COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (5/6) - histoire érotique

(Début du chapitre V, Marie et Sophie vivent une expérience que je ne pensais pas si intense lorsque j’ai commencé et créé cette collection « Les Rousses. » surtout avec une bonne sœur subissant une panne de voiture.)

Dans quoi me suis-je embarquée en acceptant de venir dormir dans un camping naturiste ?
Est-ce que Franck le réparateur m’a dit qu’il était communal que j’ai pu penser qu’il serait facile de passer inaperçu en restant sagement dans un des bungalows dans lequel je devais venir coucher ?
Il n’en a rien été, je comprends, après ce qu’il vient de se passer, que c’est la famille Boulay ayant tergiversé entre le camping en bungalow et un gite qui en a été la cause.
Bien sûr je n’ai pas de preuve tangible, mais les divers propos entendus entre Yollande la mère de famille et Désiré le père me le laisse à penser.
Résultat, je me sens mal à l’aise, lorsqu’en plein spectacle du soir, Yollande quitte la salle après une violente prise à parti entre les deux époux.
Bip-Bip, non il est préférable de dire Lionnel le cuistot animateur de la soirée ayant repris les choses en main.
Sophie la directrice du camp me demande si je suis d’accord de rentrer pour récupérer de la longue journée que représente la tenue d’une telle structure, même aidé par de nombreux collaborateurs ou collaboratrice.
Avant de retourner vers le lit que je dois partager avec elle.
Sophie accepte que nous passions voir le bungalow où Yollande a dû se rendre en quittant la salle de resto où se tient la soirée.

• Yollande, tu es là, nous nous sommes permis de rentrer, la porte était ouverte. Nous venons te voir ayant eu peur que tu ne fasses des bêtises.
• Tu as quitté précipitamment la soirée avant que Sophie n’ait le temps de te présenter des excuses vous ayant agressé verbalement, elle en est navrée.
• Qui vous êtes pour venir jusque dans ma chambre, pour me tutoyer alors que nous n’avons pas gardé les cochons ensemble.
Et, que savez-vous de ma vie, madame la directrice pour vous permettre de juger mon couple.
J’ai déjà assez de mal depuis des années à supporter les railleries du nom que porte mon connard de mari surtout avec son nom à la con.
Lorsque j’étais jeune, le mien était Joli-Connard, j’aspirais à me marier pour enfin en changer et de Connard je suis passée à Boulay.
Ajouté à ça, le gros cul que mes jumeaux dizygotes m’ont apporté et vous pouvez voir le calvaire de ma vie.
Alors, je fais ma valise, inutile de me dire qu’il fait nuit et que les routes dans ce trou perdu peuvent être dangereuses.
Si je dois finir violée et plantée un couteau dans le cœur, ça m’évitera de le faire moi-même.
D’ailleurs, j’ai déjà essayé de le faire et je suis trop pleutre pour passer à l’acte !
• Yollande, je te tutoie par respect, si tu connaissais mon parcours, tu te rendrais compte, qu’il y a d’autres circonstances dans la vie où tu pourrais regarder la vie du bon côté de la lorgnette.
Tu sembles avoir hésité à venir dans ce camping naturiste, je vois que tu es comme moi, tu as gardé autour de tes reins de quoi protéger ton intimité.
• Bien sûr que j’ai hésité à cause de mes grosses paires de fesses.
Lorsque j’ai connu Désiré tu parles déjà d’un prénom à la con, bien que Yollande ce soit du même acabit.
Lorsque j’ai connu celui qui devait devenir mon mari, je faisais 50 kilos, toute mouillée, pour un mètre soixante.
J’étais comme vous, je crois avoir entendu que vous vous appelez Marie, voilà un prénom qui m’aurait plu.
Désiré m’a rapidement dit qu’avec ses parents, ils pratiquaient le naturisme. Moi sans être contre, j’ai cédé en un point après la naissance des jumeaux survenus après la première fois où j’allais dire où nous avons fait l’amour hors mariage.
Petite queue, mais grande efficacité, pas du côté d’une quelconque jouissance pour moi, mais ses spermatozoïdes ayant rencontré l’un de mes ovules.
Grossesse, mariage précipité de plus de cinq mois, je prenais des formes de partout sans pour autant avoir connu le bonheur.
Certes Désiré faisait tout pour me rendre heureux, mais lorsque l’on est parti de travers dans un couple, la catastrophe est inévitable et on y est ce soir.
• Crois-tu que tu as tout essayé ?
J’ai peu d’expérience du sexe à 28 ans, mais toute chose a du bon dans la vie.
Regarde aujourd’hui, une panne de voiture et je rencontre des personnes formidables dont j’ignorais l’existence et le mode de vie.

Peu d’expérience !
Aucune expérience, je devrais dire.
Je suis à deux doigts de révéler la vérité sur ma condition de femme d’église, mais j’ignore ce qui me retient de tout révéler, alors qu’une porte s’ouvrait, je reste coi et je passe mon tour.
Certainement le fait que Yollande a sous-entendu qu’elle était à deux doigts du suicide.
Est-ce que par le plus pur des hasards, la panne était placée par lui pour aider cette femme dans la détresse où elle se trouve présentement et aussi de celle de Sophie.

