COLLECTION PUTE. Mon frère s’est trompé dans mes cartons (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Mon frère s’est trompé dans mes cartons (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Mon frère s’est trompé dans mes cartons (1/1)
• Claude, qu’est-ce que c’est que ces tenues, sur notre lit ?
Veux-tu que je me déguise en doctoresse avec son stéthoscope, en bonne sœur ou en écolière ?
• C’est à toi de me le dire.
J’ai été étonné, en montant dans le grenier pour y chercher un vieux cadre dont je pensais me servir pour l’une de mes toiles, de tomber sur des cartons marqués à ton nom, « Claudine. »
J’ai pensé que pendant que j’avais le temps dans ces jours de RTT, je pouvais faire de la place.
• Ne me dis pas que l’un d’eux, marqué d’une croix, se trouvait avec les autres.
• Si, le dernier, sous les autres.
Claudine, détrompe-moi, avant notre mariage, n’étais-tu pas une pute ?
• À quoi bon nier, cette page de ma vie, j’étais persuadé de l’avoir tournée en t’épousant.
Depuis ce jour, je t’ai été fidèle de la première heure à la dernière heure, c’est-à-dire maintenant.
Ce carton avec une croix, Joseph mon frère devait le jeter avec quelques autres à la déchèterie et a dû se tromper et le laisser avec ceux que je voulais garder pour les études de nos enfants.
J’ai eu mon premier client, pour payer mes études en...
• 2005, le 30 septembre à 18 heures à l’hôtel de la gare, dans lequel tu t’es fait baiser pour 200 € par un dénommé Robert.
Un bon client, Robert, pendant trois ans que tu as scrupuleusement noté le nom de celui qui t’a le plus baisé !
L’endroit du rendez-vous et ce qu’il a payé : 500 € la dernière fois, toujours dans le même hôtel, il te sautait toutes les semaines.
• Il était amoureux et voulait m’épouser, moi je le trouvais repoussant, je voulais devenir médecin, mais j’ai réussi à être infirmière, car dès notre mariage tu m’as engrossé.
Ne t’ai-je pas fait deux beaux enfants et je pensais que notre couple devait rester dans l’ignorance de ce que j’avais été ?
• Tu l’as été, jusqu’à la veille de notre mariage, dans le carnet qui se trouvait avec ces tenus, le petit carnet que tu tenais méticuleusement s’arrête le 29 juin 2008 alors que nous nous sommes mariés le 30.
Ce dernier client, c’était Robert, le numéro de portable étant à chaque fois le même, impossible de penser que c’était deux Roberts bien distincts.
J’ai appelé quelques numéros de cette longue liste, 232 clients. 420 passes, tes tarifs augmentant au fil du temps.
Robert la dernière fois le 29, tu as noté 1 500 €, les tenues et ce que tu lui faisais, était-il de plus en plus salace ?
• Arrête Claude, m’aurais-tu épousé si tu avais su que je m’étais prostitué pour mes études.
• Impossible de le dire, ce qui me navre, c’est d’avoir eu une pute dans mon lit et maintenant d’avoir la reine de la migraine presque chaque fois que je souhaite te baiser.
Que leur faisais-tu de différent, entre 500 et 1 500 € ?
• Arrête, je vais quitter notre domicile et mes enfants, des choses que tu me demandais et que je te refusais, voilà ce qui justifiait la différence !
• Ils te cassaient le cul alors qu’avec moi tu m’as toujours dit, non !
Chaque fois que j’ai évoqué ces possibilités tu t’offusquais !
• Si j’avais dit oui, j’aurais eu l’impression de continuer de me prostituer avec mon mari.
• Claude, j’ai composé quelques-uns de ces numéros.
Robert est mort de la Covid, c’est sa femme qui a répondu, elle l’a enterrée pendant l’épidémie, tu baisais avec un obèse.
J’ai aussi eu un certain William, lui il m’a parlé avec un fort accent anglais.
Dès qu’il a décroché, avant que je parle, ayant reconnu ton numéro, il m’a déclaré :

« Cruella, c’est toi, tu as repris du service après toutes ces années, putain que c’est bon, ou se retrouvons-nous à Paris !
Je n’ai jamais retrouvé une salope française comme toi. »

• Cruella, ma salope, dont j’ignorais que j’en avais une dans mon lit, je vais réfléchir à la suite de notre vie, je t’ai été fidèle même si baiser avec toi c’était plutôt le même plat sans dessert.

Je me souviens de William, il aimait que je mette ma tenue de jeunes étudiantes pucelles.
Mes clients me payaient pour que je les porte lors de mes visites dans les lieux qu’ils me fixaient et où ils me payaient avant toutes sortes de relations.
Jusqu’au lendemain, pas une parole de la part de mon mari ou de moi, juste des paroles avec nos enfants de sept et six ans, deux garçons.
Je viens de les coucher, lorsque je suis passée par notre chambre, Claude regardait un match de foot à la télé.

