COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (21/32)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (21/32) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (21/32)
(Chapitre XXI, allons-y directement, en route vers les plaisirs de tous les instants, pour celle que l’on peut appeler mon héroïne.)

• Suce-moi, je veux rebander, pendant que je te suce la chatte, Sainte Vierge.
• Tu me tues, Claude, ça fait trois fois que je te fais bander et que tu me défonces jusqu’à ce que je jouisse, tu m’épuises.
Tu m’as fait découvrir le plaisir de te chevaucher et ainsi de diriger nos ébats.
Si j’avais su qu’un jeune homme de ton âge pourrait m’apprendre toutes ces choses sur le sexe, je serais venu te voir depuis longtemps.
• Pour une dernière fois, je t’en conjure, dans mes films, les mecs prennent leur nana en levrette, je veux essayer la levrette.

J’ai déclenché une bête humaine, trois fois qu’il me prend et qu’il décharge dans sa capote, les précédentes étant au sol près de nous.
S’il était puceau en entrant dans sa chambre, il a déjà rattrapé plein de retard, si retard à baiser il y avait.
J’ai bien attendu mes 28 ans pour le faire dans la piscine du camping des Montagnes bleues avec Lionnel le bip-bip du camp.
Dans le deuxième round, il s’est même permis de me mettre son doigt dans le cul, pardon, le trou de mon anus, il avait vu que ça décuplait notre plaisir.
C’est vrai, il me pilonne, en même temps, par mes deux orifices remplis, par sa bite et son doigt, une boule dans mon ventre me frappe de plaisir.
C’est un gamin de 18 ans qui m’a apprend ce que c’est d’avoir un orgasme.
J’en avais déjà eu avec d’autres de mes partenaires, fille et garçon, sans savoir qu’au moment où je perdais la tête, j’avais un orgasme.
Il va de soi que je ne lui ai caché que je suis une femme d’église.
Comment puis-je expliquer la dévergondée que je suis devenue, je me répète à cause d’un putain de cardan m’ayant bêtement lâché.
Mais que c’est bon, Yahoo, à quatre pattes.
Il me prend par mes hanches, c’est sans le moindre remords que je le sens se glisser en moi.
Je devrais dire, plus loin en moi, je sens même qu’il arrive au bout de mon monde, sa verge bien à fond dans ma chatte que je sens dégoulinante.
Son doigt, caresse mon anus, il le remet puis deux et d’un coup sortant de ma chatte, son sexe entre dans mon petit réduit.

• Putain, tu t’es déjà fait enculer, ma bite est entrée directe dans ton cul de salope sans avoir à forcer.

