COLLECTION TABOU. Les Mimosas (6/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2408 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 029 781 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 4 202 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION TABOU. Les Mimosas (6/7)
Je pensais avoir échappé à ma bru, qui depuis qu’elle a vu que j’avais séduit ma voisine Blandine, la belle rousse, me fait du chantage pour lui faire un enfant, m’affirmant que mon fils est impuissant, sinon elle ira lui dire, je me laisse pomper jusqu’à ce qu’elle avale mon sperme.
Ce soir, je reste dans la villa de ma maîtresse qui passe sa soirée chez sa fille, maman de jumelle étant seule en ce moment, son mari étant en mer, commandant un navire officier dans la marine nationale.
Je rejoins mon chalet espérant lui avoir échappé, c’est mal connaître Olga et son obstination, elle n’a pas hésité à droguer mon fils pour pouvoir me rejoindre.
Je suis faible, je devrais la mettre dehors, mais c’est vers ma chambre que je l’entraîne.
• Il est tard, Olga et je suis fatigué, à mon âge, tu verras quand tu auras passé la soixantaine, allonge-toi.
• J’ai horreur de baiser en coup de vent ou alors comme la première fois quand j’étais mes seins sur la table, venez me caresser, je mouille déjà de savoir comme il va être bon d’être une nouvelle fois à vous.
J’aime moi aussi ces moments où l’homme fait monter le plaisir dans le corps de la femme, avec Blandine, c’est facile, mais le remords est mauvais conseillé, avec Olga, c’est un peu le cas.
Elle me fait voir sa chatte, je me penche, pour la première fois ma langue touche son clitoris, elle a un mouvement du bassin, j’ai cru lui avoir fait mal, pour après m’apercevoir qu’il est simplement ultra-sensible.
• Oui, comme ça beau-papa, vous avez remarqué comme il aime quand vous le prenez entre vos lèvres, j’arrive à jouir simplement par un cunnilingus, c’est dans les temps de ma jeunesse que j’aimais jouer avec.
C’est ma copine Jane qui m’a défloré avec ses doigts, jusqu’à ce qu’un garçon me séduise.
• Ta jeunesse, tu es si vieille que ça, que devrais-je dire.
• Bien sûr, il est difficile de comparer, mais si je veux un enfant maintenant ce que vote fils semble incapable de faire, c’est avec vous que je vais y arriver, ça ne sortira pas de la famille.
• Assez bavardé petite fille.
Je m’allonge sur elle, ma verge trouvant le passage facilement de la manière dont elle est lubrifiée, ses jambes viennent me bloquer dans mon dos et je me mets à la pilonner avec délice.
C’est drôle, les confidences sur l’oreiller, Olga a été gouine à ses débuts amoureux, un peu comme Blanche et Adel dans mon roman.
Terminé les remords ou autres tabous, nous sommes un homme et une femme qui ont envie de se donner du plaisir et nous ne nous en privons pas.
Je finis par lui donner ce qu’elle est venue chercher, c’est vrai que si dans quelques semaines elle est grosse, cela restera dans la famille, si je ne me sacrifie pas, qui sais par quel taré elle se ferait faire un gosse.
• Sauve-toi petite fille, je voudrais que tu sois un peu moins présente, tu as compris que je tenais à notre voisine alors, je t’ai cédé, je ne voudrais pas qu’elle apprenne que je la trompe avec ma belle-fille.
• Je sens que le sperme que je viens de recevoir à toucher le fond de mon utérus, je suis certaine que c’est ce soir que nous avons conçu votre petit-fils, je pars retrouver Kevin.
• Quand tu seras dans son lit, même s’il dort, caresse-le et suce-lui la verge dans son sommeil, son cerveau enregistrera ton geste et il n’aura aucun doute sur ton amour.
• Vous avez raison beau-papa, peut-être que je récupérerais le sperme que j’aime temps.
Je ne l’ai pas raccompagné, je n’ai pas entendu la porte du chalet se refermer, je dors déjà.
