COLLECTION PUTE. Ma jumelle (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Ma jumelle (1/1)
Véronique ma jumelle et moi, allons quitter notre cocon familial pour la région parisienne et la fac de Vincennes.
Avant la rentrée, bardée l’un et l’autre de notre bac, nous récupérons l’appartement loué par nos parents à Saint Mandé au bord du bois de Vincennes et proche du campus où Juliette suivra des cours pour devenir psy et moi informaticien.
Pour ma part, ils m’ont prénommé Julien, Julien et Juliette, c’est banal, mais nous avons la chance que tous au long de notre scolarisé de la maternel au lycée nous avons échappé aux quolibets des autres enfants.
Il faut dire que depuis ma plus tendre enfance, ma jumelle est la prunelle de mes yeux.
Pour louer ce logement deux pièces, cuisine et salle de bains, nos parents doivent se saigner, mais ils font le maximum pour leurs enfants étant les premiers bacheliers de la famille.
Serge, notre père conduit des cars de touristes tout le long de la région de Blois et maman fait visiter le château à des touristes venus du Japon, de Chine ou autres pays.
Nous avons toujours eu l’habitude d’avoir de quoi vivre sans pour autant faire des excès, pour preuve notre voiture petite berline française achetée d’occase.
Le premier trimestre se passe sans encombre, un seul détail qui aura de l’importance dans la suite de notre histoire, Juliette a commencé à sortir un peu trop souvent à mon goût.
Je la croise de moins en moins à l’appartement et lorsque je m’en ouvre à elle, elle me dit que c’est simplement que nos cours pour des spécialités différentes sont souvent à des heures différentes.
C’est la période ou ma sœur a ses premiers amants certains venant pour la nuit, mais étant toujours repartie au matin.
J’aurais du mal à lui reprocher de baiser avec des hommes alors que malgré mon travail très prenant, j’ai aussi des copines qui satisfont mes besoins de sexe à presque dix-neuf ans.
Comme à son habitude, Juliette s’est absentée de bonne heure me laissant les tâches ménagères dès ce samedi matin.
Au début, elle m’aidait, mais comme à la maison maman faisait tout, elle s’est détachée de ces obligations si nous voulons que l’appartement reste présentable.
Je fais nos deux lits changeant les draps et démarrant une machine à laver avant de prendre l’aspirateur et de le passer dans chaque pièce.
Dans sa chambre, je me baisse pour aller sous le lit, souvent c’est là où se cachent les moutons.
Je suis baissé lorsque je remarque un papier que j’ai failli aspirer, je tends la main et je ramène un billet de 200 €.
Je sais qu’ils existent et c’est le premier que je vois.
Comment ma sœur peut laisser traîner cette grosse coupure, alors que nous avons un budget serré ?
J’ouvre le tiroir de sa table de nuit pour le ranger, me réservant le droit de lui demander comment elle a pu être négligente au point de laisser sous son lit cette grosse somme d’argent.
Des capotes, il y en a plein le tiroir.
Je suis satisfait lorsqu’elle ramène des garçons, elle les couvre comme moi, je me couvre chaque fois que je saute une jeune pétasse.
Vivons heureux, couvrons-nous, mais aussi un stylo posé sur un carnet.
C’est indiscret je m’en aperçois lorsque je vois des chiffres alliés avec des dates et des totaux.
10 000, 12 000, une date m’interpelle le week-end du 24 janvier dernier.
Je suis allée seule chez nos parents par le train car à ses dires, elle préparait des partiels.
30 000 € notés en une seule fois et marquant deux jours.
Comment ma sœur a-t-elle pu noter une telle somme en une seule fois pendant ce week-end ?
Je suis si accaparé par ce que je découvre que le bruit de l’ouverture de la porte de l’appartement m’échappe.
Juliette est là devant moi dans ses tenues qu’elle affectionne depuis quelques mois et qu’elle se garde bien de porter lorsque nous allons à Blois.
• Julien, tu as trouvé mon secret, je voulais t’en parler, mais j’avais peur d’attaquer le sujet.
• Tu es !
• Une escorte, ces sommes correspondent à ce que j’aie gagné depuis que madame Rose m’a contacté et qu’elle me fait gagner de l’argent avec les clients qu’elle nous trouve.
