COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (19/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (19/32)
COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (19/32)
(Inutile de perdre du temps au début du chapitre XIX, le XVIII est assez explicite, Marie, veut imiter sa mère et elle aussi se prostitue, où cela va-t-elle la mener ?
Vous avez bien compris, Marie a imité sa mère grâce à Tonton Charles ou à d’autres moments Tonton bonbons qui vient de lui cracher son sperme en bouche.
Une telle fellation fait-elle d’elle une pute ?
La réponse est oui, non pas par cet acte, mais par le précédent, lorsqu’elle a mis des billets dans son sac tout en prenant les clefs de l’appartement de sa mère.)
Je m’assieds sur mon prie-dieu un cousin le recouvre comme l’accoudoir de velours rouge.
Charles s’assoit sur le lit sur lequel il aurait bien voulu me sauter.
Je dirais même que je suis un peu frustrée !
Je me souviens de la verge de Lionnel seule verge d’homme à avoir été en moi !
J’aurais bien voulu ressentir de nouveau cette sensation même si c’est un vieux sur le retour d’âge qui aurait fini de faire de moi une prostituée.
• Mais dit moi, ai-je malentendu ?
Une première fois, tu as dit, « ta maman était devenue une prostituée bien avant la mort de ton père ! »
La deuxième, il y a un instant, tu as aussi dit, « lorsque j’ai connu ta mère dans les premières années de sa vie, lorsque ton père la prostituait ! »
Par compte, j’avais cru comprendre que maman avait commencé avec toi comme premier client après la mort de celui qui est censé être mon père ?
• Je t’ai menti, ton père a vendu ta mère, même sa nuit de noce, il était déjà un poivrot et la faisait tapiner pour payer sa dépendance à l’alcool.
• Je vois tes yeux s’embrumer, tu parles d’elle comme si tu en étais amoureux !
• Je l’étais, sans jamais lui avouer avant la mort de ton géniteur, quoique !
C’est moi qui ai été l’heureux élu cette nuit-là.
J’ai dépucelé la femme que j’aimais, mais je voyais qu’elle m’échappait pour cet homme encore jeune, mais déjà marqué par ses excès d’alcool.
Amour, quand tu nous tiens, j’ai tout fait pour lui éviter cela, mais en vain.
Dans un premier temps lorsqu’il était vivant, je voyais défiler les salopards à qui, elle se vendait au plus offrant, pour de moins en moins d’argent.
De plus, elle était obligée de subir, tous les vices de ses clients, je te passe les détails.
J’avais compris que son addiction à l’alcool lui faisait accepter des passes lui rapportant de moins en moins alors qu’elle restait fraiche comme un bouton de rose.
Du moins à mes yeux, j’en étais même arrivé à lui donner plus d’argent pour lui éviter de retourner tapiner, mais en vain, l’alcool avalait tout.
Tu peux croire que moi aussi je suis un salopard de mettre fait sucer alors que je pourrais être ton père.
Soit sans crainte, j’étais en Algérie faisant mon service militaire lorsqu’il m’a appris qu’il était fier de devenir père.
Par la suite après mon retour, tu étais née et j’ai su que c’était l’un de ses clients qui l’avait sauté et engrossé.
C’est ce qui t’apporte cette belle chevelure rousse, bien qu’elle soit coupée à ras depuis ta venue ici, il semblerait que ton père était un mineur roux écossais venu voir ses homologues français.
Petite, tu étais d’un roux profond que bon nombre de personnes enviaient.
• Mais, dis-moi, il est mort après un concours de nombre de verres qu’il était capable de boire, aurais-tu été à l’origine de ce pari stupide pour un alcoolique ?
• Tu vois, comme dans un livre en moi, j’ai juste accéléré le processus de sa descente aux enfers, en donnant presque toute ma paye de mineur de fond à ta mère.
Pour lui et ta mère, surtout ta mère, par la suite m’a donné tort !
• Comment cela ?
