille !
Pour moi Gretta sauvait sa vie à presque vingt ans.
Quant à Olaf, à douze ans, il a voulu entrer aux jeunesses hitlériennes et jouait au petit soldat dans leurs rangs.
J’ai dit que je participais à certaines fêtes organisées dans l’insouciance de l’époque ou nos troupes progressaient à travers l’Europe, augmentant la grandeur de notre patrie.
Cette grandeur, elle était aussi bien en kilomètres carrés annexés qu’en peuples qui tombaient sous notre domination.
À mon âge, malgré mes deux grossesses, je demeurais une belle femme parfaite représentative de notre race, étant blonde comme les blés.
C’était naturel, mes parents faisant partie de la noblesse allemande étaient aussi filiformes que moi.
Certaines de mes amies avaient ce que l’on appelle un gros cul et faisant régime sur régime ainsi que du sport espérant perdre leurs bourrelets.
J’ai horreur du sport préférant la lecture de nos chers auteurs allemands à me fatiguer de toutes ces pratiques dans les parcs berlinois.
À ce point de mon récit, je dois avouer qu’au cours de ces soirées, il m’est arrivé de rencontrer des hommes alors que je pensais être fidèle jusqu’à ma mort à celui qui m’avait donné deux enfants.
Tous de haut gradés aidant notre fureur à continuer à gagner cette guerre contre ces mécréants lui vouant une haine farouche.
J’ai même eu la chance de l’apercevoir un soir où il participait à l’une de nos fêtes.
Il m’aurait proposé de venir passer un moment dans la chambre lui étant réservé, j’aurais couru pour le rejoindre.
La première fois, je me suis contenté d’un colonel de la S.S, corps d’élite de notre armée et garde rapprochée de notre maître à tous.
Helmut m’a appris qu’au lit, simplement écarter ses cuisses pour se faire faire des enfants, c’était largement dépassé.
La bite d’Helmut devenant la première prise dans ma bouche avant qu’elle me pénètre m’ayant placé à quatre pattes.
Je dois avouer que c’est cet homme qui, devant partir au front quelques jours plus tard, m’a apporté mon premier orgasme.
Je découvrais un monde des femmes ou leur plaisir était aussi important que celui qu’elles apportaient aux hommes
Le temps passait, les bombardements ont commencé, ces fumiers d’anglais, nous déversant des milliers de bombes détruisant notre ville.
C’est à cette époque que Gretta devait disparaitre, j’étais persuadée qu’elle reposait sous un pan de mur écroulé, son violon serré sur sa jeune poitrine.
Je devais découvrir, un peu plus tard qu’elle en avait réchappé et qu’elle jouait du violon à d’autres privilégiés de la guerre qu’on nous faisait.
J’avais beau être la veuve d’un héros de guerre, il fallait manger, laver notre linge, nos serviteurs ayant rejoint le front ou étant mort sous les bombardements.
La seule personne ayant de la considération pour moi, c’était Von Schuss junior petit frère de mon mari qui m’a prise sans ménagement dès qu’il a eu la chance de venir se planquer loin du front.
Il venait, me baisait et repartait se terrer dans un de ces souterrains que notre fureur avait fait construire par notre peuple bâtisseur.
À cette époque, je commençais à entrevoir un début de clairvoyance sur ce que l’homme qui dirigeait notre pays était capable de nous apporter comme misère.
Hans, petit frère de mon mari commençait par avoir la réputation, d’être un être abject qu’il valait mieux éviter de fréquenter.
On entendait parler de solution finale et qu’il était l’un des maîtres d’œuvre de ce projet.
Baisé par mon beau-frère, je descendais la pente tombant de plus en plus bas.
C’est dans ces moments qu’il est venu me chercher pour m’amener à quelques kilomètres de Berlin.
Cet endroit devait représenter un faible intérêt pour notre effort de guerre par ceux qui nous bombardaient.
Miraculeusement épargnés par les bombes alors que méticuleusement les bâtiments faisant des efforts de guerre étaient détruits.
Je découvrais l’un des bordels de la glorieuse nation allemande dont je devais prendre la direction.
J’ai demandé que l’on m’amène les fiches des filles, car Hans m’avait dit que les spécialités des prostituées présentent si trouvant.
« Ava, ouverte à toutes les sollicitations. »
« Olga, ouverte à toutes les sollicitations. »
« Ida, ouverte à toutes les sollicitations, joue du violon. »
Cette fiche m’a intrigué, ouf le prénom était différent, un instant j’ai cru que l’on prostituait Gretta dans ce lieu de perdition.
