COLLECTION LES CHIENNES. Le monastère des frères de la rédemption (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES CHIENNES. Le monastère des frères de la rédemption (2/2)
- Radia, je t’emmène visiter le monastère des frères de la rédemption vu le temps.
En vacances dans cette belle région la pluie vient tout gâcher au point que j’accepte d’aller visiter le monastère voisin.
Je rencontre frère Christian qui malgré sa robe de bure est très séduisant.
Séduisant au point de me proposer de droguer Red pour venir le rejoindre après minuit.
Ayant versé la fiole dans son verre, il s’endort comme un bébé et telle une petite souris, je rejoins le monastère.
Comme prévu il m’attend et m’entraîne dans la chapelle.
Elle est remplie des champs des 13 autres moines qui semblent prier et chanter nus.
Je devrais me sauver, j’aime Red surtout qu’il a pris tous les risques avec sa famille en épousant une femme d’une autre religion que la sienne.
Ah non, un point commun, la mienne nous demande de prohiber l’alcool de notre vie.
Red après une cuite mémorable a prohibé de lui-même l’alcool.
Ça m’a servi quand j’ai vidé la fiole dans son verre même si frère Christian m’a soutenu que son produit pouvait être dissous dans un verre de vin.
Nue, c’est sur l’autel en marbre qui me refroidit le cul puis tout le corps que j’accepte le blasphème et qu’il commence à me brouter la chatte.
Les frères commencent à tourner autour de nous et de l’autel.
Tous à l’exception du frère Jean-Baptiste doyen du monastère qui est resté assis et qui me cache sa bite à cause du prie-dieu en bois massif.
Ces hommes qui se déplacent en chantant avec les cierges me renvoient leurs ombres donnant à cette scène une atmosphère digne des plus grands films d’horreur.
À quel moment le diable va-t-il sortir de sa boîte et venir déclencher la danse satanique qui va terminer ces instants sataniques.
Je fantasme, car c’est Christian qui me rejoint sur l’autel et qui me pénètre naturellement.
J’ai un instant une envie irrésistible de rire quand mes jambes entourent ses reins le soudant en moi.
- Pourquoi ris-tu ?
- Tu me baises dans la position du missionnaire devant tous tes frères.
Il a commencé à me pilonner et je me concentre sur ce qu’un homme et une femme ayant des sentiments pratiquent, une bonne baise même dans cet endroit insolite.
Mon Dieu, des sentiments, il faut que je vive l’instant présent sans penser aux sentiments.
L’endroit est froid et étroit, mais j’arrive à ce que nous nous retournions sans nous casser la gueule et de venir dans ma position préférée moi sur lui.
Je sens mieux sa verge en moi et j’aime bouger alors qu’en missionnaire je me sens plus modèle qu’actrice de notre coït.
Je sens sa bite frotter mon clito qui pour la circonstance est sorti de son capuchon, car comme, l’homme avec son pieu il bande gorgé de sang.
Les frères chantent, je finis par les rejoindre, mais par un chant plus gutturale quand un orgasme me submerge.
Christian vient de réussir ce qui me manque depuis quelque temps avec Red.
La jouissance, l’orgasme, le dépassement de soi.
Je peux mettre le manque d’entrain de mon mari au mauvais temps qui a quelque peu plombé notre séjour.
Mais est-ce suffisant pour le tromper, mais là je ferme vite la porte que je suis en train d’ouvrir, car c’est peut-être là que le diable m’attend.
Les frères font un dernier tour de l’autel et comme ils sont venus prennent l’allée centrale partant certainement vers leur cellule à rêver à la salope qu’ils ont vu se faire troncher sur leur autel.
Le dernier passé, frère Jean-Baptiste se lève et tant bien que mal les suit.
Christian saute prestement au sol et m’aide à mon tour à reposer mes pieds sur le sol.
Ses mains sur mes hanches me brûlent et je remettrais bien le couvert, je suis venue pour ça, mais je le vois reprendre sa robe de moine et me tendre les miennes.
Je comprends que le jeu est terminé et que je suis en un sens répudié.
Aussi discrète que je suis venue, je réintègre notre chambre où Red dort du sommeil du cocu l’ignorant.
Je prends un bain, il faut que je nettoie les traces de ma forfaiture.
Me couchant à son côté, j’ai du remords et je passe la main sur la verge maritale.
Il se retourne en prononçant des mots incompréhensifs.
- Chérie, réveille-toi, regarde, le beau temps est revenu.
