COLLECTION PUTE. Le prix à payer pour les quatre V (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Le prix à payer pour les quatre V (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Le prix à payer pour les quatre V (3/3)
Quatre filles, quatre filles sans être pauvre, qui ont dû économiser pendant un an, chacune de son côté, pour s’offrir le délire de leurs dix-huit ans.
Quatre filles qui se week-end sont parties en chantant sur l’autoroute du sud, vers la villa qu’elles ont louée sur le site Airbnb.
Quatre filles qui dès le premier jour se sont réveillées dans un bordel sans nom.
Quatre filles qui ont reçu, il y a peu l’addition de la petite « Rav Party » qui s’est organisée à leur insu au cours de la nuit.
C’est la cave qui a fait monter l’addition à un niveau tel que les quatre V se retrouvent dans la panade.
Julien, le frère de papa, nous apporte le financement contre des moments de plaisir.
Pour ma part, malgré notre lien de parenté, je suis allée trois fois, remplir la part de notre contrat comme chacune des autres V sans que je sache combien et où il se les est sauté.
Sans être amoureuse, je dois reconnaitre qu’après mon dépucelage par sa verge noueuse et épaisse, j’ai joui de plus en plus avec lui.
Aujourd’hui, c’est à Neuilly que le GPS que j’ai acheté pour éviter de nous perdre qu’il nous conduit devant une belle résidence des années 1 900.

• Les filles, vous voilà toujours aussi belles les unes que les autres.
Que, pensez-vous de ce petit pavillon que je souhaite acheter pour vous ?

Cette proposition devait nous propulser dans notre nouvelle vie, même moi une petite partie de sa chair.

• Vous êtes toute majeure et la décision que vous aurez prise de prendre votre indépendance ensemble, apparaitra comme naturel à vos familles.
La dette que vous avez contractée près de moi et les rapports que vous avez montrés, là aussi envers moi, m’a convaincu que vous êtes capable de vous faire baiser sans amour.
J’ai de nombreux amis, qui seront ravis de passer des moments avec vous, soit ici, soit dans les endroits où ils vous inviteront.
• Tonton, tu veux nous prostituer !

Je sais, je viens d’appeler Julien « Tonton », c’est sorti tout seul.

• Je vais être direct, 50 % pour vous, 50 % pour moi, plutôt pour la société que je représente et qui possède réellement l’argent que je vous ai prêté et celui pour payer cette demeure.
• C’est pour me vendre que tu as pris des photos de moi la dernière fois que nous avons couché ensemble à Orléans !
• Toi aussi Vicky, il t’a pris en photo, il en a fait de même pour moi.
• Moi aussi !
• Eh ! bien sûr, j’y suis passée aussi.

Nous venions de visiter lorsqu’il a prononcé ces phrases, engageant notre avenir.

• Ces photos, ça s’appellent un « bisness plan », il fallait que je tâte le terrain, si vous pouviez plaire à ces hommes bourrés de fric et qui sont prêts à les passer de leur poche aux nôtres à part égale.
Si vous saviez l’engouement que vos photos ont créé chez ces hommes bien souvent mûrs.
Vicky, si tes copines et toi acceptez cette proposition, dès ce week-end, tu pars pour Rome avec un homme qui te présentera comme sa secrétaire.
Tu seras chargé de faire comprendre à ce client que son charme te fait de l’effet et que s’il signe, tu seras prête à le récompenser.
8 000 €, voilà ce qu’il est prêt à payer pour que tu l’accompagnes et que tu remplis ta part de la mission.
Moitié, moitié, regarde ce que ce premier rendez-vous va te faire mettre sur ton compte en banque.
• Il est hors de question que je me prostitue surtout avec des hommes !
• Victoria, un bisness plan est fait pour prévoir le maximum de situation à gérer.
Lorsque nous étions dans mon lit, l’une d’entre vous m’a confié que dans la villa du sud de la France, elle t’avait vu au matin dans ta chambre avec une jolie black.
Elle était nue et toi aussi, j’ai pu constater que tu étais bisexuelle, puisque avec moi tu t’es éclatée.