Le bordel tournait vingt-quatre heures sur vingt-quatre, j’allais faire le tour des chambres pour me présenter aux filles lorsque j’ai entendu un air bien connu du répertoire allemand.
La cinquième de Beethoven, morceau préféré de Gretta entendu des milliers de fois à la maison lorsqu’elle s’entrainait.
Je me suis approché, la porte entrouverte me fit découvrir l’abjection que cette guerre avait déclenchée pour les filles de mon pays.
En réalité, Ida était Gretta jouant nue devant deux officiers S.S.
Le morceau touchait à sa fin, elle a posé son violon et est venue s’agenouiller devant le premier des deux hommes.
À aucun moment j’aurais pu comprendre que dans ma propre débauche, ma fille était devenue assez grande pour sucer des bites.
Je me suis sentie propulsé, une chaise était vide, le troisième S.S. était certainement allé aux toilettes.
Hans m’avait dit que je dirigerais les filles, mais qu’il y avait des chances que certains clients préféreraient les femmes mûres aux jeunes filles de ce bordel.
C’est sur le lit que l’homme a soulevé ma jupe et profitant de ma fente sans voilage, il me les avait interdits devant être disponible à tout moment, qu’il m’a baisé devant ma fille.
Celle-ci a été conduite à mes côtés, c’est deux bites qu’elle a reçues dans sa chatte et dans son anus.
Alors que je jouissais de la façon de me prendre du troisième S.S, c’est le regard dans le vague de ma fille que j’ai vu, les deux hommes déchargeant en elle.
Tout le long de notre séjour, à part les notes de son violon, sa bouche est restée muette, me montrant les horreurs qu’elle avait dû voir et subir.
Chaque fois que les sons de son violon s’entendaient, je savais qu’un ou plusieurs soudards s’en prenaient à ma fille.
Plusieurs mois, avec Gretta, à sucer et être prise par des permissionnaires de plus en plus jeune.
Certains, autour de leur cou, avaient déjà la croix de guerre donnée à ceux ayant fait des actes de bravoure.
Le bordel avec des femmes de bonne famille, était le point culminant de leur permission avant qu’il retourne sur le front, principalement de l’est pour devenir de la chair à Canon.
J’ai toujours eu peur de voir arriver Olaf, mon fils et frère de Gretta ayant voulu faire comme son père et avoir gagné cette putain de croix de guerre.
Quel aurait été sa réaction en voyant ou notre fureur avait mené la femme et la fille d’un héros afin de satisfaire ses envies de plus en plus de pouvoir ?
Pour ma fille, j’étais à deux doigts de lui faire terminer sa vie lorsque la lutte entre les Américains et les Bolchéviques nous est arrivée aux oreilles, les deux fronts se rapprochant.
Certaines étaient pro-américaines, les autres pro-soviétiques.
Pour moi que les meilleurs gagnent pourvu que le Parti National socialisme disparaisse, j’avais enfin compris l’absurde de la situation où notre obstination à vouloir dominer le monde nous avait conduits.
Elle était belle la race aryenne plus pure que pure.
Elle a fini, nous les femmes, à écarter nos cuisses et devenir de bonnes putains.
Au moment où les soviets sont entrés dans notre bordel, j’avais avalé plus de sperme que la Sprée rivière coulant près de notre bordel.
Ma fille certainement aussi, voire plus, sa fiche m’ayant appris qu’elle était là depuis presque 18 mois lorsque je suis arrivée.
Rapidement, tout est resté pareil, nos clients ayant changé simplement d’uniforme.
Nous apprenions rapidement qu’une queue allemande, soviétique ou, non, était les mêmes et que les hommes étaient les mêmes soudards.
Libéré du joug allemand en avril 45, nous devenions citoyennes est-Allemandes. En 1961, nous nous sommes retrouvés avec un mur nous séparant d’un monde dit capitaliste dont nous rêvions au moment de la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Ma fille a rencontré un client civil la guerre fini, elle a quitté le lupanar où je suis restée seule à gérer les filles soi-disant libres.
Je voyais les macs tourner autour du bordel chaque fois qu’une nouvelle y entrait.
En 1989, le mur est tombé et la société de consommation dont nous rêvions est arrivée dans notre lieu de perdition.
Cette société de consommation était la même que la précédente, mais de boîte à bite, nous sommes devenues des éros Center.
Les jeunes allemandes ont été remplacées par des jeunes polonaises ou autres Ukrainiennes, voire des Lituaniennes, mais les meilleurs, c’étaient les Roumaines.
Celui que nous mettions au-dessus de tout, nous aura même enlevé le travail pour nos filles dans ces bordels.
