COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison IV (19/21)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison IV (19/21)
C’est en me promenant jusqu’à mes vignes la nuit que passant près de ma piscine je décide de me baigner.
J’ôte tout sauf ma petite culotte, j’ai le respect de moi-même, même si je ne vois rien depuis mon accident de cheval.
Dans la piscine, bien sûr je ne vois pas qu’à cette heure tardive de la nuit elle est déjà occupée par Virginie une de nos clientes.
Laurette, cette dévergondée nous retrouve et c’est à trois que sur les transats nous nous faisons bronzer aux rayons de la pleine lune.
Elle nous raconte une partie de sa vie de stripteaseuse à Pigalle et pourquoi elle avait quitté ce travail qu’elle aimait bien.
- Je travaillais dans trois boîtes chaque soir passant de l’une à l’autre.
Une belle blonde naturelle c’est très recherché, les Japonais adorent.
- Et tu as arrêté, tu en avais assez de te mettre à poil devant des regards lubriques ?
- Non, j’ai eu un accident, donne-moi ta main et touche mon bras.
Je le fais et elle me la pose sur une grosse cicatrice, plutôt une grosse boursouflure.
- Comment t’es-tu fait cela ?
- Une femme m’a ébouillanté car son mari venait souvent et elle a cru que j’étais sa maîtresse.
Elle est venue avec un thermos d’eau bouillante.
Quand je suis sortie de scène, elle avait réussi à entrer dans un petit couloir que nous empruntions pour aller aux loges.
Elle a essayé de verser l’eau sur ma figure.
Par chance j’ai détourné le jet de mon visage mais c’est mon bras et mon épaule qui ont tout ramassé.
Ils m’ont emmené aux urgences mais la brûlure provoquée m’a empêché de continuer mon métier.
Mon patron connaissait Paul et il savait qu’il cherchait une serveuse et me voilà chez vous.
- Debout les filles demain je dois me lever pour travailler, bonsoir Virginie.
Véronique j’ai récupéré tes affaires, prends mon bras je t’emmène au pieu.
Nous embrassons notre nouvelle amie et en route vers Olivier qui doit se demander où nous sommes passées.
Arrivées dans ma chambre tous semblent noirs pour Laurette que je guide car je sais exactement où les choses sont placées.
Pour les voyants, dans des lieux sans lumière, ils sont perdus.
- Mince, j’ai tapé dans le panier.
- On peut dormir, je travaille moi demain !
J’ai un métier, pas comme vous qui ferez la grâce matinée.
Je dois aller à l’EDF, j’ai réussi à ce qu’ils ne me coupent pas, je dois défendre mes employés.
C’est drôle, Laurette me dit à l’oreille qu’elle voit le garçon grâce à la clarté de la lune.
Olivier dort étant lové comme un bon toutou que nous avons réussi à faire de lui dans le panier en toile que nous avons acheté pour lui.
Nous avons été gentille, il a eu le droit de donner son avis sur la couleur.
Si on m’avait dit qu’un jour je verrais, sans voir, celui qui souhaite me dépouiller se comporter de la sorte, j’en aurais rigolé traitant celui qui me l’aurait suggéré de malade.
Je suis plus gênée pour ses employés, eux n’y sont pour rien.
Mais les moments pris dans la piscine nous ont épuisés et rapidement nous donnons satisfaction à Olivier car nous nous endormons.
- Merde, Véronique il est neuf heures et j’ai oublié de me réveiller, les petits déjeuners, les clients vont avoir attendu, je file.
Je m’étire comme une chatte satisfaite de ma soirée dans ma piscine et de la nuit passée dans les bras de mon aimée.
Olivier a déjà quitté son couchage et doit être parti.
Il est plus de 12 heures quand je descends déjeuner.
- Bonjour madame, votre petit déjeuner est servi.
Je vous apporte votre café.
- Je reconnais cette voix, vous êtes Agnès et nous vous avons fait venir pour dormir dans la chambre de Laurette.
J’entends la voix de maître Mathieu.
- Laurette m’a suggéré de les embaucher pour remplacer votre gouvernante partie à la retraite.