Tu as dû voir les 30 000 €, le mois dernier, c’est la somme que j’ai touchée pour accompagner un client à Rome où il voulait faire le voyage avec une jeune fille.
• C’est le week-end où j’ai menti à nos parents en leur disant que j’étais seul, car tu étais restée pour bucher !
Pendant ce temps, tu faisais la pute !
Que vont dire nos parents s’ils l’apprennent et tes études de psychologie !
• La pute, de nombreuses fois, mais il m’arrive d’accompagner des hommes au restaurant en étant une simple escorte.
La première fois, j’ai accompagné un homme, la cinquantaine qui désirait manger dans un grand restaurant étoilé avec le fantasme d’arrivée au bras d’une jolie fille.
Le regard de tous les hommes présent et celui de leurs femmes qui m’auraient tué si elles avaient eu des mitraillettes ont suffi à son bonheur.
Repas et 500 € plus une robe du soir que nous avions été achetés dans une grande maison de couture.
Un fantasme qui lui a couté la peau du cul, mais il aimait sa femme et se voyait mal la tromper.
Vous êtes très bizarres vous les hommes, mais c’est mon armoire et mon compte en banque qui en a profité.
Quant à mes études, après notre bac, lorsque tu as choisi la fac de Vincennes, j’ai regardé ce qu’ils proposaient et pour faire plaisir à maman, j’ai choisi cette spécialité.
Tu sais qu’elle a été dans l’impossibilité de passer son bac et elle m’avait dit que si elle l’avait réussi elle aurait ouvert un cabinet de psychologie.
Au lieu de ça, elle passe sa vie à raconter l’histoire du château de Blois.
Écouter des heures entières des malades s’épancher auprès de moi, j’ai eu peur de m’endormir derrière mes clients.
Dans la situation où je me trouve depuis que j’ai accepté la proposition de madame Rose, j’y trouve mon plaisir, regarde comme je suis épanouie.
Sans compter mon compte en banque, j’assure nos vieux jours
C’est vrai, elle a changé son look et semble une femme comblée.
• Madame Rose, l’autre jour t’a vue et elle apprécie ta carrure, elle m’a demandé de te faire une proposition.
C’était une ancienne escorte qui a la quarantaine, s’est vue accoucher d’une fille, alors qu’elle se croyait dans l’impossibilité d’avoir des enfants.
Elle a décidé d’arrêter la prostitution active, mais comme elle avait un grand nombre de numéros de téléphone de ses clients, elle a commencé à chercher des filles.
Elle tient à en faire profiter celle qui comme moi à du potentiel, moyennant un certain pourcentage.
• Je te vois venir, sœurette tu voudrais que je te suive dans tes délires.
• Gagner du fric en baisant, il serait idiot que tu refuses.
Escorte boy, ça t’irait très bien, je connais ta douceur et de nombreuses femmes en mal de sexe apprécieraient que tu t’occupes d’elles.
Ma sœur a souvent réussi à me faire faire l’inverse de ce que je voulais faire, pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ?
• Bonjours madame Rose, c’est ma sœur qui m’a dit de m’adresser à vous, vous seriez intéressé par ma personne afin de satisfaire des clientes que vous pourriez me présenter.
• Juliette vous a dit qu’avant d’engager une escorte, j’aime passer une soirée avec elle pour tester ses facultés à écarter ses cuisses moyennant finance !
Il en va de même pour un garçon bien qu’au premier abord, mes yeux remarquent que vous avez tout ce qui plait aux femmes surtout d’un certain âge !
Êtes-vous libre demain soir à 20 heures, je vous emmènerais au restaurant et si votre compagnie me plait, nous finirons la nuit ensemble ?
Je suis à deux doigts de lui demander si ma sœur a passé cet examen me montrant qu’elle aime les bites, même de vieux, mais aussi les chattes.
Je suis son jumeau, même si nous sommes issus de deux œufs.
Je retiens ma demande évitant de passer pour un ignare sur les mœurs de ma sœur.
Madame Rose est de loin le genre de femme que j’aurais eu du mal à draguer.
Non pas par son âge, elle doit avoir la quarantaine, mais, car c’est une femme trop sophistiquée.