Pour ma part, j’ai presque quatre-vingts ans, je suis à l’aéroport de Berlin, j’ai demandé un passeport et un titre de séjour.
Je m’envole pour les Amériques découvrir ce Monde nouveau.
À soixante-dix ans, j’ai été voir Gretta maman de deux enfants et devenant une parfaite femme soviétique.
Lorsque j’ai traversé les plaines ou les soviets avaient lutté contre les nôtres, j’ai versé une larme, mon fils étant peut-être enterré là sans que je le sache.
Gretta m’avait donné l’impression d’être remise de ce que la guerre lui avait fait subir, mais l’abandon de son violon me disait le contraire.
C’est cette année-là, dans notre éros que j’ai eu mes derniers rapports sexuels, oui, à soixante-dix ans avec un jeune puceau de vingt-deux ans.
Des puceaux au temps de la guerre, j’en ai eu un paquet, pourtant il est dit que ça porte chance.
Aux State comme l’on dit, qui peut me dire qu’un puceau du nouveau Monde sera partant pour perdre le sien avec moi, me rappelant ma jeunesse ?
L’espoir fait vivre et les voyages forment la jeunesse.
Surtout que pour moi, j’ai appris à rejeter ma fidélité jusqu’à la mort apprise dans ma jeunesse et notre éducation.
J’ai tellement vu ces hommes de pouvoir, la queue basse trop de fois.
Lorsque l’on me fermera les yeux à jamais, sachez que ce sera avec grand plaisir, ils ont trop vu d’horreur.
Moi, la veuve de Von Schuss dit le Baron Noir lors de la 2e guerre mondiale, me donnait une situation privilégiée au début de cette guerre.
Il a été descendu par un chasseur anglais d’un type Spitfire aux commandes d’un chasseur Messerschmitt après avoir descendu douze de nos ennemies, record à ce moment de la guerre.
Dès cet instant, je devenais, ainsi que Gretta et Olaf nos enfants, personnages, héros de notre patrie dirigé par notre grand maître Adolf.
Mon mari ayant donné sa vie pour la grandeur de notre fureur, mes enfants et moi étions prêts à tout pour suivre ses traces même au péril de notre vie.
J’étais invitée aux soirées mondaines, ma fille férue de musique a pu rejoindre le philharmonique de Berlin où elle jouait du violon.
Les places étaient rares, à cette époque, ceux ou celles qui la composaient, étaient exemptées de toute aide à la patrie.
Le Baron Noir de son vivant considérait que tous ces planqués étaient la honte des familles allemandes.
Pour sa mémoire, j’aurais dû refuser l’offre du commandant de la place de Berlin, mais quelle mère refuserait une telle protection pour sa fille, même en écornant les convictions profondes de notre famille !
Pour moi Gretta sauvait sa vie à presque vingt ans.
Quant à Olaf, à douze ans, il a voulu entrer aux jeunesses hitlériennes et jouait au petit soldat dans leurs rangs.
J’ai dit que je participais à certaines fêtes organisées dans l’insouciance de l’époque ou nos troupes progressaient à travers l’Europe, augmentant la grandeur de notre patrie.
Cette grandeur, elle était aussi bien en kilomètres carrés annexés qu’en peuples qui tombaient sous notre domination.
À mon âge, malgré mes deux grossesses, je demeurais une belle femme parfaite représentative de notre race, étant blonde comme les blés.
C’était naturel, mes parents faisant partie de la noblesse allemande étaient aussi filiformes que moi.
Certaines de mes amies avaient ce que l’on appelle un gros cul et faisant régime sur régime ainsi que du sport espérant perdre leurs bourrelets.
J’ai horreur du sport préférant la lecture de nos chers auteurs allemands à me fatiguer de toutes ces pratiques dans les parcs berlinois.
À ce point de mon récit, je dois avouer qu’au cours de ces soirées, il m’est arrivé de rencontrer des hommes alors que je pensais être fidèle jusqu’à ma mort à celui qui m’avait donné deux enfants.
Tous de haut gradés aidant notre fureur à continuer à gagner cette guerre contre ces mécréants lui vouant une haine farouche.
J’ai même eu la chance de l’apercevoir un soir où il participait à l’une de nos fêtes.
Il m’aurait proposé de venir passer un moment dans la chambre lui étant réservé, j’aurais couru pour le rejoindre.
La première fois, je me suis contenté d’un colonel de la S.S, corps d’élite de notre armée et garde rapprochée de notre maître à tous.
Helmut m’a appris qu’au lit, simplement écarter ses cuisses pour se faire faire des enfants, c’était largement dépassé.
