COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (22/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (22/32)
(Chapitre XXII, que dire de plus, allons y.)
Je passe le moment où je me trouve dans les toilettes le nez dans la cuvette.
Je reviens près de Jade après avoir bu un peu d’eau au robinet me servant de ma main.
Elle est chaude, mais je reste assise au bord du lit.
• J’ai dû prendre un coup de froid avec la grêle qui m’est tombée dessus.
• Oui, ça on en reparlera, nous sommes à la banque, celles que tu nomes Magalie, elle était jolie.
• Arrête de me taquiner, c’était une banquière qui faisait son travail, rien de plus.
Oui, elle était jolie, mais je te rappelle que j’ai perdu ma maman et que je suis en train de clore sa succession avant de retourner vers mon carmel à Lisieux.
• Bien restons-en à ce point, tu as eu l’air de me dire avant ton coup de froid, que tu as eu une surprise !
C’est lié au meuble qui est dans ta voiture et que j’ai vu en arrivant ici.
Inutile de m’en dire plus, je sais que c’est le prie-Dieu que ta mère t’a légué dans sa lettre que tu avais aussi dans ton sac et qui est tombé avec le reste.
Je m’excuse, je suis impossible, j’ai une incorrigible manie de vouloir savoir ce qui peut être écrit sur une lettre cachée dans le sac même d’une amie, bien sûr je l’ai lue !
Belle écriture, entre parenthèses, je me bats pour que mes élèves fassent des pleins et des déliés.
Il n’y a pas à dire, les méthodes d’apprentissage du passé sont bien supérieures à celles actuelles où il faut que tout aille vite.
Je me garde bien de lui dire que moi aussi j’écris avec des pleins et des déliés.
Tout ceci après les pages d’écriture que le couple infernal, Colette Joufflon et Charles Relax m’ont fait faire chaque fois ou presque qu’il venait se payer ma putain de mère.
• Pourquoi me poses-tu des questions si tu sais déjà tout, sur mon héritage ?
• Parce que j’aime taquiner mes amies, surtout lorsqu’elles ont tendance à me cacher des choses primordiales surtout si elles sont salaces, ça me fait mouiller.
Si tu l’as récupéré, c’est que tu es retournée chez elle, seule !
• Oui, j’ai eu la chance d’être là lorsque l’on a sonné, quatre gars de chez Emmaüs passant par hasard, ils ont décidé de voir si au lieu de ce matin, ils pouvaient charger dès la fin de soirée.
• Et tu t’es fait les quatre sans capote, ça, c’est malin, je trouve une amie et je vais devoir aller l’enterrer, car elle a oublié mes conseils de prudence.
• Arrête Jade, j’ai fait des bêtises après le serment lorsque j’ai prononcé mes vœux et pris définitivement le voile, mais de là à faire ça avec quatre types, il faudrait être malade.
• Tu ignores de quoi tu parles, je suis obligée de te faire une confidence.
Un jour où ma chatte me démangeait, j’ai accepté de suivre un mec, pas très beau d’ailleurs dans une soirée où je me suis retrouvée la seule femme entourée de cinq bonshommes.
Si tu as l’occasion de te faire enculer, essaye de te faire sauter par deux mecs en même temps.
On appelle ça, une double pénétration, tu verras, ça te fera jouir comme jamais, je te le promets.
Je suis à deux doigts de lui dire que Claude le fils de Charles, m’a pris par l’anus me faisant jouir dès la première fois.
Un instant je revois Charles rentrant chez lui au volant de sa voiture en plein orage.
Me trouvant dans les bras de son fils, m’aurait-il fait connaître une « double pénétration » prônée par Jade ?
Mais je veux éviter de passer pour la dernière des salopes, Jade à ce qu’elle me dit étant et de loin à jamais la première.
• Non, j’étais dans la salle de bains pour voir si nous n’avions rien oublié lorsque je me suis aperçue qu’ils avaient embarqué le prie-Dieu.
Je me suis…
• Pourquoi t’arrêtes-tu, tu allais dire un truc que tu veux me cacher.
• Non, j’ai encore eu une remontée de café, j’ai bien dû prendre un coup de froid sous la grêle et la pluie battante lorsque je suis rentrée.
