COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (31/32)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (31/32) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (31/32)
(XXXI, chiffre impair et nombre entier, 31 est un nombre naturel qui suit 30 et précède 32.
Sur le plan mathématique, 31 est un nombre premier, c’est-à-dire qu’il n’a que deux diviseurs distincts : un et lui-même.
On peut en déduire que 31 ou un, c’est du pareil au même.)

• Bip-bip.
• Bip-bip !
• Bonjour à tous, heureux de vous retrouver, chers amis, pour ce week-end exceptionnel du 1er mai.
Ce jour, marque l’ouverture pour une nouvelle saison de notre club naturiste des montagnes bleues !
Ça fait du bien de retrouver : Bip-bip.
• Bip-bip…

Non, ce sera la fin de mon aventure !
Enfin, si perdre son pucelage dans la piscine d’un camp naturiste dans les bras du beau Lionnel, après être devenue gouine avec Sophie, sa demi-sœur, est une aventure !
Alors oui, ce fut le cas après une panne de ma voiture dans le centre de la France.
Les choses auraient pu en rester là, j’aurais retrouvé ma place dans mon couvent chez les petites sœurs de Lisieux.
Mais après le décès de maman un peu plus bas à Carmaux, les choses se sont précipitées.
On aurait dit, que les situations s’enchainaient toutes, ou au moins la plupart, tournées vers le sexe.
En quelques jours, à 28 ans, je rattrapais des années de méconnaissance des rapports entre deux êtres se trouvant des affinités.
Pourtant, j’avais une alliance à mon doigt.
C’était celle qui m’avait été remise, lorsque, m’allongeant au sol devant notre évêque et le père François qui gérait nos âmes, j’ai pris le voile à la fin de mon noviciat.
Novice, il fallait l’être, car maman m’avait entraîné vers le couvent et principalement sainte Thérèse de Lisieux, alors que mon géniteur avait fait d’elle une prostituée.
C’est ce que je devais découvrir à Carmaux avec comme vieux client Tonton Bonbons, qui chaque fois qu’il venait la voir, glissait dans ma main des friandises avant que je ne rejoigne ma chambre.
Je passe la confession dans le bureau de notre mère supérieure qui semble avoir découvert que mes fréquents vomissements, surtout les matins, étaient loin d’être dus à des problèmes gastriques.
J’avais déjà beaucoup découvert, de moi-même des situations que le sexe pouvait entraîner.
Mais de comprendre qu’elle-même avait été mère d’un enfant qui avait été abandonné à sa naissance, ça me plaçait devant mes responsabilités.
Accouchez hors du couvent et abandonnez, moi aussi, mon enfant à l’assistance publique afin de continuer à apparaître comme la vierge Marie, similitude avec mon nom.
Ou comment elle vit marginalement avec le père François qui avait fini par la retrouver.
Je parle de notre mère supérieure, alors qu’ils continuent à avoir des rapports entre eux, même au sein de l’Église.
Je parle là du père François qui lui aussi avait pris les ordres pour rester auprès d’elle.
Triste situation, car j’ai rapidement compris qu’à part les moments d’intimité, la perte de leur enfant restait une pierre marquée au fer rouge dans leurs cœurs.
Cette expérience m’entraine à suivre l’autre voie, quitter le couvent et retrouver le père de mon bébé, donc Lionnel.
Là encore, je parle du père de mon futur nourrisson, malgré les rapports que j’ai eus avec quelques hommes dans cette période, profitant de ma liberté.
Mais après avoir été éduquée par Jade sur les risques de baiser sans se protéger, la totalité, sauf Lionnel lorsque j’ai découvert le sexe, j’ai fait l’amour avec des capotes de protection.
Bien sûr, couvert avec les autres que Lionnel, je le sais, mais pas lui.
Aussi, je comprendrai qu’il refuse cette paternité et m’oblige à l’élever seule, je m’y sens prête, comme maman l’a faite pour moi.
Comme une sœur m’a dit un jour dans les rares moments où nous pouvions parler.

« Il vaut mieux être seul que mal accompagné. »

Elle n’en avait pas dit plus, mais chez nous comme dans beaucoup d’autres endroits au monde, il y avait des pipelettes.
Sœur Emmanuelle en faisait partie.
On sait celle qui vous dit, vous savez que…
Vous lui faites comprendre que les ragots, ça ne vous intéresse pas, mais elle continue malgré ça.

« Elle est près de nous, car son mari la battait pour qu’elle lui fasse, vous savez ce que les hommes et les femmes font ensemble. »

Vous vous sentez bêtes, surtout moi, jusqu’à la panne de ma voiture et ma retraite dans ce club naturiste.
Vous faites partie de celles qui ignorent ce que les hommes et les femmes, pratiquent entre eux.