Une fois chez elle, le test qu’elle me fait passer, est une épreuve qui va me démontrer que je suis capable de bander même pour une femme que j’aurais évitée en temps normal.
• Va, bel étalon, je suis sûr que tu vas plaire à toutes les salopes qui voudront passer un moment avec toi, nous allons gagner une masse de fric ensemble.
Ta sœur t’a dit que je prenais 30 %.
Ça, elle a oublié de me le dire, un tiers de ma paye, elle se gave la salope.
Je suis en train de la prendre en levrette sur son canapé lorsqu’elle me fait l’éloge de la manière dont je la saute.
Au matin, j’ai même réussi à l’enculer ce qui va m’ouvrir d’autres portes certaines de ses clientes aimant de se faire défoncer l’anneau.
C’est deux jours plus tard que je quitte l’appartement en même temps que Juliette.
Attention, j’ai bien précisé à Rose que si j’allais à des rendez-vous, il était hors de question que je me retrouve dans des parties avec ma sœur.
Ce soir j’ai rendez-vous chez deux veuves vivant ensemble sans pour autant coucher l’une avec l’autre et qui se paye un gigolo dès que leurs moyens leur permettent.
Rose m’a avancé l’argent d’un smoking chez le meilleur tailleur de Paris me faisant ressembler à James Bond, hélas, sans le pétard.
Juliette à rendez-vous dans un grand hôtel près des Invalides et moi directement chez mes clientes près de l’opéra.
Dès que le taxi me dépose, j’entre dans un magnifique immeuble ancien après avoir conformément à mes instructions appuyées sur le Digicode au 5ème étage.
Berthe et Alice, la cinquantaine veuve toutes les deux et qui en me payant veulent retrouver l’élan de leurs vingt ans.
Je suis en smoking, elles sont en robe du soir.
Un repas aux chandelles débute la soirée avant que l’une après l’autre je les fasse valser.
Maman savait-elle intuitivement que je me prostituerais pour 1 000 € la soirée le double de ce qu’ils donnent à chacun pour vivre tout un mois lorsqu’elle m’a appris à danser et surtout à la faire valser.
Par la suite, je devais découvrir que Berthe avait la fesse molle et avait dû avoir des enfants par césarienne alors qu’Alice avait des seins attirés par l’attraction terrestre.
Certains diront en oreille de cocker.
Après qu’elle m’ait sucé chacune du côté de ma verge, je les ai fait monter au septième ciel l’une après l’autre.
Aujourd’hui, j’ai tringlé plus de vieilles que de jeunes, les plus appétissantes avaient la trentaine, un peu plus que mon âge.
Ce sont des femmes dirigeants des affaires d’hommes et qui m’emploi pour satisfaire leurs besoins sexuels.
12 à 14 heures les midis dans des hôtels avant qu’elle retourne à leur boulot.
Je roule en coupés sports, offerte par une de mes clientes alors que mes deux premières vieilles satisfaites de mes services m’ont donné 500 € de gratte et m’ont redemandé déjà plusieurs fois.
J’ai mon diplôme d’informaticien et un travail dans une entreprise près de la Bourse.
J’ai réussi à cacher à mes collèges que je fais la pute et que certaines fois lorsque je dis au patron que je travaille à domicile souvent, ce sont des clientes que je vais satisfaire.
Si je continue à me prostituer, c’est pour avoir l’apport nécessaire pour créer ma propre boîte.
Juliette, elle a repris ses études depuis qu’elle a épousé un avocat qui a flaché sur la belle pute qu’il avait l’habitude de tringler.
Elle l’a présenté à nos parents, fiers que leur fille s’élève dans l’échelle sociale.
Je vais vous quitter, Berthe et Alice ont sollicité ma présence, j’ai déjà enfilé mon smoking.
L’autre, le blanc, elle m’emmène regarder un ballet à l’Opéra, voir le petit cul de l’étoile se produisant ce soir va m’aider à sauter ces vieilles salopes que j’accompagne après le spectacle.
À la fin, nous allons voir l’étoile montante de la danse pour la féliciter, je pense que son petit cul, je vais un jour prochain l’amener voir mes parents.
