COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Début de la Saison III (7/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Début de la Saison III (7/9)
Je viens d’entendre des sirènes et Wolfgang arrive menotter à côté de la commissaire Nouzha.
Elle nous arrête tous sauf Radia qui nous suit libre car recherchée m’accusant de kidnapping.
Une personne échappe à la rafle, c’est le docteur Charles André le père de Boris et Luc qui eux sont dans la charrette.
Des policiers remplissent des cartons qui sont chargés dans les estafettes de police.
Voilà je monte dans un fourgon de gendarmerie avec ma robe blanche.
Une cellule du commissariat voilà où je vais passer ma nuit de noces.
- Madame Dupond, est-ce bien vous qui êtes venue chercher mademoiselle Radia ici présente dans sa cité ?
- Oui, c’est une amie de ma fille, je voulais la remercier de s’être occupée d’elle et qu’elle m’aide à préparer mon mariage.
- Vous rigolez, vous m’avez menacé de me piquer pour me droguer si je gardais mon pucelage.
- Ton pucelage, qu’ai-je à faire de ton pucelage.
Je vous promets madame le commissaire c’est seulement l’amie de ma fille que je suis allée chercher.
Au passage demandez à Luc ou Boris les fils du docteur André, ils vous diront qu’elle était la pute de sa cité.
Je vous le répète, c’est pour ma fille et seulement pour ma fille que je me suis intéressée à cette jeune fille.
- La pute de ma cité, même si je faisais la fête, je suis toujours restée fidèle aux préceptes que ma mère m’a enseignés.
Et la seringue remplie de drogue que vous aviez toujours près de vous, c'était du pipeau ?
- Commissaire, cette seringue doit être dans un des cartons que vous avez rapportés, cherchez là et regardez ce qu’elle contient, vous serez surprise.
- Et la bouteille de champagne que vous m’avez obligé à faire entrer dans ma chatte, c'était du pipeau ?
- C’est la meilleure une bouteille de champagne dans ton vagin par le cul ou par le goulot ?
Avec ce que tu as pris comme bite dans ta cité, je pense que le cul de la bouteille serait rentré comme dans du beurre.
Je sens la commissaire dubitative, elle décroche son téléphone.
- Oui, une seringue, elle était près de la piscine avec le saladier de Coke.
Je sens que j’ai réussi à mettre le doute dans l’esprit du commissaire Nouzha.
Dommage qu’elle commence à vieillir, elle aurait fait une jolie pute dans un port de la côte africaine.
À ce moment j’entends hurler dans la pièce voisine.
Le commissaire prend son arme dans son tiroir et part dans la pièce voisine.
- Attrapez-le, il s’enfuit !
- Jean Dupuis, aider un suspect à se sauver ça sera inscrit dans mon dossier, le juge se fera un plaisir de vous coller au trou pour quelques années.
Continuez comme ça, vous finirez vos jours en prison.
Tout ça sans avoir eu le temps de baiser votre femme.
- Ma femme elle ignorait mes activités, est-ce un crime d’épouser un homme.
- Exact même un truand.
Ça gueulait tellement que j’ai tout entendu de la pièce où Radia se fait toute petite.
Dans la panique, le commissaire a laissé les portes ouvertes me permettant de tout entendre.
Elle revient et rentre son arme refermant le tiroir à clef.
- Que s'est-il passé, pourquoi j’ai entendu Jean hurlé ?
- Il vient de réussir à faire évader Wolfgang l’allemand recherché par Interpole.
Toutes les deux, attendez dans le couloir.
Un policier en chemise son pistolet dans un étui à l’épaule entre.
- Patronne, j’ai retrouvé la seringue.
Elle était pleine, madame Dupond dit vrai, c’est de l'eau fortement iodée.
J’envoie pour analyse.
- Tu as reconnu de l'eau javellisée, souvient toi dans l’affaire des casinos, tu nous as fait analyser une merde de chien.
On a été la risée de tous les services.
Recommence avec de la flotte, tu as souvent saisi de la coke pour savoir ce que ça sent.
Radia sort dans le couloir, inspecteur fait lui comprendre que j’ai horreur qu’une petite salope de son espèce se foute de ma gueule.
- Oui patronne, toi, viens par là.
Nous passons le reste de la nuit assis sur un banc.
Radia est face à moi mais les mains libres contrairement à moi qui ai les menottes.
