COLLECTION PUTE. Il me faut faire mes preuves (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Il me faut faire mes preuves (1/2)
• Tante Olga, j’ai reçu ton message, tu as demandé à me voir !
• Oui, Chloé, j’ai une confidence à te faire et une chose à te demander.
C’est pour cela que je t’ai invité à dîner au grand café Capucine.
• C’est trop beau, qu’as-tu à me demander.
• Pour commencer, je suis tes prestations au lycée, plus de 18 ans et galérant pour ton bac, à part en anglais et en espagnol, le reste augure, d’un échec à ton examen.
Soit sans crainte, moi aussi j’ai loupé mes études et pourtant regarde où j’en suis arrivée.
Fringues de grandes marques, appartement haut de gamme dans le quartier de l’Opéra et deux voitures de sport.
Je pourrais avoir mon propre chauffeur, mais j’aime conduire et souvent dans mes déplacements dans Paris, je préfère prendre des taxis.
Comment crois-tu que j’ai eu tout cela ?
• Dans la famille, maman dit que c’est de la plus mauvaise des façons que tu as tous ces biens.
• Pour une fois, Tatiana a raison, bien qu’il y ait beaucoup à dire sur elle.
• Que veux-tu dire maman aurait eu une mauvaise vie ?
• Non, je préfèrerais dit aucune vie, marié à 16 ans, car tu es venue au monde. Depuis ton père qui la dérouille et qui est à la limite de la violer les rares fois ou il est cline.
Dans ces temps-là, j’ai choisi une autre voix, la prostitution.
• Un matin tu t’es levée et tu t’es dit ce soir c’est sûr, je me prostitue !
• C’est un peu différent et ça s’est passé un après-midi.
• Peux-tu m’expliquer ?
• Je t’ai invité pour ça !
Tout a débuté dans le Quartier latin, contrairement à ce que je pense, par un coup de bol, j’ai eu mon bac.
Je me suis inscrit à la Sorbonne.
Rapidement les livres de psycho que je devais lire se sont avéré être du chinois pour moi.
Toi tu as les langues, le chinois tu pourrais peut-être.
Pour moi, j’étais dans un bar près de la place saint Michel lorsqu’un homme bien mis à mes côtés m’a vu dans la détresse.
Je tournais les pages de mes livres et rapidement, il a vu que pour moi s’était de l’Hébreu.
Il m’a interpellé et m’a proposé 1 000 francs, nous étions encore en francs dans ces temps-là.
1 000 francs pour coucher avec moi dans un hôtel voisin.
• Et tu as accepté !
• Pas tout de suite, je lui ai dit que j’étais vierge et que ce serait bizarre de perdre ma virginité en touchant de l’argent à ce moment là, ça manquait de romantisme.
Il m’a dit que le sang, ça l’excitait et il m’a proposé 2 000 francs pour être le premier.
Tu te souviens de ton premier, il y a huit mois, il s’appelait Serge et il était dans ta classe en seconde !
• Comment sais-tu cela ?
• Il y a un an que quelque chose est venu bouleverser ma vie et que j’ai commencé à m’intéresser à toi, mais je vais t’en dire plus après.
Cet homme avec qui j’ai passé l’après-midi tachant les draps de son hôtel, je l’ai vécu comme un passage obligé, pas pour la prostitution, mais pour être une femme à part entière.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai touché 1 000 francs par soirée avec le même homme, chaque femme a un seul pucelage, il était là en séminaire.
• Tu étais lancé et tu as continué.
• Avant, j’ai appris bien des choses contrairement à toi.
Il m’a tout appris des rouages du sexe, jusqu’au dernier soir où ils m’ont donné 5 000 francs pour casser mon refus.
• Tu viens de dire « ont », ils étaient deux !
• Exact, il avait parlé à un autre homme de son séminaire qu’il payait une jeune femme avant de retourner vers sa femme.
