COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Jacques et la boîte d’oeufs (8/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Jacques et la boîte d’oeufs (8/13)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
En plus d’être soumise à Maître Albert, Lola me fait découvrir des penchants lesbiens, ses penchants allant même jusqu’à nous fister pour mon plus grand plaisir.
Lola mon petit bouchon finis là, apprends-lui à être une gentille soumise brouteuse de chatte, ça peut toujours servir dans la vie, je m’assieds sur cette chaise devant l’ordinateur.
• Maître Albert, vous voilà enfin. Lola, laisse-moi, j’ai apprécié le plaisir que tu m’as apporté, mais je crois qu’il est temps de remonter à la ferme, il faut que je nourrisse les lapinous.
Je saute sur mes pieds et je viens vers mon Maître qui dit.
• Lola, pas de chance, ma soumise semble apprécier modérément les jeux lesbiens. Trouve-lui des affaires à sa taille dans notre boutique, après, elle a raison, si j’arrive à redémarrer ma trottinette, nous allons rentrer.
Lola passe un peignoir, je descends nue, mes vêtements resteront là. Quand elle me fait passer quelques modèles, je comprends ce que mon homme aime que portent ses soumises.
Quand nous quittons Lola, par un baiser presque chaste, je peux exhiber ma poitrine qui déborde de partout du petit boléro fermé par un bouton. Surtout que je ne porte aucun soutien-gorge et que le boléro est une taille sous la mienne.
Quant à ma jupe, si celle que j’avais en venant était courte, j’arrivais à cacher ma chatte, en tournant les yeux, Maître Albert ne peut ignorer que mes grandes lèvres ont envie de son gourdin.
Il m'a fait attendre d’être remonté pour avoir ce plaisir. Sitôt la camionnette rangée à l’arrière de la ferme, Albert vient derrière moi, il soulève le peu de jupe que j’ai sur le cul, il me plaque contre la tôle du tube.
Je sais ce qu’il me faut faire, j’écarte mes jambes et deux secondes après il est en moi.
• Je vois bien que tu préfères mon sexe à la chatte de la fille de mon frère Jacques.
Que lui réponde, je suis si bien remplie que je jouis rapidement. Je retrouve les plaisirs hétéros même si les plaisirs lesbiens avaient pu aussi me plaire si, quand j’étais jeune, j’avais accepté les avances d’une amie de la famille ayant ce penchant.
Il me fait jouir une fois, deux fois avant de me remplir de son sperme, je suis comblée, quand je vais rejoindre ma cage, je vais pouvoir me mettre deux doigts dans la chatte et récupérer son divin jus.
Il fait encore nuit quand la cage s’ouvre, je dormais profondément comme j’ai pris l’habitude de le faire.
• Debout fainéante, vas vider tes excréments, avant d’aller préparer ce que nous allons vendre au marché. Reste nue, il fait chaud ce matin. Jusqu’à notre départ, nous allons tuer deux lapins, j’ai deux commandes.
Tuer deux lapinous, j’ai presque envie de prendre mes affaires mises dans le coin de ma cage et de dévaler en courant la montagne pour retrouver la civilisation.
Quel monstre est capable de tuer des lapinous pour le plaisir gustatif d’un ragoût de lapinous, j’entre dans la grange.
Mon petit lapinou d’amour est sorti de dessous la cage, il semble vouloir assister au massacre de sa famille.
• Regarde ce petit con, tu es contente de toi, il va falloir que je le rattrape. En attendant ouvre la cage du bas où il y a ce gros mâle, c’est un des deux vendable cette semaine.
Après, on dépècera cette femelle dans la deuxième cage, elle m’a fait plusieurs portés de petits lapins, elle a mis assez bas.
As-tu déjà estourbi des lapins ?
• Estourbi ?
• Je vois encore une Parisienne, je te fais voir pour le gros mâle, tu t’occuperas de la femelle.
