COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Fin de la Saison I (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Fin de la Saison I (5/5)
Alain le mari de Nelly couple en vacances en mon gîte est parti avec Rocco mon cheval pendant que nous tenons compagnie à sa femme enceinte.
Au cours de la conversation elle nous apprend qu’elle est enceinte mais d’un inconnu car elle a baisé avec de nombreux hommes dans un club échangiste.
Pendant ce temps, il regardait et ne l’avait pas touché dans les quatre mois précédant la découverte de sa grossesse.
- Baisais-tu sans protection ?
- Je ne prenais pas la pilule car je m’étais mise dans la tête que les enfants et moi c’était terminé et au club tous mes partenaires mettaient des capotes.
- Véronique, nous sommes allongées aux côtés de la Sainte Vierge.
- Loin de moi l’idée, mes renseignements pris hélas trop tard.
Dans ces clubs certains des hommes mettent des capotes de mauvaise qualité et mon ventre en est le résultat.
J’aurais dû accepter de me faire sauter qu’en fournissant mes propres capotes à mes partenaires.
- Et l’avortement ?
- Tu es folle, d’un commun accord nous avons décidé de garder ce petit garçon qui est un don du ciel.
- Revoilà la Sainte Vierge.
Nous pouffons Laurette et moi.
- D’accord j’ai compris, j’ai dit que notre fils était un don du ciel.
Vous êtes marrantes toutes les deux !
Nous éclatons de rire toutes les trois et nous décidons d’aller nous baigner.
Nous descendons les cinq marches donnant accès à l’eau de la piscine, une hauteur de 80 cm au plus bas et grâce à la pente et les trente mètres d’avoir 120 cm au plus profond.
Je reste dans l’eau pendant une heure me retrouvant de temps en temps dans les bras de Nelly ou de Laurette sans que je le fasse avec intention.
Chaque fois nos seins se touchent, je ressens au bout d’un moment des sensations sur mes pointes.
Ces frottements entraînant des sensations vers mon sexe malgré l’eau.
Que m’arrive-t-il cet été, pourquoi mes sens s’enflamment-ils alors qu’ils me laissaient tranquille depuis qu’Ottavio a cessé de donner signe de vie.
J’ai un seul problème si mon inconnu me laisse tomber lui aussi, je serais bien en peine de sortir étant tributaire des autres et de leur voiture.
L’autre solution serait de sauter sur tous les mâles de mes chambres d’hôtes au risque de faire un impaire.
Mon manque de vue pourrait me faire draguer l’un ou l’autre sans voir où se trouve sa compagne car nous avons rarement des célibataires dans nos chambres.
Quand nous en avons, souvent ils ont des enfants.
À ce sujet, dans les investissements futurs il nous faudra deux poneys car nous avons déjà eu des demandes.
L’expérience de Laurette ayant failli se faire surprendre doit me servir de leçon car c’est la faillite assurée dans ces cas-là.
Le bouche-à-oreille vidant mes chambres.
Laurette m’aide à sortir de l’eau et à retrouver mon transat suivie de Nelly elle aussi aidée par mon amie.
J’entends l’allure d’un cheval au galop passant au trot et rapidement les pieds de son cavalier sautant au sol.
C’est Alain qui est de retour car en plus de mon ouïe qui s’est développée mon nez reconnaît l’odeur dégagée par Rocco.
L’odeur forte de sa sueur après une course folle ce que je faisais fréquemment avec lui avant ma chute.
- Nelly tous va bien, je me suis éclaté.
Mademoiselle votre cheval est fantastique merci de me l’avoir loué.
Mesdames vous avez des poitrines magnifiques, surtout vous Véronique.
- Je ne les vois pas, mais celle de votre femme doit être la plus belle pour vous.
Les seins d’une femme enceinte sont rares dans une vie de couple, surtout pour vous qui avez galéré pour l’avoir.
- Je le conçois mais j’aime la forme des vôtres.
La table est réservée, toujours partante pour ce soir j’ai confirmé le restaurant ?
Mais je vois que vous êtes deux à avoir accompagné ma femme cette après-midi.