D’autres se seraient offusquées, mais il passe son bras sous moi et me caresse le clito.
Saviez-vous que l’on peut jouir même de l’anus, surtout dès la première fois, mon clito stimulé par ce doigt qui se colle à lui et qui le branle doit l’y aider ?
Il est jeune, je suis presque neuve des pénétrations masculines, mais Claude, sans s’en rendre compte, me fait rattraper les dix ans de chasteté suite à ma soumission au fils de Dieu.
Perdre la tête, en finissant épuisée par tant de coups de bite ?
Surtout donné par un jeune homme gisant enfin, comme le petit garçon qu’il est encore, s’étant endormi d’un coup, ayant rempli une dernière fois sa capote.
Je devrais en faire de même, mais, pendant ces actes, certains diront d’amour, je dirais plutôt de sexe intégral, je me rends compte que je dégouline de sueur.
Une bonne douche sera le bienvenu, l’eau froide sur mon corps me rafraichissant quelques instants, l’orage montant de plus en plus.
Une fois essuyé, mon cul me faisant un peu souffrir, ce doit être normal après être passée dans la lessiveuse que Claude m’a imposé après que je l’ai fait décuiter.
Les éclaires, de plus en plus fréquentes, me permettent de descendre à l’étage inférieur sans risquer de me casser la figure.
Une nouvelle fois, je me déplace nue, cette nudité qui aurait pu me gêner dans les premiers temps de mon escapade du couvent de Lisieux, me semble naturelle même dans cette maison que je ne connais pas.
La salle, la cuisine, le frigo, la lumière, lorsque j’ouvre la porte repérant un litre de lait bien frais, c’est avec envie que je me désaltère après recherche d’un verre, que je finis par trouver.
Du moins un bol, ce qui est du pareil au même.
Mes lèvres trouvant la fraicheur du liquide divine par cette forte chaleur, avec un moment le risque de le faire tomber lorsqu’un éclair se trouve rapidement suivi d’un coup de tonnerre.
Je suis surprise une nouvelle fois, mes pieds sont froids sur le carrelage, là encore petit plaisir personnel par cette forte chaleur.
Je reprends une gorgée, mes pas me dirigent vers un meuble sur lequel il y a des cadres photos.
Je vois, je ne vois plus, je vois, je ne vois plus, mais de plus en plus longtemps, je vois car les éclairs sont de plus en plus rapprochés et je vois en même temps que le coup de tonnerre.
Un homme tenant un enfant dans ses bras à diverses étapes de leur vie.
Aucune femme, qu’eux et eux, Claude au sport, son père l’embrassant, montrant tout l’amour qu’il a pour lui.
Nul doute, l’homme, je le connais et même très bien, l’homme, ça ne peut être que l’homme qu’un peu plus tôt dans la soirée j’ai sucé la bite agenouillée sur mon prie-dieu.
Impossible de ne pas le reconnaitre, Charles.
Charles, Tonton Charles, Tonton bonbons celui qui après la mère voulait baiser la fille.
Celle qu’en montant les marches de l’immeuble dans lequel maman se prostituait, ayant pris en main et les ayant mis dans son sac, marque de la pute que je suis devenue.
Billets dont le solde se trouve dans mon sac laissé dans la voiture lorsque j’ai aidé Claude à venir prendre ma douche froide, lui donnant l’occasion de me baiser à la place de son père.
Je pose le bol à côté de leurs photos, éclairs ou non, quatre à quatre je remonte à l’étage.
Que je peux être conne, lorsque la tenancière du club m’a décrit le parcours que j’avais à faire pour trouver où habitait ce puceau de Claude, elle a parlé du musée de la mine où des mineurs.
J’aurais pu penser que la maison était celle de Tonton bonbons qui risque de revenir d’un moment à l’autre.
Si je me souviens bien de tous ces évènements successifs et rapprochés.
Lorsque les déménageurs d’Emmaüs ont sonné et que j’ai accepté qu’ils rentrent pour vider les meubles de maman, Tonton bonbons est parti précipitamment prétextant qu’il avait une course importante à faire.
Qu’avait-il à faire, il vaut mieux éviter de le savoir, je trouve mes vêtements, merde, les clefs de ma voiture ?
Là encore quelle conne, ayant peur qu’il n’envoie des fusées nauséabondes dans ma voiture, j’en suis descendue précipitamment.
J’en ai fait de même pour lui et la clef de sa maison trouvée sous le pot de fleurs, je l’ai monté à l’étage, que je remonte quatre à quatre.
Habillée, je les redescends, risquant de me manger les dents sur le carrelage et ouf je suis au volant.
L’orage se rapproche, je tourne la clef en croisant mes doigts.
Titine, plus compréhensive que lors de ma rupture de cardan, c’est Franck qui m’a expliqué que cela s’appelait ainsi, démarre au quart de tour.
Les premières gouttes de pluie commencent à tomber, je passe le musée, les pleins phares d’une voiture un instant m’éblouissent.
Le conducteur les baisses et lorsque je la croise, à son volant, je reconnais dans la fraction de seconde où l’éclair me montre, comme en plein jour, Tonton bonbons rentrant chez lui.
La pluie redouble, mais je n’en ai cure, je veux m’éloigner de ces deux hommes.
Claude l’est devenu de fraîche date, par mon intermédiaire, allant même jusqu’à m’enculer.
À y repenser, ce dernier me brûle et ça me donne une drôle d’impression lorsque dans un virage pris à toute allure, mon épaule touche l’accoudoir en velours rouge de mon héritage, le prie-dieu.
Le bien, ce meuble, le mal, mon cul qui me brûle.
Le paradis et l’enfer réunis dans un même espace, la grêle commence à tomber lorsque j’arrive chez Jade, tout étant éteint.
Je prépare mes clefs, il ne manquerait que Dieu dans sa colère, après toutes ces trahisons à mon serment de fidélité, me foudroie d’un de ces éclairs au bruit tombant très près.
Je suis trempée en quelques secondes tellement ça tombe, j’ai du mal à tout ôter, je veux éviter de tremper le hall d’entrée.
Salle de bains, serviette que je me passe sur tout le corps et je trouve le sèche-cheveux pour retrouver une allure décente.
C’est au fond du lit que je plonge, lorsque tout est d’équerre, je dors avant de toucher le matelas et les draps, en pensant à ce qu’il se serait produit si Tonton bonbons était rentré quelques minutes plus tôt.

• Tu es sortie sous l’orage hier soir, ma belle salope de bonne sœur !

Un instant, Judas Iscariote est à deux doigts de me rattraper lorsque j’émerge.

• Non, oui, je suis allée chez maman après avoir été à la banque où là j’ai eu une drôle de surprise.

Je pourrais lui parler de Magalie et de sa sœur Valérie, mais est-ce mentir que de taire une information surtout très intime.
Doigter une jolie femme dans les toilettes d’un café, c’est très intime.

• Attends, tout ceci me semble fort intéressant, je t’ai laissé aux mains de Virginie dans le club de ma copine Jennifer.
Virginie dont je connais les travers dus à Romain son mari qui aime la voir baiser avec d’autres devant lui.

C’est bon, Jade parle pour moi et refait l’histoire à sa manière, ça m’évite de me renier comme Judas envers Jésus.

• Tu les as quittés et comme je te l’ai rappelé, tu es allé à la banque pour ton rendez-vous !
Tiens, bois une gorgée de café, il est tout chaud, c’est meilleur pour la tête que tu tires ce matin au réveil, alors que j’ai trouvé tes fringues trempées dans le hall de l’entrée du pavillon.
Je les ai mises à la machine, elles sèchent, j’ai aussi vu que tu t’étais fringuée, ta mère t’a laissé du fric !
• Sur un compte que la responsable, m’a aidé à clore, il y avait un peu plus de 500 €.
• D’où les quelques billets qui, tu m’excuses, sont tombés de ton sac et que je les aie ramassés.
J’ai tout remis dedans, même les trois capotes que je t’avais données, j’espère que tu n’as pas fait de connerie, tu le payerais toute ta vie !
• Pourquoi voudrais-tu que j’aie eu besoin de capote, à la banque, Magalie…
• Tu l’appelles déjà Magalie, tu vois, tu me caches quelque chose !

Je suis à deux doigts de tout lui raconter, il faut que je reprenne pied.

• Pardon, Jade, laisse-moi passer, je crois que je vais vomir ?…

Les avis des lecteurs

Oh Super...
Deux mots qui me vont droit au coeur, j'ai aimé écrire cette histoire qui s'esdt dérouler avec de nouvelles idées du point A à sa fin en X ou Y ou bien Z...
Merci chère lectrice

OH SUPER!



Texte coquin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (21/32)
Histoire sexe : Une rose rouge
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