J’arrive à descendre en ville le lendemain, un vacarme assourdissant me gêne pendant que je regarde le journal en buvant un café, un cirque est là avec Chocolat le clown à l’affiche et en vedette.
Il y a bien longtemps au début du siècle, un clown noir avait défrayé la chronique, j’ai horreur du cirque, quand j’étais petit, alors que j’étais au premier rang, un cheval a fait une embardée me faisant peur, je remonte chez moi.
Dans les jours suivants, j’ai recommencé à rester chez Blandine, ne repassant pas par mon chalet, je la voyais de temps en temps chaque fois avec mon fils, jusqu’au jour où elle vient seule, j’ai eu peur que nos travers sexuels entre ma belle-fille et beau-papa ne recommencent.
• Beau-papa, regardez, j’avais raison, j’ai les barres disant que je suis enceinte sur ce test de grossesse.
• Tu es satisfaite, l’un de nous deux a été efficace.
• Oui surtout que grâce à vous, je ne suis plus accro au sperme, je vais vivre ma grossesse tranquille, vous avez raison beau-papa, l’un de vous a été efficace, j’espère ne jamais le savoir, le mystère serait nécessaire.
Les choses rentrant dans l’ordre, je redevenais le beau-père que je n’aurais jamais arrêté d’être.
Tout en finissant mon roman, je vis mon amour toujours aussi fort avec Blandine, j’organise même une fête pour inaugurer ma piscine.
Sa fille Clémence et les jumelles sont là, son mari vient de demander le divorce, il a rencontré une Guadeloupéenne pendant une escale à Basse-terre, il semblerait qu’elle soit black.
Mais avant, je dois finir la première partie du dernier chapitre de mon livre qui va sortir sur les étals des grands distributeurs en fin d’année.
« Je voyais arriver cet homme sur son cheval blanc, il était suivi par huit hommes, cinq ayant des tuniques bleues comme lui, mais couvertes de boue, parmi eux, deux noirs.
Les trois autres sont habillés avec des tenues comme les gens de notre région.
Adel toujours en tenue d'Éve, se réfugie dans mes bras, elle a vu comme moi son mari embroché avec mère.
• Bonjour mesdames, nous venons d’arrêter cette belle brochette de déserteurs, leur chef a dit venir de votre exploitation, avec vous eu à subir ces crapules qui ne méritent pas la corde pour les pendre.
Voyez mes hommes, ils vont former l’Amérique de demain, fait de gens bien avec les garçons qui se battent pour votre cause et vos territoires du Sud.
Mais, c’est nous qui allons gagner.
• Oui, ils sont passés ici, je préfère taire ce qu’ils ont fait à ma servante et aussi à moi, vous pourrez trouver à l’intérieur de notre maison mère et sur la terrasse père.
Dans sa chambre, vous trouverez mère qui a été transpercée par un sabre, ainsi que son serviteur noir qui lui aussi a été passé par la même lame, de l’un de ces messieurs.
Avant de quitter sa chambre, j’ai bien fait, aidé par Adel de sortir le sabre qui les a tués, des corps de mère et de Thomas.
Nous avons soulevé l’amant, nous avons remis ses vêtements et l’avons placé près de la porte, mère repose sur son lit recouvert d’un drap que nous avons tiré sur son corps, l’honneur restant sauf pour ma famille.
• Allez voir lieutenant, prenez quatre hommes avec vous, faite attention, il pourrait y avoir d’autres crapules à l’intérieur.
Un des trois autres hommes perchés sur un cheval saute à terre fait signe aux quatre premiers hommes, ils entrent.
• Les salopes, on va mourir, mais que vous avez été bonne, deux salopes, vous êtes deux belles salopes, j'accepte l’enfer où ils vont nous envoyer.
C’est l’homme qui m'a baisé le premier après avoir embroché Nat qui vient de parler.
• T’as raison Bosse, j’ai adoré les enculer.
• Faites-les taire, mesdames, mes hommes et moi n’ont rien entendu, dans mon rapport, il sera marqué que j’ai arrêté cette bande de vauriens à la limite de votre propriété.
Le lieutenant ressort.
