COLLECTION SM. La villa des surprises. (1/3)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION SM. La villa des surprises. (1/3)
• Bonjours mes amis, je suis heureuse de vous recevoir dans notre nouvelle demeure.
• Vous avez cassé votre tirelire, il est vrai que Marc gagne bien sa vie.
• Oui, mais à quel prix, il part deux semaines sur quatre, il vous expliquera son travail sur sa plate-forme pétrolière en mer du Nord.
J’ai renoncé à comprendre par moi-même, la technique et moi cela fait deux.
Heureusement, Galit notre hôtesse nous a prévenus de porter des tenues décontractées, sinon j’aurais l’impression que nous sommes en avance, car elle nous ouvre en peignoir de bain.
• Excusez ma tenue, j’ignorais si c’était vous qui arriviez.
J’aurais l’air stupide d’ouvrir et de me trouver face à un livreur étant presque nu.
Nous vous attendions, nous sommes près de la piscine, j’espère que vous avez pris vos maillots comme je te l’avais demandé, Francis.
Attendez, je referme le portail nous avions laissé ouvert pour que vous puissiez avancer votre voiture jusqu’à notre perron, nous nous méfions des rôdeurs.
• Vous avez beaucoup de cambriolages dans le coin.
• Non, mais il suffit d’une fois, comme toutes les villes nous avons des quartiers ou il est difficile d’entrer, mais eux savent sortir.
• Tu oublies que je sors de ces quartiers.
• Excuse, Diffa loin de moi cette idée, toi tu as fait des études, ce qui t’a permis d’épouser Francis.
• Ajoute que j’ai de la chance qu’il soit notaire et qu’il gagne très bien notre vie, moi qui suis oisive.
• Stop, les filles, on sait que l’une ou l’autre aimer jouer à qui dominera l’autre, mais je suis sûr que Marc, comme moi, espère que nous passions une journée calme tous les quatre.
• D’autant plus qu’elle est aussi oisive que moi, puisqu’elle a quitté son emploi.
• Tu peux ajouter pour pouvoir être avec mon mari les deux semaines où il est là, alors que toi, tu...
• Stop, sinon je m’en vais.
• Hello, les amis, je vois que c’est tendu, je dois avoir une cravache quelque part, je vais finir par leur caresser les côtelettes.
• C’est vrai mon chéri, tu as raison.
Et sur ce fait, nous tombons dans les bras l’une de l’autre.
• Allez ma chérie, nos hommes ont raison, il faudrait que nous nous arrêtions de nous comporter comme si nous étions encore à l’école maternelle.
• C’est normal, déjà en ce temps-là, tu me faisais sentir que tu étais une fille de bonne famille.
J’évite de dire fille de bourge, acceptant de parler et de jouer avec la fille de la gouvernante.
• Comment peux-tu dire ça, je te protégeais des petits cons qui te traitaient de, de, de... ?
• Tu peux y aller, dit le, va jusqu’au bout de ta pensée, ils me traitaient de bougnoule, ce qui est faux, tu sais bien que papa était kabyle et je t’em...
• Marc, va chercher ta cravache, elles sont indécrottables.
Elle est de mauvaise foi quand elle dit qu’elle me protégeait, car du plus loin que je me souvienne, elle recevait des tannés par ses copines qui la traitaient comme je l’ai dit, de fille de bourges.
Il est aussi vrai que dans ces mêlés, j’en profitais pour lui balancer quelques coups de pied qu’elle recevait souvent en me regardant, incrédule.
À croire qu’elle aimait se faire punir avant que je fasse le ménage et que je la protège.
Nous parlons de cela en traversant la maison et surtout la salle pour nous retrouver sur la terrasse face à la magnifique piscine.
Nous allons l’inaugurer en cette belle journée de juillet dans le mas que nos amis ont acquis, un peu plus bas qu’Aix-en-Provence.
Nous sommes nées en France, mais nos parents venaient tous les quatre d’Algérie et contrairement à d’autres, ses parents ont emmené mes parents avec eux lors de l’indépendance les ayant gardés à leur service.
Dès que nous avons été en âge, étant souvent seuls soit chez moi, mais le plus souvent chez elle, je venais travailler mes cours de fac, car à la maison mes trois frères me pourrissaient la vie.
