COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (7/18)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (7/18) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (7/18)
• Oui, sans problème, tu es d’accord Chantal, surtout que chacun de vous a fait tomber un de ses croutons dans la fondue et que je vais pouvoir à chacun et chacune de vous, vous donnez vos gages.

J’ai promis à Chantal qu’elle me fasse confiance, lorsque nous avons mangé la fondue.
J’ai particulièrement fait attention à bien prendre des morceaux de pain bien compact.
Je les ai piqués en faisant très attention à ne pas les laisser tomber dans le caquelon.
C’est loin d’êtres le cas des trois autres, je vais être maîtresse du reste de notre soirée, au moins au début lorsqu’ils nous font monter dans l’une des chambres de nos deux Suisses.
La chambre d’Ours est celle où nous nous retrouvons.
J’aurais espéré un lit à barreaux, ces chambres ont perdu le charme d’antan ou nos ancêtres pouvaient jouer à des jeux pervers.
La corde achetée dans la boutique de location se trouvant dans le petit sac Dior, est susceptible d’y contribuer.
Mais j’ai plus d’un tour dans ce sac, de chaque côté du lit, deux lampes de chevet murals feront l’affaire.

• Messieurs, si vous voulez avoir des rapports avec mon amie et être les premiers à entrer vos verges dans sa chatte, mettez-vous à poil.
Après je vous attacherais les mains.
Mince, Chantal dans ton sac as-tu un couteau j’ai 10 mètres de corde, il m’en faudrait seulement un à deux mètres pour chacun de vous.

Comme un seul homme, Ours et François plongent leur main dans leur poche de pantalon et en sorte un objet bien connu chez les Suisses.

• Les filles, chez nous en Suisse, on oublierait plus facilement nos femmes au bord d’un chemin plutôt que nos couteaux multi-usage !

Deux mains, deux couteaux sensiblement identiques avec la célèbre croix blanche en corne sur le dessus.
Le tout dit avec leur accent trainant comme dans la publicité Ovomaltine où l’acteur a dix secondes avant que la barre chocolatée n’explose.

• Merci messieurs de contribuer à vous immobiliser.
• Il est hors de question que tu nous attaches sur ce lit, nous tenons à rentrer en Suisse demain.
• On m’avait dit que les Suisses étaient beaux joueurs, ayez confiance vous aussi, il ne va rien vous arriver de déplaisants.
Depuis la nuit des temps, nous les femmes, devons subir la domination des hommes, ce soir, j’ai le droit de vous infliger autant de gage que je le désire.
Maintenant que j’ai de quoi couper ma corde, faite nous voir vos sexes et assayez-vous sur ce lit.

C’est beau de voir deux hommes dans la force de l’âge se mettre nus et après s’être assis bien calé dans leurs oreillers nous tendre leurs mains.
Je m’occupe de François, Chantal d’Ours qui semble avoir sa préférence.
Côté sexe, ils bandent mou, mais sont susceptibles de nous offrir deux bons morceaux lorsque nous les aurons mis en érection.
Un tour autour des appliques, le jeu va pouvoir commencer.

• Mes amis, vous voilà rendu à ma merci et à celle de Chantal.
Si en Suisse vous êtes capable d’abandonner vos femmes le long d’un chemin plutôt que vos couteaux, en France les femmes savent se passer de vos services, côté sexe.
Chantal, est vierge d’hommes, moi je suis vierge de rapports lesbiens ou gouine comme tu l’as dit Ours.
Nous allons vous montrer ce que vous avez appelé deux gouines sont capables de se faire.
Si le spectacle que nous allons vous donner vous plait, sans avoir besoin de vous toucher.
Vous serez capable d’apporter le plaisir qu’un petit malentendu familial a fait que Chantal à ce jour s’est contentée seulement de plaisirs féminins.
• Elisa, je suis consciente que je dois te faire confiance, mais je ne sais pas si j’irais jusqu’à ce qu’Ours mette sa bite dans ma chatte.
• Dois-je te rappeler que toi aussi tu me dois des gages, ces messieurs ont joué le jeu alors montrons leur qu’en France, nulle femme n’ait susceptible d’être à l’abandon le long de nos chemins ?

Je suis aussi fébrile que Chantal peut l’être, même si ces hommes sont loin d’être prêts à nous baiser.
Chantal semble se réveiller et me prends dans ses bras, nos bouches se retrouvent, nos langues se retrouvent, nos mains trouvent nos seins sans qu’ils ne soient besoins de les dénuder.
Ça commence à chauffer côté de ma petite chatte.
C’est au pied du lit qu’elle prend l’initiative de me coucher après m’avoir dénudé en même temps qu’elle en faisait de même.
Un coup d’œil à nos esclaves, le spectacle semble leur plaire, nos plastiques aussi, car naturellement ils commencent à bander.
J’ai les jambes qui pendent vers le sol.
Chantal se place sur ses genoux et dans un premier temps écarte mes jambes dégageant ce qu’elle appelle mon abricot doré.
Je suis sur mes avant-bras et en plus de ses yeux qui plongent dans mes yeux, je la vois sortir le bout de cette langue qui vient de m’embrasser.
Je suis à l’affut du moins geste qu’elle fait sachant qu’un jour après celui d’aujourd’hui, la belle salope que mon beau-père a faite de moi sera maîtresse de ces jeux lesbiens.
Mon clito, sa langue, sa langue mon clito, les petits coups qu’elle lui assène même s’il est déjà sorti de son capuchon, réagit au premier degré.
J’ai un geste de recul du haut de mon corps en même temps que ma bouche émet un son lui faisant certainement penser qu’elle m’a fait mal malgré son expérience.

