COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (1/4)
• Bonjour madame.
• Bonjour à vous aussi.

Madame, plutôt mademoiselle, aussi blonde que je suis brune, vingt-cinq ans environ.
Ça fait un mois que je la croise lorsque je reviens de l’école où j’ai conduit Sandrine, ma fille de cinq ans en dernière année de maternelle.
Sans aucune pensée lesbienne, j’aime Romuald, mon mari, trente ans, beau comme un dieu que bien des femmes m’envient, lorsqu’il sort avec moi.
J’ai vingt-neuf ans et ça fait trois ans que nous sommes mariés.
Je sais ma fille à cinq ans, nous avons pêchés avant mariage, mais je rigole, car la religion est loin derrière moi, même si j’ai été élevée dans la foi chrétienne.
Lors de notre mariage, notre fille nous a amené nos alliances sur un coussin et j’ai juré fidélité à celui qui avait su enflammer mon cœur.
Nous nous étions rencontrés à la fac de science, Romuald est chercheur au CNRS et à ce titre a des horaires très peu définis.
En cloque et en couple, avant d’avoir le temps de dire ouf, il gagne assez pour faire de moi une femme qui au début se croyait comblée en restant au foyer.

• Vous revenez de l’école, je vous ai vue avec votre fille.
J’ai un garçon de quatre ans en classe inférieure à elle, il se nomme Jules et moi July.
• Jules et July, avec votre mari vous avez su choisir.
• Jules est né de père inconnu !
• On peut dire cela, bien que ce soit plus compliqué.
• Excusez d’avoir été indiscrète, July, mes parents m’ont appelé Céline, c’est la première fois que je constate que nos deux noms se terminent en « i.n.e. »
• Non, ça arrive, mais mon fils est si gentil que tout fini bien, j’aime l’élever seule.
• Vous venez d’emménager, à la place de mamy gâteau qui, hélas, a rejoint son mari après plus de vingt ans de veuvage.
• C’est ça, je cherchais un logement dans un beau quartier et très près d’une école, je travaille à domicile et il me fallait un logement à côté d’une école.
Un ami m’a parlé de ce logement se libérant et étant en vente.
Ayant hérité de mes parents eus aussi m’ayant laissé seule sur cette terre, j’ai sauté sur l’occasion et je l’ai payé comptant, ça m’a permis d’avoir une grosse remise.
• Tu verras, ici c’est calme et c’est vraiment très près de l’école.
Pardon, je t’ai tutoyé.
• Sans problème Céline, je dois te quitter, j’ai une conférence dans vingt minutes avec ma boîte, je dois finir de la préparer.
Cette après-midi, si tu es disponible, vient prendre un café, je suis libre et sans contrainte, c’est l’avantage de travailler à domicile.

En mangeant seule, le midi, j’ai une pensée pour July, je suis une femme pleine de contrariétés, il semble qu’elle soit pleine d’assurance.
Élever son fils Jules toute seule alors que le père l’a délaissé après avoir planté sa graine, il faut avoir le courage de le faire.
Pour ma part, mon mari me déçoit au lit, mais je me tais, c’est lui qui nous nourrit Sandrine et moi.
Décevoir, c’est un grand mot, disons qu’il me fait l’amour suivant son bon vouloir et sans être un lapin, neuf fois sur dix, il éjacule dans mon vagin, avant que j’atteigne mon petit plaisir.
Petit plaisir, loin des grandes envolées que certaines femmes disent ressentir à écarter leurs cuisses pour leur mari.

• Dis-moi Céline avec ton mari, les choses se passent bien ?

Confidence entre femmes, devant un café, c’est classique.
Le café est bon, café en grains gardant tous leurs arômes jusqu’au moment où ils sont broyés.
Il faudra que j’offre une cafetière à Romuald pour son anniversaire.
Il y a deux mois pour le mien, il m’a offert un appareil massant les pieds, quelle imagination.
C’est alors que j’allais finir ma tasse que la sonnette de la porte d’entrée se fait entendre.

• Je vais te quitter, voilà du monde pour toi July !
• Reste Céline, ce doit être un représentant de commerce, je vais lui dire ma façon de penser, j’ai horreur d’être dérangé importunément.

July me quitte fermant la porte de la cuisine, mais elle la ferme mal et j’entends des bribes de la conversation.
Ce qui est étrange, c’est que notre immeuble possède un Digicode, empêchant justement d’entrer ce genre d’individu se croyant tout permis pour vendre leurs encyclopédies.

• Auguste, je t’ai demandé de m’appeler lorsque tu veux venir me consulter, j’ai d’autres clients que se serait-il passé si j’en avais reçu un en ce moment.

Je reconstitue cette phrase, certains mots m’ayant échappé.
Je suis intriguée, je me lève m’approchant de la porte, comme toute femme je suis curieuse et surtout intriguée par ces propos.
Pourquoi Auguste vient-il la consulter, il avait le code d’entrée donc il est déjà venu ?