Mademoiselle quand il y en a pour trois pourquoi pas quatre, nous ferez-vous le plaisir de nous accompagner ?
- Pourquoi pas Lionel mon copain est de sortie avec des camarades de son club de rugby où il vient de s’inscrire ?
Je suis seule ce soir, bouffer au restaurant, je suis partante !
- Laurette surveille ton langage, bouffer ces affreux dans la bouche d’une jolie fille.
- Je vais être l’homme le plus chanceux au monde entouré de trois beautés.
Nelly vient il faut que tu prennes un bain après l’eau de la piscine, tu dois sentir le chlore.
- Nelly attention, c’est comme cela que l’on se retrouve enceinte.
C’est Laurette qui fait cette recommandation à notre nouvelle amie.
- Merci de me prévenir, j’ai entendu dire qu’il y avait de grands méchants loups dans la région la nuit.
Cette phrase est circonspecte pour moi, tous ignorent que dans mon écurie j’ai rencontré le loup et que ma chatte dégouline de le retrouver de nouveau à moins que ce soit une simple coïncidence.
Nelly et Alain étaient bien loin d’ici ce soir-là.
La soirée est agréable et la table au moulin est de bonne qualité nous avons même la surprise de voir sur la carte des vins du mercurey chant fluté et du crémant de mon domaine qu’Alain s’empresse de commander.
En rentrant à plus de minuit lui sobre car il conduisait les trois femmes un peu pompettes.
Alain me raccompagne jusqu’à mon perron après avoir déposé Nelly et surtout Laurette qui reprend son service à 5 heures pour préparer les petits déjeuners.
Avec en plus à donner à manger aux chevaux car à la suite de la troisième mi-temps à son club de rugby Lionel restera couché tardivement.
- Encore merci de m’avoir prêté ton cheval.
Grâce à toi cette semaine que je pensais morne me faisant peur, aura été fabuleuse surtout près de la naissance de notre enfant.
Je sens qu’il me prend la main et effleurant ses lèvres sur le dessus me fait pour la première fois de ma vie un baisemain.
- Je monte me coucher, demain fait la grasse matinée avec ta charmante épouse qui est formidable après ce que tu lui as fait subir.
- Je vois que vous avez papoté.
- Oui, et cet après-midi tu pourras faire une nouvelle sortie avec Rocco.
Peu de personnes sont capables de le monter comme j’ai entendu que tu le faisais, je pense qu’il a apprécié.
- Merci, je vois que Nelly t’a expliqué pour notre enfant.
Tu peux me juger mais je suis sincère qu’importe le père biologique, c’est un cadeau pour notre couple.
Je rentre et il me laisse, malgré l’heure je me douche, mets mon peignoir et nue dessous je retrouve Rocco baigné et étrillé par Lionel quand Alain l’a ramené.
- Tout doux Rocco c’est moi, j’espère que tu t’es éclaté cet après-midi.
Alain va te faire courir comme nous aimions le faire de nouveau demain après-midi.
Arrête de hennir et d’être jaloux de Quasi, je vous aime autant l’un que l’autre.
On dirait que mon cheval est comme un homme jaloux dès que j’ai fermé son box pour ouvrir celui de la nouvelle jument.
C’est à ce moment que ça recommence.
- Arrêter, non pas la bouche, j’aimerais que nous parlions, je suis aveugle et je suis incapable de te reconnaître.
D’ailleurs j’en ai pour preuve que l’autre soir quand tu m’as un peu forcé à faire l’amour, personne n’a été au courant alors que j’aurais pu appeler la police pour qu’elle enquête et t’arrête.
J’ai aimé ce qu’on a fait ensemble, j’ai eu un homme dans ma vie qui m’a abandonné.
Depuis tu es le premier et j’espère que tu es venu pour recommencer mais je veux participer à nos jeux.
Dans le dernier box, il y a du foin qui sert de réserve pour qu’il soit sec en cas de pluie pour nourrir nos chevaux, viens !
J’ai réussi à dire tout cela à l’homme qui me laisse ma bouche libre.
En plus d’être aveugle, la première fois je suis restée muette après que nous avons fait l’amour.