Un jour où il faisait très chaud, autant qu’aujourd’hui, nous étions en petite culotte et soutien-gorge.
Un jour, en se penchant pour me faire voir de sa main droite un chiffre sur la feuille de notre problème de math, sa gauche s’est posée sur ma cuisse me faisant comme une brûlure ou plutôt une décharge électrique.
Nous nous sommes regardés et naturellement nous nous sommes embrassés.
Depuis quelques semaines suite à une soirée un peu trop arrosée, mais tout à fait normale après notre réussite au bac toutes les deux avec mention « très bien » les choses ont évolué.
Je l’ai vu monter avec un garçon vers les étages de la villa que les parents d’une copine leur avaient laissés pour la nuit.
Sa démarche incertaine m’a alerté.
Dans un premier temps, j’ai cru qu’il l’avait emmené vers les toilettes.
Le temps m’a paru long, aussi je suis montée trouvant les toilettes vides.
Elle était dans la deuxième chambre, il y avait là quatre garçons.
Galit était déjà déshabillé et avait déjà la bite de l’un d’eux à quelques centimètres de sa bouche.
Celui qui était derrière elle la tenait par les cheveux et appuyait pour qu’elle suce son copain dans un même temps un autre lui tordait un sein.
J’ai eu mal pour elle.
Elle avait pris conscience qu’elle était dans une tournante, car je la voyais résister.
Mais à quatre contre une, elle allait perdre son hymen dans la situation où elle était venue se fourrer, l’alcool aidant.
Mais Diffa veillait et habitué au coup de poing avec mes frères, je les ai attaquées. J’avais la chance d’avoir affaire à quatre petits cons qui ont filé quand le plus proche a pris mon poing dans la figure.
J’ai aidé Galit à remettre ses vêtements.
Nous sommes répartis dans le taxi que j’avais appelé, blotti dans les bras l’une l’autre.
Cette après-midi, là, après notre premier baisé, nous avons roulé pour la première fois sur son lit.
• Pince-moi les seins, fais-moi mal chérie, j’attendais ce moment depuis des lustres.
C’est par cette phrase que, toute l'après-midi nous nous sommes caressées, embrasées et finissant par nous lécher les chattes.
Une seule chose nous retenait nos hymens, car toutes les deux, même si nous étions en train d’apprécier ce que nous nous faisions, nous espérions le grand amour qui lors de notre nuit de noce nous dépucellerait.
C’est quelques années plus tard, que je suis arrivée à épouser un notaire qu’elle connaissait.
C’est grâce à elle, dès que nous avons été en âge d’aller en boîte que moi la fille de Kabyle, je suis entrée dans les clubs les plus huppés d’Aix où je pouvais passer sans problème sous sa protection.
La fille de son père haut magistrat nous ouvrait toutes les portes des secteurs V.I.P.
Le jour où j’ai rencontré Francis fils de notaires ayant flaché sur ma peau brune, mon cœur a chaviré.
J’étais en dernière années de droit, Francis travaillait déjà avec son père depuis l’année précédente.
Le mois suivant dans un de ces repas pince fesse adorée par sa mère, Galit rencontrait son vicomte, mais très adorable et loin d’être collet monté.
Nous avons été témoins, chacune de nos mariages, mais bien sûr à des dates et des lieux bien différents.
Nous nous sommes raconté notre nuit de noces bien que moi pour ferrer ce fils de bourgeois, j’aie franchi le Rubicon le lendemain de notre rencontre ayant bien vu qu’il était puceau.
Je savais que je prenais un risque, mais il a tellement été heureux que je lui offre mon hymen, sang à l’appui et assez abondant, lui confirmant ma pureté.
À la sortie, il a fait sa demande en mariage.
Il m’a avoué qu’il avait cru que j’avais de l’expérience, mais quand il a vu sa verge marquée de mon sang, il m’a aimé deux fois plus.
Dans les semaines qui suivirent, j’ai aimé les jeux du sexe et je lui ai permis de me faire tout ce qu’une salope pouvait apprendre par Internet.
Mais à chaque fois il a presque fallu que je le viole sans qu’il se fasse prier.
