COLLECTION SM. Retour à mes envies. (8/x)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SM. Retour à mes envies. (8/x)
Huit heures je me réveille car le réveil se déclenche sans que je l’aie mis en service, Vivian semble m’attendre car au pied du lit la cagoule, la laisse et mon collier sont posés en évidence, depuis combien de temps est-il levé, est-ce lui ou mon Maître qui les ont placés là, mon Maître et lui sont-ils une même personne ?
Certains faits survenus lors de mon premier passage dans ma cave me font penser qu’ils sont plusieurs avec sûrement une femme.
Le soleil illumine déjà la piscine mais j’ai rendez-vous pour mon départ en Grèce pour un temps certain ou incertain selon leur bon vouloir.
Les volets sont fermés mais sa lueur est si forte depuis le matin qu’il brille à travers les raies.
J’ai tellement envie de souffrir dans ma chair que naturellement pour réhabituer mon corps je prends la pointe de mes seins dans mes doigts et comme Vivian la fait hier je me les pince à hurler.
Je suis prête, je sais qu’il doit m’épier et qu’il me reste une chose à faire, je me laisse aller au sol pour me placer à quatre pattes.
Il semble que pour Vivian cette position soit celle qu’ils m’ont choisie quand ils deviennent mes tout-puissants.
Comment cet homme que j’ai épousé et qui est une vraie pâte dans notre vie normale a pu devenir mon bourreau même si les claques sur mon fessier à Beaune ont été le début du plaisir S.M. qui nous réunit aujourd’hui.
Que va-t-il m’avoir préparé dans son cerveau que j’ai peut-être rendu malade par mes demandes de plaisirs mêlés de douleurs ?
Après avoir pris la position où il doit aimer me voir être, j’attends ma laisse attachée à mon collier que j’ai fixé à mon cou qu’il daigne s’occuper de moi suivant son bon vouloir.
J’attends et j’attends encore, ai-je mal compris le message quand il m’a fait réveiller plaçant mes objets fétiches
Le soleil qui perce à travers les volets darde ses rayons de manière différente depuis que je me suis levée.
Que fait Delphine, hier elle était déjà venue faire la chambre.
Vivian a dû prévoir de commencer mon voyage en Grèce par de l’attente et lui donner des ordres pour qu’elle reste chez elle car toute la maison est silencieuse.
J’ai envie d’uriner mais l’endroit est peu propice et il est hors de question que je montre un moment de faiblesse à celui qui doit m’observer en me rendant à quelques mètres d’où je suis dans nos toilettes.
Enfin la porte de notre chambre s’ouvre et mon fessier reçoit un grand allé et retour certainement avec une cravache, bon Diou que c’est bon après cette attente, quand il tire sur ma laisse je suis contente que mon périple en Grèce commence.
Le chemin est doux à mes genoux depuis mon attente même si je sais qu’il va me falloir plusieurs jours pour cicatriser.
Ces graviers sont la certitude que je suis dehors et je laisse aller mon urine ce qui me donne un grand moment de plaisir quand les petits jets coulent de moi.
Pisser à quatre pattes comme si j’étais revenu au temps ou l’homme, non pourquoi l’homme, la femme avait encore sa colonne vertébrale en position animale.
La porte de la cave doit être ouverte car je sens le sol plus doux sous moi mais légèrement froid comme les dalles qui forment le sol de mon lieu de plaisir.
Mon bras droit est saisi avec énergie et simultanément mon bras gauche, il est impossible à mon Maître de faire ce mouvement à lui seul, pour me donner mon plaisir lors de ce voyage de quelques jours il a dû s’attacher les services d’un ou de plusieurs exécuteurs de ses basses œuvres tant espérés surtout pendant sa longue absence.
Mes bras sont tirés vers le haut m’arrachant un cri et attachés par des menottes.
Mes pieds sont écartés et dans la nuit que me procure la cagoule je sens qu’ils me les attachent certainement à des chaînes et menottes fixées au sol.
Je sens que ceux qui tournent autour de moi mon mise à un autre endroit que lors de mon voyage en Andalousie car la dernière fois j’étais entièrement suspendu.
On me laisse comme cela jusqu’à ce qu’un jet d’eau froide vienne me frapper sur le corps me faisant hurler par la surprise et frisonner par la fraîcheur de l’eau.
