COLLECTION PUTE. J’ai prêté ma maison familiale à deux putes (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. J’ai prêté ma maison familiale à deux putes (2/2)
L’aventure qui vient de m’arriver va grandement changer l’idée que je me faisais de la vie et de la fille de ma femme.
Pour commencer, deux mecs à moitié rhabiller qui précipitamment la maison de mes parents.
J’ai envie de m’amuser un peu de la situation.
L’aventure...
C’est la première phrase que j’ai écrite afin de vous raconter l’aventure qui se dessine entre moi et Sylvana la fille de ma femme née certainement d’un chauffeur polonais, comme il y a eu des plombiers polonais.
Abandonnée dans son état, malgré les colibets dus à la méchanceté des gens qu’elle a élevée seule cette fille loin d’être désirée à cette époque.
Ces derniers mots, c’est moi qui les rajoute, car le père étant de passage ignore peut-être qu’il a une folle en France et a peut-être fait sa vie dans son pays et a une femme et des enfants.
Tout ça fait beaucoup de « peut-être », mais lorsque j’épouse sa mère Sandrine alors que sa fille a seize ans, je suis loin de penser que deux ans plus tard, Sylvana me demanderait d’emménager dans la maison de mes parents.
C’est avec sa copine Paola qu’elle souhaite emménager, car la maison est vide et malgré que je sois agent immobilier, c’est sentimentalement que je la garde sans la mettre en vente.
Mes moyens me le permettant, je l’entretiens même pendant les périodes d’hier.
Pour commencer...
C’est la fin du premier chapitre ou voulant m’amuser un peu après ce que par un simple hasard j’ai découvert je tiens en savoir plus.
Je venais finaliser une vente dans une propriété voisine de cette maison que j’ai prêté à ce que je prenais pour deux gouines.
Elles le sont peut-être, mais à cette heure où je passe un coup de fil à Sylvana, c’est sûr, ce sont deux putes qui reçoivent leurs clients chez moi.
Avant de connaître sa mère, il m’arrivait d’aller sur un site d’escorte, joli mot ayant remplacé ceux moins sélects de « filles de joie ».
Avant dans la jeunesse de mon père, les putes racolaient dans la rue et étaient ce que l’on dit encarté.
Si je le sais, c’est que je suis fils de flics.
Mon père est mort l’arme à la main un jour où il a voulu arrêter un maquereau notoire qui a tiré un coup heureux ni pour l’un ni pour l’autre.
Coup simultané et balle dans le front du maquereau lui faisant sauter la boîte crânienne et dans l’œil de mon père.
Mort dans l’exercice de ses fonctions, j’ai pu faire des études aux frais de la nation avant de me lancer dans la vente immobilière.
Pour les putes, c’est un jour de Noël au cours du repas qu’un peu bourré il a raconté à ses cousins le dernier panier à salade qu’ils avaient rempli de putes avant de les déférer.
Je jouais derrière un divan et l’alcool aidant, il parlait sans penser que j’étais là.
Parmi les filles qu’il avait sorties du bordel où elles emmenaient leurs clients, il y avait une jeune femme qui en était à ses premières passes.
Racolage, prostitution, c’est là derrière ce divan que je me suis ouvert avec une vie sur le monde bien différent de bon nombre de mes copains puceau à seize ou dix-sept ans.
Aujourd’hui encore, j’ai un doute que cette jeune femme s’était ma mère, tombé sous le joug de ce proxo qu’il aurait tué quelques semaines plus tard.
J’avais douze ans et ses propos sont un peu flous dans ma mémoire et je me vois mal demander à maman sur son lit de mort, as-tu été une prostituée ?
Si mes copains étaient puceaux à seize ou dix-sept ans, pour ma part, j’ai perdu le mien à quatorze ans.
Je sais, c’est jeune et la femme qui me l’a enlevée aurait pu être poursuivie à cause de mon âge, mais même si j’étais fière de l’avoir perdu, j’ai gardé cela pour moi.
Cette femme Solange, c’était la voisine de ma mère et la femme qui habitait dans la maison opposée à celle que je vends aujourd’hui et d’où j’observe le manège de Sylvana et de Paula.
