COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (17/32)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (17/32) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (17/32)
(Moi-même, j’ai du mal à suivre, chapitre XVII, alors que Marie nous ramène la jumelle de celle avec qui elle a passé une grande partie de sa nuit.
Jusqu’à où va-t-elle aller dans ce chapitre ?)

J’ai pensé à bien des choses pour régler la succession de maman, mais découvrir qu’elle a un coffre à la banque C.I.T, ça, c’est nouveau, bien que je ne me sois jamais intéressé aux affaires de maman.
Pour preuve, j’ignorais que je suis une fille de pute avant d’être une enfant de sainte Thérèse de Lisieux.
Une idée me vient.

• Voilà le trousseau de clefs de maman, regardez si la clef pour l’ouverture du coffre s’y trouve !
• Vous avez de la chance, Marie, c’est celle-là, vous voyez C.I.T marqué dessus et 1022 de l’autre, il est vrai que ce n’est pas marqué en gros.
Voici la mienne, ces deux clefs sont nécessaires, à son ouverture, suivez-moi jusqu’à la salle des coffres.

C’est un coup de chance, maman aurait pu la ranger dans un endroit plus discret sans que je sache où elle se trouvait.
Magalie me précède, je regarde le roulis de ses hanches, j’ai presque envie d’y porter ma main.
Mais la manière pète-sec avec laquelle elle m’a rembarré lorsque je l’ai confondu avec sa sœur et qu’elle m’a parlé de son mariage avec Pierre, je laisse ma main là où elle est.
Comment puis-je avoir de telle envie ?
Au couvent, nous marchons souvent en rang d’oignon, à aucun moment une telle idée ne m’a traversé l’esprit.
Est-ce ma liberté passagèrement retrouvée qui induit de telles pensées, je ne saurais le dire.
Mais ça augure des difficultés que je devrais revivre ce que je vivais depuis mon entrée au couvent de Lisieux à la gloire de sainte Thérèse après mon retour.
Nous descendons vers les abysses de la banque et nous nous retrouvons devant une grille qu’elle ouvre et me fait passer.
Je la frôle, mon odorat décèle l’odeur d’un parfum de qualité, très discrète mais très efficace.
Elle ouvre une porte où nous entrons, des casiers, des casiers et encore des casiers plus ou moins grands.
C’est dans la colonne des petits casiers qu’elle se dirige regarde le numéro 1022 et place sa clef.

• Mettez votre clef dans l’autre serrure et ouvrez-le !
• Comme cela ?
• C’est parfait, sortez la boîte du casier et posez là sur cette table.

Je m’exécute, la boîte est légère, je suis loin d’avoir des besoins personnels importants au couvent notre travail nous permet de vivre dans notre communauté.
À son poids, il n’y a certainement pas de lingots d’or, bien, que je n’en ai jamais vu un.
Une lettre, une simple lettre dans une enveloppe avec Marie marquée dessus.
Une lettre avec mon nom où je reconnais la belle écriture de maman.
Moi aussi, j’ai une belle écriture après des heures d’efforts et de réprimandes car à mes débuts à l’école j’avais une écriture de cochon.
Les pleins et les déliés j’en ai rempli des pages chaque fois qu’elle me punissait et me faisait écrire pendant des heures.
Les souvenirs me reviennent très précis depuis que j’ai découvert qu’elle se prostituait.
Ce genre de lignes à écrire, c’était chaque fois qu’une fois dans ma chambre les mercredis ou les samedis jours ou je n’avais pas classe, elle me faisait rejoindre ma chambre sans que j’aie l’autorisation d’en sortir.
En plus de me donner une bonne écriture, elle se protégeait ou me protégeait de ce que j’aurais pu découvrir sur sa réelle identité.
J’ai parlé de Tonton bonbons, des hommes venaient sonner sans avoir de rendez-vous, elle me faisait rentrer dans ma chambre pour faire ces lignes sans que je me doute qu’ils étaient là pour faire des choses que la morale réprouve.
Je prends la lettre et je rejoins Magalie à la grille où elle m’attend.
Nous remontons vers la lumière, dans un virage de l’escalier, il se produit une chose étrange.
Magalie se tourne vers moi, me plaque au mur et me parle sa bouche à mon oreille.

• Ici, il n’y a pas de caméra, après avoir fait les papiers, sors de la banque et attends-moi dans le café voisin.
Je ferme mon bureau et je te rejoins, j’ai quelque chose à te dire.

Je suis très étonnée surtout du revirement à mon encontre et au tutoiement employé un court instant car dès que la pression se relâche et que nous reprenons notre marche vers le palier de la banque, elle redevient la Magalie de mon arrivée.
Ce café, j’aurais pu y entrer sans son injonction pour y lire la lettre de maman.
Pourquoi louait-elle un coffre pour certainement de simples mots, à moins qu’elle ne m’avoue son terrible secret.
Se prostituer ce n’est pas rien, surtout que Tonton Charles est encore venu une quinzaine de jours avant son décès pour se vider les couilles.
Mon Dieu, que je pense mal depuis que j’ai jeté ma gourme dans la piscine et dans plusieurs autres lieux avec plusieurs personnes de tous les sexes.
J’attends presque une demi-heure lorsqu’elle arrive.
Je m’attends qu’elle s’asseye à ma table pour me donner des explications.

• Suis-moi aux toilettes sans un mot.