Je lui prends la main que je trouve en tâtonnant et sachant très bien où je vais je l’emmène pour qu’il m’éclate comme l’autre soir.
Mieux car je vais pouvoir participer.
Sa main et son sexe qu’il a déjà sortis de son pantalon qui est au bas de ses jambes sont à ma disposition et sa queue est bien raide.
Il manque de tomber avec ses pieds entravés et se raccroche à un de mes seins qui frissonne de plaisir car comme cette après-midi avec mon cheval tous mes sens sauf ma vue sont exacerbés.
Je le pousse dans le foin et deviens cette fois la maîtresse de nos jeux.
Je m’agenouille pour le prendre dans ma bouche tout en lui caressant les couilles qui remplissent l’une de mes mains.
Elles finissent une après l’autre dans ma bouche.
Ma langue est active et je perçois ses soupirs de plaisir.
- Tu vois, si je m’étais laissée baiser comme l’autre soir tu serais déjà repartie et je serais frustrée autant que toi.
Après ces quelques mots je retourne à ma tache le faisant bander plus fort encore.
Le sucer c’est bien mais l’avoir en moi depuis l’autre soir j’en rêve.
Aussi avant qu’il n’éjacule je me redresse descend ma chatte en écartant mes grandes lèvres presque inexistante chez moi sur sa figure, je les pose sur sa bouche.
Sa langue très agile vient titiller mon clito qui réagit instantanément et pour éviter qu’il ne débande je passe ma main derrière moi pour le masturber.
- Tu vois ta bouche et ta queue vont nous être utile pour mon plaisir et ton plaisir. Je dois reconnaître que me faire prendre à la hussarde m’a beaucoup plu mais tu vas voir comme nous allons jouir l’un de l’autre même si tu continus à me cacher le son de ta voix.
Il me met ses mains dans le creux de mes hanches et appuyant plus fortement sur mon corps et surtout mon clito sa langue bien active, il me nettoie la chatte méticuleusement.
Je sens cette langue entrer au plus loin laissant échapper de mon vagin des myriades de sécrétions qu’il semble apprécier.
Il a dû apprécier mon initiative car après quelques minutes de ce jeu, il me renverse me faisant sentir des milliers de merveilleuses petites pointes entrant dans mon dos par le foin que je rejoins.
Ce que j’espérais depuis la dernière fois recommence, son sexe est en moi et commence à aller et venir.
Je sens son souffle chaud s’accélérer à chacune de ses pénétrations et les bruits me faisant penser qu’il est un bûcheron tapant avec sa cognée, c’est ainsi que mon vagin réagit à la queue qu’il a mise en moi et me fait jouir.
Profitant de ce que son oreille est a porté de ma bouche je l’entoure de mes bras le serrant plus fortement sur ma poitrine et lui susurre.
- Tu vois, on est bien ici, tu dois être marié pour te cacher ainsi car comme je suis dans l’impossibilité de te reconnaître demain matin nous pourrions très bien avoir une relation plus suivie.
Je suis prête à te recevoir dans ma chambre même si j’aime faire l’amour avec toi sur ce tas de foin.
C’est oppressant, baiser sans aucun retour à moins que moi qui suis aveugle je me fasse sauter par un autre infirme muet plutôt que sourd car il réagit à tout ce que je lui dis.
- Je veux me mettre en levrette, tu vas aller plus loin en moi.
Il me relâche et une nouvelle fois je pourrais me sauver mais il entre en moi me prenant les hanches et pendant un bon moment je subis son assaut avec les mêmes grognements de bûcheron que tout à l’heure.
Je jouis deux fois juste quand un éclair frappe très proche de nous car je me retrouve dans une lumière qui arrive jusqu’à mon cerveau.
Je le vois une fraction de seconde avant de retourner dans ma nuit.
Rocco hennis de peur certainement tapant le sol de son sabot et le bruit du tonnerre m’arrive aux oreilles instantanément.
Mon inconnu d’un soir de peur éjacule en moi et tous les deux sous la force du plaisir dévastateur qui nous frappe, nous hurlons comme des loups.
Nous voici arrivés à la fin de la saison I du Domaine.