• Après son décès, j’ai en vain essayé de la reconquérir alors que je savais le nombre impressionnant de ses clients.
Elle a accepté de faire l’acte avec moi, mais elle était entrée en adoration de sainte Thérèse de Lisieux.
C’est à cette période qu’elle a dû commencer à tenir ce carnet que tu m’as montré sans que je ne le sache.
Tu as donc vu, que je venais souvent malgré mes demandes de venir vivre avec moi, chaque fois je l’implorais, mais j’avais chaque fois un refus.
En m’intéressant à toi, je voulais lui faire voir que même toi tu aurais pu devenir ma fille, j’étais prêt à t’adopter.
• Attention Tonton, tu viens de me faire sucer ta queue, ça pourrait être pris pour une déviance familiale.
• Mais tu es majeur et moi aussi, je comprendrais ce que tu me dis si j’avais eu d’autres gestes que ceux de te donner des bonbons, lorsque tu étais petite fille !
Je dois reconnaitre que Tonton a raison, je suis à deux doigts d’essayer de nouveau de lui sucer la queue espérant que mon petit cul le revigorerait, lorsque l’on sonne à la porte.
Je me lève, je dois reconnaitre frustré.
Même si c’était avec ce vieux salopard de Tonton bonbons, j’avais envie d’une grosse queue, pardon d’une bonne queue.
À ce qu’il m’a mis dans la bouche avant de décharger précipitamment, il m’est apparu tout à fait normal, du peu que j’ai vu des queues mâles.
• Bonjour, que puis-je pour vous ?
Qui êtes-vous pour venir sonner chez les gens à cette heure ?
• Paulo, je t’avais bien dit que nous risquions de déranger à venir sonner chez cette dame à cette heure tardive.
• Oui, mais nous passions devant et au centre, ils m’ont dit de rentabiliser les tourner et le cubage à récupérer est bien suffisant pour ne faire qu’un voyage.
Si je comprends bien, vous êtes les gars d’Emmaüs qui viennent chercher les meubles que j’offre à votre communauté, n’ayant pas la possibilité de les garder.
• Marie, ces messieurs vont mettre un peu de temps à tout charger, je te contacterais, je dois rentrer chez moi !
Alors qu’il croise les quatre gars d’Emmaüs, Tonton bonbons s’éclipse comme un malpropre.
De mon côté, je montre à un gars aux gros bras et une barbe rousse, mais la tête rasée, les meubles qu’ils doivent emmener.
J’ai besoin d’aller à la salle de bains, me laver la bouche, j’ai encore du jus de Tonton entre les dents.
Je les laisse travailler, avec leur carrure de déménageur, en peu de temps tout disparait.
Je reconnais qu’ils ont bien fait de venir, demain matin, je pourrais attendre le retour de Jade bien enfoncée dans mes édredons.
C’est à ce moment que je m’aperçois que la pièce où se trouvait le prie-dieu est vide, ils l’ont emporté.
En courant, ayant récupéré mes clefs de voiture, j’arrive à eux, ils sont encore là, ouf.
• Non, n’emportez pas ce petit meuble, c’est le seul que je garde.
• Qu’allez-vous faire, d’un prie-dieu, seuls les curés ou les bonnes sœurs se servent de ces machins ?
Je le sais, ma tante se trouve être nonne au couvent de Lisieux, elle se fait appeler Marguerite des Anges.
Sauf votre respect, je l’ai vue il y a quelques années, je lui aurais bien présenté mes hommages si elle n’avait pas eu une coiffe de religieuse sur la tête.
Enfermer des femmes avec un si joli petit cul, c’est donner du lard à un cochon.
Marguerite des Anges, je la connais, c’est ma voisine de cellule, j’ai parlé des sœurs qui se retrouvent la nuit pour toute autre chose que des prières.
Elle, j’arrive à reconnaitre le champ de ses plaisirs avec ceux de sœur Hortense de l’enfant Jésus.
Cette dernière est d’origine méditerranéenne avec un accent à nul autre pareille.