• Mais j’ai de l’argent et j’ai très envie de toi, je dois rentrer très vite, maman va s’inquiéter si je suis parti trop longtemps chercher le pain !
• Comprends qu’il est impossible que je te reçoive sans rendez-vous, j’ai une amie dans ma cuisine.
• Tu couches aussi avec des femmes, maman aussi elle a une amie, je dois rester dans ma chambre lorsqu’elle la reçoit, on m’a dit que c’était des lesbiennes.
July, tu sais ce que c’est des lesbiennes !
• Attends, je regarde, tu vas chercher le pain tous les après-midi !
• Oui.
• Alors, tu peux venir demain à 14 heures, nous ferons notre petite chose.
Tu vas bien pouvoir attendre 24 heures pour que je m’occupe de ton petit joujou, tu sais, je l’aime bien ce petit joujou, il me fait beaucoup de bien.
• Tu dis ça à tout le monde, tu as dit pareil à Sylvain le copain qui m’avait donné ton numéro.
• Oui, c’est vrai, mais je préfère la tienne, elle est plus grosse, bon aller part à demain.
• Merci July, excuse, mais j’avais énormément envie de toi.

C’est clair, notre immeuble abrite une pute qui reçoit ses clients chez elles.
J’entends la porte se fermer, je récupère ma tasse et je me rapproche de la cafetière.
Lorsque July entre, elle doit voir la porte restée ouverte et que cherchant à faire un café, je me donne une contenance.

• Céline, dit moi la vérité, la porte était mal fermée, as-tu tout entendu de ma conversation avec Auguste, un gentil garçon, même un peu simplet à qui j’ai rendu un service.
Il était puceau et voulait le perdre, je me suis dévouée.
• July, j’ai entendu, j’ai compris que tu étais une prostituée recevant ses clients chez elle.
• Tu me juges, ça me permet d’élever mon fils afin qu’il ait de quoi manger.
• Te juger, tu te trompes et je comprends même comment une femme peut être astreinte à se vendre.
Tu sais, je pense quelquefois à ma vie de femme mariée vivant entièrement sous la dépendance de mon mari, j’ai quelquefois l’impression d’être la pute d’un seul homme.
Mon mari pourvoit à mon bien-être, du moins c’est ce qu’il doit penser, mais avec la bague qu’il m’a passée il se paye une bonne et une femme pour son seul plaisir.
Si tu savais le nombre de fois que lorsqu’il veut me faire l’amour, je regarde le plafond en attendant qu’il ait terminé sa petite affaire.
Toi au moins, tu les prends lorsqu’ils viennent te voir, ça te rapporte et après tu passes à un autre.
• Tu veux que je t’avoue quelque chose, je sens que tu es assez ouverte pour le comprendre.
• Oui, je t’écoute !
• J’ai été mariée six mois, je comprends ce que tu veux dire, avec Robert, j’écartais mes cuisses et j’étais sa poupée gonflable, du moins j’avais l’impression d’un équivalent.
Lorsque je reçois un de ces hommes souvent sexuellement insatisfaits, je leur donne du plaisir et il m’en donne énormément aussi.
À part ceux que je nommerais des lapins qui éjaculent à peine commencer, la plupart en veulent pour leur argent et j’ai énormément de plaisir.
• Qu’est-ce que je t’envie, moi tu me fais prendre conscience de ma frustration ?
• Veux-tu essayer avec l’un de mes clients, tu essayes une fois, ça te plait, il y a de quoi faire pour deux, sinon, nous restons bonnes amies.
Mais je t’en supplie, j’ai eu du mal à trouver cette immeuble ou je peux travailler sereinement sans aller dans la rue racoler les clients et me retrouver, encartée par la police.
• Quelle horreur, je mourrais de honte que Romuald soit convoqué au commissariat pour apprendre que sa femme se prostitue.
Mais ton offre me plait, tu as raison, il faut avoir essayé une fois pour dire s’ils ont aimé ou pas.
• Je vais recevoir les clients encore quelques années et après avoir mis assez de côté, je repartirais dans ma province pour m’acheter un commerce et une vertu.

En prononçant ces mots, je me rends compte de l’énormité de ce que je viens de dire.
Il est vrai que l’autre jour, au super-marcher, j’ai été abordé par un homme voulant me mettre dans son lit et faire de moi sa maîtresse.
Où est la différence entre être la maîtresse d’un inconnu ou me faire payer pour me faire sauter ?

• Tu as pensé si j’ouvre la porte rendez-vous pris chez moi et que je tombe sur un homme que je connais ou un copain de Romuald, je serais morte de honte.
• Je te comprends, mais si je te propose d’essayer, c’est ici dans mon appartement.
J’ai une chambre d’amis dont tu pourrais disposer pour faire cet essai.
Quant aux clients que tu dois recevoir, regarde sur la porte, il y a un oeilleton, tu regardes si tu connais, tu laisses sonner, il finira par repartir, ou je m’en occuperais.

Je suis folle, j’ai bien envie d’essayer, même si j’ai entendu dire « pute un jour, pute toujours »...

Les avis des lecteurs

Merci Charlotte j'aime apprendre que tu es une salope, j'adore les salopes ça m'aide à écrire, elle vive des aventut=res que bien des femmes leur envie

Très bonne histoire, me rappelant un peu quand j'étais femme célibataire



Texte coquin : COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (1/4)
Histoire sexe : Une rose rouge
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