COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (7/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (7/7)
Ludivine que je pensais être mon amie, après avoir été jusqu’à me prostituer pour finir nos fins de mois dans notre première année de fac a Paris, m’a enfoncé devant mon père.
Lorsqu’il me surprend dans la chambre que je partage avec elle dans cet appartement la chatte pleine du sexe de monsieur Louis, elle rejette la faute de notre échec scolaire sur ma seule personne.
Il est vrai que les billets sur la table de chevet sont là pour prouver que malgré une éducation rigoriste, j’ai franchi le pas et que je me faisais baiser pour ces quelques billets.
J’ai toujours craint mon père et lorsqu’il me ramène à Blois, impossible pour moi de résister malgré que je sois majeure, surtout que je sais qu’il trompe maman avec cette salope de Ludivine.
Hélas, je sais aussi calculer et si je quittais le cocon familial avec pertes et fracas, pour vivre une deuxième année de fac à Paris, le fric, toujours le fric m’aurait obligé de devenir une prostituée à plein temps au lieu d’une occasionnelle.
Alors, j’accepte l’époux qu’il m’a choisi.
Jules, le fils du notaire déjà rencontré un jour ou me rendant chez papa, il sortait du cabinet de Charles, mon parrain et l’autre docteur de leur cabinet.
Les circonstances ont fait une nouvelle fois que Ludivine a fait croire à son père que moi seule avait perdu mon pucelage à Paris et me considérant comme une fille libre, il fait de moi sa maitresse.
Jules, mon mari depuis quelques heures a besoin que je le masturbe pour rester calme, travail que faisait ma belle-mère depuis sa puberté.
Même le jour de mes noces, je m’assume de ma nouvelle tache avant de le ramener dans la salle de bal où il s’endort.
Charles profitant de la situation me demande s’il peut faire danser la mariée.
Charles me prend dans ses bras et me fait valser divinement.
Je suis à deux doigts de l’attirer vers les toilettes ou j’ai masturbé Jules lorsque nous passons vers ma belle-mère qui semble étonnée de me voir avec mon amant, même si elle ignore que je le suis.
Les musiciens par chance arrivent au bout du morceau.
• Marie, demain, amène-moi Jules pour que je l’examine, je veux voir son état après les bouleversements que votre mariage a pu créer en lui.
• Belle-maman, voulez-vous venir avec moi ?
Charles a pris conscience de la situation et viens à mon secours.
• Ma fille, j’ai été étonné que tu veuilles épouser mon fils, lorsque Hubert est venu me proposer d’unir nos familles.
J’ignore le motif qu’il avait et je m’en fiche, en l’épousant vous devrez prendre ma place pour tous les instants de sa vie.
Docteur, Marie amènera mon fils pour que vous l’occultiez demain à l’heure qui sera la vôtre.
De toute façon, étant libre de mes mouvements j’ai pris des engagements difficiles à reporter.
Dès le lendemain il m’a prise sur le bureau, je dois dire que j’étais venue sans culotte.
• Marie, je voyais ton mari une fois par mois, les bouleversements m’obligent à le voir une fois par semaine.
Je passerais chez vous tous les lundis à 8 heures, ici, mettre Jules dans ce petit réduit où j’ai mes toilettes, c’est un peu dégradant.
Je sais que l’infirmière, les lundis, vient à 10 heures pour le lever et le doucher, car elle rentre de week-end avec son mari alors que les autres jours, elle vient à 8 heures.
Nous aurons presque deux heures à nous.
Voilà quelques jours que tous les soirs à 19 heures Juliette infirmière et auxiliaire de vie vient chez moi, je devrais dire chez nous.
Je vous vois venir, vous devez penser que je vais me faire Juliette après qu’elle est couchée mon mari.
J’ai passé une année de fac à baiser avec différents hommes à côté de Ludivine sans pour autant lui bouffer la chatte.
Juliette est gentille, mais a deux défauts.
Elle aime son mari et en est folle amoureuse malgré qu’il pèse presque 130 kilos.
Le deuxième, c’est qu’elle-même doit faire dans le quintal et j’aurais de la réticence à trouver son sexe dans sa masse de graisse.