Nous en avions parlé et comme Agnès et Louis sont d’accord j’ai dit oui.
- Maître Mathieu, venez prendre un café, j’avais reconnu votre approche tout en douceur mais très viril.
Vous avez bien fait, Agnès servez-nous.
- Comme je viens de le dire, j’ai aussi embauché Louis son fiancé pour remplacer Lionel qui a mystérieusement détalé comme un lapin oubliant même sa dernière paye.
- Maître Mathieu, je vous expliquerais un jour.
En attendant Véronique remercie Agnès, ce matin le boulanger a frappé à ma porte et l’a réveillé pour livrer.
Voyant que je manquais à l’appel pour servir nos pensionnaires c’est elle qui s’en est chargée.
Quant à Louis les chevaux ont eu à manger et à boire grâce à lui car il s’est acquitté de la tâche en suivant les conseils de mon père.
Lucien est satisfait, il doit tout lui apprendre et il est à l’écoute.
- Si je comprends bien ils sont déjà indispensables à tous, peux-tu te charger de la formation de l’un et de l’autre ?
- Aucun problème, je vais pouvoir me consacrer aux promenades avec les chevaux encore quelques semaines et de toi ma chérie et faire la grâce matinée comme ce matin plus souvent.
- Tu as raison Laurette ce matin tu as commencé ta nouvelle vie de châtelaine, vient Agnès va te servir.
Maître Mathieu préparez les contrats de travail.
Autre chose, je suis allée dans notre vigne derrière la maison et la canicule qui règne depuis quelques jours semble avoir accéléré la maturation des raisins.
Je pense si vous en êtes d’accord nous devons avancer les vendanges d’une semaine.
- J’ai suivi comme vous l’avancée du raisin et il y a deux jours que je travaille pour faire venir l’équipe de vendangeur plus tôt.
C’est difficile car les étudiants ont repris le chemin des lycées mais j’ai bon moral pour que l’équipe soit présente en temps et en heures.
J’ai suivi la découverte du trésor de la chapelle.
Si j’ai bien compris vous récupérez les Louis d’or avant de savoir combien rapporteront les objets en or avec des pierres précieuses.
Je vous remercie cette année d’ouvrir la cave mais dès que nous aurons récupéré les hectares du domaine Raguin il faudra investir dans une machine à vendanger.
- Vous semblez savoir bien des choses Maître Mathieu.
- Tous savoir et tout garder pour moi c’est la base de mon travail.
J’aimerais vous poser des questions.
Pourquoi Olivier le propriétaire de ce domaine part tous les matins de chez vous pour rentrer chez lui et attendre le soir pour revenir ?
Je crois qu’il va falloir que je gère dès maintenant certaines choses comme leurs vendanges si nous voulons récupérer les quantités que vous lui avez acheté sans qu’il le sache.
Hier, il a réussi à gagner du temps, ils voulaient lui couper le courant.
Le café était très bon madame Véronique, je vous laisse en de bonnes mains avec Laurette.
Je dois aller avec Paul votre client qui va nous commander du vin pour son bar à Paris.
- Et moi qui vais avoir à gérer votre sortie à cheval avec Virginie sa femme l’une ayant peur des chevaux et l’autre étant incapable de voir où elle va.
C’est vrai j’ai rendez-vous avec Virginie pour que nous lui fassions faire connaissance avec Quasi notre jument qui semble assez douce pour une première sortie à cheval.
Dès que je suis prête je rejoins l’écurie.
- Merci madame pour nous avoir engagé Agnès et moi.
Surtout que nous serons logés, vous aurez affaire à un couple entièrement à votre service.
Excusez, j’emmène Pompon faire un tour j’ai quelques pierres sur la vigne haute à remettre en place, mon prédécesseur se donnait du bon temps je crois.
Je l’entends sauter à cru sur le dos de Pompon et partir au pas de notre vieux compagnon.
Au passage à hauteur de la porte de l’écurie il hennit certainement de plaisir.