La saison II dans quelques jours après le retour et la fin de la saison VI de Poupette.
Merci à Alexandra pour ses relectures.
Au cours de la conversation elle nous apprend qu’elle est enceinte mais d’un inconnu car elle a baisé avec de nombreux hommes dans un club échangiste.
Pendant ce temps, il regardait et ne l’avait pas touché dans les quatre mois précédant la découverte de sa grossesse.
- Baisais-tu sans protection ?
- Je ne prenais pas la pilule car je m’étais mise dans la tête que les enfants et moi c’était terminé et au club tous mes partenaires mettaient des capotes.
- Véronique, nous sommes allongées aux côtés de la Sainte Vierge.
- Loin de moi l’idée, mes renseignements pris hélas trop tard.
Dans ces clubs certains des hommes mettent des capotes de mauvaise qualité et mon ventre en est le résultat.
J’aurais dû accepter de me faire sauter qu’en fournissant mes propres capotes à mes partenaires.
- Et l’avortement ?
- Tu es folle, d’un commun accord nous avons décidé de garder ce petit garçon qui est un don du ciel.
- Revoilà la Sainte Vierge.
Nous pouffons Laurette et moi.
- D’accord j’ai compris, j’ai dit que notre fils était un don du ciel.
Vous êtes marrantes toutes les deux !
Nous éclatons de rire toutes les trois et nous décidons d’aller nous baigner.
Nous descendons les cinq marches donnant accès à l’eau de la piscine, une hauteur de 80 cm au plus bas et grâce à la pente et les trente mètres d’avoir 120 cm au plus profond.
Je reste dans l’eau pendant une heure me retrouvant de temps en temps dans les bras de Nelly ou de Laurette sans que je le fasse avec intention.
Chaque fois nos seins se touchent, je ressens au bout d’un moment des sensations sur mes pointes.
Ces frottements entraînant des sensations vers mon sexe malgré l’eau.
Que m’arrive-t-il cet été, pourquoi mes sens s’enflamment-ils alors qu’ils me laissaient tranquille depuis qu’Ottavio a cessé de donner signe de vie.
J’ai un seul problème si mon inconnu me laisse tomber lui aussi, je serais bien en peine de sortir étant tributaire des autres et de leur voiture.
L’autre solution serait de sauter sur tous les mâles de mes chambres d’hôtes au risque de faire un impaire.
Mon manque de vue pourrait me faire draguer l’un ou l’autre sans voir où se trouve sa compagne car nous avons rarement des célibataires dans nos chambres.
Quand nous en avons, souvent ils ont des enfants.
À ce sujet, dans les investissements futurs il nous faudra deux poneys car nous avons déjà eu des demandes.
L’expérience de Laurette ayant failli se faire surprendre doit me servir de leçon car c’est la faillite assurée dans ces cas-là.
Le bouche-à-oreille vidant mes chambres.
Laurette m’aide à sortir de l’eau et à retrouver mon transat suivie de Nelly elle aussi aidée par mon amie.
J’entends l’allure d’un cheval au galop passant au trot et rapidement les pieds de son cavalier sautant au sol.
C’est Alain qui est de retour car en plus de mon ouïe qui s’est développée mon nez reconnaît l’odeur dégagée par Rocco.
L’odeur forte de sa sueur après une course folle ce que je faisais fréquemment avec lui avant ma chute.
- Nelly tous va bien, je me suis éclaté.
Mademoiselle votre cheval est fantastique merci de me l’avoir loué.
Mesdames vous avez des poitrines magnifiques, surtout vous Véronique.
- Je ne les vois pas, mais celle de votre femme doit être la plus belle pour vous.
Les seins d’une femme enceinte sont rares dans une vie de couple, surtout pour vous qui avez galéré pour l’avoir.
- Je le conçois mais j’aime la forme des vôtres.
La table est réservée, toujours partante pour ce soir j’ai confirmé le restaurant ?
Mais je vois que vous êtes deux à avoir accompagné ma femme cette après-midi.
Mademoiselle quand il y en a pour trois pourquoi pas quatre, nous ferez-vous le plaisir de nous accompagner ?