Le salop qui manie la lance car pour avoir un tel débit se doit être une lance du type incendie, s’attarde sur ma chatte, elle doit rapidement rougir mais le plaisir que j’en retire devient vite impossible à supporter quand mes muqueuses commencent à me démanger.
Je sais que je hurle d’arrêter et la phrase suivante de continuer quand je sens des mouvements autour de moi, la lance semble changer d’angles et frapper un objet ou un humain à mes côtés et mes liens se mettre à bouger comme si le même système fixé à un même cadre montre que nous sommes deux.
La douche s’arrête et je sens que l’on m’introduit un objet peu gros dans l’anus.
L’eau qui coulait sur mon corps coule dans moi, je pense que mon Maître veut me nettoyer les intestins.
La personne à mes côtés doit subir le même traitement car ses liens bougent et me font bouger.
Combien de temps l’eau rentre-t-elle dans mon corps, impossible de le dire mais il est sûr que pendant un certain temps notre Maître aura écarté les soucis que chaque humain a obligatoirement à un moment ou à un autre, jusqu’à quand le tuyau m’est retiré.
• Aie !
Ce cri de douleur est plus lié à la surprise qu’au mal que l’on me fait quand une aiguille me traverse une pointe de seins, étouffé par la cagoule.
Mon Maître semble avoir fait venir le perceur Anglais d’Aline qui vient de me perforer un sein.
• Aie !
Rebelotte le même sein mais, la piqûre me faisant mal de bas en haut quand elle me perce de nouveau la fraise de mon mamelon.
Quand j’ai sucé ceux d’Aline dans la piscine ce dimanche, celle qui est peut-être à mes côtés à souffrir, la pointe de ses seins était bien moins grosse que les miennes et celui qui effectue le travail a dû trouver plus d’espaces pour croiser les piercings que j’espère on va me poser.
• Aie !
J’ai deux seins et le deuxième reçoit le même traitement.
Bien sûr pourquoi trois piqûres alors qu’il y a encore de la place pour une aiguille ?
Il faut quelques secondes pour que le.
• Aie !
Sorte de ma bouche étant la seule à avoir l’écho dans ma tête.
Quatre piqûres, je pense être sortie de ces douleurs remplacées au bout d’un moment par une sensation de brûlure.
• Aie, aie, aie !
C’est ma chatte qui sent une piqûre, le poseur de piercing vient certainement de me percer le clito ou les grandes lèvres, l’aiguille qui entre en moi est interminable et glisse doucement jusqu’à s’immobiliser comme pour mes seins sans sembler ressortir.
C’est fait, je vais avoir du mal à passer les portiques de l’aéroport d’Athènes quand mon Maître décidera que mon voyage en Grèce sera terminé.
• Aie !
Je croyais en avoir fini avec ce genre de douleur je sens une main s’introduire dans ma bouche et un morceau de métal se fixer à ma langue et la tirer fortement hors de son logement.
C’est fou, mon cerveau est bien détraqué car j’ai une fraction de seconde l’envie qu’elle me soit arrachée.
Fini ces « Aies » intempestifs qui doivent faire plaisir à mon Maître mais qui lui montre que mon corps malgré les maltraitance qu’il me fait subir et que j’adore réagit toujours.
• Aie ree !
C’est le borborygme qui sort de ma bouche quand une autre aiguille vient se planter dans ma langue et qu’elle la transperse.
Que va-t-on me percer maintenant dans la position où je suis il me reste quoi, mon nez pour lui passer un os comme les femmes décrites dans les livres dans certaines tribus mangeuse d’homme ?
Mes oreilles c’est déjà fait, bien que certaines femmes les fonts percés trois fois pour y mettre trois diamants soient six fois.
C’est une idée après ma cave pour mon anniversaire pourquoi me priverais-je de ce plaisir, malgré les frais engagés il doit bien rester quelques devises à mon chère et tendre.
Incroyable, ici je suis dans le domaine de mon Maître et il m’est impossible de prononcer le prénom de mon mari comme il semble que quand je sors notre cave semble être inexistant.
Je prends définitivement conscience, ma vie est devenue double, voyage ou non voyage, douleur ou non douleur, tendresse ou non tendresse.
