COLLECTION SM. Promenons-nous dans les bois. (9/x)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SM. Promenons-nous dans les bois. (9/x)
Ou m’emmène-t-on, je devrais dire où nous emmène-t-on car je reçois un corps sur moi dans ce coffre de voiture où l’on m’a jeté comme un vulgaire sac à patates.
Nous roulons et chaque fois que les parties de mon corps qui ont reçu les aiguilles et remplies maintenant par des piercings, du moins je le pense car je suis dans ma cave depuis mon départ pour la Grèce dans le noir le plus complet, me fonds mal.
La Grèce c’est ce que l’on fait croire aux personnes les plus proches de nous et je constaterais le beau travail de mon Maître.
J’ai les idées de plus en plus claires sur ce que je désire, je voudrais qu’il fasse de mon corps une œuvre d’art, chaque parcelle de mon anatomie devra recevoir sa dose de souffrance volontaire et sans aucune contrainte comme c’est le cas aujourd’hui.
La seule chose que je crains c’est qu’il m’est vendu à un autre Maître qui même s’il me procure le plaisir masochiste dont j’ai besoin m’éloignera de l’endroit de vie si agréable que je viens de découvrir au cours de mes jours de voyage comme celui que je fais en Grèce en ce moment.
La Grèce après l’Andalousie et les jours de repos pour mon corps que mon Maître semble savoir équilibrer.
J’ai hâte de retrouver l’atelier que Vivian m’a installé et ou je vais pouvoir exprimer mes goûts artistiques tous en sachant qu’il travaille à deux pas de moi et que si j’ai envie de lui appartenir il me suffit de le rejoindre de me déshabiller lascivement devant lui pour qu’il me prenne avec toute la douceur dont j’ai besoin.
Ce sera la partie blanche de notre couple vite rattrapé par la partie noire dans ma cave ou mon corps recevra les punitions par mon Maître qui le transformera pour son plus grand plaisir et le mien en l’oeuvre que tous vont pouvoir admirer quand je ferais mon exposition.
Je vais demander à Vivian de mettre sur les murs et le plafond de ma salle de peinture des glaces qui me renverront l’évolution de cette œuvre.
Elles me permettront de me peindre en autoportrait pour rapporter son évolution, il faudra que je trouve le moyen de leur communiquer qu’ils peuvent me renvoyer dans mon enfer volontaire dès que mon cerveau aura reproduit un ou deux tableaux de cette transformation pour retrouver l’inspiration sur ce que je souhaite devenir pour l’éternité.
L’éternité car il suffira de publier après cette expérience un livre avec les deux moitiés de moi qui vont m’aider à atteindre ce but et qui feront référence pour les futurs sadomasochistes.
J’ai deux problèmes ou vais-je et comment leur communiquer mes envies car Vivian dans la partie blanche de notre vie semble ignorer la partie noire et comme j’ignore qui est mon Maître il m’est difficile de les orienter.
Une solution serait de pouvoir dialoguer avec le ou la soumise qui m’accompagne mais boule et cagoule noire m’en empêche.
Ce qui est certain c’est que sur ma langue c’est bien un piercing qu’ils m’ont placé car je sens une boule sur mon palais chaque fois que je la fais bouger la douleur provoquée car la cicatrisation est loin d’être terminé me procure un petit coup d’adrénaline qui fait couler ma chatte.
Quand je serais sorti si je sors un jour quand Vivian me fait l’amour je peux lui demander de me prendre de telle ou telle manière mais à d’autres comme maintenant j’aimerais que l’on transperce ma vulve avec un sexe blanc, noir, bridé comme au Japon ou en Chine qui me ferait hurler de plaisir.
Des sons me parviennent à chacune des secousses, c’est le ou la compagne de misère et de plaisir qui les émet.
La personne bouge et semble se retourner, je sens un sein sur mon dos, aucun doute une telle poitrine doit appartenir à une jolie femme car je sens la pointe durcie du mamelon.
Je sens au frottement que la femme fait sur mon dos le piercing posé certainement en même temps que sur moi, a-t-elle eu autant de plaisir que j’ai eu après la douleur intense qui a traversé tout mon être gravant un peu plus mon cerveau d’envie d’étrange autant que de douleur.
L’improbable se produit la femme derrière mon dos semble avoir les mains libres alors qu’avant de me balancer dans le coffre ils m’ont replacé les menottes pour me mettent les mains dans le dos.
