COLLECTION STAR DU PORNO. Grand-mère était actrice porno (1/2) - histoire érotique

• Grand-mère, regarde ce que j’ai trouvé sur Internet, elle ressemble à toi plus jeune, bien plus jeune !
• Mon dieu, Annie, quelle époque, c’était notre jeunesse dans ces temps-là !
• Tu reconnais, à moi ta petite fille que cette belle blonde qui va jusqu’à partouser dans ces films, c’était toi ?
• Pourquoi voudrais-tu que je renie ma jeunesse et ce que j’ai fait !
Qu’est-ce qui te choque ma chérie, tu es jeune comme j’étais jeune dans ces années de 60 à 70 ?
• Et tu tournais dans des films pornographiques !
• Oui, nous nous amusions dans ces années-là, pour nous c’était un simple jeu.
Ah, je me souviens, celui-ci, c’est le deuxième que nous avons tourné avec ma bande d’amis.

« Baiser dans la prairie. »

Avec Armant mon amant du moment, il m’avait entrainé en vacances à la campagne pour rejoindre des amis dans le centre de la France.
Ils avaient formé une communauté où tout était mis en commun.
Ce que je vais te dire va certainement froisser tes chastes oreilles ma petite chérie.
• Mamy nous sommes au 21ème sciècle, j’ai dix-huit ans et si toi aussi tu es prête à recevoir mes confidences avec tes vieilles oreilles, j’ai fait l’amour avec un garçon, il y a déjà presque deux ans.
J’ai vu l’intégralité de tes films avec Claudine Beccarie.
J’ai fait l’amour avec Claudius avec des capotes, vous vous baisiez sans rien sur la queue des acteurs.
• Ma petite chérie, c’est très bien de te protéger, j’avais arrêté de tourner lorsque sont survenus les premiers méfaits du sida.
Je pense que tu en as entendu parlé, cette saloperie a emporté deux des acteurs et une actrice que tu vois tourner avec moi dans ces années-là.
À part les échauffements et les blennorragies, comme nous baisions entre copains, ces cas étaient rares.
Pour ma part, aucune maladie vénérienne tout au long de ces cinq années de ma petite carrière.
• Tu es incroyable, mamy, tu me parles de tout ça sans l’ombre d’un scrupule comme si c’était naturel de faire l’amour devant une caméra !
• Je te l’ai dit, « Madame et son chauffeur », je l’ai tourné plus comme un amusement que pour gagner du fric.
D’où le deuxième film, j’avais rejeté ma famille conventionnelle et bourgeoise pour cette ferme que maintenant vous appelleriez écologique.
• Mais, quelqu’un vous a bien proposé de tourner puisque les films sont toujours là !
• Oui, Richard Allan, c’est lui qui a amené la caméra dans une vieille camionnette genre de celle dont Bohringer se sert dans « Louis la brocante. »
Nous étions après mai 68, tu as entendu parlé de ce soulèvement des lycéens et étudiants parisiens, principalement au Quartier Latin, mais qui a fini par bloquer toute la France ?
Depuis 1958, de Gaulle avait pris le pouvoir se faisant écrire par Debré, son Premier ministre, une constitution, la cinquième encore en vigueur ces années.
C’était la fin de la guerre d’Algérie et sur les barricades nous crions au CRS « faite l’amour, pas la guerre. »
• Tu avais déjà fait l’amour, ma petite mamy !
• Quelle horreur, j’étais mineur en 68, il a fallu attendre l’élection de Giscard pour qu’il abaisse la majorité de vingt et un à dix-huit ans.
Mais c’est dans ces moments-là que j’ai eu ma première expérience sexuelle.
• J’ai vu tes films sauf le quatrième, qu’as-tu fait ?
• Une fellation, tu sais ce que c’est !
• Mamy, je suis de mon époque, une pipe, une bouffarde, mais à qui ?
• Un CRS !
• Un CRS, comme ceux de ces années, avec casques et bouclier ?
• Oui, notre lycée non loin de la Sorbonne était occupé par une bande de gauchistes, as-tu entendu parler de Dany le rouge ?