J’ai le temps de philosopher car il semble que mon, ou mes bourreaux semblent s’affairer ailleurs jusqu’à ce qu’il me semble que ma cagoule me montre des éclats violent de lumière.
Un deux trois quatre jusqu’à 10 éclats de lumière puis on tire sur la première aiguille aussi longue à sortir qu’à entrer.
À chaque fois que l’une d’elles sort de mon corps l’aiguilleur la remplace par une tige plus grosse mais moins douloureuse car le passage est fait.
Le plus excitant c’est celle dans mon vagin car il met du temps à entrer la tige bien plus grosse par son diamètre et parce que ma cyprine coule à flots arrosant certainement les mains de celui qui vient de pratiquer toutes ces opérations.
Un nouveau temps de repos quand la brûlure se fait sentir sur chaque partie de mon corps percée.
Quelqu’un doit les désinfecter par un coton alcoolisé qui m’est passé sur chacun de ces endroits m’apportant un léger bien être quand la douleur se fait sentir.
Enfant ma maman avait toutes les peines du monde à m’attraper pour me soigner alors qu’ici dans ce lieu de perdition je tends mon corps en avant au risque de m’arracher bras et jambes.
La main qui effectue ce travail est si douce qu’elle pourrait être celle d’Aline mais alors qui est à mon côté, mon Maître a-t-il trouvé son Maître et veut-il ressentir ce que je ressens dans mes chairs dans ses propres chaires.
Aline est-elle ma voisine et mon Maître a-t-il d’autres petites mains féminines à notre service pour les moments passés depuis que je suis parti travailler en Grèce ?
Le temps passe sans que l’on me touche, je sens la présence près de moi mais je dois sommeiller les bras et les jambes me faisant atrocement souffrir quand je sens qu’on me détache.
Je m’écroule au sol avant de récupérer mes pieds.
Je sens un pied toucher le mien peu de temps car je suis chargée sur des épaules robustes, bien plus robustes que celle de mon Maître et toujours nue je suis vulgairement balancée dans un endroit extérieur à ma cave mais qui bouge quand j’atterris.
C’est une voiture car deux minutes après, je reçois un corps sur moi qui roule sur le côté les amortisseurs du véhicule faisant leur travail.
Nous démarrons vers une destination inconnue, mon Maître m’aurait-il vendu à un groupe sado-Maso qui va me faire vivre une vie d’horreur après la vie de rêve que m’a permis de connaître Vivian.
Vivian car je suis sortie de notre cave…
Certains faits survenus lors de mon premier passage dans ma cave me font penser qu’ils sont plusieurs avec sûrement une femme.
Le soleil illumine déjà la piscine mais j’ai rendez-vous pour mon départ en Grèce pour un temps certain ou incertain selon leur bon vouloir.
Les volets sont fermés mais sa lueur est si forte depuis le matin qu’il brille à travers les raies.
J’ai tellement envie de souffrir dans ma chair que naturellement pour réhabituer mon corps je prends la pointe de mes seins dans mes doigts et comme Vivian la fait hier je me les pince à hurler.
Je suis prête, je sais qu’il doit m’épier et qu’il me reste une chose à faire, je me laisse aller au sol pour me placer à quatre pattes.
Il semble que pour Vivian cette position soit celle qu’ils m’ont choisie quand ils deviennent mes tout-puissants.
Comment cet homme que j’ai épousé et qui est une vraie pâte dans notre vie normale a pu devenir mon bourreau même si les claques sur mon fessier à Beaune ont été le début du plaisir S.M. qui nous réunit aujourd’hui.
Que va-t-il m’avoir préparé dans son cerveau que j’ai peut-être rendu malade par mes demandes de plaisirs mêlés de douleurs ?
Après avoir pris la position où il doit aimer me voir être, j’attends ma laisse attachée à mon collier que j’ai fixé à mon cou qu’il daigne s’occuper de moi suivant son bon vouloir.
J’attends et j’attends encore, ai-je mal compris le message quand il m’a fait réveiller plaçant mes objets fétiches
Le soleil qui perce à travers les volets darde ses rayons de manière différente depuis que je me suis levée.
Que fait Delphine, hier elle était déjà venue faire la chambre.
Vivian a dû prévoir de commencer mon voyage en Grèce par de l’attente et lui donner des ordres pour qu’elle reste chez elle car toute la maison est silencieuse.