Quand je jouis, c’est fréquent, je lui laboure le dos avec mes ongles le marquant au sang.
Ça lui pose problème l’été pour se mettre tors nu, mais chaque fois il me regarde attendant que je lui fasse mal quand j’ai un simple petit plaisir par manque de jeux ou de concentration.
Pour Diffa, le soir de ses noces elle a eu peur et souhaitait que je l’assiste pour calmer son mari.
Bien sûr, j’ai refusé lui expliquant que c’était une grande fille puisqu’elle avait accepté sa demande en mariage.
C’est là qu’elle a osé m’avouer que ce sont leurs parents entre eux qui avaient organisé le rapprochement allant jusqu’à la bague au doigt.
Le lendemain je suis partie les accompagner à la gare comme il était prévenu initialement, j’étais anxieuse de savoir comment les choses s’étaient passées.
• Tu sais comme j’avais peur.
Mais cela a été formidable, je crois que la mésaventure que j’ai eue après mon bac me coinçait.
Marc a très rapidement su ce qu’il me fallait pour que je revienne sur terre.
Il m’a traité comme une pute, dirigeant notre nuit, contrairement à ce qu’il avait fait croire à ses parents pour être tranquille, il était loin d’être puceau.
Ce qui aurait pu me gêner si j’avais été comme maman très collet monté, mais ta fréquentation et surtout nos amitiés coquines ont bien aplani les choses.
Je crois que j’avais besoin qu’un homme soit un mâle et sans le savoir je l’ai trouvé.
Ce que j’avais failli faire sous la contrainte des garçons dans la chambre, je l’ai fait sans discuter quand j’ai compris ce qu’il souhaitait.
C’est quand il m’a pris l’anus au lieu de ma minette alors que j’étais à quatre pattes que j’ai su que je serais amoureuse toute ma vie.
Il peut me demander ce qu’il veut.
• Attention tu t’emballes, mais à quel moment t’a-t-il défloré ?
• Diffa, je suis toujours vierge, il m’a dépucelé l’anus, ma chatte est comme à ma naissance.
Il m’impose d’attendre son bon vouloir.
Tu crois que tous les hommes sont des salops ou qu’ils cherchent seulement notre bonheur et notre plaisir.
J’ai nettement l’impression que nous avons trouvé les mêmes époux et épouses.
Si ces deux-là s’étaient mariés ensemble, nous aurions rapidement des époux frustrés.
Pour trouver leurs plaisirs, ils chercheraient une personne plus entreprenante en nous trompant.
Cela sans jamais atteindre le Graal, car c’est leurs cerveaux qui manquent d’imagination.
Mais retournons sur la terrasse que nous rejoignons pour manger le repas que Galit s’est fait préparer.
Elle s’est vraisemblablement fait livrer, car je suis sûr que la cuisine de cette nouvelle villa doit être somptueuse, mais dois leur servir à boire le café au petit déjeuner et encore grâce à une machine automatique.
Elle fait tomber son peignoir nous montrant sa peau bronzée.
Comme elle est de trois quarts, quand elle s’assoit, je remarque une trace sombre sur sa fesse qu’elle a essayé de masquer avec du fonds de tain.
J’en fais de même.
J’enlève mes vêtements que je pends sur le porte-manteau qu’elle a sorti près de la baie vitrée.
Nous passons à table simplement vêtus tous les trois d’un simple maillot de bain.
Francis comme je l’avais prévu prétexte des risques avec le soleil pour garder sa chemisette.
La dernière goutte de champagne bue, Galit prend une initiative.
• Qui m’aime me suit.
Elle va en courant à la piscine et plonge, suivi par Marc et Francis, suivant avec sa chemisette.
Je voudrais les suivrent, mais la nature à ses impératifs et ma maman m’ayant bien éduqué je pose une question.
• Galit où sont les toilettes.
J’anticipe, car mon besoin étant précent, j’entends, couloir 1ère porte, mais je suis trop loin pour comprendre droite ou gauche.
J’ouvre la gauche, c’est un escalier qui semble descendre vers la cave.
Par mégarde nos amis ont oublié d’éteindre la pièce du bas.