Non, celui qui va m’apporter la jouissance même s’il répète toujours, que « oui, elle est jolie, » c’est mon mari.
Ce soir, Juliette vient de me quitter et il faut que je le masturbe pour qu’il soit en partie calme une partie de la nuit.
Pour le masturber, ma belle-mère passait sa main sans découvrir son sexe.
Je comprends le scrupule qu’elle avait pour faire cette action en sortant de dessous le drap la bite de son fils.
Il fait chaud, il a seulement un drap sur lui alors je la sors, car il forme une toile de tente, pourquoi me priver d’un tel morceau ?
Si j’avais été encore vierge, j’aurais pris peur, mais même si la bite de mon mari est de proportion hors de toute norme, j’ai envie de l’essayer.
Je monte sur le lit, Jules est réveillé, bien sûr, je suis nue.
Je commence une fellation, je dirais plutôt un léchage de haut en bas avant de recommencer étant dans l’impossibilité de la faire entrer dans ma bouche.
Ce léchage est inutile vu son priapisme, mais c’est une envie que j’avais.
• Tu es belle !
Je constate le changement des mots qu’il emploie.
Devant le maire et le curé lorsqu’il a dit « oui, » mais en continuant par « elle est belle », on aurait pu croire, qu’il parlait de sa verge semblant être son obsession.
Ces mots prononcés semblent plus personnels pour moi, du moins je veux le croire.
Je l’enjambe et commence à le faire entrer en moi.
Je dois reconnaître que j’ai un instant l’impression de subir le supplice du pal lorsqu’elle entre en moi.
J’ai l’impression que ma chatte va éclater, mais rapidement je commence à sentir l’excitation monter en moi.
Je sens que je mouille autour de ce pieu et j’ai un orgasme démultiplié en rapport de tous ceux que j’ai ressentis depuis ma montée à Paris.
Une fois seulement monsieur Louis m’a fait jouir malgré qu’il m’ait payé.
C’est au moment où il décharge par de longs jets finissant d’habitude dans une serviette que ses couilles lâchent des quantités de sperme phénoménale.
Avec mes amants, une deux, voire trois éjaculations, là est-ce l’effet de la nouveauté pour moi, mon utérus est noyé dans ses nombreuses décharges.
Jules, son devoir de jeunes mariés effectué, ferme les yeux et dort comme un bébé
Dans la nuit, il s’agite, ma belle-mère m’a appris qu’elle devait le masturber environ toutes les deux heures, elle finissait par être insomniaque.
Je regarde le réveil, cinq heures, je l’enfourche et j’ai les mêmes jouissances avant que lui décharge.
Lorsque l’on sonne à la porte, Juliette est étonnée de trouver Jules calme.
Je me rends compte, que dans l’excitation j’ai baisé pour la première fois sans capote au risque de me retrouver enceinte.
Peu importe car c’est avec mon mari et jusqu’au lundi, dès que je le peus, je me fais jouir sur mon godemichet vivant.
• Maman, j’ai simplement fait mon devoir conjugal !
Cette phrase, c’est le dimanche midi que je la prononce chez mes beaux-parents, les dimanches midis, ce sera rosbif frite ma belle-mère étant originaire du Nord.
En plus de baiser avec Jules, je le fais manger, ça il arrive à le faire même si ses mains l’empêchent de le faire seul.
Le soir de retour dans notre chez-nous, Juliette vient le coucher.
Dès qu’elle est partie, je monte sur mon mari, mais j’oublie un temps sa bite pour présenter ma chatte à sa bouche.
Je viens de trouver un nouveau jeu diversifiant nos pratiques lorsqu’il sort sa langue et qu’il me suce, en me faisant un cunnilingus, il me rend heureuse avant qu’une nouvelle fois je m’empale.
Lundi, j’ouvre à mon amant qui vient plus pour moi que pour Jules qui dort dans la chambre.
Il me prend sur le canapé en levrette, même si je suis comblée par mon mari, les diverses positions où nous baisons me manquent avec lui.
• Charles, mon mari est-il stérile ?