J’ai envie d’uriner mais l’endroit est peu propice et il est hors de question que je montre un moment de faiblesse à celui qui doit m’observer en me rendant à quelques mètres d’où je suis dans nos toilettes.
Enfin la porte de notre chambre s’ouvre et mon fessier reçoit un grand allé et retour certainement avec une cravache, bon Diou que c’est bon après cette attente, quand il tire sur ma laisse je suis contente que mon périple en Grèce commence.
Le chemin est doux à mes genoux depuis mon attente même si je sais qu’il va me falloir plusieurs jours pour cicatriser.
Ces graviers sont la certitude que je suis dehors et je laisse aller mon urine ce qui me donne un grand moment de plaisir quand les petits jets coulent de moi.
Pisser à quatre pattes comme si j’étais revenu au temps ou l’homme, non pourquoi l’homme, la femme avait encore sa colonne vertébrale en position animale.
La porte de la cave doit être ouverte car je sens le sol plus doux sous moi mais légèrement froid comme les dalles qui forment le sol de mon lieu de plaisir.
Mon bras droit est saisi avec énergie et simultanément mon bras gauche, il est impossible à mon Maître de faire ce mouvement à lui seul, pour me donner mon plaisir lors de ce voyage de quelques jours il a dû s’attacher les services d’un ou de plusieurs exécuteurs de ses basses œuvres tant espérés surtout pendant sa longue absence.
Mes bras sont tirés vers le haut m’arrachant un cri et attachés par des menottes.
Mes pieds sont écartés et dans la nuit que me procure la cagoule je sens qu’ils me les attachent certainement à des chaînes et menottes fixées au sol.
Je sens que ceux qui tournent autour de moi mon mise à un autre endroit que lors de mon voyage en Andalousie car la dernière fois j’étais entièrement suspendu.
On me laisse comme cela jusqu’à ce qu’un jet d’eau froide vienne me frapper sur le corps me faisant hurler par la surprise et frisonner par la fraîcheur de l’eau.
Le salop qui manie la lance car pour avoir un tel débit se doit être une lance du type incendie, s’attarde sur ma chatte, elle doit rapidement rougir mais le plaisir que j’en retire devient vite impossible à supporter quand mes muqueuses commencent à me démanger.
Je sais que je hurle d’arrêter et la phrase suivante de continuer quand je sens des mouvements autour de moi, la lance semble changer d’angles et frapper un objet ou un humain à mes côtés et mes liens se mettre à bouger comme si le même système fixé à un même cadre montre que nous sommes deux.
La douche s’arrête et je sens que l’on m’introduit un objet peu gros dans l’anus.
L’eau qui coulait sur mon corps coule dans moi, je pense que mon Maître veut me nettoyer les intestins.
La personne à mes côtés doit subir le même traitement car ses liens bougent et me font bouger.
Combien de temps l’eau rentre-t-elle dans mon corps, impossible de le dire mais il est sûr que pendant un certain temps notre Maître aura écarté les soucis que chaque humain a obligatoirement à un moment ou à un autre, jusqu’à quand le tuyau m’est retiré.
• Aie !
Ce cri de douleur est plus lié à la surprise qu’au mal que l’on me fait quand une aiguille me traverse une pointe de seins, étouffé par la cagoule.
Mon Maître semble avoir fait venir le perceur Anglais d’Aline qui vient de me perforer un sein.
• Aie !
Rebelotte le même sein mais, la piqûre me faisant mal de bas en haut quand elle me perce de nouveau la fraise de mon mamelon.
Quand j’ai sucé ceux d’Aline dans la piscine ce dimanche, celle qui est peut-être à mes côtés à souffrir, la pointe de ses seins était bien moins grosse que les miennes et celui qui effectue le travail a dû trouver plus d’espaces pour croiser les piercings que j’espère on va me poser.
• Aie !
J’ai deux seins et le deuxième reçoit le même traitement.
Bien sûr pourquoi trois piqûres alors qu’il y a encore de la place pour une aiguille ?
Il faut quelques secondes pour que le.
• Aie !
Sorte de ma bouche étant la seule à avoir l’écho dans ma tête.
Quatre piqûres, je pense être sortie de ces douleurs remplacées au bout d’un moment par une sensation de brûlure.
• Aie, aie, aie !