Maman, m’ayant appris à savoir économiser les ressources de la planète je descends pour éteindre.
Quelle surprise…
• Vous avez cassé votre tirelire, il est vrai que Marc gagne bien sa vie.
• Oui, mais à quel prix, il part deux semaines sur quatre, il vous expliquera son travail sur sa plate-forme pétrolière en mer du Nord.
J’ai renoncé à comprendre par moi-même, la technique et moi cela fait deux.
Heureusement, Galit notre hôtesse nous a prévenus de porter des tenues décontractées, sinon j’aurais l’impression que nous sommes en avance, car elle nous ouvre en peignoir de bain.
• Excusez ma tenue, j’ignorais si c’était vous qui arriviez.
J’aurais l’air stupide d’ouvrir et de me trouver face à un livreur étant presque nu.
Nous vous attendions, nous sommes près de la piscine, j’espère que vous avez pris vos maillots comme je te l’avais demandé, Francis.
Attendez, je referme le portail nous avions laissé ouvert pour que vous puissiez avancer votre voiture jusqu’à notre perron, nous nous méfions des rôdeurs.
• Vous avez beaucoup de cambriolages dans le coin.
• Non, mais il suffit d’une fois, comme toutes les villes nous avons des quartiers ou il est difficile d’entrer, mais eux savent sortir.
• Tu oublies que je sors de ces quartiers.
• Excuse, Diffa loin de moi cette idée, toi tu as fait des études, ce qui t’a permis d’épouser Francis.
• Ajoute que j’ai de la chance qu’il soit notaire et qu’il gagne très bien notre vie, moi qui suis oisive.
• Stop, les filles, on sait que l’une ou l’autre aimer jouer à qui dominera l’autre, mais je suis sûr que Marc, comme moi, espère que nous passions une journée calme tous les quatre.
• D’autant plus qu’elle est aussi oisive que moi, puisqu’elle a quitté son emploi.
• Tu peux ajouter pour pouvoir être avec mon mari les deux semaines où il est là, alors que toi, tu...
• Stop, sinon je m’en vais.
• Hello, les amis, je vois que c’est tendu, je dois avoir une cravache quelque part, je vais finir par leur caresser les côtelettes.
• C’est vrai mon chéri, tu as raison.
Et sur ce fait, nous tombons dans les bras l’une de l’autre.
• Allez ma chérie, nos hommes ont raison, il faudrait que nous nous arrêtions de nous comporter comme si nous étions encore à l’école maternelle.
• C’est normal, déjà en ce temps-là, tu me faisais sentir que tu étais une fille de bonne famille.
J’évite de dire fille de bourge, acceptant de parler et de jouer avec la fille de la gouvernante.
• Comment peux-tu dire ça, je te protégeais des petits cons qui te traitaient de, de, de... ?
• Tu peux y aller, dit le, va jusqu’au bout de ta pensée, ils me traitaient de bougnoule, ce qui est faux, tu sais bien que papa était kabyle et je t’em...
• Marc, va chercher ta cravache, elles sont indécrottables.
Elle est de mauvaise foi quand elle dit qu’elle me protégeait, car du plus loin que je me souvienne, elle recevait des tannés par ses copines qui la traitaient comme je l’ai dit, de fille de bourges.
Il est aussi vrai que dans ces mêlés, j’en profitais pour lui balancer quelques coups de pied qu’elle recevait souvent en me regardant, incrédule.
À croire qu’elle aimait se faire punir avant que je fasse le ménage et que je la protège.
Nous parlons de cela en traversant la maison et surtout la salle pour nous retrouver sur la terrasse face à la magnifique piscine.
Nous allons l’inaugurer en cette belle journée de juillet dans le mas que nos amis ont acquis, un peu plus bas qu’Aix-en-Provence.
Nous sommes nées en France, mais nos parents venaient tous les quatre d’Algérie et contrairement à d’autres, ses parents ont emmené mes parents avec eux lors de l’indépendance les ayant gardés à leur service.
Dès que nous avons été en âge, étant souvent seuls soit chez moi, mais le plus souvent chez elle, je venais travailler mes cours de fac, car à la maison mes trois frères me pourrissaient la vie.