Assassin, mon Maître est un assassin, tuer des animaux, j’ai mal au cœur, surtout quand il attrape le gros lapinou dans sa cage par les pattes arrière.
Il le fait pendre la tête vers le bas et ayant récupéré un rondin de bois sur la table à côté du couteau, il lui en assène un grand coup.
• Maître, je vous aime, mais il m’est impossible d’en voir plus, je vais vomir.
• Petite nature va charger les œufs et les cagots de légumes que j’ai préparés hier au soir alors que madame se pavanait dans sa cage.
Maître Albert serait-il ingrat ?
Je lui abandonne toute ma vie, prête à rester, allant même me faire tatouer par Lola la lettre et les chiffres A13 dans le cou. Il semble ne pas vouloir comprendre que tuer des lapinous n’est pas un objectif dans ma vie.
• C’est fait Maître, à part les deux lapinous, tout est dans la camionnette.
Les deux pauvres bêtes sont sur la table dans un cagot, Maître Albert les porte dans la camionnette, m’évitant de les mettre au sol, en voyant la tête, un œil enlevé, et surtout les dents de ces pauvres bêtes dépecées.
• Attention à ces deux poches de sang pour la sauce.
Viens déjeuner, un bol de café et en route, sinon, Gaston donnera ma place à un autre sur le marché.
Un bol de café avalé, assise au sol comme il se doit, avant de rejoindre la cage et de choisir l’une des trois tenues qu’Albert m’a achetée, toutes plus provocatrices les unes que les autres.
• Avant de descendre, viens là, j’aimerais que tu me pompes et me masturbes comme la dernière fois, j’ai beaucoup aimé.
Enfin un mot tendre, ce n’est pas trop tôt, je m’approche avec ma bouche, sors sa queue. Une nouvelle fois, j’arrive à gagner au moins un centimètre par rapport à la première fois.
• C’est bon pompe, pompe, non, arrête, viens t’empaler sur moi, je suis sûr que ta chatte dégouline, vous dégoulinez toutes sous la charge de ma verge.
Je me redresse, l’enjambe et le fais entrer dans ma vulve.
Comme il l’a dit, je dégouline, placée comme je suis, le poids de mon propre corps, le fait entrer entièrement en moi, j’ignorais que j’étais aussi profonde.
Profonde mais pas tant que cela, je sens que mon utérus est comprimé, ce qui m’apporte une autre sensation.
Ayant pris la mesure de mon vagin, je commence à monter et descendre, la position est plus humaine que celle où il m’a baisée les autres fois et elle m’apporte d’autres sensations toutes aussi plaisantes pour autant.
Il me remplit, je sais que nous allons partir, j’aurai le sperme de mon Maître toute la matinée au plus profond de moi.
Le tube a démarré, nous sommes installés au marché. Sauf pour les commerçants qui s’installent, le jour étant venu, je remarque qu’un grand nombre d’homme semble avoir une demande à faire à mon Maître.
Je comprends que c’est mes roberts qu’ils viennent admirer, un peu vicieusement. Je profite des avantages que la nature m’a donnée pour en rajouter, posant une boîte d’œuf là, la déplaçant pour la remettre à sa place, en me penchant.
Je change les légumes de place, la seule chose que je ne touche pas c’est le cagot des lapinous, qui continuent à me faire de l’œil, mais d’un seul.
Deviendrais-je exhibitionniste ? Ce qui est sûr, c’est que Maître Albert n’en prend pas ombrage et c’est là que je vois arriver Fred le plombier.
• Salut Albert, je vois que tu as fini l’apprentissage de ta soumise. La piquer à un mec en vacances chez toi, c’est fort, tu sais. Mon penchant pour les culs des femmes, avec ton numéro 13, je me verrais bien lui faire une branlette espagnole.
• Laisse-là travaillée, tu sais qu’à la ferme, je ne te refuse rien. J’ai soif, allons prendre un café.
• Si mon frère arrive pendant mon absence, donne-lui 6 œufs.