• Je t’ai fait mal !
• Non, continue, il a été surpris.
• Vous êtes belles les filles, au secours, détachez-nous et venez-vous occuper de nous.
• Vos gueules les Suisses, les femelles françaises se donnent du plaisir, nous verrons après si nous voulons éteindre le feu qui semble monter en vous.
• Je vous en supplie, en Suisse nous sommes les rois de l’arbalète et les nôtres sont plus que tendus.

(Là encore, faire allusion à Guillaume Tell, on avait du mal à y échapper pour qui connaît l’histoire suisse.)
J’entends des sons venus de ma gauche, mais le premier frisson qui me traverse m’empêche de dire qui de l’un ou de l’autre a parlé.
De toute manière, autant l’un que l’autre, nous présente des arbalètes prêtes à l’usage.
Je les vois même tirer sur leurs liens au risque d’arracher la suspension causant un court-circuit dans tout l’hôtel.

• Messieurs, si vous arrachez les appliques, nous plions les gaules et nous vous laissons avec vos gaules, un peu de calme, votre heure viendra.

Ce doit être moi qui ai pris soin du matériel de l’hôtel, car un énième passage de la langue de Chantal sur mon clito dégoulinant de cyprine m’apporte un orgasme clitoridien dont je ne me savais pas capable.
On dit que les hommes se masturbant peu les rendre sourds, ce doit être le cas aussi pour les femmes se broutant le pistil.
Car c’est à moitié sourde que j’exprime la satisfaction d’être entrée dans le monde ses gouines comme l’a dit l’un d’eux lors de notre première rencontre.
Chantal se redresse, dans un mouvement dans le brouillard qui m’entoure se couche à mes côtés.
C’est de moi-même que je viens recouvrir son corps dans une très belle position, 69, département voisin de celui où nous nous trouvons.
C’est moi qui par instinct écarte ses grandes lèvres impeccablement rasées permettant à ma langue de venir rendre le plaisir que Chantal vient de m’apporter.
Je découvre aussi la forte odeur de rousse émis par son corps, odeur poivrée.
Je plonge trois doigts dans sa fente, constatant qu’elle m’a dit la vérité, les godes de silicone ayant creusé leur chemin ont été aussi efficaces que la bite ayant fait de moi la femme que je suis devenue.
Que de chemin parcouru en peu de temps, moi qui comme l’on dit, sortait du couvent des oiseaux, étrangère à tous ces jeux nous apportant autant de plaisir.
L’orgasme simultané, le deuxième pour moi en si peu de temps, me font repartir vers le sommet des montagnes nous entourant.
Je finis par reprendre pied et ce que je vois me remplit d’allégresse.
Alléluia, dans cette chambre un miracle à lieu.
Chantal s’est dégagée et elle monte et descend sur la bite d’Ours qui subit ses assauts telle une bacchanale ayant lâché les vannes.
Mieux même elle se dégage d’Ours avant qu’il ait rempli la capote qu’elle a dû récupérer dans le sac Diors et les a placés sur la queue de chacun d’eux.
Elle saute littéralement sur la queue de François passant de la Suisse Allemande à la Suisse à la Française finissant par les faire éjaculer en même temps que son corps se tord de plaisir.
Je venais de la faire rentrer dans le droit chemin bien que nul doute, dans les heures prochaines, nous retournerons à la découverte de plaisirs lesbiens.
J’ai beaucoup apprécié les plaisirs qu’ils nous apportent, mais je me contente de regarder l’évolution de la spécialiste des fèves de cacao.

• Chantal, merci de m’avoir fait confiance, tu vois que c’était loin d’être difficile.
Ces messieurs ont bien joué leur rôle et je les en remercie.
Habillons-nous et rentrons à ton chalet.

Le premier Ours nous montre ses poignets entravés.

• Élisa, nous vous avons fait confiance comme vous nous l’avez demandée, libérez-nous !
• Vous avez raison, attendez que nous soyons en tenue pour partir.

Aussitôt dit aussi tôt fait, en quelques minutes nous sommes prêts au départ.
Je reprends mon portable que j’avais posé sur la commode en arrivant dans la chambre.

• Messieurs, vous nous avez expliqués avoir plus confiance en vos couteaux qu’en vos femmes, à vous de jouer, vous nous avez fait passer une agréable soirée plein de surprise.
Ours ouvre ta bouche, à toi François de même.

Je place dans chacune de leurs bouches le couteau leur appartenant, ils vont pouvoir scier leur corde avec deux chances que l’un des deux se libère, mais…

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Histoire sexe : Une rose rouge
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