C’est ma chatte qui sent une piqûre, le poseur de piercing vient certainement de me percer le clito ou les grandes lèvres, l’aiguille qui entre en moi est interminable et glisse doucement jusqu’à s’immobiliser comme pour mes seins sans sembler ressortir.
C’est fait, je vais avoir du mal à passer les portiques de l’aéroport d’Athènes quand mon Maître décidera que mon voyage en Grèce sera terminé.
• Aie !
Je croyais en avoir fini avec ce genre de douleur je sens une main s’introduire dans ma bouche et un morceau de métal se fixer à ma langue et la tirer fortement hors de son logement.
C’est fou, mon cerveau est bien détraqué car j’ai une fraction de seconde l’envie qu’elle me soit arrachée.
Fini ces « Aies » intempestifs qui doivent faire plaisir à mon Maître mais qui lui montre que mon corps malgré les maltraitance qu’il me fait subir et que j’adore réagit toujours.
• Aie ree !
C’est le borborygme qui sort de ma bouche quand une autre aiguille vient se planter dans ma langue et qu’elle la transperse.
Que va-t-on me percer maintenant dans la position où je suis il me reste quoi, mon nez pour lui passer un os comme les femmes décrites dans les livres dans certaines tribus mangeuse d’homme ?
Mes oreilles c’est déjà fait, bien que certaines femmes les fonts percés trois fois pour y mettre trois diamants soient six fois.
C’est une idée après ma cave pour mon anniversaire pourquoi me priverais-je de ce plaisir, malgré les frais engagés il doit bien rester quelques devises à mon chère et tendre.
Incroyable, ici je suis dans le domaine de mon Maître et il m’est impossible de prononcer le prénom de mon mari comme il semble que quand je sors notre cave semble être inexistant.
Je prends définitivement conscience, ma vie est devenue double, voyage ou non voyage, douleur ou non douleur, tendresse ou non tendresse.
J’ai le temps de philosopher car il semble que mon, ou mes bourreaux semblent s’affairer ailleurs jusqu’à ce qu’il me semble que ma cagoule me montre des éclats violent de lumière.
Un deux trois quatre jusqu’à 10 éclats de lumière puis on tire sur la première aiguille aussi longue à sortir qu’à entrer.
À chaque fois que l’une d’elles sort de mon corps l’aiguilleur la remplace par une tige plus grosse mais moins douloureuse car le passage est fait.
Le plus excitant c’est celle dans mon vagin car il met du temps à entrer la tige bien plus grosse par son diamètre et parce que ma cyprine coule à flots arrosant certainement les mains de celui qui vient de pratiquer toutes ces opérations.
Un nouveau temps de repos quand la brûlure se fait sentir sur chaque partie de mon corps percée.
Quelqu’un doit les désinfecter par un coton alcoolisé qui m’est passé sur chacun de ces endroits m’apportant un léger bien être quand la douleur se fait sentir.
Enfant ma maman avait toutes les peines du monde à m’attraper pour me soigner alors qu’ici dans ce lieu de perdition je tends mon corps en avant au risque de m’arracher bras et jambes.
La main qui effectue ce travail est si douce qu’elle pourrait être celle d’Aline mais alors qui est à mon côté, mon Maître a-t-il trouvé son Maître et veut-il ressentir ce que je ressens dans mes chairs dans ses propres chaires.
Aline est-elle ma voisine et mon Maître a-t-il d’autres petites mains féminines à notre service pour les moments passés depuis que je suis parti travailler en Grèce ?
Le temps passe sans que l’on me touche, je sens la présence près de moi mais je dois sommeiller les bras et les jambes me faisant atrocement souffrir quand je sens qu’on me détache.
Je m’écroule au sol avant de récupérer mes pieds.
Je sens un pied toucher le mien peu de temps car je suis chargée sur des épaules robustes, bien plus robustes que celle de mon Maître et toujours nue je suis vulgairement balancée dans un endroit extérieur à ma cave mais qui bouge quand j’atterris.
C’est une voiture car deux minutes après, je reçois un corps sur moi qui roule sur le côté les amortisseurs du véhicule faisant leur travail.
Nous démarrons vers une destination inconnue, mon Maître m’aurait-il vendu à un groupe sado-Maso qui va me faire vivre une vie d’horreur après la vie de rêve que m’a permis de connaître Vivian.
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