• Claudine, va ouvrir, quelqu’un sonne !
Claudine, je t’ai demandé d’aller ouvrir, on sonne à la porte d’entrée, ça va réveiller les garçons !
C’est incroyable et après tu voudras que je te pardonne les cachoteries sur ta vie avant notre mariage !
Bon j’y vais, mais je crois que je vais te demander dès demain de faire tes valises.

J’ai entendu mon mari se lever et venir ouvrir la porte.

• Bonsoir monsieur, c’est ici qu’il a été demandé une infirmière pour une piqure en urgence !
• Claudine, que fais-tu dehors, avec ta tenue d’infirmière !
• Ne me dites pas que vous fantasmez sur les petites culottes d’écolière avec la tenue allant avec.
Ce sera celle programmée pour une visite que Cruella fera chez vous pendant que votre femme est absente !
Venez, c’est l’heure de votre piqure, mais avant donnez-moi les 2 000 € que vous me devez pour que je passe le restant de la nuit avec vous !
• 2 000 €, je suis loin de les avoir dans mon portefeuille, si j’ai 20 €, c’est le grand maximum.
• Allez le chercher et ouvrez-le, je suis sûre que vous allez trouver la somme prévue après m’avoir appelée pour prendre rendez-vous !

Claude me laisse passer, je suis contente tout au long de ces années et deux grossesses, j’aurais pu être incapable de rentrer dans les fringues que je mettais pour me prostituer et satisfaire mes clients.

• C’est incroyable, tu as pensé à tout, 2 020 €, tu les as mis avant de passer par le jardin pour venir sonner à notre porte d’entrée.
• Vous vous trompez, Claude, ce n’est pas moi qui suis allée à la banque, mais vous.
À partir de maintenant, chaque fois que vous voudrez me baiser, il faudra raquer.
Mon cul n’est pas gratuit, même après que je vous ai épousé, monsieur !
2 000 €, il va sans dire que vous pourrez me bourrer le cul autant que vous le voudrez.
Une chose à vous dire, vous voyez ce carnet, les 2 000 € sont déjà notés à la date d’aujourd’hui et au 22 route des Pierres, l’adresse que vous m’avez donnée.
Une dernière chose, je vais reprendre mes études de médecine, on manque de généraliste en France.
Si vous voulez que je reste fidèle au « oui » du 30 juin 2008 à 15 heures à la mairie de notre ville, il vous faudra assumer ces sommes toutes les semaines.
Terminé l’abonnement au Parc des Princes, pour suivre votre équipe favorite du PSG.
Terminé les déplacements en car, lorsqu’ils joueront à l’extérieur.
Bien sûr, plus de Canal+ et de déplacements pour la Coupe d’Europe.
Fini les maillots hors de prix, que j’étais obligé d’acheter pour vous et mes deux garçons !
En échange, venez à l’étage, vous allez pouvoir avoir mon cul, comme et autant que vous le désirez.
Cruella n’a aucun tabou, bien sûr elle suce, elle adore les gorges profondes, c’était une experte du temps de sa splendeur.
Si vous avez fait le total de ce que mon cul m’a rapporté pendant ces trois ans où je me suis prostituée sans grand plaisir, tu trouveras presque 500 000 €.
Comment croyez-vous que j’ai pu vous acheter cette vaste maison en te disant que c’était l’héritage de ma grand-mère, gardienne de chèvres dans le Berry ?
Tu te posais moins de questions !

La porte de notre chambre refermée, j’ai baissé le pantalon de pyjama à Claude avant de retrouver les élans de ma jeunesse de prostitué.
Ça m’arrangeait bien, j’avais décidé de reprendre mes études, à 34 ans, mais pour ça il me fallait du fric, sans pour autant trahir mon serment de fidélité.
De plus, ça me permet de rebaiser sans limite avec Claude, jouer la femme sans connaissance du sexe ça devenait barbant.
Même l’écolière à la limite de la pédophilie pour Claude, même si j’ai des seins comme des gros charentais, ça me manquait.
Lorsque je me prépare après avoir couché les enfants, me faire mes couettes s’est un pur plaisir.

• Je peux t’enculer, es-tu sur ?
• 2 000 € nos limites, monsieur Claude, défoncez-moi !
J’ai toujours aimé ça depuis la première fois où vous m’avez défoncé l’anus, monsieur Robert.

Mon frère s’est trompé en gardant ce carton marqué d’une croix et le ranger dans mon grenier.
Lorsque je le verrais, je le remercierais, il a sorti notre couple de la torpeur dans laquelle il s’encroutait.

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