Comme la soumise que je me découvre être au fil de mes rencontres, je me lève, rajuste mon short et je la suis.
Au bar, deux poivrots discutent, à l’autre bout de la salle, un couple d’amoureux se bécote, bien loin de s’intéresser à nous.
J’entre, l’endroit est restreint, mais propre.
Je dois la frôler pour passer, mais une fois à l’intérieur, elle ferme derrière moi et, se collant à moi, m’embrasse, bien sûr, la bouche.
Sa langue me fait mouiller, sa main descend et vient se glisser dans mon short, trouvant ma chatte.
Le moment de stupeur étant passé, ma propre main vient soulever la jupe de son tailleur et je découvre deux choses.
Avant de me rejoindre, elle a dû passer par les toilettes de la banque pour son personnel, sa chatte est à ma portée, pas de petit sous-vêtement.
De plus, c’est une peau de bébé qui m’accueille bien que ces grandes lèvres soient des lèvres de femme adulte.
Combien de temps nous embrassons-nous en nous masturbant réciproquement, ça représente une éternité.
L’éternité qu’à ma mort, je rejoindrais vers les enfers ou au moins le purgatoire, prévue pour les gens immoraux comme Magalie et moi, le somme.
C’est ensemble que nos bouches étouffent l’orgasme simultané qui nous frappe.
Nous finissons par nous séparer et nous rajustons nos tenues.

• Sors, retourne à ta table, je te rejoins.

En bonne soumise, j’ai tout subi sans jamais me plaindre du traitement que l’on me fait subir, je retourne à ma table et j’essaye d’avoir l’air le plus naturel possible.
Magalie me rejoint, une nouvelle fois, mon cœur bat plus fort que de raison.

• Patron, deux pressions, s’il vous plait !
Tout ceci doit te paraitre bien étrange, je te reçois en te traitant presque de tous les noms et d’un coup je fais de toi mon amante.
• Oui, il y a de quoi être surprise, mais je dois reconnaitre que tu viens de me faire vivre une expérience unique et insolite.
• Marie, la salope entre ma sœur et moi, c’est moi et non elle.
Sais-tu pourquoi elle rencontre d’autres femmes et hommes, comme tu as dû le faire avec elle, puisque tu as cru me reconnaitre ?
• Non, la copine Jade avec qui j’étais venue dans le club où je les ai rencontrés m’a dit que Roman son mari est candaulisme, il aime la regarder avec d’autres.
• Ça pourrait être ça, mais la vérité est tout autre, tout remonte à la veille de leur mariage.
Nous étions en train de décorer la salle tous les trois lorsque nous avons remarqué avoir oublié des ballons noirs.
Les roses, représenteraient les bienfaits du mariage et les noirs l’enfer si l’un des deux mariés trahissait son serment de fidélité.
Ma sœur venait de partir et je devais accrocher les roses déjà gonflés.
Romain s’est rapproché et je t’ai dit que la salope c’était moi.
Depuis que nous fréquentions des garçons j’avais réussi à le faire sauter par chacun de ceux qu’elle attirait vers nous sauf Romain.
• Tu as fait celle qui tombait et il t’a retenue ?
• Pourquoi, tu y étais ?
Je rigole ma chérie, je suis encore toute mouillée par ta main.
Oui, il m’a rattrapé et c’est sur la table, celle sur laquelle ils étaient prévus qu’ils mangent que je me suis fait prendre.
Nous n’avions pas pensé que c’était dans la voiture au-dehors de la salle que les ballons étaient.
Virginie est revenue et nous a surpris, elle en avait l’habitude, mais avec son futur sa réaction a été tout autre.
• Elle a refusé le mariage.
• Pas le moindre au monde, le lendemain elle était là dans sa robe blanche.
Nous avions quitté la salle dès que Romain avait déchargé et c’est le lendemain que j’ai compris qu’elle était revenue dans la nuit, les ballons noirs étaient à leur place au-dessus de leur table.
• Elle a fait subir l’enfer à Romain !
• Oui, elle a dit « oui, » lui aussi pensant qu’elle avait fait abstraction de ce que nous avions fait, elle en avait tellement l’habitude.
Mais c’est lors de leur nuit de noces, quelle a montré son vrai visage.
J’ignorais que Romain avait joué au poker lors de leurs fiançailles perdant plus de 100 000 €.
Elle lui avait payé sa dette, mais avec une reconnaissance qui le mettait à sa merci.
Soit il payait, soit elle faisait ce qu’il fallait pour le mettre hors course.
Cette nuit-là, elle a fait venir deux ex et c’est la première fois où il l’a regardé se faire baiser sans qu’il n’ait le droit d’intervenir.
• Indirectement les ballons noirs avaient frappé !
• Oui et ça continue maintenant, chaque fois que sa chatte la démange.
Ma sœur va dans des endroits ou elle peut rencontrer des bites ou des chattes et ce couillon, doit la regarder en ayant simplement le droit de se palucher en mettant sa main dans sa poche trouée.

Son histoire terminée, Magalie, s’est levée, j’ignore et j’ignorerai toujours du côté de Magalie, si Virginie s’est vengée et comment, elle passe au bar, paye les consommations et retourne à sa vie.

Pour ma part, j’ai touché en liquide 522 €, n’ayant pas de compte en banque.
Je retourne vers chez Jade lorsque je vois une boutique ou en devanture, je vois des vêtements plus en rapport avec mon âge, mais encore assez provocants.
Au moment de payer je vois la lettre de maman.
Qu’a-t-elle bien voulu me dire ?
Quelle vérité va-t-elle me faire découvrir ?
Il faut que je rentre chez Jade, je me vois mal l’ouvrir dans la rue…

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