Le copain était partant pour une partie à trois et ils m’ont proposé 2 000 lors du repas qu’ils m’ont offert dans un restaurant bien moins sélect qu’ici.
• Et tu as accepté pour 5 000 francs.
• Tu vas trop vite, 5 000 francs pour moi c’était une fortune.
• Deux mecs, tu t’es fait enculer pour ce prix-là !
• Parle moins fort, regarde, les gens ont entendu ce mot.
Même si oui, ils m’ont fait l’amour tous les deux en même temps, mais la sodomie, je l’avais pratiqué dès la troisième nuit avec un supplément de 500 francs.
C’est tout ce qu’il avait en liquide, pour les jours suivants, il a emprunté à son copain, c’est là que son copain a su qu’il sautait une jeune fille pour de l’argent.
• Et lorsqu’ils sont partis, tu as continué arrêtant tes études.
• Oui, par chance, j’habitais chez mes parents, ma sœur ainée venait d’épouser ton père.
Je me suis rapidement fait une clientèle et j’ai pu devenir autonome, dans un petit studio.
J’ai eu des accroches grâce à des portiers de nuits qui m’appelaient lorsqu’un client cherchait des putes.
• Vu ton train de vie, continues-tu à quarante ans de te prostituer ?
• Dis que je suis trop vieille, contrairement à ce que tu crois, certaines fois lorsque je manque de filles ou que des clients m’en demandent deux.
Si toutes sont en rendez-vous, je leur propose d’être la deuxième et tous acceptent lorsque je leur envoie ma photo.
En prime, j’ai encore de vieux clients, qui me veulent toujours, ça me permet une certaine sexualité sans m’emmerder avec un homme à domicile.
• Comme papa avec maman ?
• Je t’ai dit que j’allais tout te dire, tes parents, je suis un peu responsable, même en grande partie responsable.
J’avais 25 ans, justement, quand j’ai été consciente que la beauté, ça se flétrissait.
J’avais tellement de succès que je refusais des hommes et j’ai eu dans l’idée de trouver des filles que la prostitution sauverait de leur marasme personnel.
J’en avais déjà trois qui travaillaient pour moi, grâce à mon carnet d’adresses et aux portiers qu’au fure et à mesure, je mettais au courant de mon changement de direction.
Un jour, toutes mes filles étaient avec des clients lorsqu’un portier m’a appelé pour deux filles, j’ai proposé d’y aller seule, mais ils ont insisté.
J’ai eu l’idée d’appeler ta mère.
• Ma mère ?
• Oui, ton père venait d’être viré et comme il travaillait au noir, vous étiez sans ressource, je l’ai appelé et pour 1 000 francs, nous avons rejoint les clients dans leur hôtel.
• Comment, maman, c’est prostitué ?
• Oui, une seule fois, je passerais ce que nous avons fait dans cette chambre d’hôtel avec ces deux hommes, c’est ta mère tout de même.
• Mais, qui a trompé mon père pour du pognon, ma mère est une pute !
• Aussi bien que j’en suis une, le problème est venu de notre éducation assez stricte.
Lorsque ton père a voulu savoir d’où venait cet argent qui semblait être tombé du ciel, cette conne lui a tout avoué.
• Je me souviens, j’étais toute petite, mais sans comprendre comment papa en était venu aux mains avec maman !
• Oui, mais après ton père a réagi autrement, il s’est mis à picoler et moi je suis passée pour une fieffée salope.
Voilà mon histoire, j’ai 30 filles qui travaillent pour moi, mais c’est là que tu interviens.
• Tu as un problème et tu manques de fille !
• Avant de te répondre, je dois te dire une dernière chose.
Dans peu de temps je vais mourir.
• Tu vas mourir, pourtant tu sembles en pleine forme !
• Je suis rousse, mais si j’enlevais ma perruque, tu verrais que mes cheveux naturels sont tombés après la chimio que j’ai subie.
Hélas, mon cancer du foie est irrémédiable et je vais mourir d’ici six à vingt-quatre mois.