La bite d’Helmut devenant la première prise dans ma bouche avant qu’elle me pénètre m’ayant placé à quatre pattes.
Je dois avouer que c’est cet homme qui, devant partir au front quelques jours plus tard, m’a apporté mon premier orgasme.
Je découvrais un monde des femmes ou leur plaisir était aussi important que celui qu’elles apportaient aux hommes
Le temps passait, les bombardements ont commencé, ces fumiers d’anglais, nous déversant des milliers de bombes détruisant notre ville.
C’est à cette époque que Gretta devait disparaitre, j’étais persuadée qu’elle reposait sous un pan de mur écroulé, son violon serré sur sa jeune poitrine.
Je devais découvrir, un peu plus tard qu’elle en avait réchappé et qu’elle jouait du violon à d’autres privilégiés de la guerre qu’on nous faisait.
J’avais beau être la veuve d’un héros de guerre, il fallait manger, laver notre linge, nos serviteurs ayant rejoint le front ou étant mort sous les bombardements.
La seule personne ayant de la considération pour moi, c’était Von Schuss junior petit frère de mon mari qui m’a prise sans ménagement dès qu’il a eu la chance de venir se planquer loin du front.
Il venait, me baisait et repartait se terrer dans un de ces souterrains que notre fureur avait fait construire par notre peuple bâtisseur.
À cette époque, je commençais à entrevoir un début de clairvoyance sur ce que l’homme qui dirigeait notre pays était capable de nous apporter comme misère.
Hans, petit frère de mon mari commençait par avoir la réputation, d’être un être abject qu’il valait mieux éviter de fréquenter.
On entendait parler de solution finale et qu’il était l’un des maîtres d’œuvre de ce projet.
Baisé par mon beau-frère, je descendais la pente tombant de plus en plus bas.
C’est dans ces moments qu’il est venu me chercher pour m’amener à quelques kilomètres de Berlin.
Cet endroit devait représenter un faible intérêt pour notre effort de guerre par ceux qui nous bombardaient.
Miraculeusement épargnés par les bombes alors que méticuleusement les bâtiments faisant des efforts de guerre étaient détruits.
Je découvrais l’un des bordels de la glorieuse nation allemande dont je devais prendre la direction.
J’ai demandé que l’on m’amène les fiches des filles, car Hans m’avait dit que les spécialités des prostituées présentent si trouvant.
« Ava, ouverte à toutes les sollicitations. »
« Olga, ouverte à toutes les sollicitations. »
« Ida, ouverte à toutes les sollicitations, joue du violon. »
Cette fiche m’a intrigué, ouf le prénom était différent, un instant j’ai cru que l’on prostituait Gretta dans ce lieu de perdition.
Le bordel tournait vingt-quatre heures sur vingt-quatre, j’allais faire le tour des chambres pour me présenter aux filles lorsque j’ai entendu un air bien connu du répertoire allemand.
La cinquième de Beethoven, morceau préféré de Gretta entendu des milliers de fois à la maison lorsqu’elle s’entrainait.
Je me suis approché, la porte entrouverte me fit découvrir l’abjection que cette guerre avait déclenchée pour les filles de mon pays.
En réalité, Ida était Gretta jouant nue devant deux officiers S.S.
Le morceau touchait à sa fin, elle a posé son violon et est venue s’agenouiller devant le premier des deux hommes.
À aucun moment j’aurais pu comprendre que dans ma propre débauche, ma fille était devenue assez grande pour sucer des bites.
Je me suis sentie propulsé, une chaise était vide, le troisième S.S. était certainement allé aux toilettes.
Hans m’avait dit que je dirigerais les filles, mais qu’il y avait des chances que certains clients préféreraient les femmes mûres aux jeunes filles de ce bordel.
C’est sur le lit que l’homme a soulevé ma jupe et profitant de ma fente sans voilage, il me les avait interdits devant être disponible à tout moment, qu’il m’a baisé devant ma fille.
Celle-ci a été conduite à mes côtés, c’est deux bites qu’elle a reçues dans sa chatte et dans son anus.
Alors que je jouissais de la façon de me prendre du troisième S.S, c’est le regard dans le vague de ma fille que j’ai vu, les deux hommes déchargeant en elle.
Tout le long de notre séjour, à part les notes de son violon, sa bouche est restée muette, me montrant les horreurs qu’elle avait dû voir et subir.
Chaque fois que les sons de son violon s’entendaient, je savais qu’un ou plusieurs soudards s’en prenaient à ma fille.
Plusieurs mois, avec Gretta, à sucer et être prise par des permissionnaires de plus en plus jeune.