Avant la rentrée, bardée l’un et l’autre de notre bac, nous récupérons l’appartement loué par nos parents à Saint Mandé au bord du bois de Vincennes et proche du campus où Juliette suivra des cours pour devenir psy et moi informaticien.
Pour ma part, ils m’ont prénommé Julien, Julien et Juliette, c’est banal, mais nous avons la chance que tous au long de notre scolarisé de la maternel au lycée nous avons échappé aux quolibets des autres enfants.
Il faut dire que depuis ma plus tendre enfance, ma jumelle est la prunelle de mes yeux.
Pour louer ce logement deux pièces, cuisine et salle de bains, nos parents doivent se saigner, mais ils font le maximum pour leurs enfants étant les premiers bacheliers de la famille.
Serge, notre père conduit des cars de touristes tout le long de la région de Blois et maman fait visiter le château à des touristes venus du Japon, de Chine ou autres pays.
Nous avons toujours eu l’habitude d’avoir de quoi vivre sans pour autant faire des excès, pour preuve notre voiture petite berline française achetée d’occase.
Le premier trimestre se passe sans encombre, un seul détail qui aura de l’importance dans la suite de notre histoire, Juliette a commencé à sortir un peu trop souvent à mon goût.
Je la croise de moins en moins à l’appartement et lorsque je m’en ouvre à elle, elle me dit que c’est simplement que nos cours pour des spécialités différentes sont souvent à des heures différentes.
C’est la période ou ma sœur a ses premiers amants certains venant pour la nuit, mais étant toujours repartie au matin.
J’aurais du mal à lui reprocher de baiser avec des hommes alors que malgré mon travail très prenant, j’ai aussi des copines qui satisfont mes besoins de sexe à presque dix-neuf ans.
Comme à son habitude, Juliette s’est absentée de bonne heure me laissant les tâches ménagères dès ce samedi matin.
Au début, elle m’aidait, mais comme à la maison maman faisait tout, elle s’est détachée de ces obligations si nous voulons que l’appartement reste présentable.
Je fais nos deux lits changeant les draps et démarrant une machine à laver avant de prendre l’aspirateur et de le passer dans chaque pièce.
Dans sa chambre, je me baisse pour aller sous le lit, souvent c’est là où se cachent les moutons.
Je suis baissé lorsque je remarque un papier que j’ai failli aspirer, je tends la main et je ramène un billet de 200 €.
Je sais qu’ils existent et c’est le premier que je vois.
Comment ma sœur peut laisser traîner cette grosse coupure, alors que nous avons un budget serré ?
J’ouvre le tiroir de sa table de nuit pour le ranger, me réservant le droit de lui demander comment elle a pu être négligente au point de laisser sous son lit cette grosse somme d’argent.
Des capotes, il y en a plein le tiroir.
Je suis satisfait lorsqu’elle ramène des garçons, elle les couvre comme moi, je me couvre chaque fois que je saute une jeune pétasse.
Vivons heureux, couvrons-nous, mais aussi un stylo posé sur un carnet.
C’est indiscret je m’en aperçois lorsque je vois des chiffres alliés avec des dates et des totaux.
10 000, 12 000, une date m’interpelle le week-end du 24 janvier dernier.
Je suis allée seule chez nos parents par le train car à ses dires, elle préparait des partiels.
30 000 € notés en une seule fois et marquant deux jours.
Comment ma sœur a-t-elle pu noter une telle somme en une seule fois pendant ce week-end ?
Je suis si accaparé par ce que je découvre que le bruit de l’ouverture de la porte de l’appartement m’échappe.
Juliette est là devant moi dans ses tenues qu’elle affectionne depuis quelques mois et qu’elle se garde bien de porter lorsque nous allons à Blois.
• Julien, tu as trouvé mon secret, je voulais t’en parler, mais j’avais peur d’attaquer le sujet.
• Tu es !
• Une escorte, ces sommes correspondent à ce que j’aie gagné depuis que madame Rose m’a contacté et qu’elle me fait gagner de l’argent avec les clients qu’elle nous trouve.
Tu as dû voir les 30 000 €, le mois dernier, c’est la somme que j’ai touchée pour accompagner un client à Rome où il voulait faire le voyage avec une jeune fille.
