COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (32/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (32/32)
(XXXII ça sent les derniers instants !)
Quitter Albi au matin, ivre de toute autre chose que de gnôle ou toute autre boisson alcoolisée.
Juste une demi-bouteille de champagne aux frais dans le minibar à notre disposition.
Ivre, mais de sexe féminin, Magalie m’apportant la touche finale à ces pratiques sexuelles entre femmes.
Je dois prendre l’habitude de fuir, car lorsque je quitte notre chambre, Magalie est allongée et se trouve dans une position plus que subjective.
Je l’ai massacré, elle m’a massacré, mais l’amour de ce que je pense être celui de ma vie, m’attend.
Albi, je dois passer devant la maison de Carmaux où j’ai déniaisé Claude.
Je le vois sur le toit de leur maison, il semble changer des tuiles, certainement les suites de l’orage et de la grêle.
Je me garde bien de m’arrêter, même si je sais où se trouvent les capotes.
Il en va de même pour Tonton Bonbon, montant dans sa voiture devant le musée de la mine.
J’ai assez creusé le sol vers les enfers pour me contenter de simplement le croiser.
J’ai gardé des contacts par téléphone avec Jade.
Je sais qu’elle est partie dès la rentrée scolaire dans le sud, dans une école près de Nice, inutile de m’arrêter pour profiter du Jacuzzi.
Je pense à l’eau claire bouillonnante et la chatte de Paulette, rousse comme la mienne.
Comment ai-je pu passer à côté de la rousseur de son abricot ?
C’est à ce moment qu’un coup de Klaxon me ramène sur terre.
Un coup de volant et je dois passer au millimètre dans un virage, évitant un camion de ceux que doit conduire le mari de Paulette, avec qui j’ai constaté qu’elle était aussi rouge que moi.
Les fatigues de la nuit ont eu raison de mon endormissement, je vois un chemin de terre, je m’y engage et derrière une haie, je me gare à l’abri du regard des voitures passant sur la route.
J’essaye de dormir, le volant me gênant, je me glisse sur le siège voisin et je dois rapidement m’endormir.
Cette rousseur de la chatte de Paulette, c’est en rêve qu’un instant, je l’ai envisagée, passant à deux doigts de l’accident fatal.
Je dois de nouveau rêver, je suis sur le siège passager et c’est instinctivement que ma main remonte ma jupe.
Je commence à me caresser, principalement mon clito qui immédiatement réagit à ma sollicitation et se met à bander.
Je commence à me tordre de plaisir, cette fois simplement avec un doigt, non, deux et enfin trois.
J’ai écarté ma petite culotte et mes phalanges investissent ma grotte, qui ruisselle de plaisir.
La jouissance me rattrape, mais c’est à ce moment que je reprends pieds sur terre à un bruit à mon côté.
Je vais pour rabattre ma robe, mais je comprends que dans mon sommeil, c’est moi qui me suis masturbée.
C’est certainement de la façon dont Magalie m’a fait mettre entièrement sa main au fond de sa chatte qui a déclenché mon envie de me masturber tout en dormant.
• Continue ma salope !
On pourrait penser à la Georgette, lorsqu’elle était jeune.
Elle aussi lorsque j’avais trop bu se la fourrait dans sa chatte.
Un serpent m’aurait piqué, ma réaction aurait été identique.
Je sors ma main de ma petite culotte et je me replace derrière mon volant.
C’est un vieux paysan, une fourche sur son épaule, passant sur le chemin, qui m’a regardé me masturber et a fait cette réflexion sur Georgette.
Heureusement, ma voiture démarre au quart de tour et je peux m’échapper de mon chemin creux.
Dans mon rétro, je vois le vieux paysan sa bite noueuse en main.
Je viens d’échapper à une fin peu honorable, si ce vieux salopard avait ouvert la porte de ma calèche.
Après tout ce que j’ai accepté de faire sexuellement, s’il m’avait présenté ce nœud à hauteur de ma bouche, l’aurais-je avalé comme je l’ai fait dans la cabane des chasseurs ?
Un instant, alors que le premier virage arrive, le cachant à ma vue, n’ai-je pas l’envie de freiner pour faire marche arrière ?
Aimerais-je me faire déchirer par cette bite semblant fortement intéressante, malgré l’âge de son propriétaire ?
Ça m’a donné un coup de fouet, je me vois mal sucer la bite de ce vieux faisant de moi une nouvelle fois, une salope.
• Bonjour, Sophie, tu peux m’ouvrir.
Eh oui, je suis de retour, le ventre grossissant aux Montagnes bleues, dans ma vieille 4L, qui cette fois est restée très sage, les cardans ayant évité de me lâcher.