C’est la première fois que j’en parle, pire que je l’écris, mais malgré mes trente-cinq ans, c’est de l’histoire ancienne.
Je suis indécrottable, je pense en dire le moins possible et les mots arrivent au bout de mes doigts sans que j’arrive à les ralentir.
Tiens Solange, c’est après qu’elle m’est dépucelée et à la mort de mon père que j’ai su qu’il avait eu lui aussi une aventure avec cette femme vers leur quarantaine.
C’est dans le café où nous allions jouer au baby que Corenthin le fils de la maison que je vends qui m’a fait cette confidence sans savoir les rapports que j’avais eus avec cette femme.
Baiser la même chatte que mon père, ça aurait pu me traumatiser, mais au contraire j’ai trouvé que nous avions bon goût.
• Bonjour Sylvana merci de me permettre de monter dans le grenier récupérer quelques affaires.
Lorsque Sylvana vient m’ouvrir, elle est essoufflée.
Elle est en tenue comme je la connaissais du temps où elle vivait chez nous.
Je pense que c’est pour se changer qu’elle ait essoufflé, car elle a dû faire fissa pour remettre une tenue autre que celle de pute que j’ai vue lorsqu’elle a raccompagné ce que je pense être un client.
• Tiens Paola, tu es là !
• Je viens de rentrer, j’avais un cours de soutien.
• As-tu croisé la voiture que j’ai vu démarrer précipitamment lorsque je suis arrivée ?
• Quelle voiture ?
Je jubile, j’ai en main mon portable avec les films ou on les voit raccompagner ce que je pense être leur client.
Mais j’ai assez joué, je passe à l’attaque.
• Les filles, arrêter de me prendre pour un jambon, regardez ces deux gars qui détalle de chez moi !
L’un d’eux tient son pantalon mal remonté, Sylvana regarde la tenue que tu avais lorsque tu leur as ouvert.
Mais j’en ai autant pour toi Paola, vous recevez des clients chez moi, au risque que je sois pris pour un souteneur.
Quitte à me retrouver en prison, autant que j’en profite un peu.
Sylvana tu as fait décamper tes clients quand je t’ai dit que j’arrivais, vous avez cinq minutes pour aller repasser vos guêpières, pour toi Sylvana celle violine et pour toi Paola la bleue.
• Jacques, tu as raison, nous aurions dû te dire que nous allions rencontrer des hommes et nous prostituer, mais le courage nous a manqué.
• Cinq minutes, aucune de plus, elles sont déjà entamées !
Si elles ont fait détaller les hommes quand je leur ai dit que j’arrivais, c’est deux fois plus vite qu’elle monte vers les étages.
Lorsqu’elles redescendent, chacune d’elles ont enfilé leurs guêpières comme je leur ai demandé.
J’ai déjà vu leurs seins nus auprès de ma piscine, mais là, rehaussés par les guêpières, elles me font immédiatement bander.
• Jacques, nous avons discuté avec Paola et nous en avons conclu que pour réaliser le projet que nous avons élaboré pour débuter positivement dans la vie, nous sommes prêtes à te céder 10 % sur nos recettes, chaque semaine.
• Les filles, vous avez tout faux, le pognon que vous gagnez avec votre cul, vous pouvez le garder.
Par compte lorsque je vois vos tenues, quelques petits coups de bite régulièrement dans les chattes de mes deux petites putes, je suis partant.
• Jacques que fais-tu de maman !
• Ta maman, je l’aime, mais je sens que je vais aimer autant vos petits culs.
Sylvana, j’ai vu les deux vieux arriver et que tu étais seule dans ma maison.
Paola est arrivée lorsque j’arrivais, je suis sûr que tu étais en train de les satisfaire seule.
Tu devais te faire prendre en double pénétration, donc, tu acceptes la sodomie.
Tu me parles de ma femme, elle refuse la sodomie, que jeune, j’ai beaucoup pratiquée.
C’est toi qui m’apporteras ce plaisir, à moins que Paola aussi aime se faire enculer ?
• Non, lorsque les clients prennent rendez-vous, s’ils demandent si on pratique la sodomie, je leur donne le numéro de Sylvana.
• À genoux, les filles, venez me bouffer la bite à moins que vous ayez des rendez-vous comme les deux mecs de tout à l’heure !