Vu ses penchants pour le sexe de ses congénères, il serait impossible que ce rouquin à grande barbe, arrive à l’intéresser en lui présentant sa queue.
• Ma voiture est là, pouvez-vous le mettre à l’intérieur, l’ami avec qui j’étais était susceptible de m’aider, mais il avait un rendez-vous impératif.
Je vois bien que les gars, surtout le rouquin, ne sont pas dupes, ils doivent penser une partie de la réalité, entre Tonton bonbons et moi, certains diront que c’était un plan cul qui nous animait.
Le prie-dieu charger l’accoudoir placé sur mon siège avant à mon côté.
Mon épaule le touche, mais sans problème pour ma conduite.
Ayant été claquer la porte de chez maman, je décide de partir à la découverte de la ville de Carmaux.
Petite ville, je finis par me retrouver au bout d’une rue.
Au loin, la nuit étant tombée, je vois les lumières m’attirant comme un lampadaire attire les papillons de nuit, l’enseigne lumineuse du Club Privé où il y a quelques heures j’ai retrouvé Tonton bonbons.
J’ai envie de sexe pour la première fois de ma vie.
J’aurais pu proposer au déménageur d’Emmaüs de faire une partie à plusieurs, mais j’ai bien senti que si je le faisais, j’aurais eu plus, grands yeux que ventre.
Ne suis-je pas l’une de ces nonnes qui sans le savoir ce déménageur aux gros bras parlait ?
Certains diront « avoir une chance de cocu, » ma bague toujours à mon doigt me rappelant que je me suis mariée au fils de Dieu !
Est-ce lui qui guide les roues de ma voiture jusqu’à cette place de parking à quelques mètres de la lumière m’attirant comme les papillons ?
• Bonsoir madame, monsieur Charles vous a quitté, que voulez-vous boire ?
La folie me prend, j’ai assez d’argent en liquide pour me payer ce qu’il se trouve dans une de ces bouteilles derrière la patronne et le bar.
• Un verre de cette bouteille, elle a l’air sympathique.
• Un Bourbon, quinze ans d’âge, votre choix est excellent, vous m’en direz des nouvelles !
La patronne qui a dû me repérer hier et ce soir, surtout que je suis partie avec l’un de ses clients lui ôtant une partie de sa recette, me sert avec un petit sourire ironique.
Sait-elle que sans en être vraiment une, la jeune femme que je suis est une nonne et en même temps une pute, l’argent de Tonton bonbons dans mon sac l’attestant ?
• La patronne à raison, vous ne serez pas déçu, ce Bourbon, c’est ce que je bois et c’est pas dégueu.
Regardez ma carte d’identité, je fête aujourd’hui mes 18 ans, je suis majeur depuis aujourd’hui.
Le jeune homme dit ces mots d’une voix pâteuse, ayant du mal à prononcer certains mots.
• J’ai tout à fait le droit de venir boire ici, comme mon père le fait régulièrement pour rencontrer des putes.
Le garçon est bien éméché, ça ne doit pas être facile d’atteindre sa majorité et de boire seul certainement plusieurs verres.
• Et toi, es-tu une pute, tu es habillé comme l’une d’elles ?
Combien tu prends pour baiser avec moi ?
Regarde en plus de ma carte d’identité attestant que j’ai le droit de boire de l’alcool et de baiser comme je le veux, j’ai des capotes, mon daron ma toujours dit de sortir couvert.
Je les ai piqués dans le tiroir de sa chambre, avec toutes les putes qu’il se tape, il en a des réserves, une de plus ou de moins !
• Jeune homme, arrêtez d’embêter cette dame, vous allez faire fuir mes clients, je le dirais à votre père la prochaine fois que je le verrais.
• Mon vieux je l’emmerde, mettez-moi un autre verre.
• Non, je refuse de vous servir, j’aurai des ennuis, servir de l’alcool à une personne ivre, même majeur de fraiche date, mon club sera fermé administrativement.