Bien sûr, celle qui l’a confié à Julien, c’est moi, il me posait des questions aux débuts anodines, mais qui sans m’en rendre compte sont devenues de plus en plus pertinentes.

• Nous avons pris en compte ta particularité pour en faire un avantage à tous et à toutes.
Après-demain, tu as un 12 à 14 hôtel Hilton avec une femme d’affaires brassant des millions et qui souhaite te rencontrer.
Mille euros de l’heure pour lui montrer ce que tu sais faire aux femmes.
• Je suis comme Victoria, j’émets des réserves, je pense à mes parents.
• Véronique, tu as eu ton bac en session de rattrapage, il va te falloir travailler dur pour réussir tes études.
Si nous signons un accord, vous poursuivrez toutes vos études, vous êtes une valeur marchande pour quelques années, mais très vite la beauté se fane.
Je veux que votre avenir soit doré et pour cela les diplômes sont nécessaires.
C’est bien toi, qui voulais que je la baise sans capote, tu te disais si amoureuse que tu voulais un enfant de moi !
Je sais lire dans vos jeux à toutes après les nuits que je vous ai imposées.
Véronique, nous avons aussi pour toi un premier client, mais nous attendons sa caution pour finaliser sa demande.
Sache que si tout se réalise, tu partiras une semaine à New York pour un congrès de médecine esthétique.
20 000 € la semaine pour attendre la fin des conférences et de faire du shoping avec les 10 000 € que tu auras gagnés.
• Julien, si Véronique fait défaut, propose à ton médecin ma candidature.
Je trouve mes seins un peu petits et je voudrais me faire porter des prothèses mammaires, ce sera l’occasion de lui en parler
• Victoria, occupe-toi des chattes de tes clientes, j’irai à New York, je ferais un nouveau mensonge à mes parents comme j’en faisais à l’époque du bac.
Je leur racontais que je travaillais alors que j’allais en boîte autant que possible.
• Moi, je compte pour du beurre !
• Viviane, tu vas avoir ton heure toi aussi, mais je voulais que tout soit claire entre nous cinq, avant de pousser plus loin notre coopération.
Voici une carte Master Gold à ton nom qui te permettra de vous relooker toutes les quatre en femme fatales.
Dans nos ébats amoureux tu es celle qui a le plus le sens de la fantaisie et de ce que vous devez représenter, je veux que vous restiez les quatre V.
C’est là que vous êtes le plus efficaces, vous allez conquérir le monde.

Le monde, on le conquiert, mais avec une mise de base intéressante, Julien semble connaitre la vénalité des femmes en plus de la façon dont il nous baise toute.

• Je peux prendre ce petit body !
• Et cette mini, qu’est-ce que vous en pensez ?
Et si les quatre V portais la même, Viviane, tu gères le budget, crois-tu que ça rentrerait ?
• Oui, bonne idée, pour moi taille 38, passe m’en une je vais l’essayer.

Voilà, comment chargés de paquets en tout genre que ces boutiques de haut luxe nous livrent contre la carte que leur présente Viviane, nous retournons à notre villa de Neuilly.
Chacune de nous choisit une chambre dans laquelle nous emménageons dans les jours qui ont suivi ou nous avons dit à nos parents que nous prenions notre indépendance avec eux.
Larmes pour certains, soupire de soulagement pour d’autres, arrivés à Neuilly, Julien est là avec les titres de propriété à nos noms et un homme et une femme, la quarantaine.

• Bien venus les filles, je vous présente Georgina et John, ils sont d’origine anglaise.
John sera votre majordome, il s’occupera de toutes les démarches lorsque vous aurez besoin de visas pour l’étranger.
Il a les codes pour vous les obtenir dans les plus brefs délais et ainsi assurer vos voyages à l’étranger.
Accessoirement, c’est un fondu de jardinage, il supervisera la société de jardinage qui viendra entretenir votre jardin.
Georgina sera votre dame de service, elle préparera vos repas et fera l’entretien de la maison.

