COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (18/32)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (18/32) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (18/32)
(Je vais finir par ne plus compter les chapitres.
D’un simple texte court, Marie m’entraine toujours plus loin dans sa quête du plaisir et de sa découverte du sexe.
Elle trouve même le moyen de rencontrer des jumelles, multipliant par deux les situations scabreuses, retournons pour la retrouver, elle et sa lettre.)


Sophie, Magalie, Virginie, sans oublier Jade, suis-je plus lesbienne qu’hétéro ?
Je suis folle d’avoir de telles pensées, ai-je fait exprès que mon cardan m’ait lâché alors que je venais visiter maman ?
Bien sûr que non, mais n’ai-je pas découvert ces plaisirs que certains disent malsains, alors que j’y ai pris énormément de plaisir.
Une mauvaise habitude, ou pas, dès la porte de la maison de Jade passée, me sachant seule, tous mes vêtements volent aux quatre coins de la salle à manger.
Le jacuzzi m’attend, l’eau même si le bain bouillonnant est arrêté, avec la chaleur caniculaire, est à bonne température.
Je me prélasse depuis de longues minutes lorsque l’envie impérative de ressortir te taraude le ventre.
On dirait que je ne suis plus maîtresse de ma situation et que mon entrejambe a pris le dessus sur ma raison.
La nonne que je suis et que j’aspire à le rester se laisse subjuguer par mes instincts de femelle avide de sexe.
Je pourrais prendre la décision de fermer les portes de la maison pour laquelle maman se prostituait, mais au fond de moi, je sentais que si je le faisais, je m’en voudrais à jamais.
Quelques difficultés à rassembler mes nouvelles affaires, les autres reposant dans un sac avec la raison sociale du magasin où je les avais achetés, près de la porte d’entrée.
C’est à pied que mes pas me portent sans que je sache où je vais.
Pas de doute, je suis attirée par la rue où un certain club privé m’attend.
Aucun problème pour entrer dans ce genre d’établissement, une femelle, surtout une femelle salope est la bienvenue.
Ils sont trois à espérer que ce sera le verre qu’ils m’offrent que je choisirais.
Un verre, un coup de bite, dans ce genre d’établissement, c’est souvent que c’est comme cela que les choses se passent.
Je les ignore tous, j’ai de quoi me payer tous les verres de la terre, mais pourquoi suis-je venue là.
Quelle force impérative m’a mené jusqu’en ce lieu ?

• Bonsoir, puis-je vous offrir un verre ?
Mais, que fais-tu ici Marie et dans cette tenue, où est ta tenue de nonne !
• Tonton bonbons et vous que faite vous là, vous aussi ?
• Ce club, j’y viens deux à trois fois par semaine, c’est un peu mon havre de paix, lorsque je sors du musée des mineurs.
Tu sais qu’un instant de dos, j’ai cru que Colette ta maman était revenue du royaume des morts.
À part la couleur de tes cheveux, dans la glace en face de toi et derrière le bar, j’ai cru que c’était elle.
• Tu aurais aimé que ce soit elle afin de te faire une pute avant de rentrer chez toi !
• Comment toi Marie tu peux me dire ça, tu te rends compte de ce que tu racontes ?
• Entièrement, et combien donnerais-tu pour que la fille d’une pute soit elle aussi ta pute de ta soirée.
• Cent euros, je serais prêt à te donner cent euros pour baiser avec toi.
• Tu me prends pour une pute au rabais, veux-tu que je te remontre le carnet où j’ai les noms et les sommes que ma putain de mère prenait pour baiser avec toi.
Deux cents euros, le double, alors pourquoi veux-tu mon cul seulement pour cent, Tonton bonbons ?
• Parce que ta mère avait des années d’expérience et toi, je sais que tu es une débutante.

Je me rends compte de ce que je dis, surtout que je me rends compte aussi que pour la première fois je le tutoie alors que depuis que je le connais je le vouvoyais.
Quelle mouche m’a piqué, mon besoin de faire la pute est-il héréditaire, maman en était une, je dois l’être aussi ?

• Tu vois Tonton, j’ai dans mes mains une lettre que maman m’a laissée dans un coffre à la banque C.I.T. où je me suis rendue en fin d’après-midi.
Un coffre, même petit pour une simple lettre, je retarde le moment de l’ouvrir et de découvrir d’autres secrets de famille.

J’évite de lui parler de Virginie rencontré au même endroit que lui et Magalie sa sœur qui m’a avoué la salope qu’elle a été pour sa jumelle.

• Donne-moi là, je vois que tu hésites à l’ouvrir.
Que pourrait-il y avoir de plus que l’aveu que ta maman était devenue une prostituée bien avant la mort de ton père ?
Je vais l’ouvrir, la lire et te dire s’il y a des choses choquantes, j’ai bien connu ta mère et ton père avant que la boisson l’emporte.

Je passe la lettre à Tonton bonbons, d’un coup de doigt il la décachète.
Il la lit et me la passe.