Je cherche encore à lui cacher la vérité.
Il est vrai que j’ai stoppé ma phrase, car j’allais lui dire que je m’étais habillée pour les rattraper.
Quatre gars dans la force de l’âge surtout le rouquin à la grande barbe et il en faudrait moins que ça pour comprendre que sur ce prie-Dieu, bien d’autres choses se sont produit.
• Et toi comment c’est passé la fin de tes amours avec le beau gosse avec qui je t’ai vu dans un premier temps parlé.
Tu m’as dit au téléphone qu’il était marié !
• Mieux que ça, je connais très bien sa femme et ses enfants.
• Tu as couché avec elle malgré que tu sois la maitresse d’un de leurs enfants !
• Ça aurait pu se faire, mais non, nous avons découvert en papotant entre deux moments de plaisir que Véronique amenait ses enfants à l’école et que Sandrine leur fille était dans ma classe l’an dernier.
• Et ça ne te fait rien de coucher avec un homme marié qui trompe sa femme dès qu’elle a le dos tourné ?
• Et toi lorsque tu as baisé sans capote avec ton Lionnel dans la piscine de ton camp de nudiste, toi une bonne sœur.
T’es-tu posé la question s’il était marié et qu’en te faisant baiser, tu la trompais sans le savoir !
• Il n’avait pas d’alliance.
• Ça, c’est un bon alibi, la bague, tu en as une et tu as couché avec filles et garçons, il peut très bien être marié et se promener sans alliance pour baiser des petites oies blanches comme toi.
Un mec reste un mec, un baiseur reste un baiseur et une salope reste une salope ce que je reconnais être d’ailleurs, moi j’assume.
J’ignore ce que tu as fait pour rentrer trempée, l’orage ayant éclaté à plus de minuit, mais je suis à peu près persuadé qu’avant ce soir je connaitrais tout de ce que tu as fait.
Prends-tu le pari ?
Je parie, qu’ai-je à perdre à parier, le principal c’est que je réussisse à lui cacher les frasques avec le père et le fils heureusement à des moments différents.
Et que dire de celle avec la jumelle de celle qu’elle connaît.
Je parie, mon prie-dieu contre un nettoyage de tout l’appartement de maman.
Ce qui va me permettre de rentrer plus vite à Lisieux et de retrouver ma vie d’avant et si je perds de me débarrasser de ce meuble me rappelant que j’ai moi aussi été une pute.
Surtout que je suis sûr de gagner mon pari.
• Marie, prépare-toi, ce soir nous avons un invité, j’aime bien recevoir mes amis, nous allons aller au supermarché et préparer un repas avec lui.
• Peut-on savoir qui tu as invité, je le connais ?
• Non, je garde cela secret, j’aime moi aussi faire des surprises, fais-moi confiance.
Je me prépare, je suis encore un peu barbouillée, marcher et sortir va me faire du bien notamment que le soleil est revenu.
Dans le jardin, de nombreuses feuilles et branches jonchent le sol, l’orage à un peu fait des dégâts.
Le Jacuzzi est plein de branche et de feuille.
Jade rentre dans l’eau pour le nettoyer, je m’occupe de ramasser les branches et les mettre en tas, on verra si j’ai du temps pour l’aider à les évacuer.
Mes vomissements semblent se terminer, mes fringues de fille de joie étant sèche nous rejoignons le supermarché pour y faire nos courses.
• Je ferais bien un cassoulet, qu’en penses-tu Marie !
• Je me souviens en avoir mangé étant jeune chez ma pute de mère avant de devenir nonne, mais c’est un plat trop riche pour des sœurs comme nous.
Es-tu sûr avec cette chaleur de vouloir faire à manger chaud, je verrais bien préparer une salade agrémentée de petits croutons grillés ?
À mon côté nous croisant en poussant un caddy dans lequel se trouve un enfant dans un couffin, une jeune femme me regarde.
Je me rends compte que j’ai dû parler un peu fort et qu’elle a entendu « nonne » et « pute de mère. »
Même si je rapporte des mots dans le désordre, surtout que je suis habillée plus près d’une fille de joie que cette nonne que je cite.
