COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (12/18)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (12/18) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (12/18)
Ou en étais-je ?
À oui, Mini nous a une nouvelle fois surprises, non, pas comme petit rat d’hôtel, pourtant le rôle, elle le tient à la perfection, alors laquelle !
Depuis qu’elle est notre secrétaire et notre pute au gré de nos besoins, c’est de temps en temps qu’elle remet sa peau de rat d’hôtel pour notre plus grand plaisir.
C’est avec les garçons Ours et François qu’elle l’a fait, dans la soirée qui a suivi nos bains d’eau chaude.
Lorsque Pierre, paix à son âme, l’a commandé sur le site où elle se prostituait dans le but d’acheter un restaurant près des ennemis footballistiques des Lyonnais.
Nous avons reconnu Saint-Étienne, elle refusait de baiser avec les hommes dans les couples, comme nous l’étions Pierre et moi.
Pour autant sa chatte, Bred son amant, presque son proxo, puisqu’il dilapidait l’argent qu’elle lui rapportait pour se payer des soirées sexes, mais avec des hommes.
Lui ayant tous les droits avec elle, il était bi-sexuel.
Libéré du poids de ce garçon et en cela nous l’avons aidé avec Chantal, j’ai très vite, constaté qu’avec les couteaux suisses les tabous et elle ça faisait deux.
Dans la salle près de la cheminée que les garçons avaient ravivée à notre retour, nous baisions avec Chantal, peaufinant mes connaissances des amours féminins sur le canapé.
Elle, ma petite Mini nue comme un ver se faisait prendre en double pénétration par les deux queues bien bandées de nos amis.
Par chance, le canapé étant étroit, Chantal en 69 était dessous et moi dessus.
Mes yeux dans la direction où je pouvais sucer Chantal, au point de la faire jouir, se trouvaient dans la direction de celle qui avait très vite compris qu’elle était notre petite pute comme moi je l’avais été pour Pierre.
Je voyais la queue de François dans sa chatte alors qu’Ours l’enculait.
Elle avait été très bien préparée par Bred mais sans savoir qu’après leur séparation c’est pour le rapprochement franco-Suisse qu’il la préparait en vue de pénétrations anales mâles.
Sur la table basse, je voyais aussi des étuis de capotes, j’avais vu les garçons les déchirer avec leurs dents de carnassiers mâles, bien qu’en Suisse, ils soient plutôt portés fromage que viande rouge.
Un point de détail au moment où Mini atteignait le plafond de son plaisir, les alliances de nos queues sur pied avait repris leur place.
J’avais raison pour les chevalières, elle cachait la blancheur du jonc d’amour en or qu’ils avaient échangé avec leurs compagnes suisses restées à Neuchâtel.
Mais ce détail, c’est pour rappeler ma perspicacité sur ce sujet que j’en fais mention. La langue de Chantal, à mon tour me fait monter à des échelons toujours plus hauts depuis que je me gouine avec elle.
Partouze, vous avez dit partouze, ce fut le cas toute la soirée et une partie de la nuit, Chantal n’étant pas en reste avec les deux garçons à jamais les premiers qui auront plongé leur verge en elle.
Comme au théâtre récupérant de la baise que nous venions de terminer avec Mini, nous admirions le chemin qu’elle avait parcouru.
Que dire, depuis mon petit subterfuge pour lui faire aimer les bites, elle aussi aime se faire prendre en double pénétration ?
La petite table du salon remisée sur le côté, le tapis est assez grand et épais devant la cheminée, pour être dans l’impossibilité de dire qui baise qui, qui gouine qui, mais le principal c’est notre jouissance à tous ?

• Allez y les gars défoncés là cette salope, tu aimes Chantal, alors profites-en à fond.

Un simple mouvement de la tête de Chantal de haut en bas m’a montré que sa bouche à part des borborygmes était incapable de me répondre.
Eh ! oui, moi aussi au cours de cette soirée, j’ai gouté à ces deux bites en moi pendant que Mini s’occupait de me lécher.
Ours me fournissant la tanche supérieure du sandwich que tous les trois nous formions avec François.
Pendant que Chantal me présentait sa chatte ruisselante de cyprine tombant dans la bouche de François.
Bref une bonne partouze, Ours sur le départ et nos échanges de numéros nous faisant promettre d’autres journées comme celle que nous venions de passer.

C’est quelques semaines après qu’un fait nouveau va venir bouleverser l’entendement du fait que je vais rapporter, a lieu.
Nous sommes le week-end et nous sommes descendus toutes les trois à Courchevel pour un dernier week-end de ski, la fermeture de la station avant la période d’été étant programmée.
Nous tenons à profiter des dernières neiges avant le printemps et la fermeture des pistes, d’ailleurs un grand nombre de ces pistes sont déjà fermées, surtout sur le bas de la station.
Mini a voulu initier Chantal au sport de raquette.
Pas les raquettes ayant la forme de celle de tennis comme dans les temps anciens.
Raquettes modernes, comme des petits skis avec des crampons pour tenir sur la glace et marcher rapidement sans tomber.
Moi, très peu pour moi, j’ai essayé, trop fatigant, je préfère les remontées mécaniques et les descentes sur ma planche.
Ça me calme aussi de Speedy Gonzales, dans le dessin animé, la souris au sombrero, chez nous, c’est notre Mini qui tient ce rôle, mais sans le chapeau à large bord.
Il est presque midi, une dernière descente et j’ai réservé une table chez Jean-François.
Je suis casanière, du moins je le suis devenue depuis que j’ai gouté à la vie, dur dans le travail, mais si bonne dans la vie le restant du temps.
Surtout lorsque l’on a un compte en banque bien garni, le décès de Pierre et son héritage y en ayant bien contribué.
Chantal et Mini, se sont préparé des sandwichs avec une gourde d’eau et une de vin de Savoie.
Je pense à ce que je vais manger en arrivant au bas de cette piste noire.
La piste que je viens de descendre, c’est des trente de la station la plus longue n’ayant plus de secret pour moi et plus de cent rouges, après des dizaines de montées et descentes.
Je freine impeccablement sans me rendre compter que ma planche chasse la neige vers une skieuse semblant aussi maladroite que moi lorsque Chantal m’a appris le planter de bâton.
La jeune femme se retrouve, je vais être triviale, sur le cul, bon restons sobre, les quatre fers en l’air.