• Non, ce sont les seuls de la soirée, nous faisons nos études même si nous nous prostituons !
Je sors ma bite et je leur présente, chacune y porte la main ayant assez de place pour les deux et je manque d’éjaculer lorsque les langues des deux petites salopes commencent à me titiller le méat.
• À quatre pattes, maintenant, je vais vous baiser à tour de rôle chacune votre tour.
Je bande facilement avec les femmes, aucune pour me résister, mais leurs deux petits culs qu’elles me présentent me font encore bander plus fort.
À tout seigneur tout honneur, c’est la chatte de Sylvana que je pénètre.
Sa tête se redresse et c’est une vraie louve qui hurle vers le plafond.
Je sors de ce trou encore peu déformé par ses clients pour empoigner les hanches de Paola.
• Prenez-vous plus chère pour vous faire sodomiser ?
• Oui, légèrement plus chère.
Sans prévenir Paola, je pointe son anus.
• Alors, maintenant, tu rapporteras autant de fric pour votre projet que le fait Sylvana.
Là encore, sans prévenir, j’entre dans son fondement la pilonnant jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses.
Là encore, ma maison reçoit le cri de louve de Paola, sodomisé pour la première fois.
Ça fait six mois, que je viens baiser les filles, quitte un jour étant arrêté pour proxénétisme même si j’ai prêté ma maison familiale à deux putes, j’en profite autant que je eux.
J’aime baiser Sylvana autant que Sandrine, il y a un certain mimétisme entre les deux femmes sauf la sodomie que continue à me refuser ma femme.
J’ai ce qu’il faut ailleurs, je peux éviter de la seriner comme je le faisais avant de passer un deal avec les filles.
Je baise indifféremment l’une ou l’autre, j’ai parlé de maman que papa a pu sortir du trottoir.
Paola a pris ma chambre dans laquelle nous avions remplacé mon petit lit par un grand.
Lorsque je baise Sylvana, c’est dans la chambre de ma mère que nous le faisons, une pute est partie, une autre l’a remplacé, mais elle, sans souteneur.
Jusqu’à quand, vont-elles profiter de ma maison ?
Pour commencer, deux mecs à moitié rhabiller qui précipitamment la maison de mes parents.
J’ai envie de m’amuser un peu de la situation.
L’aventure...
C’est la première phrase que j’ai écrite afin de vous raconter l’aventure qui se dessine entre moi et Sylvana la fille de ma femme née certainement d’un chauffeur polonais, comme il y a eu des plombiers polonais.
Abandonnée dans son état, malgré les colibets dus à la méchanceté des gens qu’elle a élevée seule cette fille loin d’être désirée à cette époque.
Ces derniers mots, c’est moi qui les rajoute, car le père étant de passage ignore peut-être qu’il a une folle en France et a peut-être fait sa vie dans son pays et a une femme et des enfants.
Tout ça fait beaucoup de « peut-être », mais lorsque j’épouse sa mère Sandrine alors que sa fille a seize ans, je suis loin de penser que deux ans plus tard, Sylvana me demanderait d’emménager dans la maison de mes parents.
C’est avec sa copine Paola qu’elle souhaite emménager, car la maison est vide et malgré que je sois agent immobilier, c’est sentimentalement que je la garde sans la mettre en vente.
Mes moyens me le permettant, je l’entretiens même pendant les périodes d’hier.
Pour commencer...
C’est la fin du premier chapitre ou voulant m’amuser un peu après ce que par un simple hasard j’ai découvert je tiens en savoir plus.
Je venais finaliser une vente dans une propriété voisine de cette maison que j’ai prêté à ce que je prenais pour deux gouines.
Elles le sont peut-être, mais à cette heure où je passe un coup de fil à Sylvana, c’est sûr, ce sont deux putes qui reçoivent leurs clients chez moi.
Avant de connaître sa mère, il m’arrivait d’aller sur un site d’escorte, joli mot ayant remplacé ceux moins sélects de « filles de joie ».
Avant dans la jeunesse de mon père, les putes racolaient dans la rue et étaient ce que l’on dit encarté.
Si je le sais, c’est que je suis fils de flics.
