COLLECTION PUTE. Service rendu (2/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Service rendu (2/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION PUTE. Service rendu (2/6)
• Corinne, j’ai un service à te demander !

Ça c’est le début de ce qui m’arrive, lorsque Gladys prononce cette phrase me demandant de la remplacer à une soirée comme escorte girl pour moi faire la pute.

• C’est la première fois que tu vas à une de nos petites sauteries !

Là, ce sont les mots que j’entends quelques minutes après que j’ai rejoint les sept à huit filles déjà là.
J’avais peur de louper le départ, certes, à cause de mes talons, mais aussi si j’avais eu du mal à reconnaitre les filles, qui doivent m’accompagner.
C’était sans compter les tenues que nous portons, surtout nos seins que nous montrons généreusement.
Cette phrase sur ma première fois, elle est dite, par une magnifique black ayant des seins presque le double des miens.
Je manque de répondre « oui », mais ouf, les mots de Gladys me reviennent en mémoire, il faut que je passe inaperçu.

• Non, j’ai déjà participé une fois, parmi les filles, je t’aurais reconnu, sans vouloir te vexer, une magnifique noire, je t’aurais repéré.
• Ils organisent de nombreuses soirées, tu as raison, toi aussi je t’aurais repéré, tu es jolie comme un cœur.

Un petit car arrive, le chauffeur descend une liste en main.

• Noémie Campbell.

Noémie, pas Noami, mais il est drôle qu’une pute porte presque le même nom qu’un célèbre top-modèle.

• Gladys Dubois.

C’est vrai, Gladys aussi a pris un nom d’emprunt.

• Gladys Dubois, est-elle absente ?

Mince, Gladys s’est moi, je rends service à ma copine.

• Gladys, c’est moi, excusez, je rêvais.
• T’es pas là pour rêver, tu veux rester ici, tu nous mets en retard.

Je monte dans le car, Gladys a oublié de me dire que les vitres sont opaques, notre destination doit être secrète, ces messieurs doivent vouloir garder leur incognito.

• Permets-tu que je m’assoie à tes côtés ?

Blanche Claire, c’est le nom appellé que j’entends lorsque je montais dans le car.
C’est « Blanche », la jeune femme noire qui m’a suivi et qui souhaite s’assoir près de moi, d’un signe de tête, je lui permets, malgré les recommandations de Gladys de rester dans mon coin.
Toutes les filles sont là, j’ai franchi l’étape la plus dure avec le chauffeur.
Les vitres étant opaques, impossibles de voir vers où nous roulons.
Même avec le chauffeur une paroi nous isole et les filles semblent connaitre cette particularité de notre véhicule.

• Gladys a des problèmes, je sais que tu prends sa place !
• Non, Gladys, c’est moi, pourquoi me dis-tu ça ?
• Quand je t’ai dit que c’était la première fois que tu venais à nos petites sauteries, j’ignorais le nom que Carl le chauffeur allait appeler et que tu y répondrais.
Gladys et moi, sommes copines et je verrais mal notre agence faire travailler deux filles avec le même patronyme, même s’il est d’emprunts.
Soit elle m’a baladé, soit c’est toi qui me prends pour une idiote, je préfère éviter de passer pour l’une d’elles.
• Elle avait un autre rendez-vous et m’a demandé de lui rendre ce service.
• Tu rigoles, as-tu déjà vendu ton cul auprès de clients que nous devons satisfaire et surtout si ce qu’ils te demandent te déplaît ?
Je sais qui tu aies, elle m’a parlé de ses études et des passes qu’elle faisait pour boucler son budget et se payer des fringues très chères dans les meilleures boutiques.
Tu en portes ce soir, mais tu es sa colocataire coincée du cul en temps normal habillé comme un sac.
Je te vois mal sucer des bites et écarter tes cuisses pour te faire mettre par des hommes ayant presque trois fois ton âge.
J’ai mis six mois à accepter ma condition de pute et toi tu espères réussir du premier coup.
Tu es bien dépucelé, ça serait le bouquet que nos clients aient du sang sur eux.
• J’ai été dépucelé par mon oncle, qui a plus de deux fois mon âge, tu vois, l’oie blanche a déjà fait son chemin.
• Je veux bien te croire, je te propose de travailler en binôme, si quelque chose te déplaît, tu me fais signe et j’aviserais, je viendrais à ton secours.

Au bout d’un moment, nous sentons le véhicule décélérer et tourner à quatre-vingt-dix degrés.
Le bruit sous les pneus est différent, nous devons remonter une allée de graviers.
Mini car arrêtés, nous descendons, l’angoisse me prend, dans quelle galère me suis-je embarquée.
Je suis Blanche comme un petit toutou, la nuit est aussi noire qu’elle.
Seule la lumière venant d’une porte permet d’en voir assez pour éviter de nous étaler, toutes nous sommes sur des hauts talons.
Un couloir, une pièce où nous déposons nos affaires ainsi que nos vêtements.

• Gladys enlève tout, garde seulement tes bas, tes talons et ta guêpière, je la reconnais, la dernière soirée Gladys la portait.
Ôte même ta petite culotte, inutile que ces messieurs te l’arrachent.