- Pourquoi pas Lionel mon copain est de sortie avec des camarades de son club de rugby où il vient de s’inscrire ?
Je suis seule ce soir, bouffer au restaurant, je suis partante !
- Laurette surveille ton langage, bouffer ces affreux dans la bouche d’une jolie fille.
- Je vais être l’homme le plus chanceux au monde entouré de trois beautés.
Nelly vient il faut que tu prennes un bain après l’eau de la piscine, tu dois sentir le chlore.
- Nelly attention, c’est comme cela que l’on se retrouve enceinte.
C’est Laurette qui fait cette recommandation à notre nouvelle amie.
- Merci de me prévenir, j’ai entendu dire qu’il y avait de grands méchants loups dans la région la nuit.
Cette phrase est circonspecte pour moi, tous ignorent que dans mon écurie j’ai rencontré le loup et que ma chatte dégouline de le retrouver de nouveau à moins que ce soit une simple coïncidence.
Nelly et Alain étaient bien loin d’ici ce soir-là.
La soirée est agréable et la table au moulin est de bonne qualité nous avons même la surprise de voir sur la carte des vins du mercurey chant fluté et du crémant de mon domaine qu’Alain s’empresse de commander.
En rentrant à plus de minuit lui sobre car il conduisait les trois femmes un peu pompettes.
Alain me raccompagne jusqu’à mon perron après avoir déposé Nelly et surtout Laurette qui reprend son service à 5 heures pour préparer les petits déjeuners.
Avec en plus à donner à manger aux chevaux car à la suite de la troisième mi-temps à son club de rugby Lionel restera couché tardivement.
- Encore merci de m’avoir prêté ton cheval.
Grâce à toi cette semaine que je pensais morne me faisant peur, aura été fabuleuse surtout près de la naissance de notre enfant.
Je sens qu’il me prend la main et effleurant ses lèvres sur le dessus me fait pour la première fois de ma vie un baisemain.
- Je monte me coucher, demain fait la grasse matinée avec ta charmante épouse qui est formidable après ce que tu lui as fait subir.
- Je vois que vous avez papoté.
- Oui, et cet après-midi tu pourras faire une nouvelle sortie avec Rocco.
Peu de personnes sont capables de le monter comme j’ai entendu que tu le faisais, je pense qu’il a apprécié.
- Merci, je vois que Nelly t’a expliqué pour notre enfant.
Tu peux me juger mais je suis sincère qu’importe le père biologique, c’est un cadeau pour notre couple.
Je rentre et il me laisse, malgré l’heure je me douche, mets mon peignoir et nue dessous je retrouve Rocco baigné et étrillé par Lionel quand Alain l’a ramené.
- Tout doux Rocco c’est moi, j’espère que tu t’es éclaté cet après-midi.
Alain va te faire courir comme nous aimions le faire de nouveau demain après-midi.
Arrête de hennir et d’être jaloux de Quasi, je vous aime autant l’un que l’autre.
On dirait que mon cheval est comme un homme jaloux dès que j’ai fermé son box pour ouvrir celui de la nouvelle jument.
C’est à ce moment que ça recommence.
- Arrêter, non pas la bouche, j’aimerais que nous parlions, je suis aveugle et je suis incapable de te reconnaître.
D’ailleurs j’en ai pour preuve que l’autre soir quand tu m’as un peu forcé à faire l’amour, personne n’a été au courant alors que j’aurais pu appeler la police pour qu’elle enquête et t’arrête.
J’ai aimé ce qu’on a fait ensemble, j’ai eu un homme dans ma vie qui m’a abandonné.
Depuis tu es le premier et j’espère que tu es venu pour recommencer mais je veux participer à nos jeux.
Dans le dernier box, il y a du foin qui sert de réserve pour qu’il soit sec en cas de pluie pour nourrir nos chevaux, viens !
J’ai réussi à dire tout cela à l’homme qui me laisse ma bouche libre.
En plus d’être aveugle, la première fois je suis restée muette après que nous avons fait l’amour.
Je lui prends la main que je trouve en tâtonnant et sachant très bien où je vais je l’emmène pour qu’il m’éclate comme l’autre soir.