Maître Albert a placé des étiquettes sur les différentes choses que nous avons à vendre, un homme ayant un air de déjà vu s’approche.
• Mon frère en a formé une nouvelle, il est insatiable, ma femme et ma fille ne lui ont pas suffi, je viens chercher mes 6 œufs.
Je comprends le déjà-vu, c’est Jacques son frère, ils ont un air de famille.
• Monsieur Jacques, j’ai mis cette boîte, exprès de côté, vous verrez ce sont les plus gros que les poules ont pondu cette semaine.
• Merci, je vais les faire à la coque dès que je suis chez moi, bonne journée.
Maître Albert revient, Fred est certainement allé enculer une autre femme quand je vois arriver monsieur Jacques, il semble en colère, il a la boîte d’œuf à la main.
• Albert, que tu te sois envoyé ma femme, que tu l'aies transformée en pute comme cette roulure qui montre ses seins à qui veut les voir, que tu en as fais de même avec ma fille, ta filleule, j’ai eu du mal à l’accepter.
Certes, tu allais épouser ma femme quand je te l’ai piquée, mais de là à demander à ta salope de me donner une boîte d’œuf pourris, il y a un monde que je ne peux admettre.
Il ouvre la boîte, deux œufs sont manquants.
• J’allais les faire cuire à la coque, l’un d’eux m’a échappé, ma maison va empester pendant des jours.
• Fait voir, pauvre conne, ce sont les œufs que je laisse pour aider les poules à pondre au bon endroit, j’avais mis ces gros œufs car ils étaient bruns, cela m’évitait de me tromper au moment de les ramasser. Ce sont ces six que tu as mis dans cette boîte. Jacques, pour te prouver ma bonne foi, tu sais que rares sont ceux qui touchent à mes soumises, Simone, entre dans le tube, tu connais le matelas.
• Oui, Maître.
• Jacques, elle est à toi, sur la cloison, tu as une cravache à ta disposition, prends ton temps, tu verras, elle a déjà gouté à une badine de noisetier...
En plus d’être soumise à Maître Albert, Lola me fait découvrir des penchants lesbiens, ses penchants allant même jusqu’à nous fister pour mon plus grand plaisir.
Lola mon petit bouchon finis là, apprends-lui à être une gentille soumise brouteuse de chatte, ça peut toujours servir dans la vie, je m’assieds sur cette chaise devant l’ordinateur.
• Maître Albert, vous voilà enfin. Lola, laisse-moi, j’ai apprécié le plaisir que tu m’as apporté, mais je crois qu’il est temps de remonter à la ferme, il faut que je nourrisse les lapinous.
Je saute sur mes pieds et je viens vers mon Maître qui dit.
• Lola, pas de chance, ma soumise semble apprécier modérément les jeux lesbiens. Trouve-lui des affaires à sa taille dans notre boutique, après, elle a raison, si j’arrive à redémarrer ma trottinette, nous allons rentrer.
Lola passe un peignoir, je descends nue, mes vêtements resteront là. Quand elle me fait passer quelques modèles, je comprends ce que mon homme aime que portent ses soumises.
Quand nous quittons Lola, par un baiser presque chaste, je peux exhiber ma poitrine qui déborde de partout du petit boléro fermé par un bouton. Surtout que je ne porte aucun soutien-gorge et que le boléro est une taille sous la mienne.
Quant à ma jupe, si celle que j’avais en venant était courte, j’arrivais à cacher ma chatte, en tournant les yeux, Maître Albert ne peut ignorer que mes grandes lèvres ont envie de son gourdin.
Il m'a fait attendre d’être remonté pour avoir ce plaisir. Sitôt la camionnette rangée à l’arrière de la ferme, Albert vient derrière moi, il soulève le peu de jupe que j’ai sur le cul, il me plaque contre la tôle du tube.
Je sais ce qu’il me faut faire, j’écarte mes jambes et deux secondes après il est en moi.