Elle pousse son caddy le plus vite possible, on ne sait jamais, mes mots prononcés certes un peu forts, risquant de contaminer son enfant.
• Tu as raison pour un repas froid, regarde ces jolis jambonneaux avec une scarole ou une batavia, avec comme entrer ces champignons à la grecque paraissant très appétissant.
• Essentiellement, ils sont faits maison, c’est moi qui les prépare.
Tu es revenue de vacances Jade, tu m’avais dit aller chez tes parents !
Je suis poursuivie par mes pensées malsaines, jamais au grand jamais à de simples mots, j’aurais vu la partie cachée des dires de ce garçon tutoyant Jade.
Là dans la situation suite à la mort de maman, chaque terme employé je me sens obligé de les interpréter.
• Oui, Hugo, mais …
J’ai de nouveau droits à l’explication sur la mort de maman.
• Hugo ; j’ai son fils dans ma classe, il est aussi nul que toi, tu vas pouvoir en faire un charcutier pour te succéder.
Oui, mais s’il te baise bien petite salope à la façon dont il t’a regardé dans ton décolleter lorsqu’il t’a passé ton paquet et mâtant tes seins si bien exposés.
Quand je pense « pensées malsaines » en voilà encore une preuve.
• Je dis « tu » à certaines de nos sœurs et à d’autres, je me verrai mal leur dire « tu. »
Par malchance, nous nous retrouvons derrière la jeune femme au bébé aux caisses.
Rebelotte près de la voiture de Jade, nous allons laisser la mienne devant chez elle, mon putain d’héritage prenant la plupart de la place.
• Voulez-vous que je vous tienne votre bébé pendant que vous rangez son couffin ?
Le regard que m’envoie cette jeune femme me donne l’impression que j’ai la petite vérole ou la lèpre.
C’est tout juste si elle ne jette pas son bébé sur le siège arrière avant de monter au volant et de sortir du parking ayant vu le diable faire ses courses au supermarché.
Il est vrai, que moi-même, je suis un peu perdue dans toutes ces pensées malsaines ou nauséabondes.
Qui vient dîner ce soir ?...
Je passe le moment où je me trouve dans les toilettes le nez dans la cuvette.
Je reviens près de Jade après avoir bu un peu d’eau au robinet me servant de ma main.
Elle est chaude, mais je reste assise au bord du lit.
• J’ai dû prendre un coup de froid avec la grêle qui m’est tombée dessus.
• Oui, ça on en reparlera, nous sommes à la banque, celles que tu nomes Magalie, elle était jolie.
• Arrête de me taquiner, c’était une banquière qui faisait son travail, rien de plus.
Oui, elle était jolie, mais je te rappelle que j’ai perdu ma maman et que je suis en train de clore sa succession avant de retourner vers mon carmel à Lisieux.
• Bien restons-en à ce point, tu as eu l’air de me dire avant ton coup de froid, que tu as eu une surprise !
C’est lié au meuble qui est dans ta voiture et que j’ai vu en arrivant ici.
Inutile de m’en dire plus, je sais que c’est le prie-Dieu que ta mère t’a légué dans sa lettre que tu avais aussi dans ton sac et qui est tombé avec le reste.
Je m’excuse, je suis impossible, j’ai une incorrigible manie de vouloir savoir ce qui peut être écrit sur une lettre cachée dans le sac même d’une amie, bien sûr je l’ai lue !
Belle écriture, entre parenthèses, je me bats pour que mes élèves fassent des pleins et des déliés.
Il n’y a pas à dire, les méthodes d’apprentissage du passé sont bien supérieures à celles actuelles où il faut que tout aille vite.
Je me garde bien de lui dire que moi aussi j’écris avec des pleins et des déliés.
Tout ceci après les pages d’écriture que le couple infernal, Colette Joufflon et Charles Relax m’ont fait faire chaque fois ou presque qu’il venait se payer ma putain de mère.
• Pourquoi me poses-tu des questions si tu sais déjà tout, sur mon héritage ?
• Parce que j’aime taquiner mes amies, surtout lorsqu’elles ont tendance à me cacher des choses primordiales surtout si elles sont salaces, ça me fait mouiller.