• C’est le week-end où j’ai menti à nos parents en leur disant que j’étais seul, car tu étais restée pour bucher !
Pendant ce temps, tu faisais la pute !
Que vont dire nos parents s’ils l’apprennent et tes études de psychologie !
• La pute, de nombreuses fois, mais il m’arrive d’accompagner des hommes au restaurant en étant une simple escorte.
La première fois, j’ai accompagné un homme, la cinquantaine qui désirait manger dans un grand restaurant étoilé avec le fantasme d’arrivée au bras d’une jolie fille.
Le regard de tous les hommes présent et celui de leurs femmes qui m’auraient tué si elles avaient eu des mitraillettes ont suffi à son bonheur.
Repas et 500 € plus une robe du soir que nous avions été achetés dans une grande maison de couture.
Un fantasme qui lui a couté la peau du cul, mais il aimait sa femme et se voyait mal la tromper.
Vous êtes très bizarres vous les hommes, mais c’est mon armoire et mon compte en banque qui en a profité.
Quant à mes études, après notre bac, lorsque tu as choisi la fac de Vincennes, j’ai regardé ce qu’ils proposaient et pour faire plaisir à maman, j’ai choisi cette spécialité.
Tu sais qu’elle a été dans l’impossibilité de passer son bac et elle m’avait dit que si elle l’avait réussi elle aurait ouvert un cabinet de psychologie.
Au lieu de ça, elle passe sa vie à raconter l’histoire du château de Blois.
Écouter des heures entières des malades s’épancher auprès de moi, j’ai eu peur de m’endormir derrière mes clients.
Dans la situation où je me trouve depuis que j’ai accepté la proposition de madame Rose, j’y trouve mon plaisir, regarde comme je suis épanouie.
Sans compter mon compte en banque, j’assure nos vieux jours
C’est vrai, elle a changé son look et semble une femme comblée.
• Madame Rose, l’autre jour t’a vue et elle apprécie ta carrure, elle m’a demandé de te faire une proposition.
C’était une ancienne escorte qui a la quarantaine, s’est vue accoucher d’une fille, alors qu’elle se croyait dans l’impossibilité d’avoir des enfants.
Elle a décidé d’arrêter la prostitution active, mais comme elle avait un grand nombre de numéros de téléphone de ses clients, elle a commencé à chercher des filles.
Elle tient à en faire profiter celle qui comme moi à du potentiel, moyennant un certain pourcentage.
• Je te vois venir, sœurette tu voudrais que je te suive dans tes délires.
• Gagner du fric en baisant, il serait idiot que tu refuses.
Escorte boy, ça t’irait très bien, je connais ta douceur et de nombreuses femmes en mal de sexe apprécieraient que tu t’occupes d’elles.
Ma sœur a souvent réussi à me faire faire l’inverse de ce que je voulais faire, pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ?
• Bonjours madame Rose, c’est ma sœur qui m’a dit de m’adresser à vous, vous seriez intéressé par ma personne afin de satisfaire des clientes que vous pourriez me présenter.
• Juliette vous a dit qu’avant d’engager une escorte, j’aime passer une soirée avec elle pour tester ses facultés à écarter ses cuisses moyennant finance !
Il en va de même pour un garçon bien qu’au premier abord, mes yeux remarquent que vous avez tout ce qui plait aux femmes surtout d’un certain âge !
Êtes-vous libre demain soir à 20 heures, je vous emmènerais au restaurant et si votre compagnie me plait, nous finirons la nuit ensemble ?
Je suis à deux doigts de lui demander si ma sœur a passé cet examen me montrant qu’elle aime les bites, même de vieux, mais aussi les chattes.
Je suis son jumeau, même si nous sommes issus de deux œufs.
Je retiens ma demande évitant de passer pour un ignare sur les mœurs de ma sœur.
Madame Rose est de loin le genre de femme que j’aurais eu du mal à draguer.
Non pas par son âge, elle doit avoir la quarantaine, mais, car c’est une femme trop sophistiquée.
Une fois chez elle, le test qu’elle me fait passer, est une épreuve qui va me démontrer que je suis capable de bander même pour une femme que j’aurais évitée en temps normal.