• Pourquoi le voudrais-tu, je pourrais faire des analyses, mais à part son cerveau qui a manqué d’oxygène, à ce que m’en a dit ta belle-mère, le reste fonctionne plutôt, plus que bien.
• Alors baise-moi sans capote, j’ignorerais qui de lui ou de toi m’ont mise enceinte et ça me rassurerait.
Voilà ma vie est toute tracée, sexe et un jour héritage, car autant mon beau-père que ma belle-mère, m’avoue de graves problèmes de santé.
D’où l’envie de marier leur fils.
Oh ! non, j’oublie une chose importante.
Ludivine, il va sans dire que j’ai pris mes distances avec elle après le coup de Jarnac qu’elle m’a fait, moi son amie.
Elle a épousé Hugo et la masse de fric qu’il représente.
Je devrais dire qu’il représentait.
On apprend dans Blois que son père sur les conseils de son fils est en refus de paiement avec de nombreux clients.
Tous leurs biens sont saisis et Ludivine se retrouve sur la paille et SDF, car ils sont virés de chez eux.
Elle a même eu le toupet de venir me demander de l’aide.
Je me suis empressée de lui répondre favorablement surtout que je suis enceinte.
Genre de bonne à tout faire, c’est elle qui s’empale sur la bite de mon mari la défonçant comme elle m’a défoncé.
Jules semble aux anges ainsi que Charles me baisant en faisant attention à notre bébé.
Il va sans dire qu’il ignore que je prends soin de sa fille comme elle s’est occupée de moi.
J’ai imposé une autre chose à Ludivine qui a accepté.
• Tu arrêtes toute relation avec papa et tu te fais baiser par mon mari avec capote et stérilet que nous irons ensemble te faire poser !
• Oui, Marie, j’accepte !
• Alors, tu peux me brouter la chatte et me faire jouir avec ta langue de salope.
Je sais, j’avais dit que les femmes et moi ça faisait deux.
Ludivine a profité de la situation à Paris, elle m’a souvent dit qu’elle espérait un enfant avec son mari, pourquoi lui ferais-je ce cadeau, je lui prête déjà la verge du mien.
Ainsi va la vie, il y a toujours un retour de bâton pour ceux ou celles qui mentent impunément.
Lorsqu’il me surprend dans la chambre que je partage avec elle dans cet appartement la chatte pleine du sexe de monsieur Louis, elle rejette la faute de notre échec scolaire sur ma seule personne.
Il est vrai que les billets sur la table de chevet sont là pour prouver que malgré une éducation rigoriste, j’ai franchi le pas et que je me faisais baiser pour ces quelques billets.
J’ai toujours craint mon père et lorsqu’il me ramène à Blois, impossible pour moi de résister malgré que je sois majeure, surtout que je sais qu’il trompe maman avec cette salope de Ludivine.
Hélas, je sais aussi calculer et si je quittais le cocon familial avec pertes et fracas, pour vivre une deuxième année de fac à Paris, le fric, toujours le fric m’aurait obligé de devenir une prostituée à plein temps au lieu d’une occasionnelle.
Alors, j’accepte l’époux qu’il m’a choisi.
Jules, le fils du notaire déjà rencontré un jour ou me rendant chez papa, il sortait du cabinet de Charles, mon parrain et l’autre docteur de leur cabinet.
Les circonstances ont fait une nouvelle fois que Ludivine a fait croire à son père que moi seule avait perdu mon pucelage à Paris et me considérant comme une fille libre, il fait de moi sa maitresse.
Jules, mon mari depuis quelques heures a besoin que je le masturbe pour rester calme, travail que faisait ma belle-mère depuis sa puberté.
Même le jour de mes noces, je m’assume de ma nouvelle tache avant de le ramener dans la salle de bal où il s’endort.
Charles profitant de la situation me demande s’il peut faire danser la mariée.
Charles me prend dans ses bras et me fait valser divinement.
Je suis à deux doigts de l’attirer vers les toilettes ou j’ai masturbé Jules lorsque nous passons vers ma belle-mère qui semble étonnée de me voir avec mon amant, même si elle ignore que je le suis.
Les musiciens par chance arrivent au bout du morceau.