- Bon lieutenant.
Monsieur Dupond chez le juge d’instruction avec Luc et Boris André.
J’ai assez d’élément pour qu’il les inculpe.
Wolfgang l’allemand, j’émets un nouveau mandat de recherche.
Tous les autres foutez-moi le camp, je manque d’élément pour vous inculper.
C’est comme ça que je me retrouve dans la rue avec Tonio le chauffeur de Monsieur en robe de mariée.
Radia va pour partir de son côté, le coup de la seringue a dissuadé le commissaire de la prendre au sérieux.
- Tonio rattrape cette petite pute, j’ai toujours une livraison à faire.
Les bus ont commencé leur rotation et c’est Radia tenu par le bras par Tonio que nous arrivons chez moi.
Merde, chez moi, vais-je être la hauteur, il me manque des éléments, mais j’espère avoir des réponses grâce au chauffeur.
- Enferme là dans sa chambre, je verrais plus tard.
Je vois arriver les deux femmes de service en temps normal dirigées par Wolfgang le majordome.
- Mesdames, certaines choses vont changer, mon mari est renvoyé devant le juge et je sais qu'il sera bientôt libéré.
Inutile de nettoyer mes appartements, je suis crevée, je sens que je vais faire le tour du cadran.
- Bien madame, nous avons assez à faire ailleurs.
Quand je me réveille, il fait nuit, tout est calme.
J’ai faim, depuis combien de temps ai-je pris mon dernier repas.
Ou la,la, des plombes.
C’est marrant d’être seule dans cette grande maison qui est la mienne et dont j’espère bien qu’elle le restera.
Je suis nue, qui pourrait me voir.
Dans la cuisine je trouve un frigo plein.
Il est vrai que nous allions faire la fête après mon mariage quand la connasse de commissaire est intervenue.
Je mange debout sur la table haute qui est dans la cuisine quand je hurle.
- Haaaa.
Des mains viennent de se poser sur mes seins et je sens quelqu’un se plaquer dans mon dos.
Je tourne la tête.
Wolfgang.
Que fait-il là, il est vrai que la meilleure cachette c’est ici ?
La police est si bête que son nez au milieu de sa figure, le commissaire serait incapable de le voir.
L’allemand est fort, dommage qu’il lui manque ses attributs car j’en aurais fait mon ordinaire.
Il m’entraîne vers la porte qui mène vers la cave.
La police l'a visité et elle est remontée bredouille.
Des marches des lampes éclairant un escalier.
Nous arrivons dans une salle nue sauf plusieurs statuts du genre antique.
Il fait des gestes incompréhensifs pour moi.
La scène est surréaliste mais quand il prend la tête d’une statue et qu’il la tourne j’entends un déclic.
Il appuie sur un des murs nus qui pivote montant un trou noir.
Il appuie sur le bouton.
La grotte d’Ali baba ou fort Knox aux USA.
Des étagères, des lingots d’or, des piles de billets de forme et de couleurs différentes.
Des kilos de poudre avec aux côtés des saladiers comme celui qui a fait tomber mon homme.
Il en reste dans l’un d’eux.
Il y a ce qu’il faut pour que je prenne ce que je croyais être un fortifiant.
Wolfgang en met dans ses narines lui aussi.
Je lui saute au cou et je lui prends les lèvres bien sûr la langue manquant me fait un drôle d’effet.
Il me soulève au-dessus de lui et il me fait reposer sur ses lèvres.
J’ai l’habitude d’une langue sur mon clito, là ce sont ses lèvres qui m’apportent le plaisir décuplé par la drogue qui rapidement me fait de l’effet.
Il me fait descendre le long de son corps et quand il le peut c’est sa main qui entre dans ma chatte.
Pas de sexe, pas de langue, quand je coule de plaisir, j’ignore si c’est la fortune qu’il vient de me faire découvrir ou ses doigts agiles qui me font démarrer.
Je me posais des questions sur ses pratiques sexuelles depuis qu’on l’avait mutilé je sais maintenant qu’il y a mille façons de satisfaire une femme ou plus généralement un être humain.
Quand je vois sur un bureau des piles de cahiers cartonnés, je sais qu’après que mon plaisir se soit estompé, je vais devoir apprendre qu’elle était le réseau dirigé par Monsieur.
Des écrans me font voir le poste de garde où Tonio a ses appartements.
