COLLECTION PUCEAU – PUCELLE. Le copain de mon fils. (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUCEAU – PUCELLE. Le copain de mon fils. (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUCEAU – PUCELLE. Le copain de mon fils. (1/2)
• Maman, c’est normal mon copain Joaquim a un zizi bien plus long et plus gros que le mien !

Lorsque Thomas me dit cela je suis mal à l’aise, que répondre à mon garçon sur son interrogation.

• Tu sais, dans la nature, tu vois bien qu’il y a des blancs, des jaunes, des noirs comme il y a des garçons qui ont des zizis plus longs ou plus gros les uns que les autres.

Je sais bien que le comparatif est idiot, mais que lui dire d’autre, mon fils a voulu commencer à faire du football pour ses huit ans et quand nous avons signé sa licence, l'entraîneur de leur équipe nous a signalé que les douches étaient obligatoires.
Il fallait qu’ils aient des serviettes et c’est là qu’il a vu le fils de nos voisins nus.

J’ai la chance qu’il accepte ma version et le gros zizi du fils de nos voisins est resté enfoui dans ma mémoire.
Les années ont succédé aux années, les sports plus cérébraux comme les échecs ont remplacé le football et les douches étaient loin d’être obligatoires.
Pour m’aider à l’oubli, Joaquim est retourné au Portugal avec ses parents qui avaient le mal du pays.

Un jour mon mari David s’est rendu auprès de sa mère qui avait fait une mauvaise chute, c’est Thomas qui l’a conduit avec notre voiture, mon mari s'étant fait mal à un bras et ne pouvait prendre le volant.
Thomas a réussi son permis à dix-huit ans du premier coup et nous en sommes très fières.

• Bonjour, madame Irène, vous me reconnaissez, je suis Joaquim nous avons été voisin, je suis revenu habité en France, Thomas est-il là !

À ce moment je reconnais notre jeune voisin avec dix ans de plus, mais c’est un homme qui a remplacé l’enfant qu’il était quand ses parents sont revenus au pays.

• La maison voisine a été vendue, où loges-tu ?
• Chez mon cousin à la sortie du village, Thomas continu-il le football ?
• Si tu savais, il était nul dans ce sport, mais vous avez joué combien d’années ensemble ?
• Nous nous voyons lors des entraînements, mais je suis plus vieux de deux années que lui et nous jouions dans des catégories différentes.
• À c’est donc aux entraînements que Thomas a vu ta.

Je m’arrête brusquement, j’allais dire à ce garçon d’une vingtaine d’années que je savais qu’il avait une grande et grosse zigounette.

• Je vois, votre fils vous a parlé de mes attributs très développés, j’ignorais que vous étiez au courant, je vous en supplie vous me gênez à rougir comme vous le faîte.

Je suis dans l’impossibilité de lui répondre tellement ma gorge est serrée.

• Je vais vous dire, vous madame Irène vous êtes resté identique à la femme que j’ai.

Comme moi précédemment il s’arrête net.

• Que voulais-tu dire Joaquim, en parlant de la femme identique que je suis restée ?
• Vous me gênez, mais il est vrai que j’ai le souvenir de vous vous faisant bronzer nue sur votre transat près de la piscine gonflable que vous aviez acheté pour que votre fils barbotte les jours de grosses chaleurs.
• Mon Dieu, il est vrai que je me suis mise nue quelquefois quand mon fils était chez ma belle-mère, mais j’ignorais que tu me voyais.
• Il y avait un trou dans la palissade que votre mari avait mise, je dois dire qu’au début il était gros comme une pièce d’un centime d’euros et que je l’ai agrandi pour qu’il soit aussi gros que deux euros.
• Mon Dieu, jouais-tu les voyeurs ?
• Pas longtemps, mon père m’a surpris et j’ai ramassé la volée de ma vie, mais je vois que vous avez construit un mur en parpaings, il a donc disparu.
• Oui, le voisin qui a racheté votre maison avait trouvé le trou et il me matait, David la surprit un jour, il a fallu que je les sépare et pour apaiser les esprits ils ont construit cette horreur.
• On est donc à égalité, je sais que vous avez des seins magnifiques et vous savez que j’ai une bite hors du commun.

Nous avons cette conversation dans notre salon plus particulièrement sur le canapé qui fait la fierté de mon mari depuis que, nous avons réussi à l’acheter après de grosses économies.