• Marie, que je suis contente de te voir !
Hier encore, Lionnel me disait sa souffrance de t’avoir laissé partir, alors que tu étais la femme de sa vie.
Et je dois aussi le reconnaitre un peu, beaucoup, la mienne !
• Est-il ici ?
• Non, il est au pied de l’aiguille du midi, dans un hôtel, pour la saison d’hiver, comme cuisinier.
Il vient de commencer la saison et sera de retour à la fin et reviendra pour là encore assumer la cuisine et nos soirées au début de la nôtre.
Ma grossesse m’empêche de le rejoindre, bien que mes nausées aient disparu aussi soudainement qu’elles étaient venues.
De nombreuses femmes enceintes ont connu ce phénomène.
C’est lui qui faisait le voyage le jour, dès sa journée de repos, pour voir l’évolution de mon ventre.
• Ma chérie, je croyais t’avoir perdu et ma sœur aussi !
• Mais tu sais, après que tu m’aies dépucelé dans la piscine, m’ouvrant au sexe, j’ai eu des rapports, je te promets toujours protégé.
Je comprendrai que tu ne veux pas d’une fille, ancienne nonne, qui a trompé ton amour ?
• Marie, je croyais t’avoir perdu.
Crois-tu que jusqu’à la fin de la saison ici ou à la montagne au début de la saison d’hiver, je sois resté chaste ?
Tu as pu voir les sollicitations que j’ai dans les soirées que j’organise avec mon « bip-bip. »
Dans notre chambre dans ce bungalow, dans laquelle elle m’a rejoint, après une certaine hésitation, ayant peur de faire du mal à notre bébé, c’est divinement qu’il m’a fait l’amour.
Les bips-bips ne trouvent pas d’écho de ma part, le moment devant déterminer ma vie future, soit seule avec mon fils, soit à trois avec mari et enfant, est un moment trop grave.
Je dis mon fils, car dès sa deuxième visite, nous allons à Auriac passer une échographie.
Jusqu’à cette ouverture en avant-première le week-end du 1er mai, j’ai aidé ma belle-sœur, bien qu’en commun accord avec mon tendre et cher, nous rejetions le mariage et acceptons le pacs.
De toute façon, à part la mairie, l’église, ce serait impossible, j’ai coupé les ponts définitivement avec cette institution.
Jusqu’à l’ouverture, nous avons remis, dans la limite de mes possibilités, jusqu’à ma délivrance, le camping en l’état, sauf par temps de neige ou de pluie.
La commune a fait des transformations de bungalows, augmentant de cinq la capacité du camp.
Celui de l’accueil possède maintenant deux chambres.
Celle où je rejoins Sophie et celle où je partagerai la couche de Lionnel pendant la saison d’été.
Ça fait partie des choses que je lui ai avouées, les rapports avant lui et avec sa demi-sœur.
C’est là qu’il fait voir son grand cœur et son amour, il accepte cette situation.
Pas tout à fait, l’un comme l’autre ont envie de moi et suivant nos envies je partagerais la couche de l’un ou de l’autre.
En attendant, Lionnel a fini sa saison.
Nos amis invités assistent à la répétition générale pour l’ouverture de cette nouvelle saison.
Nous avons tous retrouvé notre nudité le temps le permettant.
• Bip-bip.
• Bip-bip !
• Bonjour à tous, heureux de vous retrouver, chers amis, pour ce week-end exceptionnel du 1er mai, marquant l’ouverture pour une nouvelle saison de notre club naturiste des montagnes bleues !
Ça fait du bien de retrouver bip-bip.
• Bip-bip.
Nous sommes au début de la fin de ma nouvelle vie.
• Lionnel et si nous changions tes onomatopées, cette année, c’est moi qui vais diriger vos spectacles.
Bonsoir Yollande, je vois que tu as bien profité de nos conseils de l’an dernier.
Vous voilà, avec dans son couffin, Célimène votre deuxième fille certainement conçue ici aux Montagnes bleues.
Yollande a perdu au moins, 30 kilos, c’est une jeune fille qui regarde son mari Désiré, avec tout l’amour de la terre.
• Eh vous, madame Pinard, Ludovic se porte bien dans son couffin, près de vous !
Évitez la rivière à minuit cette année, à moins que vous ayez pour but de faire sa petite sœur à son frère.
Oh ! Franck tu es là, Viviane aussi, mais dit moi Viviane, tout comme moi, tu es tombée sur un clou, tu es enceinte de combien, sept mois ?