Mon père est mort l’arme à la main un jour où il a voulu arrêter un maquereau notoire qui a tiré un coup heureux ni pour l’un ni pour l’autre.
Coup simultané et balle dans le front du maquereau lui faisant sauter la boîte crânienne et dans l’œil de mon père.
Mort dans l’exercice de ses fonctions, j’ai pu faire des études aux frais de la nation avant de me lancer dans la vente immobilière.
Pour les putes, c’est un jour de Noël au cours du repas qu’un peu bourré il a raconté à ses cousins le dernier panier à salade qu’ils avaient rempli de putes avant de les déférer.
Je jouais derrière un divan et l’alcool aidant, il parlait sans penser que j’étais là.
Parmi les filles qu’il avait sorties du bordel où elles emmenaient leurs clients, il y avait une jeune femme qui en était à ses premières passes.
Racolage, prostitution, c’est là derrière ce divan que je me suis ouvert avec une vie sur le monde bien différent de bon nombre de mes copains puceau à seize ou dix-sept ans.
Aujourd’hui encore, j’ai un doute que cette jeune femme s’était ma mère, tombé sous le joug de ce proxo qu’il aurait tué quelques semaines plus tard.
J’avais douze ans et ses propos sont un peu flous dans ma mémoire et je me vois mal demander à maman sur son lit de mort, as-tu été une prostituée ?
Si mes copains étaient puceaux à seize ou dix-sept ans, pour ma part, j’ai perdu le mien à quatorze ans.
Je sais, c’est jeune et la femme qui me l’a enlevée aurait pu être poursuivie à cause de mon âge, mais même si j’étais fière de l’avoir perdu, j’ai gardé cela pour moi.
Cette femme Solange, c’était la voisine de ma mère et la femme qui habitait dans la maison opposée à celle que je vends aujourd’hui et d’où j’observe le manège de Sylvana et de Paula.
C’est la première fois que j’en parle, pire que je l’écris, mais malgré mes trente-cinq ans, c’est de l’histoire ancienne.
Je suis indécrottable, je pense en dire le moins possible et les mots arrivent au bout de mes doigts sans que j’arrive à les ralentir.
Tiens Solange, c’est après qu’elle m’est dépucelée et à la mort de mon père que j’ai su qu’il avait eu lui aussi une aventure avec cette femme vers leur quarantaine.
C’est dans le café où nous allions jouer au baby que Corenthin le fils de la maison que je vends qui m’a fait cette confidence sans savoir les rapports que j’avais eus avec cette femme.
Baiser la même chatte que mon père, ça aurait pu me traumatiser, mais au contraire j’ai trouvé que nous avions bon goût.
• Bonjour Sylvana merci de me permettre de monter dans le grenier récupérer quelques affaires.
Lorsque Sylvana vient m’ouvrir, elle est essoufflée.
Elle est en tenue comme je la connaissais du temps où elle vivait chez nous.
Je pense que c’est pour se changer qu’elle ait essoufflé, car elle a dû faire fissa pour remettre une tenue autre que celle de pute que j’ai vue lorsqu’elle a raccompagné ce que je pense être un client.
• Tiens Paola, tu es là !
• Je viens de rentrer, j’avais un cours de soutien.
• As-tu croisé la voiture que j’ai vu démarrer précipitamment lorsque je suis arrivée ?
• Quelle voiture ?
Je jubile, j’ai en main mon portable avec les films ou on les voit raccompagner ce que je pense être leur client.
Mais j’ai assez joué, je passe à l’attaque.
• Les filles, arrêter de me prendre pour un jambon, regardez ces deux gars qui détalle de chez moi !
L’un d’eux tient son pantalon mal remonté, Sylvana regarde la tenue que tu avais lorsque tu leur as ouvert.
Mais j’en ai autant pour toi Paola, vous recevez des clients chez moi, au risque que je sois pris pour un souteneur.
Quitte à me retrouver en prison, autant que j’en profite un peu.
Sylvana tu as fait décamper tes clients quand je t’ai dit que j’arrivais, vous avez cinq minutes pour aller repasser vos guêpières, pour toi Sylvana celle violine et pour toi Paola la bleue.