Oh ! oui, dans quelle sorte de galère me suis-je fourré.
Partir en courant et mettre tout en l'air ou assuré, tout ça pour du pognon.
Une femme en tailleur est là pour nous recevoir.

• Mesdames, mettez-vous par deux, nos clients ce soir ont choisi la formule deux filles par tables, ils sont quatre à chacune de l’une d’elles.
Celles qui ont l’habitude de travailler ensemble vous pouvez vous mettre par deux et en entrant dans la salle, vous choisirez une table.
Inutile de vous battre comme la dernière fois, je vous ai à l’œil.

Voilà, c’est fait, la soirée se termine, j’ai assuré, j’ai fait la connaissance d’un bourguignon venu avec des amis, cinquante à cinquante-cinq ans.
Je m’étais assise à côté de lui, j’ai vite compris qu’il était veuf et qu’à ce jour depuis trois ans qu’elle était morte, il lui était resté fidèle.
C’est son fils qui l’avait tué dans la voiture qu’il venait de lui offrir, ce jeune con avait doublé franchissant la ligne continue dans un virage.
Il avait tué six personnes en entrant dans une voiture où se trouvait une famille, un couple avec ses deux enfants.
Blanche voyant que ce monsieur s’épanchait près de moi, me permettant de mettre en pratique mes premiers cours allant me mener vers mon futur métier, la philosophie, elle a assumé la plupart du travail.
J’ai simplement sucé deux des quatre gars assis à notre table.
L’un d’eux ma baise après cette sucette en me faisant m’assoir à califourchon sur sa bite épaisse.
Lorsque nous repartons, j’ai du mal à marcher, mes talons !
Non eux je m’y suis habituée, mais j'ai le cul cassé.
Gladys avait oublié de me dire qu’il faudrait que j’accepte d’être prise mes seins sur la table.
Au début, j’ai pensé que Benoit, le copain de Charles qui refusait que je l’aide à enterrer définitivement sa femme, voulait me prendre par ma chatte blonde.
Gladys, m’ayant rasé lorsqu’elle me préparait, me laissant simplement une petite touffe.
C’est un fer rouge qui est entré en moi, mon anus cédant à sa bite dès que son gland a été passé.
La soirée terminée, nous avons retrouvé nos affaires, puis le car et c’est en taxi que Blanche m’a reconduit au bas de mon immeuble.
Par chance, elle habitait dans le secteur, je me serais senti mal dans les transports en commun venant juste de rouvrir avec ses gens endormis finissant leur nuit.
Gladys, la vraie, brillant par son absence, douche et au lit, jusqu’au dimanche en fin de journée.
Elle était là, elle voulait savoir comment ça s’était passé, j’ai évité de lui dire que si j’étais vierge du cul, je l’avais perdu pour 2 000 €.

Quinze jours ont passé et je révisais quand Gladys est venue dans ma chambre.

• Corinne, je vois que tu m’as très bien remplacé !
Je viens de recevoir l’offre d’une soirée avec un monsieur semblant venir de Bourgogne.
L’agence a précisé qu’il avait insisté pour que ce soit moi, donc toi qui assures cette prestation.
Tu vas être obligée de retourner au turbin, nous avons fait tout ça pour que je garde ma place, ce serait bête que notre supercherie soit découverte !

Cette fois, un chauffeur m’attend au bas de chez moi.
C’est celui du client qui avait refusé de me baiser, acceptant simplement que je m’asseye sur ses genoux entre deux prestations avec les autres.
Même mon petit cul se frottant sur sa bite, il refusait, semble-t-il de tendre le bras.
Il a tenu que l’on m’évite les transports en commun.
Gladys m’a fait passer les 1 000 € avec repas au restaurant de l’hôtel, certainement le seul qui m’a respecté bien que j’aie tout fait pour qu’il s’occupe de moi.
Je sais, j’ai l’impression de me renier en ayant accepté de me focaliser sur cet homme de plus de cinquante ans.
Suis-je voué à rencontrer des hommes de cet âge, surtout après que mon oncle m’ait dépucelé dans notre cuisine avant que je monte à Paris ?
Pour ce rendez-vous, à sa place, afin de garder le secret de notre supercherie au manoir, Gladys m’a prêté des vêtements un peu plus habillés après une nouvelle fois m’avoir rasé ma chatte me laissant ma petite touffe.
Il y a encore des embouteillages, lorsque nous nous garons devant un hôtel plein de dorure, combien une nuit doit couter pour celui qui paye.
Un homme portant une tenue rouge m’ouvre la porte de cette grosse limousine.
Un autre homme, en costume trois-pièces gris me dirige vers le restaurant.
Charles est devant moi, toujours bel homme malgré le léger embonpoint que souvent les hommes de son âge ayant bien vécu présente.

• Chère Gladys, je suis heureux de vous revoir.

Je lui présente ma main, il la prend délicatement et me fait un baisemain.
Je rougis, peu habituée à de tels égards.

• Voulez-vous prendre place ?...

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