C’est ainsi qu’après la journée ou nous allons dans un institut de beauté ou des cartes permanentes nous sont ouvertes.
C’est la même chose dans la salle de sport où les quatre V s’empresse de venir se servir des tapis de course à pied.
Véronique, un peu réticente est la première à prendre son sac lorsqu’elle a du temps, car nous lui avons dit qu’elle commençait à avoir un gros cul.
Après être passées dans les petites mains de notre institut de beauté, les femmes que nous sommes devenues, sont loin de celle qui sont arrivés dans leur vieille voiture.
Toutes nous avons commencé notre double vie.
Je suis en fac de droit à Nanterre, avec Victoria, qui veut être conseillère familiale.
Viviane veut être médecin et attaque de longues études.
À parler avec elle après nos premières prestations tarifées je pense qu’elle apprécie de se prostituer et veut faire de longues études pour continuer le plus longtemps possible.
Il reste Véronique, elle voudrait arrêter ses études, pensant se payer une salle de sport comme celles ou nous courrons presque tous les jours.
Nous voulons qu’elle ait une bonne connaissance de la gestion, aussi, nous la poussons pour qu’elle s’accroche dans cette voie.

J’écris sur notre terrasse au soleil, ce sont les vacances universitaires.
Julien est près de moi, il vient de me faire l’amour, hier s’était avec Viviane.
Nous continuons à nous le partager sans la moindre pointe de jalousie entre les quatre V.
Suis-je sur la terrasse de notre villa de Neuilly, non, celle de la côte ou notre première aventure à eux lieu ?
Les devises rentrant en masse, presque tous les soirs nous rencontrons des clients.
Aux vacances de printemps, j’ai accompagné pendant une semaine un homme venu des pays où ils ont de grandes djellabas et des turbans sur la tête.
C’était la première fois que je voyais un homme enlever sa robe pour venir me retrouver dans mon lit.
À part ce détail vestimentaire, un homme venu des pays du soleil et des puits de pétrole ou un Européen, c’est du pareil au même.
La seule différence, c’est qu’ils dépensent sans compter lors de ce voyage à Houston au Texas.
Sexuellement, il m’a fait l’amour classiquement à la missionnaire avec en prime 50 000 € portés sur mon compte.
25 000 pour moi, 25 000 pour nous payer cette villa ou tout ce que nous avions laissée cassée a été remplacé.
Cette donc sur cette terrasse que je déguste un grand bourgogne « clos de Vougot » prélevé par Charles notre majordome embauché sur la côte.
Cette bouteille, c’est l’une de celles que Charles commande pour nous sur les conseils de Julien, très doué au lit, mais aussi dans la connaissance des grands crus français et internationaux.
Charles est une mère poule pour nous.
Il habite à l’entrée de notre villa en contrôlant tout ce qui entre et tout ce qui sort.
Les pics assiettes seraient bien reçus s’ils essayent de rentrer comme ils l’ont fait et où ils ont tout saccagé nous amenant jusqu’à la prostitution.
Cet homme va jusqu’à nous laver nos petites culottes et nous préparer nos repas.

Bon, je pose mon bloc et mon stylo à plume, je suis cuite sur le devant et écrire couchée sur le ventre, c’est difficile.
Je suis là pour trois jours, mercredi, j’ai rendez-vous à l’aéroport de Nice pour Doha au Qatar, Hamed qui m’a emmené à Houston m’a invité pour le temps de mes vacances.
Inutile de dire de combien est le virement que je viens de recevoir, vous qui êtes au Smic, vous en seriez malade.
Une comparaison, mes fesses ont environ le prix d’une saison pour un joueur de l’équipe du Paris Saint-Germain.
À mon retour, je ferais part de mon voyage, un seul regrès, je pars seule laissant provisoirement derrière moi, « les quatre V ».

Les avis des lecteurs

J ai de la chance d'avoir un admirateur comme toi Cyrille

Histoire Erotique
Quel narrateur hors pair mon cher Chris...

Cyrille



Texte coquin : COLLECTION PUTE. Le prix à payer pour les quatre V (3/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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