Tous mes biens te reviendront, j’ai fait le nécessaire pour déshériter Tatiana.
Si c’est elle qui hérite de tous mes biens ton père va vendre tous pour ses putains de bouteilles de gros rouge.
C’est à mes filles que je pense, toute sont différente de moi qui ai su faire évoluer ma vie en créant mon réseau.
• Comme madame Claude, j’ai vu le film !
• Oui, à une différence, je fais attention à éviter le monde politique, c’est à cause de ça qu’elle a fini par faire tomber son réseau.
Le mien se sert d’Internet, il y a des photos des filles, leur visage flouté, avec un seul numéro à appeler, celui de ce portable.
En ce moment, il est éteint, car toutes mes filles ont des clients ce soir.
Avec le défiler du 14 juillet sur les champs, les touristes et les militaires sont légion.
Afin que tu puisses diriger mes filles, il faut savoir ce qu’elles font et la psychologie des hommes lorsqu’ils veulent une fille pour envoyer la bonne.
J’ai un client, qui m’appelle tous les ans, depuis quatre ans, un homme très simple, malgré son apparence.
C’est un officier de la Légion étrangère, il est d’origine espagnole et si tu veux diriger à ma place, j’aimerais que tu passes la fin de soirée et la nuit avec lui.
• Tu veux donc que je me prostitue !
• Oui, mais avec toutes les données en mains.
• Tu peux le joindre, j’ai compris et je vais t’aider.
• Regarde à ta droite, il est là, seul à cette table !
Lève-toi, va le rejoindre et dit lui que tu es l’escorte qu’Olga a trouvée pour sa soirée.
Inutile de lui demander de l’argent, je vais lui envoyer un mail et tu verras si tu lui plait.
Tu le verras faire la transaction sur son portable et je recevrais notre salaire.
70% pour toi et 30 % pour moi.
Pour ta mère, c’était mille francs, pour toi ce sera 1 000 € et après on dira que la vie est restée au même niveau.
Je me lève et je m’approche de cet officier, s’il est d’accord, je vais faire mes preuves et devenir une pute...
• Oui, Chloé, j’ai une confidence à te faire et une chose à te demander.
C’est pour cela que je t’ai invité à dîner au grand café Capucine.
• C’est trop beau, qu’as-tu à me demander.
• Pour commencer, je suis tes prestations au lycée, plus de 18 ans et galérant pour ton bac, à part en anglais et en espagnol, le reste augure, d’un échec à ton examen.
Soit sans crainte, moi aussi j’ai loupé mes études et pourtant regarde où j’en suis arrivée.
Fringues de grandes marques, appartement haut de gamme dans le quartier de l’Opéra et deux voitures de sport.
Je pourrais avoir mon propre chauffeur, mais j’aime conduire et souvent dans mes déplacements dans Paris, je préfère prendre des taxis.
Comment crois-tu que j’ai eu tout cela ?
• Dans la famille, maman dit que c’est de la plus mauvaise des façons que tu as tous ces biens.
• Pour une fois, Tatiana a raison, bien qu’il y ait beaucoup à dire sur elle.
• Que veux-tu dire maman aurait eu une mauvaise vie ?
• Non, je préfèrerais dit aucune vie, marié à 16 ans, car tu es venue au monde. Depuis ton père qui la dérouille et qui est à la limite de la violer les rares fois ou il est cline.
Dans ces temps-là, j’ai choisi une autre voix, la prostitution.
• Un matin tu t’es levée et tu t’es dit ce soir c’est sûr, je me prostitue !
• C’est un peu différent et ça s’est passé un après-midi.
• Peux-tu m’expliquer ?
• Je t’ai invité pour ça !
Tout a débuté dans le Quartier latin, contrairement à ce que je pense, par un coup de bol, j’ai eu mon bac.
Je me suis inscrit à la Sorbonne.
Rapidement les livres de psycho que je devais lire se sont avéré être du chinois pour moi.