• Pauvre conne, c’est facile de jouer les cadors lorsque l’on sait skier.
• Pardon, j’étais dans mes pensées, vous avez raison, je déchausse et je vous aide à vous relever.

La jeune femme qui vient de me parler dans un bon français, mais avec un accent italien est très jolie, du moins du peu que j’en vois, lunette de soleil, c’est vrai, il tape aujourd’hui.
Bonnet, mais une mèche dépassante, me montrant sa couleur de cheveux, elle est blonde.
Les pieds sur terre, je lui prends la main, plutôt le gant de ski et je l’aide à se mettre sur ses propres pieds.
Encore manqué, pas sur ses pieds, ses planches, hélas, partent en avant et je tombe sur elle.
La dernière avec laquelle j’étais dessus, elle dessous, c’était Chantal la nuit dernière. Mini pour une fois nous laissant tranquilles, même une pile Wonder, il faut qu’elle se recharge.
Nous nous regardons et d’un coup, nous éclatons de rire d’un commun accord.

• Mesdames, un peu de tenue, il y a des enfants au bas de ces pistes.

L’homme qui vient de nous secourir en m’aidant à me remettre debout et en suivant la jeune Italienne en posant son pied sur son ski pour éviter qu’il bouge.
C’est un moniteur secouriste de la station que je croise de temps en temps avec son parka rouge, blanc, bleu et des élèves à qui il apprend le planter de bâton.
Je l’ai repéré, car ce monsieur, d’un certain âge, ressemble à celui qui joue dans « les bronzés font du ski » le moniteur de Jean-Claude.

• Soyez prudente, je viens de conduire un débutant à l’hôpital ayant voulu skier sans grande pratique et sans que nous l’ayons formé, double fracture tibia, péroné.

Nous sommes sur nos pieds, la jeune femme sur ses planches, c’est elle qui appuie sur ses sécurités pour libérer ses chaussures.

• Vous connaissez le resto de Jean-François, j’ai réservé une table, voulez-vous m’accompagner, je vous dois bien ça !
• Le temps de ramener mes skis à notre voiture et je vous suis, vous avez raison en attendant le retour de mes amis, un bon resto, c’est mieux qu’une jambe cassée.
Surtout que je suis à la recherche d’un emploi dans le canton de Neuchâtel !
• C’est compliqué chez vous les Suisses, tu parles avec un accent italien et tu me dis que tu cherches un emploi à Neuchâtel.
• Pire que ça, je m’appelle Roza, je suis originaire du canton du Tessin, plus particulièrement des bords du lac de Lugano, du côté suisse, connais-tu ?
• Je m’appelle Élisa, « ici, Nagano, je ne vois rien, je suis dans le brouillard. »
C’est dans un bêtisier que j’ai entendu, ce commentateur qui parlait dans le brouillard pendant des épreuves des jeux olympiques, mais je crois que c’était au Japon.
Je reconnais mon inculture sur les cantons suisses, Lugano, non je ne connais pas.
• Mes parents y tiennent un hôtel et Ours mon mari, Suisse Allemand est venu pour un séjour sportif et m’a ramené à Neuchâtel dans ses bagages.

Ours, un instant de panique, Neuchâtel, Ours, serais-je en présence de la femme de notre amant, ce qui expliquerait les chevalières pour cacher les marques de l’anneau de mariage.

• Tu sembles étonnée, connais-tu un Ours, tu sais, certes le monde est petit, mais ce prénom est fréquent chez les Suisses allemands.
Mon mari est chauve, tu le connais, je sais qu’il vient de temps en temps ici avec son copain.
• François ?
• Pourquoi François, non, c’est un Français venu habiter en suisse et qui s’appelle Arsène, comme le gentleman cambrioleur ?

Ouf, je suis rassurée, nous arrivons avec skis et planche près d’une grosse berline que Roza ouvre avant de se peler comme une banane afin d’enlever sa combinaison de ski.
Elle défait le haut, s’assied sur le siège arrière, enlève ses chaussures de ski et met des bottes chaudes, bien que le temps ne s’y prête pas.
Elle est nue sur le dessus, je vois ses seins que j’avais eu le temps de connaitre quelques secondes lorsque les miens sont venus à leur contact lorsque nous avons roulé l’une contre, l’autre.
Je comprends mieux, la remarque du moniteur nous ayant aidé à nous relever, sur la présence d’enfants, pour une fois, j’ai été longue à la détente.
Elle se soulève pour ôter le bas de sa combinaison, un instant j’ai peur, quoi que, là encore elle soit nue.
Non, elle a un triangle cachant sa pilosité.
Mais si petit et transparent que je n’ignore pas qu’elle est blonde naturelle des mèches sortant de son bonnet, mais au moment de l’impact, je l’avais déjà constaté.
Je serais un homme, la vision de cette belle femme presque entièrement nue, je dirais qu’elle me ferait bander…

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Histoire sexe : Une rose rouge
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