COLLECTION TRIOLISME. Incroyable (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2020 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION TRIOLISME. Incroyable (2/2)
- Regarde frérot, mâle ou femelle sous ce costume de Dingo et Clarabelle !
Tomber amoureux de Dingo, qui l’eût cru.
Certainement pas moi quand entrant dans cette soirée déguisée, moi D’Artagnan je vois ces deux personnes déguisées dans ces personnages de Disney.
C’est après avoir bu un verre que me rendant sur la terrasse, je l’aperçois que sous la tête de Dingo se cachait mon coup de cœur.
J’ai toujours été amoureux des blondes et celle-ci est particulièrement magnifique.
C’est chez elle que je lui enlève cet étrange costume plutôt handicapant.
Deuxième surprise de la soirée, Rosy, c’est ainsi que sa maman l’a appelée à sa naissance est encore vierge à 24 ans.
Je m’y prends avec douceur et j’arrive même à lui donner du plaisir dès la deuxième pénétration.
Rosy, institutrice en maternelle, part à son travail, après que je lui ai fait l’amour dans la cuisine.
Le soir, c’est dans un restaurant du centre où nous dînons.
Je la ramène chez elle.
- Je veux que tu passes encore la nuit avec moi.
- Sans aucun problème.
Après un bain en commun m’appliquant autant à la savonner qu’elle le fait avec moi.
Elle semble prendre plaisir à me caresser la queue qui comme de bien entendu réagi.
Face à face, je finis par l’asseoir sur ma bite qui la reçoit avec délice.
Elle s’accroche à mon cou, montant et descendant le long de ma hampe comme une morte de faim.
Je trouve ça normal, 24 ans à porter ce dont toutes les jeunes filles rêvent de perdre.
Leur pucelage avec le premier garçon restant pour la vie le premier.
Elle jouit.
Nous nous essuyons et regagnons son lit qui se laisse conquérir dans une nouvelle étreinte.
- Christian, j’ai un fantasme depuis que je me suis ouverte à la sexualité même si j’ai attendu 24 ans.
- Dis-moi si je peux te satisfaire.
- Serais-tu capable de me sodomiser ?
Je suis fort étonné qu’elle ait une telle demande, surtout que j’ai peur de lui faire mal.
Mais ce qu’une femme veut !
- Place-toi en levrette, je veux bien essayer.
Comme pour son dépucelage, millimètre par millimètre, j’entre dans sa rosette.
- Continu, je supporte, mon cerveau re-vie les images que je me faisais de me faire prendre comme une bête.
Merci.
Comme une bête dès que mes couilles touchent ses fesses.
A-t-elle un peu mal, car elle passe sa main entre ses cuisses et à chaque fois que je suis au fond de son conduit, je sens ses doigts sur son clito.
Est-ce ses doigts ou ma verge, en tout cas, elle jouit autant que moi quand je vois mon sperme débordé de son fondement.
Je la prends dans mes bras et je l’embrasse.
- Tu es un amant comme toute jeune fille rêverait d’en rencontrer un.
Voudrais-tu emménager avec moi, j’aurais trop peur de te perdre.
Un peu Tanguy sur les bords, quitter le nid douillet de mes parents, est loin de me déplaire même si cette cohabitation est pour un temps.
Mon sac de sport que je pose dès le lendemain sera facile à remplir et à emporter en cas d’incompatibilité entre nous.
- Merci d’être là, tu verras, je te ferais des petits plats.
Nous ferons du sport.
Tu garderas ces magnifiques plaquettes.
Eh oui, je suis beau gosse et au fil des jours, je prends mes marques.
Un détail pourtant, la sodomie.
Certains soirs, elle la réclame surtout étant en levrette et certains autres, sa main m’empêche que je la pénètre.
Mais je sais depuis longtemps en voyant les comportements de ma mère qu’une femme est souvent changeante, alors j’arrête là mon étonnement.
Un mercredi, jour de repos de Rosy, je vais jusque chez mes parents.