• Je vois bien que tu préfères mon sexe à la chatte de la fille de mon frère Jacques.
Que lui réponde, je suis si bien remplie que je jouis rapidement. Je retrouve les plaisirs hétéros même si les plaisirs lesbiens avaient pu aussi me plaire si, quand j’étais jeune, j’avais accepté les avances d’une amie de la famille ayant ce penchant.
Il me fait jouir une fois, deux fois avant de me remplir de son sperme, je suis comblée, quand je vais rejoindre ma cage, je vais pouvoir me mettre deux doigts dans la chatte et récupérer son divin jus.
Il fait encore nuit quand la cage s’ouvre, je dormais profondément comme j’ai pris l’habitude de le faire.
• Debout fainéante, vas vider tes excréments, avant d’aller préparer ce que nous allons vendre au marché. Reste nue, il fait chaud ce matin. Jusqu’à notre départ, nous allons tuer deux lapins, j’ai deux commandes.
Tuer deux lapinous, j’ai presque envie de prendre mes affaires mises dans le coin de ma cage et de dévaler en courant la montagne pour retrouver la civilisation.
Quel monstre est capable de tuer des lapinous pour le plaisir gustatif d’un ragoût de lapinous, j’entre dans la grange.
Mon petit lapinou d’amour est sorti de dessous la cage, il semble vouloir assister au massacre de sa famille.
• Regarde ce petit con, tu es contente de toi, il va falloir que je le rattrape. En attendant ouvre la cage du bas où il y a ce gros mâle, c’est un des deux vendable cette semaine.
Après, on dépècera cette femelle dans la deuxième cage, elle m’a fait plusieurs portés de petits lapins, elle a mis assez bas.
As-tu déjà estourbi des lapins ?
• Estourbi ?
• Je vois encore une Parisienne, je te fais voir pour le gros mâle, tu t’occuperas de la femelle.
Assassin, mon Maître est un assassin, tuer des animaux, j’ai mal au cœur, surtout quand il attrape le gros lapinou dans sa cage par les pattes arrière.
Il le fait pendre la tête vers le bas et ayant récupéré un rondin de bois sur la table à côté du couteau, il lui en assène un grand coup.
• Maître, je vous aime, mais il m’est impossible d’en voir plus, je vais vomir.
• Petite nature va charger les œufs et les cagots de légumes que j’ai préparés hier au soir alors que madame se pavanait dans sa cage.
Maître Albert serait-il ingrat ?
Je lui abandonne toute ma vie, prête à rester, allant même me faire tatouer par Lola la lettre et les chiffres A13 dans le cou. Il semble ne pas vouloir comprendre que tuer des lapinous n’est pas un objectif dans ma vie.
• C’est fait Maître, à part les deux lapinous, tout est dans la camionnette.
Les deux pauvres bêtes sont sur la table dans un cagot, Maître Albert les porte dans la camionnette, m’évitant de les mettre au sol, en voyant la tête, un œil enlevé, et surtout les dents de ces pauvres bêtes dépecées.
• Attention à ces deux poches de sang pour la sauce.
Viens déjeuner, un bol de café et en route, sinon, Gaston donnera ma place à un autre sur le marché.
Un bol de café avalé, assise au sol comme il se doit, avant de rejoindre la cage et de choisir l’une des trois tenues qu’Albert m’a achetée, toutes plus provocatrices les unes que les autres.
• Avant de descendre, viens là, j’aimerais que tu me pompes et me masturbes comme la dernière fois, j’ai beaucoup aimé.
Enfin un mot tendre, ce n’est pas trop tôt, je m’approche avec ma bouche, sors sa queue. Une nouvelle fois, j’arrive à gagner au moins un centimètre par rapport à la première fois.
• C’est bon pompe, pompe, non, arrête, viens t’empaler sur moi, je suis sûr que ta chatte dégouline, vous dégoulinez toutes sous la charge de ma verge.