• Qu’as-tu essayé pour arranger la situation ?
• À la maison, comme nous n’avons pas de vis-à-vis, j’ai accepté que tous les quatre nous vivions nus comme Désiré le faisait avec ses parents.
Mais ça n’a pas suffi, je sentais qu’il en voulait plus sans pourtant exprimer ses envies.
De leur côté, Mia et Hugo semblaient vivre la nudité comme si des gênes familiales leur permettaient d’accepté leur nudité !
• Yollande, ne serait-ce pas ton gros cul plutôt que la gêne que tu ressentais en étant entièrement nue.
Je vais te faire une confidence, cette culotte j’ai accepté de la passer pour paraitre normale auprès de vous les nudistes.
Tiens, je l’enlève et je te montre ma touffe rousse pour te montrer que tu viens de me faire prendre conscience que dans la vie il y a des choses plus graves qu’une chatte ou une toison rouge.

Je me demande si au moment où j’ôte ma petite culotte devant ces deux femmes, si c’est Dieu qui commande mon geste.

• Tu vois Yollande, Marie fait un effort, dit moi quel effort tu as fait pour ton mari ces temps derniers.
• C’est lui qui pendant ces vacances, a décidé de venir avec les enfants dans un bungalow de ce camp naturiste la dernière semaine de juillet.
J’avais accepté et il est vrai Sophie qu’à la veille de partir, j’ai eu peur des railleries lorsque l’on verrait mon gros cul.
C’est moi qui ai annulé la réservation pour aller dans le village dans un gîte qui pouvait nous recevoir.
Désiré, mais surtout les enfants s’étaient préparés à vivre cette semaine de découverte et comme je les ai vus malheureux, j’ai de nouveau annulé le gîte et t’ai fait le coup de la preuve d’annulation de la réservation.
• En un mot, à part changée d’avis tu n’as rien fait pour le simple plaisir de ton mari !
Comprends-tu qu’il est pu t’envoyer promené comme il l’a fait il y a quelques minutes s’amusant pendant le karaoké, même s’il est vrai que j’ai poussé un peu loin le bouchon ?
Toi qui le connais mieux que nous, sauf assumer en restant, que pourrais-tu nous suggérer pour lui faire plaisir, mais à lui seul ?
• J’ai bien une idée, mais elle va vous paraitre saugrenue !
• Dis toujours, ce sera à nous de juger, si elle l’ait ou pas.

Je suis la chatte à l’air, certes devant deux femmes, ce qui ne m’est jamais arrivé au carmel de Lisieux.
Mais de voir Yollande baisser sa culotte et nous montrer une toison noire couvrant tout son bas-ventre, je comprends un peu mieux ses réticences.

• Désiré aimerait que je me rase intégralement, je ne peux pas m’empêcher de penser que si je le faisais, le peu de fois où nous faisons l’amour il pourrait penser que je ressemble à notre fille !

Ou va se nicher les perversions ou les fantasmes des gens.
Yollande a dû penser cela alors que Mia commençait sa puberté, mais vu l’âge de sa fille, aux alentours de 16 ans, la toison de Mia, c’est elle ou une esthéticienne qui s’en occupe.

• Eh bien voilà, comment Désiré se rase-t-il ?
• Avec un coupe-chou et de la mousse à raser, tout est dans la salle de bains.
• Marie, va dans la cuisine, ouvre le placard sous levier, il y a une bassine, ramène là avec un peu d’eau.

Je fais ce que Sophie me demande, c’est la première fois que je parcours quelques mètres entièrement nus, j’ai une sensation de plaisir non désagréable, est-ce pêcher, il faudra que je demande à mon confesseur.
Sophie a récupéré, le matériel pour l’opération à la façon dont elle le tien, je parle du coupe-chou, je vois qu’elle sait se servir d’un engin que je verrais mal approché de ma chatte.
De l’autre elle badigeonne les poils qu’elle désire ôter avec le savon à barbe.
Intérieurement je ris lorsque Désiré se badigeonnera le visage avec son blaireau ayant servi à étaler le savon sur la chatte de sa moitié !
Avec des coups bien précis, rapidement Sophie enlève l’intégralité de la toison de Yollande.
J’ai vu rarement, même, là aussi jamais, des chattes pillées ou celle de petite fille. Même si au couvent lorsque je faisais mon apprentissage pour être sûr de mon choix personnel, sœur du rosaire de Marie a mis au monde un enfant, mais aucune de nous n’avons assisté à la naissance.
Nous n’avons jamais revu cette sœur, à ce qui nous a été rapporté, le garçon qu’elle avait réussi à voir l’aurait épousé et éduquerait sa petite fille.

• Voilà, Yollande, c’est fait, range cette valise et dépêche-toi de te coucher, le karaoké va bientôt se terminer.
Lumière éteinte, tu laisses Désiré te rejoindre, tu attends quelques minutes, mais pas trop.
Il faut que tu évites de le trouver endormi lorsque tu prendras sa main, que tu la poseras sur ta chatte et qu’il découvrira que tu as fait un grand geste pour son seul plaisir.
Bonne nuit ma chérie, tu viendras nous dire le résultat demain en fin de matinée à la réception.

Nous quittons le bungalow, nous reprenons la voiture, direction notre propre bungalow.
Sophie avait raison, lorsque nous entrons, nous entendons.
« Bip-bip »
« Bip-bip ».
Repris en cœur par toute l’assistance.
C’est malin avant de m’endormir, ces onomatopées vont me courir dans la tête.
Quoiqu’il soit possible que d’autres faits nouveaux me tiennent éveillée…