Mon sac de sport était grand, mais il me manque des sous-vêtements.
- Je regrette de te laisser manger seule ton jour de repos, mais quand tu connaîtras, maman, tu verras que je suis toujours son petit bébé.
- Soit sans crainte, je dois préparer mes derniers jours de classe avant les vacances.
Comme à son habitude, ma 2 chevaux me fait des misères, mais j’arrive à rejoindre l’autre bout de la ville.
La voiture est absente, maman semble être sortie.
C’est dans la cuisine que je trouve le mot me disant qu’elle a dû s’absenter la privant de ce repas avec moi.
Je retourne à mon point de départ.
Quand j’entre, surprise, une, deux.
Incroyable, j’ai devant moi la parfaite réplique de la première.
Qui est qui ?
- Christian, quand tu allais entrer un peu plus tard, nous venions de décider de tout te dire.
Nous sommes jumelles, ma sœur s’appelle Virginie !
C’est elle qui était déguisée en Clarabelle le jour de la soirée où nous nous sommes rencontrés.
- Tu rentres de voyage, Virginie !
- Je suis toujours restée là, j’habite dans la maison mitoyenne.
- Pourquoi te cacher, tu es aussi craquante que ta sœur ?
- Détrompe-toi, j’ai toujours été là, même avec toi.
Je suis abasourdi, à quel jeu jouent-elles ?
- Tu as droit à une explication.
Depuis toute petite, nous jouons à prendre la place de l’autre.
Un exemple simple.
Notre poste d’institutrice, suivant nos envies, l’une de nous est devant les enfants et une autre fois, c’est l’autre.
L’administration paye sans savoir qu’il y a supercherie.
- À quoi ça sert ?
- Nous écrivons un livre à quatre mains, racontant nos histoires.
Selon qui narre notre histoire, c’est l’une ou l’autre qui écrit dans la maison voisine.
- Vous avez fait pareil pour moi.
- À peu près.
Depuis toujours, du moins depuis notre adolescence, afin d’éviter de se déchirer pour un garçon, nous nous sommes promis de laisser la priorité à celle qui aurait remarqué l’homme de sa vie la première.
Quand nous t’avons vu, nous avons lâché les mêmes mots.
« C’est lui. »Nous étions piégés et sans la chance que tu sois venu près de moi sur ces marches dans ce déguisement ridicule, nous serions toujours vierges.
- Je crois comprendre !
- Tu comprends bien, quand tu m’as ramené, c’est moi Rosy que tu as dépucelée.
- Le lendemain matin, tu étais partie et c’est Virginie que j’ai a son tour dépucelé dans la cuisine.
C’est pour cela que j’ai eu du mal à entrer en toi le long de ce plan de travail !
- Oui, et c’est aussi moi qui accepte de se faire sodomiser alors que Rosy se refuse.
- Vous êtes barges les filles, mignonne, blonde mais barge.
- Tu vas nous quitter ?
- Je l’ignore, j’en aimais une, je crois que je me sens assez fort pour le faire avec deux.
Je vous le dis, les blondes me font craquer.
- Alors, tu restes, mais il y aura une limite.
- Depuis notre adolescence et nos premiers émois, nous refusons de dormir dans le même lit.
- Virginie a raison, partager un homme s’est fait sans problème, mais risquer de toucher le corps de ma sœur, c’est impossible.
Depuis le début de notre relation à trois, l’une ou l’autre suivant notre humeur nous passons par ce petit portillon bien utile et nous échangeons nos places à l’écriture ou près de toi.
Ces petites maisons ont été construites avant-guerre par notre grand-mère et sa sœur à leur mariage avec des jumeaux.
Nous ignorons si elles échangeaient leur place dans les couples.
Ces maisons avec ce petit portillon leur servaient pendant la résistance.
L’histoire veut que les Allemands à la suite d’une dénonciation soient venus à la maison de droite que nous allons te faire visiter et le couple est venu dans la maison de gauche échappant aux Allemands.