• Patronne, servez-lui un verre, ma voiture est juste à côté, je vais le ramener chez lui…
(Inutile de perdre du temps au début du chapitre XIX, le XVIII est assez explicite, Marie, veut imiter sa mère et elle aussi se prostitue, où cela va-t-elle la mener ?
Vous avez bien compris, Marie a imité sa mère grâce à Tonton Charles ou à d’autres moments Tonton bonbons qui vient de lui cracher son sperme en bouche.
Une telle fellation fait-elle d’elle une pute ?
La réponse est oui, non pas par cet acte, mais par le précédent, lorsqu’elle a mis des billets dans son sac tout en prenant les clefs de l’appartement de sa mère.)
Je m’assieds sur mon prie-dieu un cousin le recouvre comme l’accoudoir de velours rouge.
Charles s’assoit sur le lit sur lequel il aurait bien voulu me sauter.
Je dirais même que je suis un peu frustrée !
Je me souviens de la verge de Lionnel seule verge d’homme à avoir été en moi !
J’aurais bien voulu ressentir de nouveau cette sensation même si c’est un vieux sur le retour d’âge qui aurait fini de faire de moi une prostituée.
• Mais dit moi, ai-je malentendu ?
Une première fois, tu as dit, « ta maman était devenue une prostituée bien avant la mort de ton père ! »
La deuxième, il y a un instant, tu as aussi dit, « lorsque j’ai connu ta mère dans les premières années de sa vie, lorsque ton père la prostituait ! »
Par compte, j’avais cru comprendre que maman avait commencé avec toi comme premier client après la mort de celui qui est censé être mon père ?
• Je t’ai menti, ton père a vendu ta mère, même sa nuit de noce, il était déjà un poivrot et la faisait tapiner pour payer sa dépendance à l’alcool.
• Je vois tes yeux s’embrumer, tu parles d’elle comme si tu en étais amoureux !
• Je l’étais, sans jamais lui avouer avant la mort de ton géniteur, quoique !
C’est moi qui ai été l’heureux élu cette nuit-là.
J’ai dépucelé la femme que j’aimais, mais je voyais qu’elle m’échappait pour cet homme encore jeune, mais déjà marqué par ses excès d’alcool.
Amour, quand tu nous tiens, j’ai tout fait pour lui éviter cela, mais en vain.
Dans un premier temps lorsqu’il était vivant, je voyais défiler les salopards à qui, elle se vendait au plus offrant, pour de moins en moins d’argent.
De plus, elle était obligée de subir, tous les vices de ses clients, je te passe les détails.
J’avais compris que son addiction à l’alcool lui faisait accepter des passes lui rapportant de moins en moins alors qu’elle restait fraiche comme un bouton de rose.
Du moins à mes yeux, j’en étais même arrivé à lui donner plus d’argent pour lui éviter de retourner tapiner, mais en vain, l’alcool avalait tout.
Tu peux croire que moi aussi je suis un salopard de mettre fait sucer alors que je pourrais être ton père.
Soit sans crainte, j’étais en Algérie faisant mon service militaire lorsqu’il m’a appris qu’il était fier de devenir père.
Par la suite après mon retour, tu étais née et j’ai su que c’était l’un de ses clients qui l’avait sauté et engrossé.
C’est ce qui t’apporte cette belle chevelure rousse, bien qu’elle soit coupée à ras depuis ta venue ici, il semblerait que ton père était un mineur roux écossais venu voir ses homologues français.
Petite, tu étais d’un roux profond que bon nombre de personnes enviaient.
• Mais, dis-moi, il est mort après un concours de nombre de verres qu’il était capable de boire, aurais-tu été à l’origine de ce pari stupide pour un alcoolique ?
• Tu vois, comme dans un livre en moi, j’ai juste accéléré le processus de sa descente aux enfers, en donnant presque toute ma paye de mineur de fond à ta mère.
Pour lui et ta mère, surtout ta mère, par la suite m’a donné tort !
• Comment cela ?