Ce qu’il y a de bien c’est que mes petits déjeuners font office de déjeuner ce qui me fait faire des économies et j’entends les deux filles venir vers moi en papotant.
- On est prête les filles, je sors vos chevaux ainsi que Pablo que tu monteras Véronique car je suis allée les voir tout à l’heure pour présenter Pompon à Louis et j’ai trouvé Rocco très nerveux.
Nous entendons les chevaux sortir et je suis malheureuse Rocco semblant m’ignorer.
Pourtant chaque fois que je suis près de lui il venait me donner un petit coup de tête affectueux.
- Véro, Pablo ton cheval est prêt tu peux monter, les sangles sont bien serrées.
Je mets le pied dans l’étrier et je me sens très bien sur ma selle à attendre que notre trio soit prêt.
- Comment monte-t-on sur cette bestiole.
- Cheval Virginie, pas une bestiole.
Le cheval est le meilleur ami de l’homme et de la femme.
Facile Virginie, ta tenue semble un peu grande mais on va faire avec.
- C’est la tenue de Paul, sans la bombe il a la tête deux fois plus grosse que moi.
- Et surtout toi tu es blonde.
- Je vais prendre ta remarque pour de l’humour mais si je suis blonde, j’ai aussi un joli petit cul qui tient dans son pantalon grâce à la ceinture serrée au dernier cran.
- Je dois reconnaître que ton cul est à croquer, pour monter c’est facile, tu grimpes sur ce banc prévu pour vous aider vous les débutants et tu places ton pied sans l’étrier en tenant les rênes de Quasi.
Tu pousses sur tes mollets en passant ta jambe par-dessus le cheval.
Stop.
Pas ce pied, l’autre, sinon tu vas faire le parcourt en regardant vers le village en contrebas.
Je sais que la vue est jolie mais c’est moins pratique pour diriger ton cheval.
Ah ! les blondes.
J’entends Rocco se cabrer quand avec célérité Laurette l’enfourche comme elle l’a dit, il semble surexcité.
- Eh ! Rocco calme toi, sinon je vais te donner une douche froide.
- Laurette ton cheval bande, Véronique tu verrais la bite de ton cheval, si Paul en avait une comme cela…
J’ôte tout sauf ma petite culotte, j’ai le respect de moi-même, même si je ne vois rien depuis mon accident de cheval.
Dans la piscine, bien sûr je ne vois pas qu’à cette heure tardive de la nuit elle est déjà occupée par Virginie une de nos clientes.
Laurette, cette dévergondée nous retrouve et c’est à trois que sur les transats nous nous faisons bronzer aux rayons de la pleine lune.
Elle nous raconte une partie de sa vie de stripteaseuse à Pigalle et pourquoi elle avait quitté ce travail qu’elle aimait bien.
- Je travaillais dans trois boîtes chaque soir passant de l’une à l’autre.
Une belle blonde naturelle c’est très recherché, les Japonais adorent.
- Et tu as arrêté, tu en avais assez de te mettre à poil devant des regards lubriques ?
- Non, j’ai eu un accident, donne-moi ta main et touche mon bras.
Je le fais et elle me la pose sur une grosse cicatrice, plutôt une grosse boursouflure.
- Comment t’es-tu fait cela ?
- Une femme m’a ébouillanté car son mari venait souvent et elle a cru que j’étais sa maîtresse.
Elle est venue avec un thermos d’eau bouillante.
Quand je suis sortie de scène, elle avait réussi à entrer dans un petit couloir que nous empruntions pour aller aux loges.
Elle a essayé de verser l’eau sur ma figure.
Par chance j’ai détourné le jet de mon visage mais c’est mon bras et mon épaule qui ont tout ramassé.
Ils m’ont emmené aux urgences mais la brûlure provoquée m’a empêché de continuer mon métier.
Mon patron connaissait Paul et il savait qu’il cherchait une serveuse et me voilà chez vous.
- Debout les filles demain je dois me lever pour travailler, bonsoir Virginie.
Véronique j’ai récupéré tes affaires, prends mon bras je t’emmène au pieu.
Nous embrassons notre nouvelle amie et en route vers Olivier qui doit se demander où nous sommes passées.