• Marie, demain, amène-moi Jules pour que je l’examine, je veux voir son état après les bouleversements que votre mariage a pu créer en lui.
• Belle-maman, voulez-vous venir avec moi ?
Charles a pris conscience de la situation et viens à mon secours.
• Ma fille, j’ai été étonné que tu veuilles épouser mon fils, lorsque Hubert est venu me proposer d’unir nos familles.
J’ignore le motif qu’il avait et je m’en fiche, en l’épousant vous devrez prendre ma place pour tous les instants de sa vie.
Docteur, Marie amènera mon fils pour que vous l’occultiez demain à l’heure qui sera la vôtre.
De toute façon, étant libre de mes mouvements j’ai pris des engagements difficiles à reporter.
Dès le lendemain il m’a prise sur le bureau, je dois dire que j’étais venue sans culotte.
• Marie, je voyais ton mari une fois par mois, les bouleversements m’obligent à le voir une fois par semaine.
Je passerais chez vous tous les lundis à 8 heures, ici, mettre Jules dans ce petit réduit où j’ai mes toilettes, c’est un peu dégradant.
Je sais que l’infirmière, les lundis, vient à 10 heures pour le lever et le doucher, car elle rentre de week-end avec son mari alors que les autres jours, elle vient à 8 heures.
Nous aurons presque deux heures à nous.
Voilà quelques jours que tous les soirs à 19 heures Juliette infirmière et auxiliaire de vie vient chez moi, je devrais dire chez nous.
Je vous vois venir, vous devez penser que je vais me faire Juliette après qu’elle est couchée mon mari.
J’ai passé une année de fac à baiser avec différents hommes à côté de Ludivine sans pour autant lui bouffer la chatte.
Juliette est gentille, mais a deux défauts.
Elle aime son mari et en est folle amoureuse malgré qu’il pèse presque 130 kilos.
Le deuxième, c’est qu’elle-même doit faire dans le quintal et j’aurais de la réticence à trouver son sexe dans sa masse de graisse.
Non, celui qui va m’apporter la jouissance même s’il répète toujours, que « oui, elle est jolie, » c’est mon mari.
Ce soir, Juliette vient de me quitter et il faut que je le masturbe pour qu’il soit en partie calme une partie de la nuit.
Pour le masturber, ma belle-mère passait sa main sans découvrir son sexe.
Je comprends le scrupule qu’elle avait pour faire cette action en sortant de dessous le drap la bite de son fils.
Il fait chaud, il a seulement un drap sur lui alors je la sors, car il forme une toile de tente, pourquoi me priver d’un tel morceau ?
Si j’avais été encore vierge, j’aurais pris peur, mais même si la bite de mon mari est de proportion hors de toute norme, j’ai envie de l’essayer.
Je monte sur le lit, Jules est réveillé, bien sûr, je suis nue.
Je commence une fellation, je dirais plutôt un léchage de haut en bas avant de recommencer étant dans l’impossibilité de la faire entrer dans ma bouche.
Ce léchage est inutile vu son priapisme, mais c’est une envie que j’avais.
• Tu es belle !
Je constate le changement des mots qu’il emploie.
Devant le maire et le curé lorsqu’il a dit « oui, » mais en continuant par « elle est belle », on aurait pu croire, qu’il parlait de sa verge semblant être son obsession.
Ces mots prononcés semblent plus personnels pour moi, du moins je veux le croire.
Je l’enjambe et commence à le faire entrer en moi.
Je dois reconnaître que j’ai un instant l’impression de subir le supplice du pal lorsqu’elle entre en moi.
J’ai l’impression que ma chatte va éclater, mais rapidement je commence à sentir l’excitation monter en moi.
Je sens que je mouille autour de ce pieu et j’ai un orgasme démultiplié en rapport de tous ceux que j’ai ressentis depuis ma montée à Paris.
Une fois seulement monsieur Louis m’a fait jouir malgré qu’il m’ait payé.
C’est au moment où il décharge par de longs jets finissant d’habitude dans une serviette que ses couilles lâchent des quantités de sperme phénoménale.
Avec mes amants, une deux, voire trois éjaculations, là est-ce l’effet de la nouveauté pour moi, mon utérus est noyé dans ses nombreuses décharges.