L’indic avait oublié de leur dire que c’était deux sœurs dans deux maisons.
- Belle histoire, la nôtre sera plus compliquée, deux femmes un homme, ça aura vite fait de jaser, nous serons considérés comme des pervers.
- Depuis que nous avons dans l’idée de t’aimer toutes les deux sans aucune jalousie, nous en discutons souvent ensemble quand tu nous quittes pour finir tes études.
- Études que j’ai terminées et que j’ai réussies.
Ma mère était absente d’où mon retour, mais une lettre était dans ma chambre, la voilà et je suis reçu, je suis officiellement architecte diplômé capable de bâtir des maisons sur des montagnes.
J’ai même un emploi dans le bureau ou j’ai passé mes stages et qui avaient besoin d’un collaborateur de plus.
Et qu’avez-vous trouvé ?
- Tu vois cette perruque brune sur la table.
À tour de rôle nous la porterons quand nous serons tous les trois dehors et ensemble à l’extérieur.
- Ici dans les maisons et sous la protection du portillon, nous resterons naturelles nous relayant près de toi.
- Je suis d’accord, laquelle des deux partages ma couche ce soir.
- C’est moi !
En cœur, je leur dirais bien celle qui se laisse sodomiser, mais à ce jour, j’ignore quand j’ai sodomisé la deuxième.
Chaque jour ou l’une ou l’autre dort avec moi dans la maison de droite, je peux les baisers sans qu’aucune des deux m’interdise leur petite entrée.
Avant de nous séparer le premier soir, nous avons testé le système de la perruque en nous rendant au restaurant fêter notre amour et notre arrangement.
Ça marche, les gens ont vu un couple très amoureux avec la sœur sage à leurs côtés.
Aujourd’hui, les choses semblent complètement caduques, nous sortons de chez leur gynéco.
Rosy attend un garçon et Virginie une fille.
Cette journée est très exceptionnelle.
J’ai été augmenté suite à un projet que je viens de finaliser.
Je vais avoir un garçon et une fille avec mes femmes qui dédicacent leur livre, premier au box-office de la littérature française en blonde toutes les deux.
Son titre.
« Notre vie à trois. »
Tomber amoureux de Dingo, qui l’eût cru.
Certainement pas moi quand entrant dans cette soirée déguisée, moi D’Artagnan je vois ces deux personnes déguisées dans ces personnages de Disney.
C’est après avoir bu un verre que me rendant sur la terrasse, je l’aperçois que sous la tête de Dingo se cachait mon coup de cœur.
J’ai toujours été amoureux des blondes et celle-ci est particulièrement magnifique.
C’est chez elle que je lui enlève cet étrange costume plutôt handicapant.
Deuxième surprise de la soirée, Rosy, c’est ainsi que sa maman l’a appelée à sa naissance est encore vierge à 24 ans.
Je m’y prends avec douceur et j’arrive même à lui donner du plaisir dès la deuxième pénétration.
Rosy, institutrice en maternelle, part à son travail, après que je lui ai fait l’amour dans la cuisine.
Le soir, c’est dans un restaurant du centre où nous dînons.
Je la ramène chez elle.
- Je veux que tu passes encore la nuit avec moi.
- Sans aucun problème.
Après un bain en commun m’appliquant autant à la savonner qu’elle le fait avec moi.
Elle semble prendre plaisir à me caresser la queue qui comme de bien entendu réagi.
Face à face, je finis par l’asseoir sur ma bite qui la reçoit avec délice.
Elle s’accroche à mon cou, montant et descendant le long de ma hampe comme une morte de faim.
Je trouve ça normal, 24 ans à porter ce dont toutes les jeunes filles rêvent de perdre.
Leur pucelage avec le premier garçon restant pour la vie le premier.
Elle jouit.
Nous nous essuyons et regagnons son lit qui se laisse conquérir dans une nouvelle étreinte.
- Christian, j’ai un fantasme depuis que je me suis ouverte à la sexualité même si j’ai attendu 24 ans.
- Dis-moi si je peux te satisfaire.