Nous allons pouvoir faire le sentier des chèvres, sans prendre de risque.
Tu verras, le paysage est grandiose et si elle existe toujours, il y a une petite grange fort sympathique à mi-chemin où je te promets de te faire l’amour pour rattraper cette nuit ou pour la première fois, tu t’es refusée à moi.
Hier au repas, je t’avais dit que cette fiole donnée par ce moine avec des herbes de ces montagnes, il valait mieux éviter de la mélanger dans ton verre de vin.
Comme d’habitude, je voulais que tu m’écoutes, voilà le résultat, tu as du mal à te lever.
Sais-tu, que tu as même chanté cette nuit, des chants religieux, j’ai cru que le diable était entré en toi après notre visite au monastère.
Allez debout, montagne nous voilà.
Je me suis levée, douchée, préparée mettant mes grosses chaussures de marche.
Au moment de mettre mon sous-vêtement, je me suis souvenue de la promesse faite par mon mari d’une visite d’une grange et je l’ai laissé dans son tiroir pour lui faire la surprise.
Après un copieux petit déjeuner, faire plus de vingt kilomètres à pied avec une escale dans une grange, il faut être bien préparé.
Sac à dos pour chacun d’entre nous, Red ayant récupéré le casse-croûte auprès de l’aubergiste nous nous mettons en marche.
À deux pas, du monastère, où nous devons passer, je les vois venir vers nous en chantant les mêmes chants qu’ils semblent avoir répétés cette nuit.
Ils ont tous leur robe de bure cachant leur virilité.
J’en compte 13, le quatorzième, frère Jean-Baptiste doit être exempté de cérémonie ce 15 août.
C’est vrai depuis que je suis arrivée à l’auberge, quand nous dînons, j’ai sur le mur en face de moi une affiche montrant les moines se dirigeant vers une vierge.
Nous sommes le 15 août et Red m’a expliqué un verre de blanc du pays en main que c’était une des plus grandes fêtes pour la chrétienté.
Marie, la maman de leur prophète.
Dans mes souvenirs, c’est Red qui a bu la fiole dans son verre d’eau, car il refuse l’alcool, ce qui est loin d’être vrai.
Un deux, un deux les moines s’éloignent à l’opposé de notre route, mais tout ceci m’interpelle.
Qui a bu la fiole de frère Christian restée sur la table où nous avons dîner ?
En vacances dans cette belle région la pluie vient tout gâcher au point que j’accepte d’aller visiter le monastère voisin.
Je rencontre frère Christian qui malgré sa robe de bure est très séduisant.
Séduisant au point de me proposer de droguer Red pour venir le rejoindre après minuit.
Ayant versé la fiole dans son verre, il s’endort comme un bébé et telle une petite souris, je rejoins le monastère.
Comme prévu il m’attend et m’entraîne dans la chapelle.
Elle est remplie des champs des 13 autres moines qui semblent prier et chanter nus.
Je devrais me sauver, j’aime Red surtout qu’il a pris tous les risques avec sa famille en épousant une femme d’une autre religion que la sienne.
Ah non, un point commun, la mienne nous demande de prohiber l’alcool de notre vie.
Red après une cuite mémorable a prohibé de lui-même l’alcool.
Ça m’a servi quand j’ai vidé la fiole dans son verre même si frère Christian m’a soutenu que son produit pouvait être dissous dans un verre de vin.
Nue, c’est sur l’autel en marbre qui me refroidit le cul puis tout le corps que j’accepte le blasphème et qu’il commence à me brouter la chatte.
Les frères commencent à tourner autour de nous et de l’autel.
Tous à l’exception du frère Jean-Baptiste doyen du monastère qui est resté assis et qui me cache sa bite à cause du prie-dieu en bois massif.
Ces hommes qui se déplacent en chantant avec les cierges me renvoient leurs ombres donnant à cette scène une atmosphère digne des plus grands films d’horreur.
À quel moment le diable va-t-il sortir de sa boîte et venir déclencher la danse satanique qui va terminer ces instants sataniques.
Je fantasme, car c’est Christian qui me rejoint sur l’autel et qui me pénètre naturellement.
J’ai un instant une envie irrésistible de rire quand mes jambes entourent ses reins le soudant en moi.
- Pourquoi ris-tu ?
- Tu me baises dans la position du missionnaire devant tous tes frères.
Il a commencé à me pilonner et je me concentre sur ce qu’un homme et une femme ayant des sentiments pratiquent, une bonne baise même dans cet endroit insolite.