Une main prend ma main et appuie comme un code.
Long, long, court un temps d’arrêt, si j’avais appris le mors j’aurais pu correspondre mais cela fait partie de mes lacunes même si on m’a élevé dans une stricte rigueur des règles que j’enfreignais parfois ce qui a peut-être été la cause des coups de règle que je me ramassais sur les mains et même les fesses suivant la surveillante du dortoir.
Cette main comprend qu’il lui est inutile de continuer mais continu son chemin et viens se placer à la hauteur de mon sexe.
La promiscuité et la méconnaissance de la personne qui place ces doigts-là ou cela fait du bien me fait soulever la jambe car ça je peux le faire et permettre à ce qu’ils aillent plus loin,
Je mouille énormément et mon clitoris est stimulé, la situation est étrange, je suis en train de me faire masturber dans le coffre d’une voiture, d’ailleurs vu l’espace se coffre est supérieur à celui de chacune de nos voitures, ce qui entretient mon angoisse d’avoir été cédé à un autre Maître.
Les doigts trouvent le piercing que l’on m’a placé sur mon intimité et lorsqu’elle tire dessus aucun doute, il est placé sur le capuchon de mon clitoris.
La salope qui m’accompagne cherche ma douleur et la trouve, si j’avais l’impression de couler précédemment, maintenant je suis une vraie fontaine.
Je me tortille mais l’espace limite le déplacement des doigts en moi qui est un inconvénient au départ mais vite balayé par le plaisir qu’ils m’apportent.
Toujours le bien ou le mal, le blanc et le noir jusqu’à ce que la voiture tressaute sur ses amortisseurs m’apportant carrément un orgasme même si je sens que le piercing sort de son logement me faisant hurler de douleur, la boule étant certainement passée par le petit trou fait par l’aiguille.
Nous roulons quelques centaines de mètres certainement sur un chemin de terre rempli d’ornières avant que la voiture s’arrête, le bruit du coffre s’ouvrant me parvient, je sens qu’on empoigne celle qui m’a donné du plaisir malgré l’espace exigu où nous étions.
Je suis saisi à mon tour sans ménagement et porté jusqu’à ce que l’on me jette au sol comme un vulgaire paquet.
J’atterris sur de la terre mais aussi des cailloux qui martyrisent mon corps.
Comment Vivian peut-il me faire autant de mal même si c’est moi qui le souhaite car il sait que j’aime, même si c’est mon Maître et non lui qui dirige ces manœuvres, je suis à tout moment entre « On » et « Off » comme pour un bouton m’apportant la lumière blanche et la lumière noire ?
Sans oublier In et Off des festivals quand je suis avec celui que j’aime ou celui que je hais tout en l’adorant.
J’attends un long moment certainement que l’on s’occupe de ma consœur de supplice ce qui est exact car quand on me tire par les cheveux m’obligeant à me mettre sur les genoux dans l’impossibilité de me relever car chaque fois que j’essaye je retombe lamentablement mon cuir chevelu manquant d’être arraché.
Si c’est cela que mon Maître souhaite j’en ai trop fait pour qu’il accepte de s’occuper de moi et surtout que Vivian dépense la plus grande partie de notre fortune amassée tout au long de notre mariage pour m’offrir la cave de mes rêves les plus secrets pour me plaindre d’avoir quelques cheveux enlevés.
Moi qui suis une femme très précieuse en temps normal, aimant être toujours tiré à quatre épingles je dois être crade et certainement commencé à puer car la chaleur est étouffante et je sue par tous les pores de ma peau.
Mon bourreau me prend sans ménagement une main et me la tire jusqu’à une menotte qui enserre mon poignet.
Je me trouve debout sur la plante des pieds mais rapidement je retrouve un certain équilibre car mon deuxième bras se trouve lui aussi menotté.
Il pratique de même pour mes jambes et je suis en croix sans la croix comme j’ai vu dans un film qui parle de cette perversion pour certains mais plaisir pour d’autres.
Le dernier film que nous avons vu avec Vivian était « Domination » film allemand ou l’épouse comme moi à des envies S.M. qu’elle assouvit jusqu’à accepter des douleurs qu’aucune femme à ce jour n’avait acceptées.
Ce film avec la croix vu après la course-poursuite dans l’appartement a permis à comprendre mes besoins sans avoir à aller consulter.