Si tu l’as récupéré, c’est que tu es retournée chez elle, seule !
• Oui, j’ai eu la chance d’être là lorsque l’on a sonné, quatre gars de chez Emmaüs passant par hasard, ils ont décidé de voir si au lieu de ce matin, ils pouvaient charger dès la fin de soirée.
• Et tu t’es fait les quatre sans capote, ça, c’est malin, je trouve une amie et je vais devoir aller l’enterrer, car elle a oublié mes conseils de prudence.
• Arrête Jade, j’ai fait des bêtises après le serment lorsque j’ai prononcé mes vœux et pris définitivement le voile, mais de là à faire ça avec quatre types, il faudrait être malade.
• Tu ignores de quoi tu parles, je suis obligée de te faire une confidence.
Un jour où ma chatte me démangeait, j’ai accepté de suivre un mec, pas très beau d’ailleurs dans une soirée où je me suis retrouvée la seule femme entourée de cinq bonshommes.
Si tu as l’occasion de te faire enculer, essaye de te faire sauter par deux mecs en même temps.
On appelle ça, une double pénétration, tu verras, ça te fera jouir comme jamais, je te le promets.
Je suis à deux doigts de lui dire que Claude le fils de Charles, m’a pris par l’anus me faisant jouir dès la première fois.
Un instant je revois Charles rentrant chez lui au volant de sa voiture en plein orage.
Me trouvant dans les bras de son fils, m’aurait-il fait connaître une « double pénétration » prônée par Jade ?
Mais je veux éviter de passer pour la dernière des salopes, Jade à ce qu’elle me dit étant et de loin à jamais la première.
• Non, j’étais dans la salle de bains pour voir si nous n’avions rien oublié lorsque je me suis aperçue qu’ils avaient embarqué le prie-Dieu.
Je me suis…
• Pourquoi t’arrêtes-tu, tu allais dire un truc que tu veux me cacher.
• Non, j’ai encore eu une remontée de café, j’ai bien dû prendre un coup de froid sous la grêle et la pluie battante lorsque je suis rentrée.
Je cherche encore à lui cacher la vérité.
Il est vrai que j’ai stoppé ma phrase, car j’allais lui dire que je m’étais habillée pour les rattraper.
Quatre gars dans la force de l’âge surtout le rouquin à la grande barbe et il en faudrait moins que ça pour comprendre que sur ce prie-Dieu, bien d’autres choses se sont produit.
• Et toi comment c’est passé la fin de tes amours avec le beau gosse avec qui je t’ai vu dans un premier temps parlé.
Tu m’as dit au téléphone qu’il était marié !
• Mieux que ça, je connais très bien sa femme et ses enfants.
• Tu as couché avec elle malgré que tu sois la maitresse d’un de leurs enfants !
• Ça aurait pu se faire, mais non, nous avons découvert en papotant entre deux moments de plaisir que Véronique amenait ses enfants à l’école et que Sandrine leur fille était dans ma classe l’an dernier.
• Et ça ne te fait rien de coucher avec un homme marié qui trompe sa femme dès qu’elle a le dos tourné ?
• Et toi lorsque tu as baisé sans capote avec ton Lionnel dans la piscine de ton camp de nudiste, toi une bonne sœur.
T’es-tu posé la question s’il était marié et qu’en te faisant baiser, tu la trompais sans le savoir !
• Il n’avait pas d’alliance.
• Ça, c’est un bon alibi, la bague, tu en as une et tu as couché avec filles et garçons, il peut très bien être marié et se promener sans alliance pour baiser des petites oies blanches comme toi.
Un mec reste un mec, un baiseur reste un baiseur et une salope reste une salope ce que je reconnais être d’ailleurs, moi j’assume.
J’ignore ce que tu as fait pour rentrer trempée, l’orage ayant éclaté à plus de minuit, mais je suis à peu près persuadé qu’avant ce soir je connaitrais tout de ce que tu as fait.
Prends-tu le pari ?
Je parie, qu’ai-je à perdre à parier, le principal c’est que je réussisse à lui cacher les frasques avec le père et le fils heureusement à des moments différents.