• Monsieur, il y a un autre noir qui est certainement mort avec des coups de baïonnettes, les fusils que nous leur avons pris quand nous les avons interceptés, étaient maculés de sang.
• Bien sûr, la pute blanche qui est là, se faisait sauter par la grosse queue du noir, comme sa mère par le deuxième dans l’autre chambre.
• Messieurs, je vous ai demandé de tous les faire taire, que mon ordre ne soit pas contredit une deuxième fois.
Dans les deux secondes qui ont suivi, les huit hommes étaient transpercés, gisant au sol, comme Nat, par le sabre du lieutenant et les baïonnettes des autres hommes de la patrouille.
• Lieutenant, emmené ses crapules loin d’ici et enterré les dans un endroit ou nul autre que vous et vos hommes ne saurez où ils sont, il est utile que des parasites comme eux disparaissent de notre beau pays quand nous l’aurons réunifié.
Après, avec vos hommes, vous resterez ici pour aider ces gens à panser leurs plaies et à les protéger jusqu’à ce que vous soyez relevé.
C’est ainsi que cet homme a fait tourner bride à son cheval et a disparu de notre vue, un instant quand le lieutenant à parler de Nat, j’ai conscience que nous avons oublié de lui remettre ses vêtements, heureusement, gentleman, il ne dit rien.
Dans les heures qui ont suivi, j’enterrais père ainsi que mère.
Nos esclaves ont enterré leurs morts dont Thomas et Mama qui a rejoint son mari dans le cimetière à l’arrière du secteur ou sont leurs cases.
Les deux contremaîtres s’étant interposés en perdant la vie, tombant sous les premières balles des coups de feu que nous avions entendues, dans un coin des maîtres.
Le cas de Nat a été le plus difficile, j’ai pris une décision qui je le pensais aurait fait plaisir à mes noirs, je l’ai fait enterrer dans le carré des maîtres ou repose père, mère, grand-père que je n’ai pas connu.
Grand-père à ce que j’ai toujours entendu dire à créer notre plantation, il était encore plus dur avec ses esclaves que père, le nombre de leurs morts se remarque par le nombre de croix en bois dans leur cimetière.
Pour calmer tout le monde, il est enterré à côté des contremaîtres, c’est la première fois qu’un esclave est enterré là. »…
Ce soir, je reste dans la villa de ma maîtresse qui passe sa soirée chez sa fille, maman de jumelle étant seule en ce moment, son mari étant en mer, commandant un navire officier dans la marine nationale.
Je rejoins mon chalet espérant lui avoir échappé, c’est mal connaître Olga et son obstination, elle n’a pas hésité à droguer mon fils pour pouvoir me rejoindre.
Je suis faible, je devrais la mettre dehors, mais c’est vers ma chambre que je l’entraîne.
• Il est tard, Olga et je suis fatigué, à mon âge, tu verras quand tu auras passé la soixantaine, allonge-toi.
• J’ai horreur de baiser en coup de vent ou alors comme la première fois quand j’étais mes seins sur la table, venez me caresser, je mouille déjà de savoir comme il va être bon d’être une nouvelle fois à vous.
J’aime moi aussi ces moments où l’homme fait monter le plaisir dans le corps de la femme, avec Blandine, c’est facile, mais le remords est mauvais conseillé, avec Olga, c’est un peu le cas.
Elle me fait voir sa chatte, je me penche, pour la première fois ma langue touche son clitoris, elle a un mouvement du bassin, j’ai cru lui avoir fait mal, pour après m’apercevoir qu’il est simplement ultra-sensible.
• Oui, comme ça beau-papa, vous avez remarqué comme il aime quand vous le prenez entre vos lèvres, j’arrive à jouir simplement par un cunnilingus, c’est dans les temps de ma jeunesse que j’aimais jouer avec.
C’est ma copine Jane qui m’a défloré avec ses doigts, jusqu’à ce qu’un garçon me séduise.
• Ta jeunesse, tu es si vieille que ça, que devrais-je dire.