Mais continuons le tour de nos invités, Laétitia on ne se connaît pas, mais moi je te connais, j’ai vu des photos de toi chez tes parents lors de mon dernier passage.
Ton mari marocain est là et toi aussi, es-tu tombée sur un clou ?
On vous réserve deux chambres côte à côte à la clinique d’Auriac, peut-être dans la même chambre où j’ai accouché.
Voilà la boucle est bouclée, une nouvelle vie commence pour moi avec Lionnel Hugo notre premier fils, et Sophie, sa marraine qui s’occupe de lui aussi, bien qu’elle s’occupe de moi.
Eh non, le jour de l’ouverture officielle, le week-end suivant, me fait dire que les voies du Seigneur sont impénétrables.
La formule, « les voies du Seigneur sont impénétrables, » étant inspirée d'une lettre de saint Paul aux Romains.
Elle signifie que même si la façon dont Dieu conduit les hommes au salut est incompréhensible, ces derniers sont sûrs d'atteindre le but pour peu qu'ils veulent bien suivre le chemin que Dieu leur propose.
Ce sont les vestiges de ma présence au carmel de Lisieux, je promets ce seront les dernières.
• Bonjour monsieur et madame, bienvenue parmi nous, j’espère que son séjour fera du bien à votre mari, il est comme cela depuis longtemps !
• Depuis qu’il a payé un détective pour qu’il retrouve ses parents qui l’avaient abandonné à sa naissance.
Il a retrouvé leur trace, ils s’agiraient d’un curé et d’une nonne, lorsqu’il l’a appris, il est tombé comme en léthargie sans explication et depuis il est ainsi.
Le détective est en train de rechercher ou ils se trouvent, l’église est tellement cloisonnée que nous ignorons ou ils finissent maintenant leur vie.
Si les miracles existent, il va se produire, à notre séparation une soeur m’a donné son numéro de portable et je vais pouvoir l’appeler pour lui dire que j’ai retrouvé son fils.
Voilà, Lionnel a envie de me faire la petite sœur de notre merveilleux Hugo.
Pourquoi lui refuser ce plaisir surtout que je suis fidèle au frère et à la sœur, j’en ai bien assez comme ça pour satisfaire ma soif d’amour et de sexe ?
Peut-être qu’un jour le démon du sexe viendra me tirer les pieds la nuit et me permettra de vous confier de nouvelles aventure pour la salope qu’un putain de cardan a fait de moi.
Quitter Albi au matin, ivre de toute autre chose que de gnôle ou toute autre boisson alcoolisée.
Juste une demi-bouteille de champagne aux frais dans le minibar à notre disposition.
Ivre, mais de sexe féminin, Magalie m’apportant la touche finale à ces pratiques sexuelles entre femmes.
Je dois prendre l’habitude de fuir, car lorsque je quitte notre chambre, Magalie est allongée et se trouve dans une position plus que subjective.
Je l’ai massacré, elle m’a massacré, mais l’amour de ce que je pense être celui de ma vie, m’attend.
Albi, je dois passer devant la maison de Carmaux où j’ai déniaisé Claude.
Je le vois sur le toit de leur maison, il semble changer des tuiles, certainement les suites de l’orage et de la grêle.
Je me garde bien de m’arrêter, même si je sais où se trouvent les capotes.
Il en va de même pour Tonton Bonbon, montant dans sa voiture devant le musée de la mine.
J’ai assez creusé le sol vers les enfers pour me contenter de simplement le croiser.
J’ai gardé des contacts par téléphone avec Jade.
Je sais qu’elle est partie dès la rentrée scolaire dans le sud, dans une école près de Nice, inutile de m’arrêter pour profiter du Jacuzzi.
Je pense à l’eau claire bouillonnante et la chatte de Paulette, rousse comme la mienne.
Comment ai-je pu passer à côté de la rousseur de son abricot ?
C’est à ce moment qu’un coup de Klaxon me ramène sur terre.
Un coup de volant et je dois passer au millimètre dans un virage, évitant un camion de ceux que doit conduire le mari de Paulette, avec qui j’ai constaté qu’elle était aussi rouge que moi.
Les fatigues de la nuit ont eu raison de mon endormissement, je vois un chemin de terre, je m’y engage et derrière une haie, je me gare à l’abri du regard des voitures passant sur la route.
J’essaye de dormir, le volant me gênant, je me glisse sur le siège voisin et je dois rapidement m’endormir.
Cette rousseur de la chatte de Paulette, c’est en rêve qu’un instant, je l’ai envisagée, passant à deux doigts de l’accident fatal.
Je dois de nouveau rêver, je suis sur le siège passager et c’est instinctivement que ma main remonte ma jupe.