Le premier coup de martinet mais plutôt de chat à neuf queues que je reçois me propulse vers mon paradis surtout quand il arrive suivi rapidement d’un deuxième.
Je sens que ma voisine avec laquelle j’ai contact par mon pied droit doit recevoir lez même traitement car j’entends à travers la cagoule des coups qui partent mais sans m’atteindre, mieux j’entends les coups droits, gauches recevant personnellement les coups gauches.
La douleur est telle que je finis certainement par tourner de l’œil satisfait de la raclée que mon maître m’a infligée, je devrais dire nous étant deux.
Je pense qu’il va nous ramener au bercail mais les coups ont cessé et le vide semble s’être fait autour de nous.
Et d’un coup cela recommence mais par-devant sur mes seins et pour finir quelque chose de gros est enfoncé dans mon vagin.
Mes seins me font mal à hurler après le traitement subit lorsque les aiguilles les ont percés mais ceux qui sont étrangers au SM peuvent difficilement comprendre la plénitude que je ressens quand mon Maître me martyrise.
Je sens une légère brise sur mon corps me montrant que nous sommes dehors.
Je finis par être pendu par les poignets mes jambes étant dans l’incapacité à me soutenir.
Au départ j’ai lutté mais j’ai dû me rendre à l’évidence mes muscles se sont tétanisés et étant dans l’impossibilité de bouger j’accepte la douleur que mes poignets subissent surtout que les menottes sont capitonnées.
Le temps passe et je sens que quelque chose ou quelqu’un tourne autour de nous, ma cagoule m’est enlevée mais vite remplacée par une boule à bouche, je dois avoir perdu la vue car tous restent noirs.
Impossible de bouger ma langue ce qui me procure une nouvelle douleur due au morceau de métal qui y est placé.
Les coups reprennent sans que je les aie vus arriver, c’est la meilleure nuit de ma vie depuis que j’ai accepté d’être martyrisée.
Dans la nuit j’ai beau regarder derrière moi au maximum où ma tête peut tourner mais je vois simplement une ombre qui s’éloigne comme je vois une ombre à mes côtés autant pendus que moi.
À intervalles réguliers, une fois nos seins une fois nos fesses, le gode placé dans no chatte je vois mieux le lever du jour arrivant et avec lui l’espoir de retourner dormir dans ma cave.
C’est bien Aline qui est à mes côtés me regardant autant que je la regarde avec admiration pour la beauté qu’elle me renvoie torturée comme je le suis.
Nous essayons de parler à intervalles réguliers pour lui demander si elle a mal mais il faut reconnaître l’évidence ces putains de boule que notre Maître nous a mise en bouche nuit à notre communication.
Ce sont bien l’un de ses seins qui est percé en forme de croix comme les miens quand je baisse la tête.
Un sein car l’autre est caché à ma vue met je vois mal pourquoi je devrais être la seule à avoir quatre piercings dans mes seins.
Je sens celui dans ma bouche sans voir celui posé sur le capuchon de mon clitoris, je comprends mieux ceux qu’Aline me présentait dimanche midi quand nous nous sommes retrouvées nues dans notre piscine.
Et d’un seul coup alors que je m’étais une nouvelle fois endormi dans cette forêt où je me trouve ressemblant à l’endroit où j’avais passé une nuit poursuivie par des sangliers, cerfs et autres loups le jour où nous avions trouvé mon lieu de plaisir SM, ils sont là devant nous.
Un coup de cravache me réveille.
• Bonjour, je vois que vous avez bien dormi, je me présente, Maître Dominant couvrant toute la France, mon adjoint Maîtresse Gladys, venu spécialement pour vous de Suisse, elle m’assiste dans bien des domaines mais reste spécialiste de la cire de bougie et autres douleurs liées aux cordes et cordelette en tout genre.
Vous venez de passer une de mes épreuves favorites quand la région le permet que j’aie intitulé « Promenons nous dans les bois » sans jamais vous plaindre ce qui fait de vous de bonnes soumises.
Vous avez déjà rencontré sans jamais élever la voix Maître Piercing qui a commencé sur vous la pose de ces petits objets que j’ai la faiblesse d’aimer regarder.
À sa demande et pendant plusieurs jours nous allons vous désinfecter les endroits ou les aiguilles vous ont traversé.