Mon Dieu, des sentiments, il faut que je vive l’instant présent sans penser aux sentiments.
L’endroit est froid et étroit, mais j’arrive à ce que nous nous retournions sans nous casser la gueule et de venir dans ma position préférée moi sur lui.
Je sens mieux sa verge en moi et j’aime bouger alors qu’en missionnaire je me sens plus modèle qu’actrice de notre coït.
Je sens sa bite frotter mon clito qui pour la circonstance est sorti de son capuchon, car comme, l’homme avec son pieu il bande gorgé de sang.
Les frères chantent, je finis par les rejoindre, mais par un chant plus gutturale quand un orgasme me submerge.
Christian vient de réussir ce qui me manque depuis quelque temps avec Red.
La jouissance, l’orgasme, le dépassement de soi.
Je peux mettre le manque d’entrain de mon mari au mauvais temps qui a quelque peu plombé notre séjour.
Mais est-ce suffisant pour le tromper, mais là je ferme vite la porte que je suis en train d’ouvrir, car c’est peut-être là que le diable m’attend.
Les frères font un dernier tour de l’autel et comme ils sont venus prennent l’allée centrale partant certainement vers leur cellule à rêver à la salope qu’ils ont vu se faire troncher sur leur autel.
Le dernier passé, frère Jean-Baptiste se lève et tant bien que mal les suit.
Christian saute prestement au sol et m’aide à mon tour à reposer mes pieds sur le sol.
Ses mains sur mes hanches me brûlent et je remettrais bien le couvert, je suis venue pour ça, mais je le vois reprendre sa robe de moine et me tendre les miennes.
Je comprends que le jeu est terminé et que je suis en un sens répudié.
Aussi discrète que je suis venue, je réintègre notre chambre où Red dort du sommeil du cocu l’ignorant.
Je prends un bain, il faut que je nettoie les traces de ma forfaiture.
Me couchant à son côté, j’ai du remords et je passe la main sur la verge maritale.
Il se retourne en prononçant des mots incompréhensifs.
- Chérie, réveille-toi, regarde, le beau temps est revenu.
Nous allons pouvoir faire le sentier des chèvres, sans prendre de risque.
Tu verras, le paysage est grandiose et si elle existe toujours, il y a une petite grange fort sympathique à mi-chemin où je te promets de te faire l’amour pour rattraper cette nuit ou pour la première fois, tu t’es refusée à moi.
Hier au repas, je t’avais dit que cette fiole donnée par ce moine avec des herbes de ces montagnes, il valait mieux éviter de la mélanger dans ton verre de vin.
Comme d’habitude, je voulais que tu m’écoutes, voilà le résultat, tu as du mal à te lever.
Sais-tu, que tu as même chanté cette nuit, des chants religieux, j’ai cru que le diable était entré en toi après notre visite au monastère.
Allez debout, montagne nous voilà.
Je me suis levée, douchée, préparée mettant mes grosses chaussures de marche.
Au moment de mettre mon sous-vêtement, je me suis souvenue de la promesse faite par mon mari d’une visite d’une grange et je l’ai laissé dans son tiroir pour lui faire la surprise.
Après un copieux petit déjeuner, faire plus de vingt kilomètres à pied avec une escale dans une grange, il faut être bien préparé.
Sac à dos pour chacun d’entre nous, Red ayant récupéré le casse-croûte auprès de l’aubergiste nous nous mettons en marche.
À deux pas, du monastère, où nous devons passer, je les vois venir vers nous en chantant les mêmes chants qu’ils semblent avoir répétés cette nuit.
Ils ont tous leur robe de bure cachant leur virilité.
J’en compte 13, le quatorzième, frère Jean-Baptiste doit être exempté de cérémonie ce 15 août.
C’est vrai depuis que je suis arrivée à l’auberge, quand nous dînons, j’ai sur le mur en face de moi une affiche montrant les moines se dirigeant vers une vierge.
Nous sommes le 15 août et Red m’a expliqué un verre de blanc du pays en main que c’était une des plus grandes fêtes pour la chrétienté.
Marie, la maman de leur prophète.
Dans mes souvenirs, c’est Red qui a bu la fiole dans son verre d’eau, car il refuse l’alcool, ce qui est loin d’être vrai.
Un deux, un deux les moines s’éloignent à l’opposé de notre route, mais tout ceci m’interpelle.
Qui a bu la fiole de frère Christian restée sur la table où nous avons dîner ?
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