Certains, autour de leur cou, avaient déjà la croix de guerre donnée à ceux ayant fait des actes de bravoure.
Le bordel avec des femmes de bonne famille, était le point culminant de leur permission avant qu’il retourne sur le front, principalement de l’est pour devenir de la chair à Canon.
J’ai toujours eu peur de voir arriver Olaf, mon fils et frère de Gretta ayant voulu faire comme son père et avoir gagné cette putain de croix de guerre.
Quel aurait été sa réaction en voyant ou notre fureur avait mené la femme et la fille d’un héros afin de satisfaire ses envies de plus en plus de pouvoir ?
Pour ma fille, j’étais à deux doigts de lui faire terminer sa vie lorsque la lutte entre les Américains et les Bolchéviques nous est arrivée aux oreilles, les deux fronts se rapprochant.
Certaines étaient pro-américaines, les autres pro-soviétiques.
Pour moi que les meilleurs gagnent pourvu que le Parti National socialisme disparaisse, j’avais enfin compris l’absurde de la situation où notre obstination à vouloir dominer le monde nous avait conduits.
Elle était belle la race aryenne plus pure que pure.
Elle a fini, nous les femmes, à écarter nos cuisses et devenir de bonnes putains.
Au moment où les soviets sont entrés dans notre bordel, j’avais avalé plus de sperme que la Sprée rivière coulant près de notre bordel.
Ma fille certainement aussi, voire plus, sa fiche m’ayant appris qu’elle était là depuis presque 18 mois lorsque je suis arrivée.
Rapidement, tout est resté pareil, nos clients ayant changé simplement d’uniforme.
Nous apprenions rapidement qu’une queue allemande, soviétique ou, non, était les mêmes et que les hommes étaient les mêmes soudards.
Libéré du joug allemand en avril 45, nous devenions citoyennes est-Allemandes. En 1961, nous nous sommes retrouvés avec un mur nous séparant d’un monde dit capitaliste dont nous rêvions au moment de la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Ma fille a rencontré un client civil la guerre fini, elle a quitté le lupanar où je suis restée seule à gérer les filles soi-disant libres.
Je voyais les macs tourner autour du bordel chaque fois qu’une nouvelle y entrait.
En 1989, le mur est tombé et la société de consommation dont nous rêvions est arrivée dans notre lieu de perdition.
Cette société de consommation était la même que la précédente, mais de boîte à bite, nous sommes devenues des éros Center.
Les jeunes allemandes ont été remplacées par des jeunes polonaises ou autres Ukrainiennes, voire des Lituaniennes, mais les meilleurs, c’étaient les Roumaines.
Celui que nous mettions au-dessus de tout, nous aura même enlevé le travail pour nos filles dans ces bordels.
Pour ma part, j’ai presque quatre-vingts ans, je suis à l’aéroport de Berlin, j’ai demandé un passeport et un titre de séjour.
Je m’envole pour les Amériques découvrir ce Monde nouveau.
À soixante-dix ans, j’ai été voir Gretta maman de deux enfants et devenant une parfaite femme soviétique.
Lorsque j’ai traversé les plaines ou les soviets avaient lutté contre les nôtres, j’ai versé une larme, mon fils étant peut-être enterré là sans que je le sache.
Gretta m’avait donné l’impression d’être remise de ce que la guerre lui avait fait subir, mais l’abandon de son violon me disait le contraire.
C’est cette année-là, dans notre éros que j’ai eu mes derniers rapports sexuels, oui, à soixante-dix ans avec un jeune puceau de vingt-deux ans.
Des puceaux au temps de la guerre, j’en ai eu un paquet, pourtant il est dit que ça porte chance.
Aux State comme l’on dit, qui peut me dire qu’un puceau du nouveau Monde sera partant pour perdre le sien avec moi, me rappelant ma jeunesse ?
L’espoir fait vivre et les voyages forment la jeunesse.
Surtout que pour moi, j’ai appris à rejeter ma fidélité jusqu’à la mort apprise dans ma jeunesse et notre éducation.
J’ai tellement vu ces hommes de pouvoir, la queue basse trop de fois.
Lorsque l’on me fermera les yeux à jamais, sachez que ce sera avec grand plaisir, ils ont trop vu d’horreur.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci me amis
Bravo Chris
La chipie
La chipie
Wouawww...
Je suis subjugué par ce récit...
Qu'un Français ose écrire tout ça ça me laisse coi...
Bravo et merci
Cyrille
Je suis subjugué par ce récit...
Qu'un Français ose écrire tout ça ça me laisse coi...
Bravo et merci
Cyrille