Maîtresse Gladys s’approche de nous prend un pulvérisateur, à tous les endroits percés pulvérise un nuage qui rapidement s’avère être de l’alcool à 90° s’attardent sur nos clitoris…
Nous roulons et chaque fois que les parties de mon corps qui ont reçu les aiguilles et remplies maintenant par des piercings, du moins je le pense car je suis dans ma cave depuis mon départ pour la Grèce dans le noir le plus complet, me fonds mal.
La Grèce c’est ce que l’on fait croire aux personnes les plus proches de nous et je constaterais le beau travail de mon Maître.
J’ai les idées de plus en plus claires sur ce que je désire, je voudrais qu’il fasse de mon corps une œuvre d’art, chaque parcelle de mon anatomie devra recevoir sa dose de souffrance volontaire et sans aucune contrainte comme c’est le cas aujourd’hui.
La seule chose que je crains c’est qu’il m’est vendu à un autre Maître qui même s’il me procure le plaisir masochiste dont j’ai besoin m’éloignera de l’endroit de vie si agréable que je viens de découvrir au cours de mes jours de voyage comme celui que je fais en Grèce en ce moment.
La Grèce après l’Andalousie et les jours de repos pour mon corps que mon Maître semble savoir équilibrer.
J’ai hâte de retrouver l’atelier que Vivian m’a installé et ou je vais pouvoir exprimer mes goûts artistiques tous en sachant qu’il travaille à deux pas de moi et que si j’ai envie de lui appartenir il me suffit de le rejoindre de me déshabiller lascivement devant lui pour qu’il me prenne avec toute la douceur dont j’ai besoin.
Ce sera la partie blanche de notre couple vite rattrapé par la partie noire dans ma cave ou mon corps recevra les punitions par mon Maître qui le transformera pour son plus grand plaisir et le mien en l’oeuvre que tous vont pouvoir admirer quand je ferais mon exposition.
Je vais demander à Vivian de mettre sur les murs et le plafond de ma salle de peinture des glaces qui me renverront l’évolution de cette œuvre.
Elles me permettront de me peindre en autoportrait pour rapporter son évolution, il faudra que je trouve le moyen de leur communiquer qu’ils peuvent me renvoyer dans mon enfer volontaire dès que mon cerveau aura reproduit un ou deux tableaux de cette transformation pour retrouver l’inspiration sur ce que je souhaite devenir pour l’éternité.
L’éternité car il suffira de publier après cette expérience un livre avec les deux moitiés de moi qui vont m’aider à atteindre ce but et qui feront référence pour les futurs sadomasochistes.
J’ai deux problèmes ou vais-je et comment leur communiquer mes envies car Vivian dans la partie blanche de notre vie semble ignorer la partie noire et comme j’ignore qui est mon Maître il m’est difficile de les orienter.
Une solution serait de pouvoir dialoguer avec le ou la soumise qui m’accompagne mais boule et cagoule noire m’en empêche.
Ce qui est certain c’est que sur ma langue c’est bien un piercing qu’ils m’ont placé car je sens une boule sur mon palais chaque fois que je la fais bouger la douleur provoquée car la cicatrisation est loin d’être terminé me procure un petit coup d’adrénaline qui fait couler ma chatte.
Quand je serais sorti si je sors un jour quand Vivian me fait l’amour je peux lui demander de me prendre de telle ou telle manière mais à d’autres comme maintenant j’aimerais que l’on transperce ma vulve avec un sexe blanc, noir, bridé comme au Japon ou en Chine qui me ferait hurler de plaisir.
Des sons me parviennent à chacune des secousses, c’est le ou la compagne de misère et de plaisir qui les émet.
La personne bouge et semble se retourner, je sens un sein sur mon dos, aucun doute une telle poitrine doit appartenir à une jolie femme car je sens la pointe durcie du mamelon.
Je sens au frottement que la femme fait sur mon dos le piercing posé certainement en même temps que sur moi, a-t-elle eu autant de plaisir que j’ai eu après la douleur intense qui a traversé tout mon être gravant un peu plus mon cerveau d’envie d’étrange autant que de douleur.
L’improbable se produit la femme derrière mon dos semble avoir les mains libres alors qu’avant de me balancer dans le coffre ils m’ont replacé les menottes pour me mettent les mains dans le dos.
Une main prend ma main et appuie comme un code.