Toi tu as les langues, le chinois tu pourrais peut-être.
Pour moi, j’étais dans un bar près de la place saint Michel lorsqu’un homme bien mis à mes côtés m’a vu dans la détresse.
Je tournais les pages de mes livres et rapidement, il a vu que pour moi s’était de l’Hébreu.
Il m’a interpellé et m’a proposé 1 000 francs, nous étions encore en francs dans ces temps-là.
1 000 francs pour coucher avec moi dans un hôtel voisin.
• Et tu as accepté !
• Pas tout de suite, je lui ai dit que j’étais vierge et que ce serait bizarre de perdre ma virginité en touchant de l’argent à ce moment là, ça manquait de romantisme.
Il m’a dit que le sang, ça l’excitait et il m’a proposé 2 000 francs pour être le premier.
Tu te souviens de ton premier, il y a huit mois, il s’appelait Serge et il était dans ta classe en seconde !
• Comment sais-tu cela ?
• Il y a un an que quelque chose est venu bouleverser ma vie et que j’ai commencé à m’intéresser à toi, mais je vais t’en dire plus après.
Cet homme avec qui j’ai passé l’après-midi tachant les draps de son hôtel, je l’ai vécu comme un passage obligé, pas pour la prostitution, mais pour être une femme à part entière.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai touché 1 000 francs par soirée avec le même homme, chaque femme a un seul pucelage, il était là en séminaire.
• Tu étais lancé et tu as continué.
• Avant, j’ai appris bien des choses contrairement à toi.
Il m’a tout appris des rouages du sexe, jusqu’au dernier soir où ils m’ont donné 5 000 francs pour casser mon refus.
• Tu viens de dire « ont », ils étaient deux !
• Exact, il avait parlé à un autre homme de son séminaire qu’il payait une jeune femme avant de retourner vers sa femme.
Le copain était partant pour une partie à trois et ils m’ont proposé 2 000 lors du repas qu’ils m’ont offert dans un restaurant bien moins sélect qu’ici.
• Et tu as accepté pour 5 000 francs.
• Tu vas trop vite, 5 000 francs pour moi c’était une fortune.
• Deux mecs, tu t’es fait enculer pour ce prix-là !
• Parle moins fort, regarde, les gens ont entendu ce mot.
Même si oui, ils m’ont fait l’amour tous les deux en même temps, mais la sodomie, je l’avais pratiqué dès la troisième nuit avec un supplément de 500 francs.
C’est tout ce qu’il avait en liquide, pour les jours suivants, il a emprunté à son copain, c’est là que son copain a su qu’il sautait une jeune fille pour de l’argent.
• Et lorsqu’ils sont partis, tu as continué arrêtant tes études.
• Oui, par chance, j’habitais chez mes parents, ma sœur ainée venait d’épouser ton père.
Je me suis rapidement fait une clientèle et j’ai pu devenir autonome, dans un petit studio.
J’ai eu des accroches grâce à des portiers de nuits qui m’appelaient lorsqu’un client cherchait des putes.
• Vu ton train de vie, continues-tu à quarante ans de te prostituer ?
• Dis que je suis trop vieille, contrairement à ce que tu crois, certaines fois lorsque je manque de filles ou que des clients m’en demandent deux.
Si toutes sont en rendez-vous, je leur propose d’être la deuxième et tous acceptent lorsque je leur envoie ma photo.
En prime, j’ai encore de vieux clients, qui me veulent toujours, ça me permet une certaine sexualité sans m’emmerder avec un homme à domicile.
• Comme papa avec maman ?
• Je t’ai dit que j’allais tout te dire, tes parents, je suis un peu responsable, même en grande partie responsable.
J’avais 25 ans, justement, quand j’ai été consciente que la beauté, ça se flétrissait.
J’avais tellement de succès que je refusais des hommes et j’ai eu dans l’idée de trouver des filles que la prostitution sauverait de leur marasme personnel.