• Bien sûr, il est difficile de comparer, mais si je veux un enfant maintenant ce que vote fils semble incapable de faire, c’est avec vous que je vais y arriver, ça ne sortira pas de la famille.
• Assez bavardé petite fille.
Je m’allonge sur elle, ma verge trouvant le passage facilement de la manière dont elle est lubrifiée, ses jambes viennent me bloquer dans mon dos et je me mets à la pilonner avec délice.
C’est drôle, les confidences sur l’oreiller, Olga a été gouine à ses débuts amoureux, un peu comme Blanche et Adel dans mon roman.
Terminé les remords ou autres tabous, nous sommes un homme et une femme qui ont envie de se donner du plaisir et nous ne nous en privons pas.
Je finis par lui donner ce qu’elle est venue chercher, c’est vrai que si dans quelques semaines elle est grosse, cela restera dans la famille, si je ne me sacrifie pas, qui sais par quel taré elle se ferait faire un gosse.
• Sauve-toi petite fille, je voudrais que tu sois un peu moins présente, tu as compris que je tenais à notre voisine alors, je t’ai cédé, je ne voudrais pas qu’elle apprenne que je la trompe avec ma belle-fille.
• Je sens que le sperme que je viens de recevoir à toucher le fond de mon utérus, je suis certaine que c’est ce soir que nous avons conçu votre petit-fils, je pars retrouver Kevin.
• Quand tu seras dans son lit, même s’il dort, caresse-le et suce-lui la verge dans son sommeil, son cerveau enregistrera ton geste et il n’aura aucun doute sur ton amour.
• Vous avez raison beau-papa, peut-être que je récupérerais le sperme que j’aime temps.
Je ne l’ai pas raccompagné, je n’ai pas entendu la porte du chalet se refermer, je dors déjà.
J’arrive à descendre en ville le lendemain, un vacarme assourdissant me gêne pendant que je regarde le journal en buvant un café, un cirque est là avec Chocolat le clown à l’affiche et en vedette.
Il y a bien longtemps au début du siècle, un clown noir avait défrayé la chronique, j’ai horreur du cirque, quand j’étais petit, alors que j’étais au premier rang, un cheval a fait une embardée me faisant peur, je remonte chez moi.
Dans les jours suivants, j’ai recommencé à rester chez Blandine, ne repassant pas par mon chalet, je la voyais de temps en temps chaque fois avec mon fils, jusqu’au jour où elle vient seule, j’ai eu peur que nos travers sexuels entre ma belle-fille et beau-papa ne recommencent.
• Beau-papa, regardez, j’avais raison, j’ai les barres disant que je suis enceinte sur ce test de grossesse.
• Tu es satisfaite, l’un de nous deux a été efficace.
• Oui surtout que grâce à vous, je ne suis plus accro au sperme, je vais vivre ma grossesse tranquille, vous avez raison beau-papa, l’un de vous a été efficace, j’espère ne jamais le savoir, le mystère serait nécessaire.
Les choses rentrant dans l’ordre, je redevenais le beau-père que je n’aurais jamais arrêté d’être.
Tout en finissant mon roman, je vis mon amour toujours aussi fort avec Blandine, j’organise même une fête pour inaugurer ma piscine.
Sa fille Clémence et les jumelles sont là, son mari vient de demander le divorce, il a rencontré une Guadeloupéenne pendant une escale à Basse-terre, il semblerait qu’elle soit black.
Mais avant, je dois finir la première partie du dernier chapitre de mon livre qui va sortir sur les étals des grands distributeurs en fin d’année.
« Je voyais arriver cet homme sur son cheval blanc, il était suivi par huit hommes, cinq ayant des tuniques bleues comme lui, mais couvertes de boue, parmi eux, deux noirs.
Les trois autres sont habillés avec des tenues comme les gens de notre région.
Adel toujours en tenue d'Éve, se réfugie dans mes bras, elle a vu comme moi son mari embroché avec mère.
• Bonjour mesdames, nous venons d’arrêter cette belle brochette de déserteurs, leur chef a dit venir de votre exploitation, avec vous eu à subir ces crapules qui ne méritent pas la corde pour les pendre.