• Après son décès, j’ai en vain essayé de la reconquérir alors que je savais le nombre impressionnant de ses clients.
Elle a accepté de faire l’acte avec moi, mais elle était entrée en adoration de sainte Thérèse de Lisieux.
C’est à cette période qu’elle a dû commencer à tenir ce carnet que tu m’as montré sans que je ne le sache.
Tu as donc vu, que je venais souvent malgré mes demandes de venir vivre avec moi, chaque fois je l’implorais, mais j’avais chaque fois un refus.
En m’intéressant à toi, je voulais lui faire voir que même toi tu aurais pu devenir ma fille, j’étais prêt à t’adopter.
• Attention Tonton, tu viens de me faire sucer ta queue, ça pourrait être pris pour une déviance familiale.
• Mais tu es majeur et moi aussi, je comprendrais ce que tu me dis si j’avais eu d’autres gestes que ceux de te donner des bonbons, lorsque tu étais petite fille !
Je dois reconnaitre que Tonton a raison, je suis à deux doigts d’essayer de nouveau de lui sucer la queue espérant que mon petit cul le revigorerait, lorsque l’on sonne à la porte.
Je me lève, je dois reconnaitre frustré.
Même si c’était avec ce vieux salopard de Tonton bonbons, j’avais envie d’une grosse queue, pardon d’une bonne queue.
À ce qu’il m’a mis dans la bouche avant de décharger précipitamment, il m’est apparu tout à fait normal, du peu que j’ai vu des queues mâles.
• Bonjour, que puis-je pour vous ?
Qui êtes-vous pour venir sonner chez les gens à cette heure ?
• Paulo, je t’avais bien dit que nous risquions de déranger à venir sonner chez cette dame à cette heure tardive.
• Oui, mais nous passions devant et au centre, ils m’ont dit de rentabiliser les tourner et le cubage à récupérer est bien suffisant pour ne faire qu’un voyage.
Si je comprends bien, vous êtes les gars d’Emmaüs qui viennent chercher les meubles que j’offre à votre communauté, n’ayant pas la possibilité de les garder.
• Marie, ces messieurs vont mettre un peu de temps à tout charger, je te contacterais, je dois rentrer chez moi !
Alors qu’il croise les quatre gars d’Emmaüs, Tonton bonbons s’éclipse comme un malpropre.
De mon côté, je montre à un gars aux gros bras et une barbe rousse, mais la tête rasée, les meubles qu’ils doivent emmener.
J’ai besoin d’aller à la salle de bains, me laver la bouche, j’ai encore du jus de Tonton entre les dents.
Je les laisse travailler, avec leur carrure de déménageur, en peu de temps tout disparait.
Je reconnais qu’ils ont bien fait de venir, demain matin, je pourrais attendre le retour de Jade bien enfoncée dans mes édredons.
C’est à ce moment que je m’aperçois que la pièce où se trouvait le prie-dieu est vide, ils l’ont emporté.
En courant, ayant récupéré mes clefs de voiture, j’arrive à eux, ils sont encore là, ouf.
• Non, n’emportez pas ce petit meuble, c’est le seul que je garde.
• Qu’allez-vous faire, d’un prie-dieu, seuls les curés ou les bonnes sœurs se servent de ces machins ?
Je le sais, ma tante se trouve être nonne au couvent de Lisieux, elle se fait appeler Marguerite des Anges.
Sauf votre respect, je l’ai vue il y a quelques années, je lui aurais bien présenté mes hommages si elle n’avait pas eu une coiffe de religieuse sur la tête.
Enfermer des femmes avec un si joli petit cul, c’est donner du lard à un cochon.
Marguerite des Anges, je la connais, c’est ma voisine de cellule, j’ai parlé des sœurs qui se retrouvent la nuit pour toute autre chose que des prières.
Elle, j’arrive à reconnaitre le champ de ses plaisirs avec ceux de sœur Hortense de l’enfant Jésus.
Cette dernière est d’origine méditerranéenne avec un accent à nul autre pareille.