• Jacques, tu as raison, nous aurions dû te dire que nous allions rencontrer des hommes et nous prostituer, mais le courage nous a manqué.
• Cinq minutes, aucune de plus, elles sont déjà entamées !
Si elles ont fait détaller les hommes quand je leur ai dit que j’arrivais, c’est deux fois plus vite qu’elle monte vers les étages.
Lorsqu’elles redescendent, chacune d’elles ont enfilé leurs guêpières comme je leur ai demandé.
J’ai déjà vu leurs seins nus auprès de ma piscine, mais là, rehaussés par les guêpières, elles me font immédiatement bander.
• Jacques, nous avons discuté avec Paola et nous en avons conclu que pour réaliser le projet que nous avons élaboré pour débuter positivement dans la vie, nous sommes prêtes à te céder 10 % sur nos recettes, chaque semaine.
• Les filles, vous avez tout faux, le pognon que vous gagnez avec votre cul, vous pouvez le garder.
Par compte lorsque je vois vos tenues, quelques petits coups de bite régulièrement dans les chattes de mes deux petites putes, je suis partant.
• Jacques que fais-tu de maman !
• Ta maman, je l’aime, mais je sens que je vais aimer autant vos petits culs.
Sylvana, j’ai vu les deux vieux arriver et que tu étais seule dans ma maison.
Paola est arrivée lorsque j’arrivais, je suis sûr que tu étais en train de les satisfaire seule.
Tu devais te faire prendre en double pénétration, donc, tu acceptes la sodomie.
Tu me parles de ma femme, elle refuse la sodomie, que jeune, j’ai beaucoup pratiquée.
C’est toi qui m’apporteras ce plaisir, à moins que Paola aussi aime se faire enculer ?
• Non, lorsque les clients prennent rendez-vous, s’ils demandent si on pratique la sodomie, je leur donne le numéro de Sylvana.
• À genoux, les filles, venez me bouffer la bite à moins que vous ayez des rendez-vous comme les deux mecs de tout à l’heure !
• Non, ce sont les seuls de la soirée, nous faisons nos études même si nous nous prostituons !
Je sors ma bite et je leur présente, chacune y porte la main ayant assez de place pour les deux et je manque d’éjaculer lorsque les langues des deux petites salopes commencent à me titiller le méat.
• À quatre pattes, maintenant, je vais vous baiser à tour de rôle chacune votre tour.
Je bande facilement avec les femmes, aucune pour me résister, mais leurs deux petits culs qu’elles me présentent me font encore bander plus fort.
À tout seigneur tout honneur, c’est la chatte de Sylvana que je pénètre.
Sa tête se redresse et c’est une vraie louve qui hurle vers le plafond.
Je sors de ce trou encore peu déformé par ses clients pour empoigner les hanches de Paola.
• Prenez-vous plus chère pour vous faire sodomiser ?
• Oui, légèrement plus chère.
Sans prévenir Paola, je pointe son anus.
• Alors, maintenant, tu rapporteras autant de fric pour votre projet que le fait Sylvana.
Là encore, sans prévenir, j’entre dans son fondement la pilonnant jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses.
Là encore, ma maison reçoit le cri de louve de Paola, sodomisé pour la première fois.
Ça fait six mois, que je viens baiser les filles, quitte un jour étant arrêté pour proxénétisme même si j’ai prêté ma maison familiale à deux putes, j’en profite autant que je eux.
J’aime baiser Sylvana autant que Sandrine, il y a un certain mimétisme entre les deux femmes sauf la sodomie que continue à me refuser ma femme.
J’ai ce qu’il faut ailleurs, je peux éviter de la seriner comme je le faisais avant de passer un deal avec les filles.
Je baise indifféremment l’une ou l’autre, j’ai parlé de maman que papa a pu sortir du trottoir.
Paola a pris ma chambre dans laquelle nous avions remplacé mon petit lit par un grand.
Lorsque je baise Sylvana, c’est dans la chambre de ma mère que nous le faisons, une pute est partie, une autre l’a remplacé, mais elle, sans souteneur.
Jusqu’à quand, vont-elles profiter de ma maison ?
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Les avis des lecteurs
Sacré coquin
Cyrille
Cyrille
Bonne histoire.