Je commence à me caresser, principalement mon clito qui immédiatement réagit à ma sollicitation et se met à bander.
Je commence à me tordre de plaisir, cette fois simplement avec un doigt, non, deux et enfin trois.
J’ai écarté ma petite culotte et mes phalanges investissent ma grotte, qui ruisselle de plaisir.
La jouissance me rattrape, mais c’est à ce moment que je reprends pieds sur terre à un bruit à mon côté.
Je vais pour rabattre ma robe, mais je comprends que dans mon sommeil, c’est moi qui me suis masturbée.
C’est certainement de la façon dont Magalie m’a fait mettre entièrement sa main au fond de sa chatte qui a déclenché mon envie de me masturber tout en dormant.
• Continue ma salope !
On pourrait penser à la Georgette, lorsqu’elle était jeune.
Elle aussi lorsque j’avais trop bu se la fourrait dans sa chatte.
Un serpent m’aurait piqué, ma réaction aurait été identique.
Je sors ma main de ma petite culotte et je me replace derrière mon volant.
C’est un vieux paysan, une fourche sur son épaule, passant sur le chemin, qui m’a regardé me masturber et a fait cette réflexion sur Georgette.
Heureusement, ma voiture démarre au quart de tour et je peux m’échapper de mon chemin creux.
Dans mon rétro, je vois le vieux paysan sa bite noueuse en main.
Je viens d’échapper à une fin peu honorable, si ce vieux salopard avait ouvert la porte de ma calèche.
Après tout ce que j’ai accepté de faire sexuellement, s’il m’avait présenté ce nœud à hauteur de ma bouche, l’aurais-je avalé comme je l’ai fait dans la cabane des chasseurs ?
Un instant, alors que le premier virage arrive, le cachant à ma vue, n’ai-je pas l’envie de freiner pour faire marche arrière ?
Aimerais-je me faire déchirer par cette bite semblant fortement intéressante, malgré l’âge de son propriétaire ?
Ça m’a donné un coup de fouet, je me vois mal sucer la bite de ce vieux faisant de moi une nouvelle fois, une salope.
• Bonjour, Sophie, tu peux m’ouvrir.
Eh oui, je suis de retour, le ventre grossissant aux Montagnes bleues, dans ma vieille 4L, qui cette fois est restée très sage, les cardans ayant évité de me lâcher.
• Marie, que je suis contente de te voir !
Hier encore, Lionnel me disait sa souffrance de t’avoir laissé partir, alors que tu étais la femme de sa vie.
Et je dois aussi le reconnaitre un peu, beaucoup, la mienne !
• Est-il ici ?
• Non, il est au pied de l’aiguille du midi, dans un hôtel, pour la saison d’hiver, comme cuisinier.
Il vient de commencer la saison et sera de retour à la fin et reviendra pour là encore assumer la cuisine et nos soirées au début de la nôtre.
Ma grossesse m’empêche de le rejoindre, bien que mes nausées aient disparu aussi soudainement qu’elles étaient venues.
De nombreuses femmes enceintes ont connu ce phénomène.
C’est lui qui faisait le voyage le jour, dès sa journée de repos, pour voir l’évolution de mon ventre.
• Ma chérie, je croyais t’avoir perdu et ma sœur aussi !
• Mais tu sais, après que tu m’aies dépucelé dans la piscine, m’ouvrant au sexe, j’ai eu des rapports, je te promets toujours protégé.
Je comprendrai que tu ne veux pas d’une fille, ancienne nonne, qui a trompé ton amour ?
• Marie, je croyais t’avoir perdu.
Crois-tu que jusqu’à la fin de la saison ici ou à la montagne au début de la saison d’hiver, je sois resté chaste ?
Tu as pu voir les sollicitations que j’ai dans les soirées que j’organise avec mon « bip-bip. »
Dans notre chambre dans ce bungalow, dans laquelle elle m’a rejoint, après une certaine hésitation, ayant peur de faire du mal à notre bébé, c’est divinement qu’il m’a fait l’amour.
Les bips-bips ne trouvent pas d’écho de ma part, le moment devant déterminer ma vie future, soit seule avec mon fils, soit à trois avec mari et enfant, est un moment trop grave.
Je dis mon fils, car dès sa deuxième visite, nous allons à Auriac passer une échographie.
Jusqu’à cette ouverture en avant-première le week-end du 1er mai, j’ai aidé ma belle-sœur, bien qu’en commun accord avec mon tendre et cher, nous rejetions le mariage et acceptons le pacs.
De toute façon, à part la mairie, l’église, ce serait impossible, j’ai coupé les ponts définitivement avec cette institution.