• Pas tout à fait, Joaquim, tu as vu mes seins, mais moi Thomas m’a posé la question, pourquoi il avait un petit zizi comparé au tien.
• J’ignorais que je l’avais traumatisé quand nous étions dans les douches.
• Il s’en est bien remis, pour preuve dans les années qui ont suivi le nombre de cartes postales qui parsemaient ses draps sans oublier la petite copine qu’il a séduite, mais qui l’a quitté pour aller avec Lucien.
• Lucien, le gros Lucien, il s’est fait tirer sa copine par Bibendum.
• Cela c’était auparavant, tu le verrais maintenant, tu serais surpris, il a des tablettes de chocolat ayant perdu presque 30 kilogrammes.
• Mais vous semblez intéressé par les jeunes hommes Irène.

Il vient de laisser tomber les mesdames pour directement m’appeler Irène.

• J’ai trente-six ans, je pourrais être ta mère.
• Si tu la voyais, tu parlerais autrement, tu es canon comparé à elle qui doit peser plus de 100 kilogrammes, mais si j’ai bien compris tu regrettes que j’aie vu tes seins et que ma bite te reste inconnue, tu veux la voir.
• Joaquim tu es fou, tu es le camarade d’enfance de mon fils.

En disant ses mots avant que j’aie le temps de reprendre mes esprits et d'amener la conversation vers une pente moins glissante, il se lève et me sort cette chose qui a paru phénoménale à Thomas dans les douches qui plus est dans leur jeunesse.
Je dois reconnaître que j’en ai le souffle coupé, j’ai vu l’engin d’un cheval un jour ou nous marchions sur la route en longeant un enclos ou un étalon avait envie de la petite jument qu’on lui avait mise auprès de lui mais même au repos, sans l’égaler Joaquim avait de quoi parler aux femmes.

• Suce là, à ton regard je sens que tu en as envie.

Comment j'arrive à me redresser, tendre la main et agripper cette difformité du moins, c’est la première impression que j’ai devant ces 35 à 40 centimètres?
Moi qui n’aie vu en la masturbant que la seule bite de David sans jamais la mettre dans la bouche, je suis impressionnée.
J’étais pucelle avant mon mariage et je suis une parjure quand ma bouche fait entrer difficilement quelques centimètres du jeune homme.

• C’est bien, tu manques d’expérience à ce que je vois, les jeunes femmes savent sucer, elles ont toutes regardé des films pornos alors que la plupart des femmes de ta génération sont toutes dans l’ignorance des diverses pratiques sexuelles, je vais te former.

Incroyable je suis l’aîné celle qui devrait savoir les choses et c’est ce jeune garçon venu de nulle part qui veut m’apprendre la vie.

• Inutile d’essayer de la faire entrer entièrement dans ta bouche, contente-toi de promener ta langue de mes couilles à mon gland, tu peux le prendre en bouche de temps en temps, mais évite d’aller trop loin, tu vomirais.

Je viens de dire incroyable, mais je recommence à dire ce mot quand en bonne élève, ma main vient attraper une de ses couilles en rapport de la taille de sa verge et j’arrive avec du mal à la faire entrer entièrement.
Je suce, je lèche, j’aspire contente des petits cris qu’il pousse me montrant qu’il est sur la piste de son plaisir.

• Irène, c’est le moment de me faire voir tes seins, moi aussi j’ai souvent envoyé des cartes postales dans mes draps chaque fois que je les voyais en te mattant derrière notre palissage…

Les avis des lecteurs

De plus, comme auteur j'ai une adresse mail chr.r.r@sfr.fr vous pouvez me mettre des remarques avec des exemples ils seront les bien venus...

Il y a 15000 auteurs qui écrivent sur notre site, lisez les autres, je me contenterais de ceux qui aime mes textes, ce que je rejette le plus dans votre litanie c'est le terme de vulgarité...
Je vais vous demander de me donner un titre que vous avez écrit que je me forme à ce qui est bien...

Histoire Erotique
je ne veux pas être méchant, mais pour une suite, il n'y a rien qui presse, à moins que le style, l'écriture et l'orthographe ne s'améliorent grandement.
Ce serait le minimum pour capter l'intérêt des vrais amateurs et amatrices de récits érotiques. et à plus forte raison pornographiques, qu'il ne faut pas confondre avec facilité et vulgarité
Monsieur Chris71, oubliez vos prétentions, et soignez vos textes, vous n'en serez que plus intéressant ... eh oui !!!

Daniel ... un lecteur pourtant persévérant ...

Demain 20 heures, merci de votre confiance.

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La suite sil vous plaît



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