Arrivées dans ma chambre tous semblent noirs pour Laurette que je guide car je sais exactement où les choses sont placées.
Pour les voyants, dans des lieux sans lumière, ils sont perdus.
- Mince, j’ai tapé dans le panier.
- On peut dormir, je travaille moi demain !
J’ai un métier, pas comme vous qui ferez la grâce matinée.
Je dois aller à l’EDF, j’ai réussi à ce qu’ils ne me coupent pas, je dois défendre mes employés.
C’est drôle, Laurette me dit à l’oreille qu’elle voit le garçon grâce à la clarté de la lune.
Olivier dort étant lové comme un bon toutou que nous avons réussi à faire de lui dans le panier en toile que nous avons acheté pour lui.
Nous avons été gentille, il a eu le droit de donner son avis sur la couleur.
Si on m’avait dit qu’un jour je verrais, sans voir, celui qui souhaite me dépouiller se comporter de la sorte, j’en aurais rigolé traitant celui qui me l’aurait suggéré de malade.
Je suis plus gênée pour ses employés, eux n’y sont pour rien.
Mais les moments pris dans la piscine nous ont épuisés et rapidement nous donnons satisfaction à Olivier car nous nous endormons.
- Merde, Véronique il est neuf heures et j’ai oublié de me réveiller, les petits déjeuners, les clients vont avoir attendu, je file.
Je m’étire comme une chatte satisfaite de ma soirée dans ma piscine et de la nuit passée dans les bras de mon aimée.
Olivier a déjà quitté son couchage et doit être parti.
Il est plus de 12 heures quand je descends déjeuner.
- Bonjour madame, votre petit déjeuner est servi.
Je vous apporte votre café.
- Je reconnais cette voix, vous êtes Agnès et nous vous avons fait venir pour dormir dans la chambre de Laurette.
J’entends la voix de maître Mathieu.
- Laurette m’a suggéré de les embaucher pour remplacer votre gouvernante partie à la retraite.
Nous en avions parlé et comme Agnès et Louis sont d’accord j’ai dit oui.
- Maître Mathieu, venez prendre un café, j’avais reconnu votre approche tout en douceur mais très viril.
Vous avez bien fait, Agnès servez-nous.
- Comme je viens de le dire, j’ai aussi embauché Louis son fiancé pour remplacer Lionel qui a mystérieusement détalé comme un lapin oubliant même sa dernière paye.
- Maître Mathieu, je vous expliquerais un jour.
En attendant Véronique remercie Agnès, ce matin le boulanger a frappé à ma porte et l’a réveillé pour livrer.
Voyant que je manquais à l’appel pour servir nos pensionnaires c’est elle qui s’en est chargée.
Quant à Louis les chevaux ont eu à manger et à boire grâce à lui car il s’est acquitté de la tâche en suivant les conseils de mon père.
Lucien est satisfait, il doit tout lui apprendre et il est à l’écoute.
- Si je comprends bien ils sont déjà indispensables à tous, peux-tu te charger de la formation de l’un et de l’autre ?
- Aucun problème, je vais pouvoir me consacrer aux promenades avec les chevaux encore quelques semaines et de toi ma chérie et faire la grâce matinée comme ce matin plus souvent.
- Tu as raison Laurette ce matin tu as commencé ta nouvelle vie de châtelaine, vient Agnès va te servir.
Maître Mathieu préparez les contrats de travail.
Autre chose, je suis allée dans notre vigne derrière la maison et la canicule qui règne depuis quelques jours semble avoir accéléré la maturation des raisins.
Je pense si vous en êtes d’accord nous devons avancer les vendanges d’une semaine.
- J’ai suivi comme vous l’avancée du raisin et il y a deux jours que je travaille pour faire venir l’équipe de vendangeur plus tôt.
C’est difficile car les étudiants ont repris le chemin des lycées mais j’ai bon moral pour que l’équipe soit présente en temps et en heures.
J’ai suivi la découverte du trésor de la chapelle.
Si j’ai bien compris vous récupérez les Louis d’or avant de savoir combien rapporteront les objets en or avec des pierres précieuses.