Mieux car je vais pouvoir participer.
Sa main et son sexe qu’il a déjà sortis de son pantalon qui est au bas de ses jambes sont à ma disposition et sa queue est bien raide.
Il manque de tomber avec ses pieds entravés et se raccroche à un de mes seins qui frissonne de plaisir car comme cette après-midi avec mon cheval tous mes sens sauf ma vue sont exacerbés.
Je le pousse dans le foin et deviens cette fois la maîtresse de nos jeux.
Je m’agenouille pour le prendre dans ma bouche tout en lui caressant les couilles qui remplissent l’une de mes mains.
Elles finissent une après l’autre dans ma bouche.
Ma langue est active et je perçois ses soupirs de plaisir.
- Tu vois, si je m’étais laissée baiser comme l’autre soir tu serais déjà repartie et je serais frustrée autant que toi.
Après ces quelques mots je retourne à ma tache le faisant bander plus fort encore.
Le sucer c’est bien mais l’avoir en moi depuis l’autre soir j’en rêve.
Aussi avant qu’il n’éjacule je me redresse descend ma chatte en écartant mes grandes lèvres presque inexistante chez moi sur sa figure, je les pose sur sa bouche.
Sa langue très agile vient titiller mon clito qui réagit instantanément et pour éviter qu’il ne débande je passe ma main derrière moi pour le masturber.
- Tu vois ta bouche et ta queue vont nous être utile pour mon plaisir et ton plaisir. Je dois reconnaître que me faire prendre à la hussarde m’a beaucoup plu mais tu vas voir comme nous allons jouir l’un de l’autre même si tu continus à me cacher le son de ta voix.
Il me met ses mains dans le creux de mes hanches et appuyant plus fortement sur mon corps et surtout mon clito sa langue bien active, il me nettoie la chatte méticuleusement.
Je sens cette langue entrer au plus loin laissant échapper de mon vagin des myriades de sécrétions qu’il semble apprécier.
Il a dû apprécier mon initiative car après quelques minutes de ce jeu, il me renverse me faisant sentir des milliers de merveilleuses petites pointes entrant dans mon dos par le foin que je rejoins.
Ce que j’espérais depuis la dernière fois recommence, son sexe est en moi et commence à aller et venir.
Je sens son souffle chaud s’accélérer à chacune de ses pénétrations et les bruits me faisant penser qu’il est un bûcheron tapant avec sa cognée, c’est ainsi que mon vagin réagit à la queue qu’il a mise en moi et me fait jouir.
Profitant de ce que son oreille est a porté de ma bouche je l’entoure de mes bras le serrant plus fortement sur ma poitrine et lui susurre.
- Tu vois, on est bien ici, tu dois être marié pour te cacher ainsi car comme je suis dans l’impossibilité de te reconnaître demain matin nous pourrions très bien avoir une relation plus suivie.
Je suis prête à te recevoir dans ma chambre même si j’aime faire l’amour avec toi sur ce tas de foin.
C’est oppressant, baiser sans aucun retour à moins que moi qui suis aveugle je me fasse sauter par un autre infirme muet plutôt que sourd car il réagit à tout ce que je lui dis.
- Je veux me mettre en levrette, tu vas aller plus loin en moi.
Il me relâche et une nouvelle fois je pourrais me sauver mais il entre en moi me prenant les hanches et pendant un bon moment je subis son assaut avec les mêmes grognements de bûcheron que tout à l’heure.
Je jouis deux fois juste quand un éclair frappe très proche de nous car je me retrouve dans une lumière qui arrive jusqu’à mon cerveau.
Je le vois une fraction de seconde avant de retourner dans ma nuit.
Rocco hennis de peur certainement tapant le sol de son sabot et le bruit du tonnerre m’arrive aux oreilles instantanément.
Mon inconnu d’un soir de peur éjacule en moi et tous les deux sous la force du plaisir dévastateur qui nous frappe, nous hurlons comme des loups.
Nous voici arrivés à la fin de la saison I du Domaine.
La saison II dans quelques jours après le retour et la fin de la saison VI de Poupette.
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