« Ma chère fille, si tu lis cette lettre, cela voudra dire que j’ai rejoint Sainte Thérèse près du père céleste. »

(I.a.
Que dit-elle sur ces deux mots, interrogeons-la ?
L’expression « père céleste » fait écho à la foi et à la sérénité que ma mère semblait avoir trouvées dans ses derniers moments.
Elle poursuivait dans la lettre en me parlant de ses prières pour une réconciliation entre les membres de notre famille.
Elle espérait que je puisse découvrir la paix qu’elle avait finalement embrassée.
Les mots portaient une chaleur inattendue, une tendresse qui contrastait avec les souvenirs tumultueux de ma jeunesse.
Malgré tout, je sentais que ce message était une invitation à choisir un autre chemin, à réconcilier les fragments de nos vies brisées.
Peut-être y avait-il, dans ces mots simples, la clé pour comprendre ce que ma mère avait trouvé auprès de ce Père céleste qu’elle mentionnait. Fin de l’I.a.)

Mon Dieu, l’intelligence artificielle a écrit ce que je ressens.
Mais avec des mots bien différent de la sensation que j’ai ressentie de devoir sortir du Jacuzzi où j’étais nue et après avoir remis mes affaires neuves, venir ici.
Tonton et lui proposant de me baiser contre rétribution, suis-je maître de mon destin et de ma vie.
Est-ce que tout est écrit, de la panne de voiture, jusqu’au manque de place où j’ai trouvé le repos dans un club naturiste.
Ajoutez à cela la découverte de ce carnet, Jade me faisant comprendre comment maman m’avait élevé ?
Et pourquoi cette simple deuxième phrase sur cette lettre ?

« Tu vas être étonné, je te lègue la seule chose qui a de la valeur pour moi !
Mon prie-dieu que tu as dû trouver devant la statue de sainte Thérèse, que je priais chaque jour pour le salut de mon âme et de ton âme, je t’aime, ma chérie. »

• Tu vois Marie, rien de plus !
Pourquoi veut-elle que tu le récupères, je l’ignore, mais l’on doit toujours suivre les volontés d’une personne décédée.
• Viens Tonton bonbons, j’ai les clefs de chez elle, demain les compagnons d’Emmaüs passeront, demain, tout enlever.
Ma voiture est devant chez elle, tu vas m’aider à le mettre à l’intérieur.

Tonton bonbons paye son verre et le mien et je le suis jusqu’à sa propre voiture.
Carmaux est une petite ville du Tarn, en deux minutes sans que je n’aie besoin de le guider, il se gare au bas de l’immeuble, là où ma vie a basculé.
En montant, Tonton bonbons sort son portefeuille pour en sortir des billets qu’il met dans ma main.
Je les glisse dans mon sac, première étape de celle que je souhaite devenir, du moins je le crois à cet instant de ma vie.
En même temps, je sors les clefs nous sommes arrivés au bon étage, il ne me reste plus qu’à assumer.

• Tonton, montre-moi comment vous procédiez après que tu m’aies donné des bonbons et que vous m’ayez reconduit dans ma chambre, je veux me retrouver à ce moment de ma vie, où je crois que tout a basculé ?
• Nous allions dans sa chambre, ça, tu peux le comprendre, nous n’allions pas faire ça derrière la porte où tu te trouvais.

Je précède Charles, inutile de dire Tonton bonbons, car c’est mon premier client que je vais servir à lui vider la bite.

• Dans un premier temps, elle me sortait la bite, mais avant, elle ouvrait son armoire et s’agenouillait devant sa sainte et s’agenouillait sur son prie-dieu que tu as rangé dans ce coin.

J’ai ouvert l’armoire, hélas, elle est prête à être emportée demain matin et la statue avec ses bougies et autres objets au culte de Sainte Thérèse dans des cartons bon pour le rebut.
Mais je joue le jeu et approche le prie-dieu ou je m’agenouille.

• Joins tes mains comme pour prier, j’avance ma verge, tu la regardes, ça m’a toujours fait bander, regarde le miracle se produit, ma verge se gorge de sang toute seule.
Tourne la tête, fait l’étonnée de la voir là et d’un coup ta bouche prend mon gland sans aller trop loin.
Ça c’était la deuxième étape, elle faisait mine de refuser cet acte, mais plongeait carrément dessus m’avalant jusqu’à mes couilles.

Je fais, comme maman, ne suis-je pas la digne fille de ma mère, à un détail près.

• Non, arrête, tu es trop bonne, je vais, je vais, je vais, ah ! ah ! ah !

Charles décharge me remplissant de sa liqueur que je suis bien obligée d’avaler, je dois être une bonne élève, car ma langue méticuleusement nettoie sa verge.

• Petite salope, tu m’as bien eue, j’allais te dire de quitter ma bite et d’aller te mettre à quatre pattes sur ton lit, pour que je te prenne comme je la prenais.
Je t’ai payé 500 € pour une simple pipe, ce doit être la pipe la plus chère de France.
• Si tu veux que je te suce de nouveau pour te faire rebander, je vais t’en donner pour ton argent.
• Non, inutile, lorsque j’ai connu ta mère dans les premières années de sa vie ou ton père la prostituait, j’aurais pu te baiser dix fois sans débander.
À mon âge, je sais être calmé jusqu’à demain…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cela devient très chaud et ce prie dieu qu.a t il de spécial on attend la suite
Daniel



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Histoire sexe : Une rose rouge
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