Un autre écran me montre Radia coucher sur sa couche recroquevillée…
Elle nous arrête tous sauf Radia qui nous suit libre car recherchée m’accusant de kidnapping.
Une personne échappe à la rafle, c’est le docteur Charles André le père de Boris et Luc qui eux sont dans la charrette.
Des policiers remplissent des cartons qui sont chargés dans les estafettes de police.
Voilà je monte dans un fourgon de gendarmerie avec ma robe blanche.
Une cellule du commissariat voilà où je vais passer ma nuit de noces.
- Madame Dupond, est-ce bien vous qui êtes venue chercher mademoiselle Radia ici présente dans sa cité ?
- Oui, c’est une amie de ma fille, je voulais la remercier de s’être occupée d’elle et qu’elle m’aide à préparer mon mariage.
- Vous rigolez, vous m’avez menacé de me piquer pour me droguer si je gardais mon pucelage.
- Ton pucelage, qu’ai-je à faire de ton pucelage.
Je vous promets madame le commissaire c’est seulement l’amie de ma fille que je suis allée chercher.
Au passage demandez à Luc ou Boris les fils du docteur André, ils vous diront qu’elle était la pute de sa cité.
Je vous le répète, c’est pour ma fille et seulement pour ma fille que je me suis intéressée à cette jeune fille.
- La pute de ma cité, même si je faisais la fête, je suis toujours restée fidèle aux préceptes que ma mère m’a enseignés.
Et la seringue remplie de drogue que vous aviez toujours près de vous, c'était du pipeau ?
- Commissaire, cette seringue doit être dans un des cartons que vous avez rapportés, cherchez là et regardez ce qu’elle contient, vous serez surprise.
- Et la bouteille de champagne que vous m’avez obligé à faire entrer dans ma chatte, c'était du pipeau ?
- C’est la meilleure une bouteille de champagne dans ton vagin par le cul ou par le goulot ?
Avec ce que tu as pris comme bite dans ta cité, je pense que le cul de la bouteille serait rentré comme dans du beurre.
Je sens la commissaire dubitative, elle décroche son téléphone.
- Oui, une seringue, elle était près de la piscine avec le saladier de Coke.
Je sens que j’ai réussi à mettre le doute dans l’esprit du commissaire Nouzha.
Dommage qu’elle commence à vieillir, elle aurait fait une jolie pute dans un port de la côte africaine.
À ce moment j’entends hurler dans la pièce voisine.
Le commissaire prend son arme dans son tiroir et part dans la pièce voisine.
- Attrapez-le, il s’enfuit !
- Jean Dupuis, aider un suspect à se sauver ça sera inscrit dans mon dossier, le juge se fera un plaisir de vous coller au trou pour quelques années.
Continuez comme ça, vous finirez vos jours en prison.
Tout ça sans avoir eu le temps de baiser votre femme.
- Ma femme elle ignorait mes activités, est-ce un crime d’épouser un homme.
- Exact même un truand.
Ça gueulait tellement que j’ai tout entendu de la pièce où Radia se fait toute petite.
Dans la panique, le commissaire a laissé les portes ouvertes me permettant de tout entendre.
Elle revient et rentre son arme refermant le tiroir à clef.
- Que s'est-il passé, pourquoi j’ai entendu Jean hurlé ?
- Il vient de réussir à faire évader Wolfgang l’allemand recherché par Interpole.
Toutes les deux, attendez dans le couloir.
Un policier en chemise son pistolet dans un étui à l’épaule entre.
- Patronne, j’ai retrouvé la seringue.
Elle était pleine, madame Dupond dit vrai, c’est de l'eau fortement iodée.
J’envoie pour analyse.
- Tu as reconnu de l'eau javellisée, souvient toi dans l’affaire des casinos, tu nous as fait analyser une merde de chien.
On a été la risée de tous les services.
Recommence avec de la flotte, tu as souvent saisi de la coke pour savoir ce que ça sent.
Radia sort dans le couloir, inspecteur fait lui comprendre que j’ai horreur qu’une petite salope de son espèce se foute de ma gueule.
- Oui patronne, toi, viens par là.
Nous passons le reste de la nuit assis sur un banc.
Radia est face à moi mais les mains libres contrairement à moi qui ai les menottes.
- Bon lieutenant.
Monsieur Dupond chez le juge d’instruction avec Luc et Boris André.