Mes parents, tes arrière-grands-parents étant de droites cathos, ordre et justice.
J’étais en pleine crise d’adolescence avec eux et je me suis retrouvée sur une barricade à jeter des pavés.
Les CRS de passif devant nous, ont fait mouvement pour nous déloger de notre barricade.
J’ai couru comme mes copines, je sentais le souffle de l’un d’eux sur mon épaule.
J’ai tenté le tout pour le tout, j’ai poussé une vieille porte cochère qui s’est ouverte, je suis entrée, mais il m’a suivi.
Il m’a collé contre le mur refermant d’un coup de pied la porte nous isolant du reste du monde.
L’ordre sec est tombé en même temps qu’il se déboutonnait et qu’il m’appuyait sur l’épaule pour que je me retrouve à la hauteur de ce que je voyais pour la première fois.
« Suce sinon, je t’emmène au poste et je t’arrête »
J’ai compris ce qu’il attendait de moi, j’ai reçu ma première bite en bouche jusqu’à ce qu’il m’arrose le visage de sa semence.
• Il t’a craché son sperme sur ta figure, mais c’était du viol mamy, tu as été porter plainte !
• Ma chérie, tu rigoles, porter plainte, au commissariat de mon quartier ou mes parents auraient été convoqués pour me récupérer.
J’avais une copine qui l’avait fait et je sais le mauvais quart d’heure qu’elle a passé, je savais que je devais fermer ma bouche.
• Après l’avoir ouverte pour... !
• J’aime ton humour, il m’a relâché et j’ai filé vers chez moi sans me rendre compte de deux choses !
La première s’était que lorsque le CRS m’avait attrapé, il avait déchiré ma blouse blanche et presque tout mon sein droit apparaissait.
• À ce que j’ai vu dans tes films, ils sont bien jolie mamy.
• Oui, mais le plus grave, c’est que dans l’état second où je me trouvais, sucer une verge pour la première fois, ça secoue et comme j’avais du sperme jusque dans les cheveux et sur ma figure, tu peux t’imaginer la suite.
J’ignore depuis combien de temps, mon CRS avait été en service de maintien de l’ordre, mais j’en avais partout, une énorme quantité.
Il avait les couilles bien pleines et je me suis souvenue que sa bite avait au moins craché cinq fois.
À cause de la grève générale, mon père était à la maison et a vu dans quel état j’étais.
Je me suis défendue, mais pour lui j’étais une pute, une roulure et malgré les larmes de maman, il m’a fichu à la porte.
Je me suis retrouvée à errer dans Paris et c’est là où j’ai croisé Richard qui m’a pris sous son aile.
Il vivait dans sa camionnette où il avait un matelas et dès le premier soir, il me prenait mon hymen.
J’ai su plus tard que les caisses qui étaient à l’avant c’était la caméra et la pellicule qu’il devait livrer aux studios Billancourt fermés, eux aussi, pour cause de grèves !
Il était garé sur les quais de Seine !
J’ai vécu deux jours d’amour et d’eau fraiche, moi qui avais été élevé dans les beaux quartiers près de l’Opéra, je me retrouvais à me laver à une fontaine dès que la nuit était tombée.
J’ignore où tu en es de ta sexualité et c’est dur à dire à sa petite fille, mais mon amant plus vieux que moi m’a tout appris concernant le sexe.
J’étais rentrée vierge dans la camionnette, j’étais une grande baiseuse quelques jours plus tard, j’avais largement dépassé le stade d’une simple fellation.
Mais le ravitaillement venant à faire défaut, il a fallu que nous prenions une décision.
Les pompes à essence étaient toutes fermées dans toute la capitale et toute la France.
Mais Armant avait un jerrican en réserve alors il m’a proposé de retrouver des copains dans le Cantal.
Il savait que là ou il m’a proposé de m’emmener, il avait un jardin avec des légumes qu’ils cultivaient.
Tu vas être étonnée, dans ces années-là, on voyageait beaucoup moins que maintenant et pour la première fois j’ai vu des vaches et des moutons.