Jusqu’à l’ouverture, nous avons remis, dans la limite de mes possibilités, jusqu’à ma délivrance, le camping en l’état, sauf par temps de neige ou de pluie.
La commune a fait des transformations de bungalows, augmentant de cinq la capacité du camp.
Celui de l’accueil possède maintenant deux chambres.
Celle où je rejoins Sophie et celle où je partagerai la couche de Lionnel pendant la saison d’été.
Ça fait partie des choses que je lui ai avouées, les rapports avant lui et avec sa demi-sœur.
C’est là qu’il fait voir son grand cœur et son amour, il accepte cette situation.
Pas tout à fait, l’un comme l’autre ont envie de moi et suivant nos envies je partagerais la couche de l’un ou de l’autre.
En attendant, Lionnel a fini sa saison.
Nos amis invités assistent à la répétition générale pour l’ouverture de cette nouvelle saison.
Nous avons tous retrouvé notre nudité le temps le permettant.
• Bip-bip.
• Bip-bip !
• Bonjour à tous, heureux de vous retrouver, chers amis, pour ce week-end exceptionnel du 1er mai, marquant l’ouverture pour une nouvelle saison de notre club naturiste des montagnes bleues !
Ça fait du bien de retrouver bip-bip.
• Bip-bip.
Nous sommes au début de la fin de ma nouvelle vie.
• Lionnel et si nous changions tes onomatopées, cette année, c’est moi qui vais diriger vos spectacles.
Bonsoir Yollande, je vois que tu as bien profité de nos conseils de l’an dernier.
Vous voilà, avec dans son couffin, Célimène votre deuxième fille certainement conçue ici aux Montagnes bleues.
Yollande a perdu au moins, 30 kilos, c’est une jeune fille qui regarde son mari Désiré, avec tout l’amour de la terre.
• Eh vous, madame Pinard, Ludovic se porte bien dans son couffin, près de vous !
Évitez la rivière à minuit cette année, à moins que vous ayez pour but de faire sa petite sœur à son frère.
Oh ! Franck tu es là, Viviane aussi, mais dit moi Viviane, tout comme moi, tu es tombée sur un clou, tu es enceinte de combien, sept mois ?
Mais continuons le tour de nos invités, Laétitia on ne se connaît pas, mais moi je te connais, j’ai vu des photos de toi chez tes parents lors de mon dernier passage.
Ton mari marocain est là et toi aussi, es-tu tombée sur un clou ?
On vous réserve deux chambres côte à côte à la clinique d’Auriac, peut-être dans la même chambre où j’ai accouché.
Voilà la boucle est bouclée, une nouvelle vie commence pour moi avec Lionnel Hugo notre premier fils, et Sophie, sa marraine qui s’occupe de lui aussi, bien qu’elle s’occupe de moi.
Eh non, le jour de l’ouverture officielle, le week-end suivant, me fait dire que les voies du Seigneur sont impénétrables.
La formule, « les voies du Seigneur sont impénétrables, » étant inspirée d'une lettre de saint Paul aux Romains.
Elle signifie que même si la façon dont Dieu conduit les hommes au salut est incompréhensible, ces derniers sont sûrs d'atteindre le but pour peu qu'ils veulent bien suivre le chemin que Dieu leur propose.
Ce sont les vestiges de ma présence au carmel de Lisieux, je promets ce seront les dernières.
• Bonjour monsieur et madame, bienvenue parmi nous, j’espère que son séjour fera du bien à votre mari, il est comme cela depuis longtemps !
• Depuis qu’il a payé un détective pour qu’il retrouve ses parents qui l’avaient abandonné à sa naissance.
Il a retrouvé leur trace, ils s’agiraient d’un curé et d’une nonne, lorsqu’il l’a appris, il est tombé comme en léthargie sans explication et depuis il est ainsi.
Le détective est en train de rechercher ou ils se trouvent, l’église est tellement cloisonnée que nous ignorons ou ils finissent maintenant leur vie.
Si les miracles existent, il va se produire, à notre séparation une soeur m’a donné son numéro de portable et je vais pouvoir l’appeler pour lui dire que j’ai retrouvé son fils.
Voilà, Lionnel a envie de me faire la petite sœur de notre merveilleux Hugo.
Pourquoi lui refuser ce plaisir surtout que je suis fidèle au frère et à la sœur, j’en ai bien assez comme ça pour satisfaire ma soif d’amour et de sexe ?
Peut-être qu’un jour le démon du sexe viendra me tirer les pieds la nuit et me permettra de vous confier de nouvelles aventure pour la salope qu’un putain de cardan a fait de moi.
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