Voyez mes hommes, ils vont former l’Amérique de demain, fait de gens bien avec les garçons qui se battent pour votre cause et vos territoires du Sud.
Mais, c’est nous qui allons gagner.
• Oui, ils sont passés ici, je préfère taire ce qu’ils ont fait à ma servante et aussi à moi, vous pourrez trouver à l’intérieur de notre maison mère et sur la terrasse père.
Dans sa chambre, vous trouverez mère qui a été transpercée par un sabre, ainsi que son serviteur noir qui lui aussi a été passé par la même lame, de l’un de ces messieurs.
Avant de quitter sa chambre, j’ai bien fait, aidé par Adel de sortir le sabre qui les a tués, des corps de mère et de Thomas.
Nous avons soulevé l’amant, nous avons remis ses vêtements et l’avons placé près de la porte, mère repose sur son lit recouvert d’un drap que nous avons tiré sur son corps, l’honneur restant sauf pour ma famille.
• Allez voir lieutenant, prenez quatre hommes avec vous, faite attention, il pourrait y avoir d’autres crapules à l’intérieur.
Un des trois autres hommes perchés sur un cheval saute à terre fait signe aux quatre premiers hommes, ils entrent.
• Les salopes, on va mourir, mais que vous avez été bonne, deux salopes, vous êtes deux belles salopes, j'accepte l’enfer où ils vont nous envoyer.
C’est l’homme qui m'a baisé le premier après avoir embroché Nat qui vient de parler.
• T’as raison Bosse, j’ai adoré les enculer.
• Faites-les taire, mesdames, mes hommes et moi n’ont rien entendu, dans mon rapport, il sera marqué que j’ai arrêté cette bande de vauriens à la limite de votre propriété.
Le lieutenant ressort.
• Monsieur, il y a un autre noir qui est certainement mort avec des coups de baïonnettes, les fusils que nous leur avons pris quand nous les avons interceptés, étaient maculés de sang.
• Bien sûr, la pute blanche qui est là, se faisait sauter par la grosse queue du noir, comme sa mère par le deuxième dans l’autre chambre.
• Messieurs, je vous ai demandé de tous les faire taire, que mon ordre ne soit pas contredit une deuxième fois.
Dans les deux secondes qui ont suivi, les huit hommes étaient transpercés, gisant au sol, comme Nat, par le sabre du lieutenant et les baïonnettes des autres hommes de la patrouille.
• Lieutenant, emmené ses crapules loin d’ici et enterré les dans un endroit ou nul autre que vous et vos hommes ne saurez où ils sont, il est utile que des parasites comme eux disparaissent de notre beau pays quand nous l’aurons réunifié.
Après, avec vos hommes, vous resterez ici pour aider ces gens à panser leurs plaies et à les protéger jusqu’à ce que vous soyez relevé.
C’est ainsi que cet homme a fait tourner bride à son cheval et a disparu de notre vue, un instant quand le lieutenant à parler de Nat, j’ai conscience que nous avons oublié de lui remettre ses vêtements, heureusement, gentleman, il ne dit rien.
Dans les heures qui ont suivi, j’enterrais père ainsi que mère.
Nos esclaves ont enterré leurs morts dont Thomas et Mama qui a rejoint son mari dans le cimetière à l’arrière du secteur ou sont leurs cases.
Les deux contremaîtres s’étant interposés en perdant la vie, tombant sous les premières balles des coups de feu que nous avions entendues, dans un coin des maîtres.
Le cas de Nat a été le plus difficile, j’ai pris une décision qui je le pensais aurait fait plaisir à mes noirs, je l’ai fait enterrer dans le carré des maîtres ou repose père, mère, grand-père que je n’ai pas connu.
Grand-père à ce que j’ai toujours entendu dire à créer notre plantation, il était encore plus dur avec ses esclaves que père, le nombre de leurs morts se remarque par le nombre de croix en bois dans leur cimetière.
Pour calmer tout le monde, il est enterré à côté des contremaîtres, c’est la première fois qu’un esclave est enterré là. »…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...