- Serais-tu capable de me sodomiser ?
Je suis fort étonné qu’elle ait une telle demande, surtout que j’ai peur de lui faire mal.
Mais ce qu’une femme veut !
- Place-toi en levrette, je veux bien essayer.
Comme pour son dépucelage, millimètre par millimètre, j’entre dans sa rosette.
- Continu, je supporte, mon cerveau re-vie les images que je me faisais de me faire prendre comme une bête.
Merci.
Comme une bête dès que mes couilles touchent ses fesses.
A-t-elle un peu mal, car elle passe sa main entre ses cuisses et à chaque fois que je suis au fond de son conduit, je sens ses doigts sur son clito.
Est-ce ses doigts ou ma verge, en tout cas, elle jouit autant que moi quand je vois mon sperme débordé de son fondement.
Je la prends dans mes bras et je l’embrasse.
- Tu es un amant comme toute jeune fille rêverait d’en rencontrer un.
Voudrais-tu emménager avec moi, j’aurais trop peur de te perdre.
Un peu Tanguy sur les bords, quitter le nid douillet de mes parents, est loin de me déplaire même si cette cohabitation est pour un temps.
Mon sac de sport que je pose dès le lendemain sera facile à remplir et à emporter en cas d’incompatibilité entre nous.
- Merci d’être là, tu verras, je te ferais des petits plats.
Nous ferons du sport.
Tu garderas ces magnifiques plaquettes.
Eh oui, je suis beau gosse et au fil des jours, je prends mes marques.
Un détail pourtant, la sodomie.
Certains soirs, elle la réclame surtout étant en levrette et certains autres, sa main m’empêche que je la pénètre.
Mais je sais depuis longtemps en voyant les comportements de ma mère qu’une femme est souvent changeante, alors j’arrête là mon étonnement.
Un mercredi, jour de repos de Rosy, je vais jusque chez mes parents.
Mon sac de sport était grand, mais il me manque des sous-vêtements.
- Je regrette de te laisser manger seule ton jour de repos, mais quand tu connaîtras, maman, tu verras que je suis toujours son petit bébé.
- Soit sans crainte, je dois préparer mes derniers jours de classe avant les vacances.
Comme à son habitude, ma 2 chevaux me fait des misères, mais j’arrive à rejoindre l’autre bout de la ville.
La voiture est absente, maman semble être sortie.
C’est dans la cuisine que je trouve le mot me disant qu’elle a dû s’absenter la privant de ce repas avec moi.
Je retourne à mon point de départ.
Quand j’entre, surprise, une, deux.
Incroyable, j’ai devant moi la parfaite réplique de la première.
Qui est qui ?
- Christian, quand tu allais entrer un peu plus tard, nous venions de décider de tout te dire.
Nous sommes jumelles, ma sœur s’appelle Virginie !
C’est elle qui était déguisée en Clarabelle le jour de la soirée où nous nous sommes rencontrés.
- Tu rentres de voyage, Virginie !
- Je suis toujours restée là, j’habite dans la maison mitoyenne.
- Pourquoi te cacher, tu es aussi craquante que ta sœur ?
- Détrompe-toi, j’ai toujours été là, même avec toi.
Je suis abasourdi, à quel jeu jouent-elles ?
- Tu as droit à une explication.
Depuis toute petite, nous jouons à prendre la place de l’autre.
Un exemple simple.
Notre poste d’institutrice, suivant nos envies, l’une de nous est devant les enfants et une autre fois, c’est l’autre.
L’administration paye sans savoir qu’il y a supercherie.
- À quoi ça sert ?
- Nous écrivons un livre à quatre mains, racontant nos histoires.
Selon qui narre notre histoire, c’est l’une ou l’autre qui écrit dans la maison voisine.
- Vous avez fait pareil pour moi.
- À peu près.
Depuis toujours, du moins depuis notre adolescence, afin d’éviter de se déchirer pour un garçon, nous nous sommes promis de laisser la priorité à celle qui aurait remarqué l’homme de sa vie la première.