Un jour où il faisait très chaud, autant qu’aujourd’hui, nous étions en petite culotte et soutien-gorge.
Un jour, en se penchant pour me faire voir de sa main droite un chiffre sur la feuille de notre problème de math, sa gauche s’est posée sur ma cuisse me faisant comme une brûlure ou plutôt une décharge électrique.
Nous nous sommes regardés et naturellement nous nous sommes embrassés.
Depuis quelques semaines suite à une soirée un peu trop arrosée, mais tout à fait normale après notre réussite au bac toutes les deux avec mention « très bien » les choses ont évolué.
Je l’ai vu monter avec un garçon vers les étages de la villa que les parents d’une copine leur avaient laissés pour la nuit.
Sa démarche incertaine m’a alerté.
Dans un premier temps, j’ai cru qu’il l’avait emmené vers les toilettes.
Le temps m’a paru long, aussi je suis montée trouvant les toilettes vides.
Elle était dans la deuxième chambre, il y avait là quatre garçons.
Galit était déjà déshabillé et avait déjà la bite de l’un d’eux à quelques centimètres de sa bouche.
Celui qui était derrière elle la tenait par les cheveux et appuyait pour qu’elle suce son copain dans un même temps un autre lui tordait un sein.
J’ai eu mal pour elle.
Elle avait pris conscience qu’elle était dans une tournante, car je la voyais résister.
Mais à quatre contre une, elle allait perdre son hymen dans la situation où elle était venue se fourrer, l’alcool aidant.
Mais Diffa veillait et habitué au coup de poing avec mes frères, je les ai attaquées. J’avais la chance d’avoir affaire à quatre petits cons qui ont filé quand le plus proche a pris mon poing dans la figure.
J’ai aidé Galit à remettre ses vêtements.
Nous sommes répartis dans le taxi que j’avais appelé, blotti dans les bras l’une l’autre.
Cette après-midi, là, après notre premier baisé, nous avons roulé pour la première fois sur son lit.
• Pince-moi les seins, fais-moi mal chérie, j’attendais ce moment depuis des lustres.
C’est par cette phrase que, toute l'après-midi nous nous sommes caressées, embrasées et finissant par nous lécher les chattes.
Une seule chose nous retenait nos hymens, car toutes les deux, même si nous étions en train d’apprécier ce que nous nous faisions, nous espérions le grand amour qui lors de notre nuit de noce nous dépucellerait.
C’est quelques années plus tard, que je suis arrivée à épouser un notaire qu’elle connaissait.
C’est grâce à elle, dès que nous avons été en âge d’aller en boîte que moi la fille de Kabyle, je suis entrée dans les clubs les plus huppés d’Aix où je pouvais passer sans problème sous sa protection.
La fille de son père haut magistrat nous ouvrait toutes les portes des secteurs V.I.P.
Le jour où j’ai rencontré Francis fils de notaires ayant flaché sur ma peau brune, mon cœur a chaviré.
J’étais en dernière années de droit, Francis travaillait déjà avec son père depuis l’année précédente.
Le mois suivant dans un de ces repas pince fesse adorée par sa mère, Galit rencontrait son vicomte, mais très adorable et loin d’être collet monté.
Nous avons été témoins, chacune de nos mariages, mais bien sûr à des dates et des lieux bien différents.
Nous nous sommes raconté notre nuit de noces bien que moi pour ferrer ce fils de bourgeois, j’aie franchi le Rubicon le lendemain de notre rencontre ayant bien vu qu’il était puceau.
Je savais que je prenais un risque, mais il a tellement été heureux que je lui offre mon hymen, sang à l’appui et assez abondant, lui confirmant ma pureté.
À la sortie, il a fait sa demande en mariage.
Il m’a avoué qu’il avait cru que j’avais de l’expérience, mais quand il a vu sa verge marquée de mon sang, il m’a aimé deux fois plus.
Dans les semaines qui suivirent, j’ai aimé les jeux du sexe et je lui ai permis de me faire tout ce qu’une salope pouvait apprendre par Internet.
Mais à chaque fois il a presque fallu que je le viole sans qu’il se fasse prier.
Quand je jouis, c’est fréquent, je lui laboure le dos avec mes ongles le marquant au sang.