Et que dire de celle avec la jumelle de celle qu’elle connaît.
Je parie, mon prie-dieu contre un nettoyage de tout l’appartement de maman.
Ce qui va me permettre de rentrer plus vite à Lisieux et de retrouver ma vie d’avant et si je perds de me débarrasser de ce meuble me rappelant que j’ai moi aussi été une pute.
Surtout que je suis sûr de gagner mon pari.
• Marie, prépare-toi, ce soir nous avons un invité, j’aime bien recevoir mes amis, nous allons aller au supermarché et préparer un repas avec lui.
• Peut-on savoir qui tu as invité, je le connais ?
• Non, je garde cela secret, j’aime moi aussi faire des surprises, fais-moi confiance.
Je me prépare, je suis encore un peu barbouillée, marcher et sortir va me faire du bien notamment que le soleil est revenu.
Dans le jardin, de nombreuses feuilles et branches jonchent le sol, l’orage à un peu fait des dégâts.
Le Jacuzzi est plein de branche et de feuille.
Jade rentre dans l’eau pour le nettoyer, je m’occupe de ramasser les branches et les mettre en tas, on verra si j’ai du temps pour l’aider à les évacuer.
Mes vomissements semblent se terminer, mes fringues de fille de joie étant sèche nous rejoignons le supermarché pour y faire nos courses.
• Je ferais bien un cassoulet, qu’en penses-tu Marie !
• Je me souviens en avoir mangé étant jeune chez ma pute de mère avant de devenir nonne, mais c’est un plat trop riche pour des sœurs comme nous.
Es-tu sûr avec cette chaleur de vouloir faire à manger chaud, je verrais bien préparer une salade agrémentée de petits croutons grillés ?
À mon côté nous croisant en poussant un caddy dans lequel se trouve un enfant dans un couffin, une jeune femme me regarde.
Je me rends compte que j’ai dû parler un peu fort et qu’elle a entendu « nonne » et « pute de mère. »
Même si je rapporte des mots dans le désordre, surtout que je suis habillée plus près d’une fille de joie que cette nonne que je cite.
Elle pousse son caddy le plus vite possible, on ne sait jamais, mes mots prononcés certes un peu forts, risquant de contaminer son enfant.
• Tu as raison pour un repas froid, regarde ces jolis jambonneaux avec une scarole ou une batavia, avec comme entrer ces champignons à la grecque paraissant très appétissant.
• Essentiellement, ils sont faits maison, c’est moi qui les prépare.
Tu es revenue de vacances Jade, tu m’avais dit aller chez tes parents !
Je suis poursuivie par mes pensées malsaines, jamais au grand jamais à de simples mots, j’aurais vu la partie cachée des dires de ce garçon tutoyant Jade.
Là dans la situation suite à la mort de maman, chaque terme employé je me sens obligé de les interpréter.
• Oui, Hugo, mais …
J’ai de nouveau droits à l’explication sur la mort de maman.
• Hugo ; j’ai son fils dans ma classe, il est aussi nul que toi, tu vas pouvoir en faire un charcutier pour te succéder.
Oui, mais s’il te baise bien petite salope à la façon dont il t’a regardé dans ton décolleter lorsqu’il t’a passé ton paquet et mâtant tes seins si bien exposés.
Quand je pense « pensées malsaines » en voilà encore une preuve.
• Je dis « tu » à certaines de nos sœurs et à d’autres, je me verrai mal leur dire « tu. »
Par malchance, nous nous retrouvons derrière la jeune femme au bébé aux caisses.
Rebelotte près de la voiture de Jade, nous allons laisser la mienne devant chez elle, mon putain d’héritage prenant la plupart de la place.
• Voulez-vous que je vous tienne votre bébé pendant que vous rangez son couffin ?
Le regard que m’envoie cette jeune femme me donne l’impression que j’ai la petite vérole ou la lèpre.
C’est tout juste si elle ne jette pas son bébé sur le siège arrière avant de monter au volant et de sortir du parking ayant vu le diable faire ses courses au supermarché.
Il est vrai, que moi-même, je suis un peu perdue dans toutes ces pensées malsaines ou nauséabondes.
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