J’en avais déjà trois qui travaillaient pour moi, grâce à mon carnet d’adresses et aux portiers qu’au fure et à mesure, je mettais au courant de mon changement de direction.
Un jour, toutes mes filles étaient avec des clients lorsqu’un portier m’a appelé pour deux filles, j’ai proposé d’y aller seule, mais ils ont insisté.
J’ai eu l’idée d’appeler ta mère.
• Ma mère ?
• Oui, ton père venait d’être viré et comme il travaillait au noir, vous étiez sans ressource, je l’ai appelé et pour 1 000 francs, nous avons rejoint les clients dans leur hôtel.
• Comment, maman, c’est prostitué ?
• Oui, une seule fois, je passerais ce que nous avons fait dans cette chambre d’hôtel avec ces deux hommes, c’est ta mère tout de même.
• Mais, qui a trompé mon père pour du pognon, ma mère est une pute !
• Aussi bien que j’en suis une, le problème est venu de notre éducation assez stricte.
Lorsque ton père a voulu savoir d’où venait cet argent qui semblait être tombé du ciel, cette conne lui a tout avoué.
• Je me souviens, j’étais toute petite, mais sans comprendre comment papa en était venu aux mains avec maman !
• Oui, mais après ton père a réagi autrement, il s’est mis à picoler et moi je suis passée pour une fieffée salope.
Voilà mon histoire, j’ai 30 filles qui travaillent pour moi, mais c’est là que tu interviens.
• Tu as un problème et tu manques de fille !
• Avant de te répondre, je dois te dire une dernière chose.
Dans peu de temps je vais mourir.
• Tu vas mourir, pourtant tu sembles en pleine forme !
• Je suis rousse, mais si j’enlevais ma perruque, tu verrais que mes cheveux naturels sont tombés après la chimio que j’ai subie.
Hélas, mon cancer du foie est irrémédiable et je vais mourir d’ici six à vingt-quatre mois.
Tous mes biens te reviendront, j’ai fait le nécessaire pour déshériter Tatiana.
Si c’est elle qui hérite de tous mes biens ton père va vendre tous pour ses putains de bouteilles de gros rouge.
C’est à mes filles que je pense, toute sont différente de moi qui ai su faire évoluer ma vie en créant mon réseau.
• Comme madame Claude, j’ai vu le film !
• Oui, à une différence, je fais attention à éviter le monde politique, c’est à cause de ça qu’elle a fini par faire tomber son réseau.
Le mien se sert d’Internet, il y a des photos des filles, leur visage flouté, avec un seul numéro à appeler, celui de ce portable.
En ce moment, il est éteint, car toutes mes filles ont des clients ce soir.
Avec le défiler du 14 juillet sur les champs, les touristes et les militaires sont légion.
Afin que tu puisses diriger mes filles, il faut savoir ce qu’elles font et la psychologie des hommes lorsqu’ils veulent une fille pour envoyer la bonne.
J’ai un client, qui m’appelle tous les ans, depuis quatre ans, un homme très simple, malgré son apparence.
C’est un officier de la Légion étrangère, il est d’origine espagnole et si tu veux diriger à ma place, j’aimerais que tu passes la fin de soirée et la nuit avec lui.
• Tu veux donc que je me prostitue !
• Oui, mais avec toutes les données en mains.
• Tu peux le joindre, j’ai compris et je vais t’aider.
• Regarde à ta droite, il est là, seul à cette table !
Lève-toi, va le rejoindre et dit lui que tu es l’escorte qu’Olga a trouvée pour sa soirée.
Inutile de lui demander de l’argent, je vais lui envoyer un mail et tu verras si tu lui plait.
Tu le verras faire la transaction sur son portable et je recevrais notre salaire.
70% pour toi et 30 % pour moi.
Pour ta mère, c’était mille francs, pour toi ce sera 1 000 € et après on dira que la vie est restée au même niveau.
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