J’ai assez d’élément pour qu’il les inculpe.
Wolfgang l’allemand, j’émets un nouveau mandat de recherche.
Tous les autres foutez-moi le camp, je manque d’élément pour vous inculper.
C’est comme ça que je me retrouve dans la rue avec Tonio le chauffeur de Monsieur en robe de mariée.
Radia va pour partir de son côté, le coup de la seringue a dissuadé le commissaire de la prendre au sérieux.
- Tonio rattrape cette petite pute, j’ai toujours une livraison à faire.
Les bus ont commencé leur rotation et c’est Radia tenu par le bras par Tonio que nous arrivons chez moi.
Merde, chez moi, vais-je être la hauteur, il me manque des éléments, mais j’espère avoir des réponses grâce au chauffeur.
- Enferme là dans sa chambre, je verrais plus tard.
Je vois arriver les deux femmes de service en temps normal dirigées par Wolfgang le majordome.
- Mesdames, certaines choses vont changer, mon mari est renvoyé devant le juge et je sais qu'il sera bientôt libéré.
Inutile de nettoyer mes appartements, je suis crevée, je sens que je vais faire le tour du cadran.
- Bien madame, nous avons assez à faire ailleurs.
Quand je me réveille, il fait nuit, tout est calme.
J’ai faim, depuis combien de temps ai-je pris mon dernier repas.
Ou la,la, des plombes.
C’est marrant d’être seule dans cette grande maison qui est la mienne et dont j’espère bien qu’elle le restera.
Je suis nue, qui pourrait me voir.
Dans la cuisine je trouve un frigo plein.
Il est vrai que nous allions faire la fête après mon mariage quand la connasse de commissaire est intervenue.
Je mange debout sur la table haute qui est dans la cuisine quand je hurle.
- Haaaa.
Des mains viennent de se poser sur mes seins et je sens quelqu’un se plaquer dans mon dos.
Je tourne la tête.
Wolfgang.
Que fait-il là, il est vrai que la meilleure cachette c’est ici ?
La police est si bête que son nez au milieu de sa figure, le commissaire serait incapable de le voir.
L’allemand est fort, dommage qu’il lui manque ses attributs car j’en aurais fait mon ordinaire.
Il m’entraîne vers la porte qui mène vers la cave.
La police l'a visité et elle est remontée bredouille.
Des marches des lampes éclairant un escalier.
Nous arrivons dans une salle nue sauf plusieurs statuts du genre antique.
Il fait des gestes incompréhensifs pour moi.
La scène est surréaliste mais quand il prend la tête d’une statue et qu’il la tourne j’entends un déclic.
Il appuie sur un des murs nus qui pivote montant un trou noir.
Il appuie sur le bouton.
La grotte d’Ali baba ou fort Knox aux USA.
Des étagères, des lingots d’or, des piles de billets de forme et de couleurs différentes.
Des kilos de poudre avec aux côtés des saladiers comme celui qui a fait tomber mon homme.
Il en reste dans l’un d’eux.
Il y a ce qu’il faut pour que je prenne ce que je croyais être un fortifiant.
Wolfgang en met dans ses narines lui aussi.
Je lui saute au cou et je lui prends les lèvres bien sûr la langue manquant me fait un drôle d’effet.
Il me soulève au-dessus de lui et il me fait reposer sur ses lèvres.
J’ai l’habitude d’une langue sur mon clito, là ce sont ses lèvres qui m’apportent le plaisir décuplé par la drogue qui rapidement me fait de l’effet.
Il me fait descendre le long de son corps et quand il le peut c’est sa main qui entre dans ma chatte.
Pas de sexe, pas de langue, quand je coule de plaisir, j’ignore si c’est la fortune qu’il vient de me faire découvrir ou ses doigts agiles qui me font démarrer.
Je me posais des questions sur ses pratiques sexuelles depuis qu’on l’avait mutilé je sais maintenant qu’il y a mille façons de satisfaire une femme ou plus généralement un être humain.
Quand je vois sur un bureau des piles de cahiers cartonnés, je sais qu’après que mon plaisir se soit estompé, je vais devoir apprendre qu’elle était le réseau dirigé par Monsieur.
Des écrans me font voir le poste de garde où Tonio a ses appartements.
Un autre écran me montre Radia coucher sur sa couche recroquevillée…
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