Je me redresse, l’enjambe et le fais entrer dans ma vulve.
Comme il l’a dit, je dégouline, placée comme je suis, le poids de mon propre corps, le fait entrer entièrement en moi, j’ignorais que j’étais aussi profonde.
Profonde mais pas tant que cela, je sens que mon utérus est comprimé, ce qui m’apporte une autre sensation.
Ayant pris la mesure de mon vagin, je commence à monter et descendre, la position est plus humaine que celle où il m’a baisée les autres fois et elle m’apporte d’autres sensations toutes aussi plaisantes pour autant.
Il me remplit, je sais que nous allons partir, j’aurai le sperme de mon Maître toute la matinée au plus profond de moi.
Le tube a démarré, nous sommes installés au marché. Sauf pour les commerçants qui s’installent, le jour étant venu, je remarque qu’un grand nombre d’homme semble avoir une demande à faire à mon Maître.
Je comprends que c’est mes roberts qu’ils viennent admirer, un peu vicieusement. Je profite des avantages que la nature m’a donnée pour en rajouter, posant une boîte d’œuf là, la déplaçant pour la remettre à sa place, en me penchant.
Je change les légumes de place, la seule chose que je ne touche pas c’est le cagot des lapinous, qui continuent à me faire de l’œil, mais d’un seul.
Deviendrais-je exhibitionniste ? Ce qui est sûr, c’est que Maître Albert n’en prend pas ombrage et c’est là que je vois arriver Fred le plombier.
• Salut Albert, je vois que tu as fini l’apprentissage de ta soumise. La piquer à un mec en vacances chez toi, c’est fort, tu sais. Mon penchant pour les culs des femmes, avec ton numéro 13, je me verrais bien lui faire une branlette espagnole.
• Laisse-là travaillée, tu sais qu’à la ferme, je ne te refuse rien. J’ai soif, allons prendre un café.
• Si mon frère arrive pendant mon absence, donne-lui 6 œufs.
Maître Albert a placé des étiquettes sur les différentes choses que nous avons à vendre, un homme ayant un air de déjà vu s’approche.
• Mon frère en a formé une nouvelle, il est insatiable, ma femme et ma fille ne lui ont pas suffi, je viens chercher mes 6 œufs.
Je comprends le déjà-vu, c’est Jacques son frère, ils ont un air de famille.
• Monsieur Jacques, j’ai mis cette boîte, exprès de côté, vous verrez ce sont les plus gros que les poules ont pondu cette semaine.
• Merci, je vais les faire à la coque dès que je suis chez moi, bonne journée.
Maître Albert revient, Fred est certainement allé enculer une autre femme quand je vois arriver monsieur Jacques, il semble en colère, il a la boîte d’œuf à la main.
• Albert, que tu te sois envoyé ma femme, que tu l'aies transformée en pute comme cette roulure qui montre ses seins à qui veut les voir, que tu en as fais de même avec ma fille, ta filleule, j’ai eu du mal à l’accepter.
Certes, tu allais épouser ma femme quand je te l’ai piquée, mais de là à demander à ta salope de me donner une boîte d’œuf pourris, il y a un monde que je ne peux admettre.
Il ouvre la boîte, deux œufs sont manquants.
• J’allais les faire cuire à la coque, l’un d’eux m’a échappé, ma maison va empester pendant des jours.
• Fait voir, pauvre conne, ce sont les œufs que je laisse pour aider les poules à pondre au bon endroit, j’avais mis ces gros œufs car ils étaient bruns, cela m’évitait de me tromper au moment de les ramasser. Ce sont ces six que tu as mis dans cette boîte. Jacques, pour te prouver ma bonne foi, tu sais que rares sont ceux qui touchent à mes soumises, Simone, entre dans le tube, tu connais le matelas.
• Oui, Maître.
• Jacques, elle est à toi, sur la cloison, tu as une cravache à ta disposition, prends ton temps, tu verras, elle a déjà gouté à une badine de noisetier...
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