Vu ses penchants pour le sexe de ses congénères, il serait impossible que ce rouquin à grande barbe, arrive à l’intéresser en lui présentant sa queue.
• Ma voiture est là, pouvez-vous le mettre à l’intérieur, l’ami avec qui j’étais était susceptible de m’aider, mais il avait un rendez-vous impératif.
Je vois bien que les gars, surtout le rouquin, ne sont pas dupes, ils doivent penser une partie de la réalité, entre Tonton bonbons et moi, certains diront que c’était un plan cul qui nous animait.
Le prie-dieu charger l’accoudoir placé sur mon siège avant à mon côté.
Mon épaule le touche, mais sans problème pour ma conduite.
Ayant été claquer la porte de chez maman, je décide de partir à la découverte de la ville de Carmaux.
Petite ville, je finis par me retrouver au bout d’une rue.
Au loin, la nuit étant tombée, je vois les lumières m’attirant comme un lampadaire attire les papillons de nuit, l’enseigne lumineuse du Club Privé où il y a quelques heures j’ai retrouvé Tonton bonbons.
J’ai envie de sexe pour la première fois de ma vie.
J’aurais pu proposer au déménageur d’Emmaüs de faire une partie à plusieurs, mais j’ai bien senti que si je le faisais, j’aurais eu plus, grands yeux que ventre.
Ne suis-je pas l’une de ces nonnes qui sans le savoir ce déménageur aux gros bras parlait ?
Certains diront « avoir une chance de cocu, » ma bague toujours à mon doigt me rappelant que je me suis mariée au fils de Dieu !
Est-ce lui qui guide les roues de ma voiture jusqu’à cette place de parking à quelques mètres de la lumière m’attirant comme les papillons ?
• Bonsoir madame, monsieur Charles vous a quitté, que voulez-vous boire ?
La folie me prend, j’ai assez d’argent en liquide pour me payer ce qu’il se trouve dans une de ces bouteilles derrière la patronne et le bar.
• Un verre de cette bouteille, elle a l’air sympathique.
• Un Bourbon, quinze ans d’âge, votre choix est excellent, vous m’en direz des nouvelles !
La patronne qui a dû me repérer hier et ce soir, surtout que je suis partie avec l’un de ses clients lui ôtant une partie de sa recette, me sert avec un petit sourire ironique.
Sait-elle que sans en être vraiment une, la jeune femme que je suis est une nonne et en même temps une pute, l’argent de Tonton bonbons dans mon sac l’attestant ?
• La patronne à raison, vous ne serez pas déçu, ce Bourbon, c’est ce que je bois et c’est pas dégueu.
Regardez ma carte d’identité, je fête aujourd’hui mes 18 ans, je suis majeur depuis aujourd’hui.
Le jeune homme dit ces mots d’une voix pâteuse, ayant du mal à prononcer certains mots.
• J’ai tout à fait le droit de venir boire ici, comme mon père le fait régulièrement pour rencontrer des putes.
Le garçon est bien éméché, ça ne doit pas être facile d’atteindre sa majorité et de boire seul certainement plusieurs verres.
• Et toi, es-tu une pute, tu es habillé comme l’une d’elles ?
Combien tu prends pour baiser avec moi ?
Regarde en plus de ma carte d’identité attestant que j’ai le droit de boire de l’alcool et de baiser comme je le veux, j’ai des capotes, mon daron ma toujours dit de sortir couvert.
Je les ai piqués dans le tiroir de sa chambre, avec toutes les putes qu’il se tape, il en a des réserves, une de plus ou de moins !
• Jeune homme, arrêtez d’embêter cette dame, vous allez faire fuir mes clients, je le dirais à votre père la prochaine fois que je le verrais.
• Mon vieux je l’emmerde, mettez-moi un autre verre.
• Non, je refuse de vous servir, j’aurai des ennuis, servir de l’alcool à une personne ivre, même majeur de fraiche date, mon club sera fermé administrativement.
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