C’est aussi là que Magalie, sœur de Virginie avec qui je me suis, là encore gouinée, est entrée en scène.
Travaillant dans une banque, j’ai pensé qu’elle était ma planche de salut pour mettre l’argent trouvé dans le prie-Dieu de maman sur mon compte sans trop y perdre.
Avant, les biens matériels m’étaient indifférents, le couvent me protégeant de cette question.
Mais élever un enfant, peut-être toute seule, comme je le pense si Lionnel me dit de me démerder, ça me fait voir les choses de manière bien différente.
Je sais, j’ai la solution de maman, j’ai bien commencé en suçant Tonton Bonbons pour quelques petits euros.
Car payer en liquide avec une telle somme pourrait finir par être suspect, mais là encore, je comprends son courroux.
En plus, il serait con pour moi de me prostituer en possession d’une jolie somme comme capital de départ.

• Salope, c’est simplement pour cela que tu m’as fait venir et que tu m’as mise dans ton lit.
Je savais bien que tu n’avais pas uniquement l’envie du goût de mon sexe sur ta bouche !
Mais je pensais que dans ce café, notre première expérience t’avait donné des envies de recommencer !
• Mais c’était le cas Magalie, c’est pour cela que je t’avais donné rendez-vous dans un restaurant et non ici dans cette chambre où je savais comment les choses allaient se terminer !
En déjeunant, je pensais te parler de cet argent que maman avait économisé en se prostituant et que j’ai retrouvé caché dans son prie-Dieu.
• Ta maman était une prostituée, c’est loin d’être banal.
J’ignore qu’elle aurait été ma réaction si j’avais été amené à vivre une telle situation.
• Oui, tu te souviens que notre rencontre a eu lieu après que nous ayons ouvert son coffre avec nos clefs !
• Bien sûr, tu ignorais que par chance, dans son trousseau le double s’y trouvait.
Nous avions parlé de ma jumelle avec qui tu m’avais confondu.
• Dans la boîte que j’avais posée sur la table, une lettre écrite de sa main me suggérait de garder son prie-Dieu.
Un concours de circonstances a fait qu’ayant certainement très peur des banques.
Elle avait caché tous son argent que tu vois là sur le lit, là où l’on repose nos genoux.
Je les ai comptés, moins le liquide que j’ai dépensé il y a environ 380 000 €.
• Et tu ne sais pas comment blanchir cet argent pour échapper au fisc ?
• Oui, il y a quelques années, une grosse somme, en liquide, avait été déposée devant un couvent.
J’ai moi-même connu cette histoire, car je gérais aussi un peu celui du couvent d’où je viens.
• Attends, tu viens de me dire que tu étais bonne sœur.
Mais pourquoi je te retrouve dans cette chambre avec une grosse somme d’argent en liquide et dans les vêtements de madame tout le monde !
• Mon Dieu que les choses sont compliquées, alors que j’essaye de les simplifier pour t’expliquer pourquoi je me retrouve avec cette masse d’argent.
Le bon Dieu n’a rien à voir là-dedans, c’est comme avec Virginie, je t’ai expliqué les choses simplement, c’est à cause d’une panne de voiture !

Il est vrai que certaines fois, les choses simples, s’avèrent très compliquées à expliquer.
C’est le cas de mon histoire, suite à la panne, mais avec de la patience et quelques caresses bien placées où cela fait du bien, j’arrive à tout lui expliquer dans les moindres détails.

• Eh bien, ma salope, moi qui croyais être une sacrée fêlée du cul, en peu de temps, si j’ai bien compris, tu as pris dix longueurs d’avance.

Oui, dans mes explications simples pour moi au départ, je lui balance toute, même ma double pénétration avec Tonton Bonbon et son fils Claude.
Finissant par la cabane de chasse et il y a peu de temps avec Paulette dans l’hôtel à Châteauroux.

• Viens dans mes bras, après je te montrerais comment te connecter avec ton portable à la C.I.T et suivre ton compte.
Tu pourras voir que je blanchirais ton argent afin d’éviter Tracfin et non Crackfond !

Tracfin, c’est après avoir fini mon histoire du couvent et de son don en liquide.
Les sœurs avaient eu du mal à expliquer la grosse somme, plusieurs millions de francs qu’elles avaient trouvés devant leur porte, après que la cloche est sonnée.

C’était avant l’euro, je savais donc la difficulté de ce que Tracfin appelait du blanchiment d’argent.
Je sais, on va me prendre pour comme une simple d’esprit de confier une telle somme à cette femme, même si j’ai fait d’elle ma maîtresse la faisant jouir de nombreuses fois avant de lui confier mon sac.

Je lui confis après qu’elle m’ait pardonné en roulant une nouvelle fois sur le lit et que nos corps ne se soient enflammés de nouveau.
Comme mon récit l’a démontré, je suis soumise à ceux qui me font découvrir toutes ces facettes de l’acte sexuel, mon coeur étant amoureux de Lionnel.
Magalie a été une salope avec sa sœur, mais je vais rapidement m’apercevoir que par des tours de passe-passe, mon compte va se grossir sans qu’à aucun moment ses supérieures ne m’appellent pour me conduire en prison.
À thermes, mais bien après les bips-bips du début de chapitre mon compte sera crédité de la somme, je lui ai dit de garder 40 000 €.

Cette opération mise sur les rails et un dernier baiser pris, je reprends mon périple, celui après être remonté d’Albi vers le centre de la France, afin de rejoindre Lionnel…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Vivement la fin proche...



Texte coquin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (31/32)
Histoire sexe : Une rose rouge
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