Quand nous t’avons vu, nous avons lâché les mêmes mots.
« C’est lui. »Nous étions piégés et sans la chance que tu sois venu près de moi sur ces marches dans ce déguisement ridicule, nous serions toujours vierges.
- Je crois comprendre !
- Tu comprends bien, quand tu m’as ramené, c’est moi Rosy que tu as dépucelée.
- Le lendemain matin, tu étais partie et c’est Virginie que j’ai a son tour dépucelé dans la cuisine.
C’est pour cela que j’ai eu du mal à entrer en toi le long de ce plan de travail !
- Oui, et c’est aussi moi qui accepte de se faire sodomiser alors que Rosy se refuse.
- Vous êtes barges les filles, mignonne, blonde mais barge.
- Tu vas nous quitter ?
- Je l’ignore, j’en aimais une, je crois que je me sens assez fort pour le faire avec deux.
Je vous le dis, les blondes me font craquer.
- Alors, tu restes, mais il y aura une limite.
- Depuis notre adolescence et nos premiers émois, nous refusons de dormir dans le même lit.
- Virginie a raison, partager un homme s’est fait sans problème, mais risquer de toucher le corps de ma sœur, c’est impossible.
Depuis le début de notre relation à trois, l’une ou l’autre suivant notre humeur nous passons par ce petit portillon bien utile et nous échangeons nos places à l’écriture ou près de toi.
Ces petites maisons ont été construites avant-guerre par notre grand-mère et sa sœur à leur mariage avec des jumeaux.
Nous ignorons si elles échangeaient leur place dans les couples.
Ces maisons avec ce petit portillon leur servaient pendant la résistance.
L’histoire veut que les Allemands à la suite d’une dénonciation soient venus à la maison de droite que nous allons te faire visiter et le couple est venu dans la maison de gauche échappant aux Allemands.
L’indic avait oublié de leur dire que c’était deux sœurs dans deux maisons.
- Belle histoire, la nôtre sera plus compliquée, deux femmes un homme, ça aura vite fait de jaser, nous serons considérés comme des pervers.
- Depuis que nous avons dans l’idée de t’aimer toutes les deux sans aucune jalousie, nous en discutons souvent ensemble quand tu nous quittes pour finir tes études.
- Études que j’ai terminées et que j’ai réussies.
Ma mère était absente d’où mon retour, mais une lettre était dans ma chambre, la voilà et je suis reçu, je suis officiellement architecte diplômé capable de bâtir des maisons sur des montagnes.
J’ai même un emploi dans le bureau ou j’ai passé mes stages et qui avaient besoin d’un collaborateur de plus.
Et qu’avez-vous trouvé ?
- Tu vois cette perruque brune sur la table.
À tour de rôle nous la porterons quand nous serons tous les trois dehors et ensemble à l’extérieur.
- Ici dans les maisons et sous la protection du portillon, nous resterons naturelles nous relayant près de toi.
- Je suis d’accord, laquelle des deux partages ma couche ce soir.
- C’est moi !
En cœur, je leur dirais bien celle qui se laisse sodomiser, mais à ce jour, j’ignore quand j’ai sodomisé la deuxième.
Chaque jour ou l’une ou l’autre dort avec moi dans la maison de droite, je peux les baisers sans qu’aucune des deux m’interdise leur petite entrée.
Avant de nous séparer le premier soir, nous avons testé le système de la perruque en nous rendant au restaurant fêter notre amour et notre arrangement.
Ça marche, les gens ont vu un couple très amoureux avec la sœur sage à leurs côtés.
Aujourd’hui, les choses semblent complètement caduques, nous sortons de chez leur gynéco.
Rosy attend un garçon et Virginie une fille.
Cette journée est très exceptionnelle.
J’ai été augmenté suite à un projet que je viens de finaliser.
Je vais avoir un garçon et une fille avec mes femmes qui dédicacent leur livre, premier au box-office de la littérature française en blonde toutes les deux.
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