• Va, bel étalon, je suis sûr que tu vas plaire à toutes les salopes qui voudront passer un moment avec toi, nous allons gagner une masse de fric ensemble.
Ta sœur t’a dit que je prenais 30 %.
Ça, elle a oublié de me le dire, un tiers de ma paye, elle se gave la salope.
Je suis en train de la prendre en levrette sur son canapé lorsqu’elle me fait l’éloge de la manière dont je la saute.
Au matin, j’ai même réussi à l’enculer ce qui va m’ouvrir d’autres portes certaines de ses clientes aimant de se faire défoncer l’anneau.
C’est deux jours plus tard que je quitte l’appartement en même temps que Juliette.
Attention, j’ai bien précisé à Rose que si j’allais à des rendez-vous, il était hors de question que je me retrouve dans des parties avec ma sœur.
Ce soir j’ai rendez-vous chez deux veuves vivant ensemble sans pour autant coucher l’une avec l’autre et qui se paye un gigolo dès que leurs moyens leur permettent.
Rose m’a avancé l’argent d’un smoking chez le meilleur tailleur de Paris me faisant ressembler à James Bond, hélas, sans le pétard.
Juliette à rendez-vous dans un grand hôtel près des Invalides et moi directement chez mes clientes près de l’opéra.
Dès que le taxi me dépose, j’entre dans un magnifique immeuble ancien après avoir conformément à mes instructions appuyées sur le Digicode au 5ème étage.
Berthe et Alice, la cinquantaine veuve toutes les deux et qui en me payant veulent retrouver l’élan de leurs vingt ans.
Je suis en smoking, elles sont en robe du soir.
Un repas aux chandelles débute la soirée avant que l’une après l’autre je les fasse valser.
Maman savait-elle intuitivement que je me prostituerais pour 1 000 € la soirée le double de ce qu’ils donnent à chacun pour vivre tout un mois lorsqu’elle m’a appris à danser et surtout à la faire valser.
Par la suite, je devais découvrir que Berthe avait la fesse molle et avait dû avoir des enfants par césarienne alors qu’Alice avait des seins attirés par l’attraction terrestre.
Certains diront en oreille de cocker.
Après qu’elle m’ait sucé chacune du côté de ma verge, je les ai fait monter au septième ciel l’une après l’autre.
Aujourd’hui, j’ai tringlé plus de vieilles que de jeunes, les plus appétissantes avaient la trentaine, un peu plus que mon âge.
Ce sont des femmes dirigeants des affaires d’hommes et qui m’emploi pour satisfaire leurs besoins sexuels.
12 à 14 heures les midis dans des hôtels avant qu’elle retourne à leur boulot.
Je roule en coupés sports, offerte par une de mes clientes alors que mes deux premières vieilles satisfaites de mes services m’ont donné 500 € de gratte et m’ont redemandé déjà plusieurs fois.
J’ai mon diplôme d’informaticien et un travail dans une entreprise près de la Bourse.
J’ai réussi à cacher à mes collèges que je fais la pute et que certaines fois lorsque je dis au patron que je travaille à domicile souvent, ce sont des clientes que je vais satisfaire.
Si je continue à me prostituer, c’est pour avoir l’apport nécessaire pour créer ma propre boîte.
Juliette, elle a repris ses études depuis qu’elle a épousé un avocat qui a flaché sur la belle pute qu’il avait l’habitude de tringler.
Elle l’a présenté à nos parents, fiers que leur fille s’élève dans l’échelle sociale.
Je vais vous quitter, Berthe et Alice ont sollicité ma présence, j’ai déjà enfilé mon smoking.
L’autre, le blanc, elle m’emmène regarder un ballet à l’Opéra, voir le petit cul de l’étoile se produisant ce soir va m’aider à sauter ces vieilles salopes que j’accompagne après le spectacle.
À la fin, nous allons voir l’étoile montante de la danse pour la féliciter, je pense que son petit cul, je vais un jour prochain l’amener voir mes parents.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle imagination mon cher Chris, comme d'habitude...
👍🏼😍
Cyrille
👍🏼😍
Cyrille
Exact erreur de Chris avec ses excuse
Ça passe de Véronique à Juliette !!! 😊