Je vous remercie cette année d’ouvrir la cave mais dès que nous aurons récupéré les hectares du domaine Raguin il faudra investir dans une machine à vendanger.
- Vous semblez savoir bien des choses Maître Mathieu.
- Tous savoir et tout garder pour moi c’est la base de mon travail.
J’aimerais vous poser des questions.
Pourquoi Olivier le propriétaire de ce domaine part tous les matins de chez vous pour rentrer chez lui et attendre le soir pour revenir ?
Je crois qu’il va falloir que je gère dès maintenant certaines choses comme leurs vendanges si nous voulons récupérer les quantités que vous lui avez acheté sans qu’il le sache.
Hier, il a réussi à gagner du temps, ils voulaient lui couper le courant.
Le café était très bon madame Véronique, je vous laisse en de bonnes mains avec Laurette.
Je dois aller avec Paul votre client qui va nous commander du vin pour son bar à Paris.
- Et moi qui vais avoir à gérer votre sortie à cheval avec Virginie sa femme l’une ayant peur des chevaux et l’autre étant incapable de voir où elle va.
C’est vrai j’ai rendez-vous avec Virginie pour que nous lui fassions faire connaissance avec Quasi notre jument qui semble assez douce pour une première sortie à cheval.
Dès que je suis prête je rejoins l’écurie.
- Merci madame pour nous avoir engagé Agnès et moi.
Surtout que nous serons logés, vous aurez affaire à un couple entièrement à votre service.
Excusez, j’emmène Pompon faire un tour j’ai quelques pierres sur la vigne haute à remettre en place, mon prédécesseur se donnait du bon temps je crois.
Je l’entends sauter à cru sur le dos de Pompon et partir au pas de notre vieux compagnon.
Au passage à hauteur de la porte de l’écurie il hennit certainement de plaisir.
Ce qu’il y a de bien c’est que mes petits déjeuners font office de déjeuner ce qui me fait faire des économies et j’entends les deux filles venir vers moi en papotant.
- On est prête les filles, je sors vos chevaux ainsi que Pablo que tu monteras Véronique car je suis allée les voir tout à l’heure pour présenter Pompon à Louis et j’ai trouvé Rocco très nerveux.
Nous entendons les chevaux sortir et je suis malheureuse Rocco semblant m’ignorer.
Pourtant chaque fois que je suis près de lui il venait me donner un petit coup de tête affectueux.
- Véro, Pablo ton cheval est prêt tu peux monter, les sangles sont bien serrées.
Je mets le pied dans l’étrier et je me sens très bien sur ma selle à attendre que notre trio soit prêt.
- Comment monte-t-on sur cette bestiole.
- Cheval Virginie, pas une bestiole.
Le cheval est le meilleur ami de l’homme et de la femme.
Facile Virginie, ta tenue semble un peu grande mais on va faire avec.
- C’est la tenue de Paul, sans la bombe il a la tête deux fois plus grosse que moi.
- Et surtout toi tu es blonde.
- Je vais prendre ta remarque pour de l’humour mais si je suis blonde, j’ai aussi un joli petit cul qui tient dans son pantalon grâce à la ceinture serrée au dernier cran.
- Je dois reconnaître que ton cul est à croquer, pour monter c’est facile, tu grimpes sur ce banc prévu pour vous aider vous les débutants et tu places ton pied sans l’étrier en tenant les rênes de Quasi.
Tu pousses sur tes mollets en passant ta jambe par-dessus le cheval.
Stop.
Pas ce pied, l’autre, sinon tu vas faire le parcourt en regardant vers le village en contrebas.
Je sais que la vue est jolie mais c’est moins pratique pour diriger ton cheval.
Ah ! les blondes.
J’entends Rocco se cabrer quand avec célérité Laurette l’enfourche comme elle l’a dit, il semble surexcité.
- Eh ! Rocco calme toi, sinon je vais te donner une douche froide.
- Laurette ton cheval bande, Véronique tu verrais la bite de ton cheval, si Paul en avait une comme cela…
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