Jules, son devoir de jeunes mariés effectué, ferme les yeux et dort comme un bébé
Dans la nuit, il s’agite, ma belle-mère m’a appris qu’elle devait le masturber environ toutes les deux heures, elle finissait par être insomniaque.
Je regarde le réveil, cinq heures, je l’enfourche et j’ai les mêmes jouissances avant que lui décharge.
Lorsque l’on sonne à la porte, Juliette est étonnée de trouver Jules calme.
Je me rends compte, que dans l’excitation j’ai baisé pour la première fois sans capote au risque de me retrouver enceinte.
Peu importe car c’est avec mon mari et jusqu’au lundi, dès que je le peus, je me fais jouir sur mon godemichet vivant.
• Maman, j’ai simplement fait mon devoir conjugal !
Cette phrase, c’est le dimanche midi que je la prononce chez mes beaux-parents, les dimanches midis, ce sera rosbif frite ma belle-mère étant originaire du Nord.
En plus de baiser avec Jules, je le fais manger, ça il arrive à le faire même si ses mains l’empêchent de le faire seul.
Le soir de retour dans notre chez-nous, Juliette vient le coucher.
Dès qu’elle est partie, je monte sur mon mari, mais j’oublie un temps sa bite pour présenter ma chatte à sa bouche.
Je viens de trouver un nouveau jeu diversifiant nos pratiques lorsqu’il sort sa langue et qu’il me suce, en me faisant un cunnilingus, il me rend heureuse avant qu’une nouvelle fois je m’empale.
Lundi, j’ouvre à mon amant qui vient plus pour moi que pour Jules qui dort dans la chambre.
Il me prend sur le canapé en levrette, même si je suis comblée par mon mari, les diverses positions où nous baisons me manquent avec lui.
• Charles, mon mari est-il stérile ?
• Pourquoi le voudrais-tu, je pourrais faire des analyses, mais à part son cerveau qui a manqué d’oxygène, à ce que m’en a dit ta belle-mère, le reste fonctionne plutôt, plus que bien.
• Alors baise-moi sans capote, j’ignorerais qui de lui ou de toi m’ont mise enceinte et ça me rassurerait.
Voilà ma vie est toute tracée, sexe et un jour héritage, car autant mon beau-père que ma belle-mère, m’avoue de graves problèmes de santé.
D’où l’envie de marier leur fils.
Oh ! non, j’oublie une chose importante.
Ludivine, il va sans dire que j’ai pris mes distances avec elle après le coup de Jarnac qu’elle m’a fait, moi son amie.
Elle a épousé Hugo et la masse de fric qu’il représente.
Je devrais dire qu’il représentait.
On apprend dans Blois que son père sur les conseils de son fils est en refus de paiement avec de nombreux clients.
Tous leurs biens sont saisis et Ludivine se retrouve sur la paille et SDF, car ils sont virés de chez eux.
Elle a même eu le toupet de venir me demander de l’aide.
Je me suis empressée de lui répondre favorablement surtout que je suis enceinte.
Genre de bonne à tout faire, c’est elle qui s’empale sur la bite de mon mari la défonçant comme elle m’a défoncé.
Jules semble aux anges ainsi que Charles me baisant en faisant attention à notre bébé.
Il va sans dire qu’il ignore que je prends soin de sa fille comme elle s’est occupée de moi.
J’ai imposé une autre chose à Ludivine qui a accepté.
• Tu arrêtes toute relation avec papa et tu te fais baiser par mon mari avec capote et stérilet que nous irons ensemble te faire poser !
• Oui, Marie, j’accepte !
• Alors, tu peux me brouter la chatte et me faire jouir avec ta langue de salope.
Je sais, j’avais dit que les femmes et moi ça faisait deux.
Ludivine a profité de la situation à Paris, elle m’a souvent dit qu’elle espérait un enfant avec son mari, pourquoi lui ferais-je ce cadeau, je lui prête déjà la verge du mien.
Ainsi va la vie, il y a toujours un retour de bâton pour ceux ou celles qui mentent impunément.
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Bravo Marie.