Je connaissais les chevaux, mon père jouait aux courses et nous allions le dimanche en métro et en bus à l’hippodrome de Vincennes ou de Saint Clou.
Dans la ferme, ils étaient six hommes et nous étions quatre femmes.
Deux d’entre elles avaient des enfants tous en bas âge.
Nous partagions le travail, j’ai même appris à traire les vaches et les brebis et à faire du fromage que Geoffroy le chef de notre bande allaient vendre au marché de Saint-Flour.
Nous faisions tout jusqu’à notre pain, je serais encore capable d’en faire.
Mais dès le premier soir j’ai fini dans son lit et à tour de rôle dans le lit ou sur un tas de foin de chacun des hommes.
Ils prônaient l’amour libre et savaient en profiter sans que nous nous rébellions, ces mélanges, tous nous l’admettions.
Au début, j’étais un peu jalouse de voir celui que je croyais, comme la petite dinde que j’étais, Richard coucher avec l’une des femmes mariées.
Mais comme nous le disions, c’était l’amour libre et la libération sexuelle.
Je te choque ma chérie, découvrir que sa grand-mère était une parfaite salope, je comprendrais que tu sois légèrement choquée !
• Mamy, je suis bien en retard si tu as baisé avec tous ces hommes au gré de leurs envies, mais loin de moi l’idée de te juger.
• De leur envie, et des nôtres aussi ma chérie.
J’avais de nombreux orgasmes et j’espère que pour toi aussi faire l’amour, pas la guerre, t’apporte la plénitude de tes sens.
• Mamy, je t’ai un peu caché la vérité lorsque je t’ai dit que j’avis perdu mon pucelage, il y avait presque deux ans.
Ils étaient quatre, c’était le matin de ma première soirée avec des copains et des copines.
J’avais un peu bu et je me suis réveillée dans les bras de Claudius le copain dont je t’ai parlé.
J’ai senti quelque chose sur mes fesses, j’ai tourné la tête, c’était Luc un autre copain qui avait sa verge sur mon anus.
• Tu t’es fait sodomiser dès ta première fois !
• Comme toi mamy, Claudine Beccarie. s’en prenait des énormes et ils allaient bien profonds lors des scènes qu’elle tournait dans ses films.
• Si j’avais pensé un jour parler d’amour libre et de double pénétration avec ma petite fille, j’aurais traité ces personnes de folles.
Claudine, son truc c’était les doubles en vaginales.
Moi, une fois hors du champ de la caméra, ils m’ont pris en double anal.
• Tu sais mamy, j’avais douze ans lorsqu’un garçon au collège, nous a montré le portable qu’il avait piqué à sa mère et où il nous a fait voir de petits films pornographiques.
• Les tiens, je les ai découverts sur le mien, il y a quelques jours.
Au début, j’ai pris cette actrice, Alexandra Love, pour un sosie, surtout avec tes cheveux blancs.
Mais au fil des images et des dates dans certains films, j’ai compris que c’était toi la comédienne qui les avait tournés.
• Tu as compris que Richard a sorti la caméra et sous couvert d’éviter de perdre la pellicule nous a fait tourner dans ce manoir dont j’ai appris plus tard qu’ils le squattaient
• Et c’est là que tu as fait l’amour avec des femmes !
• La liberté sexuelle que nous nous octroyons comportait des moments d’intimités avec tous les hommes du groupe.
Pour ma part, c’est avec Jennifer la femme mariée avec deux enfants que cela c’est concrétisé.
Mais, tu m’en fais trop dire, même si les images de ce que j’ai fait sont gravées à jamais sur la pellicule ou les CDs et nous devons accepter ce que vous appelez les réseaux sociaux !
• Mamy, maman est-elle au courant ?
• Surtout pas, je t’interdis de lui montrer les images de ce que j’ai fait dans ma jeunesse.
Elle m’a assez embêté pendant des années pour savoir qui était son père.
• J’ai une demande à te faire, je te promets que notre secret sera bien gardé...