Long, long, court un temps d’arrêt, si j’avais appris le mors j’aurais pu correspondre mais cela fait partie de mes lacunes même si on m’a élevé dans une stricte rigueur des règles que j’enfreignais parfois ce qui a peut-être été la cause des coups de règle que je me ramassais sur les mains et même les fesses suivant la surveillante du dortoir.
Cette main comprend qu’il lui est inutile de continuer mais continu son chemin et viens se placer à la hauteur de mon sexe.
La promiscuité et la méconnaissance de la personne qui place ces doigts-là ou cela fait du bien me fait soulever la jambe car ça je peux le faire et permettre à ce qu’ils aillent plus loin,
Je mouille énormément et mon clitoris est stimulé, la situation est étrange, je suis en train de me faire masturber dans le coffre d’une voiture, d’ailleurs vu l’espace se coffre est supérieur à celui de chacune de nos voitures, ce qui entretient mon angoisse d’avoir été cédé à un autre Maître.
Les doigts trouvent le piercing que l’on m’a placé sur mon intimité et lorsqu’elle tire dessus aucun doute, il est placé sur le capuchon de mon clitoris.
La salope qui m’accompagne cherche ma douleur et la trouve, si j’avais l’impression de couler précédemment, maintenant je suis une vraie fontaine.
Je me tortille mais l’espace limite le déplacement des doigts en moi qui est un inconvénient au départ mais vite balayé par le plaisir qu’ils m’apportent.
Toujours le bien ou le mal, le blanc et le noir jusqu’à ce que la voiture tressaute sur ses amortisseurs m’apportant carrément un orgasme même si je sens que le piercing sort de son logement me faisant hurler de douleur, la boule étant certainement passée par le petit trou fait par l’aiguille.
Nous roulons quelques centaines de mètres certainement sur un chemin de terre rempli d’ornières avant que la voiture s’arrête, le bruit du coffre s’ouvrant me parvient, je sens qu’on empoigne celle qui m’a donné du plaisir malgré l’espace exigu où nous étions.
Je suis saisi à mon tour sans ménagement et porté jusqu’à ce que l’on me jette au sol comme un vulgaire paquet.
J’atterris sur de la terre mais aussi des cailloux qui martyrisent mon corps.
Comment Vivian peut-il me faire autant de mal même si c’est moi qui le souhaite car il sait que j’aime, même si c’est mon Maître et non lui qui dirige ces manœuvres, je suis à tout moment entre « On » et « Off » comme pour un bouton m’apportant la lumière blanche et la lumière noire ?
Sans oublier In et Off des festivals quand je suis avec celui que j’aime ou celui que je hais tout en l’adorant.
J’attends un long moment certainement que l’on s’occupe de ma consœur de supplice ce qui est exact car quand on me tire par les cheveux m’obligeant à me mettre sur les genoux dans l’impossibilité de me relever car chaque fois que j’essaye je retombe lamentablement mon cuir chevelu manquant d’être arraché.
Si c’est cela que mon Maître souhaite j’en ai trop fait pour qu’il accepte de s’occuper de moi et surtout que Vivian dépense la plus grande partie de notre fortune amassée tout au long de notre mariage pour m’offrir la cave de mes rêves les plus secrets pour me plaindre d’avoir quelques cheveux enlevés.
Moi qui suis une femme très précieuse en temps normal, aimant être toujours tiré à quatre épingles je dois être crade et certainement commencé à puer car la chaleur est étouffante et je sue par tous les pores de ma peau.
Mon bourreau me prend sans ménagement une main et me la tire jusqu’à une menotte qui enserre mon poignet.
Je me trouve debout sur la plante des pieds mais rapidement je retrouve un certain équilibre car mon deuxième bras se trouve lui aussi menotté.
Il pratique de même pour mes jambes et je suis en croix sans la croix comme j’ai vu dans un film qui parle de cette perversion pour certains mais plaisir pour d’autres.
Le dernier film que nous avons vu avec Vivian était « Domination » film allemand ou l’épouse comme moi à des envies S.M. qu’elle assouvit jusqu’à accepter des douleurs qu’aucune femme à ce jour n’avait acceptées.
Ce film avec la croix vu après la course-poursuite dans l’appartement a permis à comprendre mes besoins sans avoir à aller consulter.
Le premier coup de martinet mais plutôt de chat à neuf queues que je reçois me propulse vers mon paradis surtout quand il arrive suivi rapidement d’un deuxième.