Ça lui pose problème l’été pour se mettre tors nu, mais chaque fois il me regarde attendant que je lui fasse mal quand j’ai un simple petit plaisir par manque de jeux ou de concentration.
Pour Diffa, le soir de ses noces elle a eu peur et souhaitait que je l’assiste pour calmer son mari.
Bien sûr, j’ai refusé lui expliquant que c’était une grande fille puisqu’elle avait accepté sa demande en mariage.
C’est là qu’elle a osé m’avouer que ce sont leurs parents entre eux qui avaient organisé le rapprochement allant jusqu’à la bague au doigt.
Le lendemain je suis partie les accompagner à la gare comme il était prévenu initialement, j’étais anxieuse de savoir comment les choses s’étaient passées.
• Tu sais comme j’avais peur.
Mais cela a été formidable, je crois que la mésaventure que j’ai eue après mon bac me coinçait.
Marc a très rapidement su ce qu’il me fallait pour que je revienne sur terre.
Il m’a traité comme une pute, dirigeant notre nuit, contrairement à ce qu’il avait fait croire à ses parents pour être tranquille, il était loin d’être puceau.
Ce qui aurait pu me gêner si j’avais été comme maman très collet monté, mais ta fréquentation et surtout nos amitiés coquines ont bien aplani les choses.
Je crois que j’avais besoin qu’un homme soit un mâle et sans le savoir je l’ai trouvé.
Ce que j’avais failli faire sous la contrainte des garçons dans la chambre, je l’ai fait sans discuter quand j’ai compris ce qu’il souhaitait.
C’est quand il m’a pris l’anus au lieu de ma minette alors que j’étais à quatre pattes que j’ai su que je serais amoureuse toute ma vie.
Il peut me demander ce qu’il veut.
• Attention tu t’emballes, mais à quel moment t’a-t-il défloré ?
• Diffa, je suis toujours vierge, il m’a dépucelé l’anus, ma chatte est comme à ma naissance.
Il m’impose d’attendre son bon vouloir.
Tu crois que tous les hommes sont des salops ou qu’ils cherchent seulement notre bonheur et notre plaisir.
J’ai nettement l’impression que nous avons trouvé les mêmes époux et épouses.
Si ces deux-là s’étaient mariés ensemble, nous aurions rapidement des époux frustrés.
Pour trouver leurs plaisirs, ils chercheraient une personne plus entreprenante en nous trompant.
Cela sans jamais atteindre le Graal, car c’est leurs cerveaux qui manquent d’imagination.
Mais retournons sur la terrasse que nous rejoignons pour manger le repas que Galit s’est fait préparer.
Elle s’est vraisemblablement fait livrer, car je suis sûr que la cuisine de cette nouvelle villa doit être somptueuse, mais dois leur servir à boire le café au petit déjeuner et encore grâce à une machine automatique.
Elle fait tomber son peignoir nous montrant sa peau bronzée.
Comme elle est de trois quarts, quand elle s’assoit, je remarque une trace sombre sur sa fesse qu’elle a essayé de masquer avec du fonds de tain.
J’en fais de même.
J’enlève mes vêtements que je pends sur le porte-manteau qu’elle a sorti près de la baie vitrée.
Nous passons à table simplement vêtus tous les trois d’un simple maillot de bain.
Francis comme je l’avais prévu prétexte des risques avec le soleil pour garder sa chemisette.
La dernière goutte de champagne bue, Galit prend une initiative.
• Qui m’aime me suit.
Elle va en courant à la piscine et plonge, suivi par Marc et Francis, suivant avec sa chemisette.
Je voudrais les suivrent, mais la nature à ses impératifs et ma maman m’ayant bien éduqué je pose une question.
• Galit où sont les toilettes.
J’anticipe, car mon besoin étant précent, j’entends, couloir 1ère porte, mais je suis trop loin pour comprendre droite ou gauche.
J’ouvre la gauche, c’est un escalier qui semble descendre vers la cave.
Par mégarde nos amis ont oublié d’éteindre la pièce du bas.
Maman, m’ayant appris à savoir économiser les ressources de la planète je descends pour éteindre.
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