Je sens que ma voisine avec laquelle j’ai contact par mon pied droit doit recevoir lez même traitement car j’entends à travers la cagoule des coups qui partent mais sans m’atteindre, mieux j’entends les coups droits, gauches recevant personnellement les coups gauches.
La douleur est telle que je finis certainement par tourner de l’œil satisfait de la raclée que mon maître m’a infligée, je devrais dire nous étant deux.
Je pense qu’il va nous ramener au bercail mais les coups ont cessé et le vide semble s’être fait autour de nous.
Et d’un coup cela recommence mais par-devant sur mes seins et pour finir quelque chose de gros est enfoncé dans mon vagin.
Mes seins me font mal à hurler après le traitement subit lorsque les aiguilles les ont percés mais ceux qui sont étrangers au SM peuvent difficilement comprendre la plénitude que je ressens quand mon Maître me martyrise.
Je sens une légère brise sur mon corps me montrant que nous sommes dehors.
Je finis par être pendu par les poignets mes jambes étant dans l’incapacité à me soutenir.
Au départ j’ai lutté mais j’ai dû me rendre à l’évidence mes muscles se sont tétanisés et étant dans l’impossibilité de bouger j’accepte la douleur que mes poignets subissent surtout que les menottes sont capitonnées.
Le temps passe et je sens que quelque chose ou quelqu’un tourne autour de nous, ma cagoule m’est enlevée mais vite remplacée par une boule à bouche, je dois avoir perdu la vue car tous restent noirs.
Impossible de bouger ma langue ce qui me procure une nouvelle douleur due au morceau de métal qui y est placé.
Les coups reprennent sans que je les aie vus arriver, c’est la meilleure nuit de ma vie depuis que j’ai accepté d’être martyrisée.
Dans la nuit j’ai beau regarder derrière moi au maximum où ma tête peut tourner mais je vois simplement une ombre qui s’éloigne comme je vois une ombre à mes côtés autant pendus que moi.
À intervalles réguliers, une fois nos seins une fois nos fesses, le gode placé dans no chatte je vois mieux le lever du jour arrivant et avec lui l’espoir de retourner dormir dans ma cave.
C’est bien Aline qui est à mes côtés me regardant autant que je la regarde avec admiration pour la beauté qu’elle me renvoie torturée comme je le suis.
Nous essayons de parler à intervalles réguliers pour lui demander si elle a mal mais il faut reconnaître l’évidence ces putains de boule que notre Maître nous a mise en bouche nuit à notre communication.
Ce sont bien l’un de ses seins qui est percé en forme de croix comme les miens quand je baisse la tête.
Un sein car l’autre est caché à ma vue met je vois mal pourquoi je devrais être la seule à avoir quatre piercings dans mes seins.
Je sens celui dans ma bouche sans voir celui posé sur le capuchon de mon clitoris, je comprends mieux ceux qu’Aline me présentait dimanche midi quand nous nous sommes retrouvées nues dans notre piscine.
Et d’un seul coup alors que je m’étais une nouvelle fois endormi dans cette forêt où je me trouve ressemblant à l’endroit où j’avais passé une nuit poursuivie par des sangliers, cerfs et autres loups le jour où nous avions trouvé mon lieu de plaisir SM, ils sont là devant nous.
Un coup de cravache me réveille.
• Bonjour, je vois que vous avez bien dormi, je me présente, Maître Dominant couvrant toute la France, mon adjoint Maîtresse Gladys, venu spécialement pour vous de Suisse, elle m’assiste dans bien des domaines mais reste spécialiste de la cire de bougie et autres douleurs liées aux cordes et cordelette en tout genre.
Vous venez de passer une de mes épreuves favorites quand la région le permet que j’aie intitulé « Promenons nous dans les bois » sans jamais vous plaindre ce qui fait de vous de bonnes soumises.
Vous avez déjà rencontré sans jamais élever la voix Maître Piercing qui a commencé sur vous la pose de ces petits objets que j’ai la faiblesse d’aimer regarder.
À sa demande et pendant plusieurs jours nous allons vous désinfecter les endroits ou les aiguilles vous ont traversé.
Maîtresse Gladys s’approche de nous prend un pulvérisateur, à tous les endroits percés pulvérise un nuage qui rapidement s’avère être de l’alcool à 90° s’attardent sur nos clitoris…
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