COLLECTION TRIOLISME. La copine de ma femme (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2410 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 038 190 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2018 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 10 622 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION TRIOLISME. La copine de ma femme (1/1)
Il y a cinq ans, j’ai épousé Ludivine, elle avait vingt-cinq ans moi trente, à cet âge, elle m’a dit qu’elle était vierge de tout rapport avec les hommes, n’ayant pas trouvé celui qui serait capable de lui apporter le plaisir, mais surtout le bonheur.
J’ai ramé presque un an avant qu’elle accepte de m’épouser, j’ai bien senti que sa vie d’avant était sa vie à elle et j’ai toujours fermé ma gueule, de peur de la perdre, les rares fois où j’avais des avancées dans nos rapports.
Et un jour, robe blanche, bouquet, beau-père, belle-mère sans oublier le cousin un peu, non beaucoup bourré.
• Elle a enfin trouvé chaussure à son pied, la cousine, je croyais que c’était une brouteuse de gazon à vie.
Brouteuse de gazon, vu son métier, elle a une entreprise dans la région parisienne qui fabrique des programmes informatiques, y a-t-il un rapport avec les mots de cet ivrogne, j’en doute, mais comme mon beau-père passe par là, je lui attrape le bras.
• Romain, tu m’excuses, j’ai quelque chose à demander à mon beau-père.
• Demande-lui pour le gazon, c’est un secret de famille, mais je pense que tu es en droit de savoir.
Tous ces mots dits de manière incertaine.
• Christian, je peux vous parler !
• J’allais pisser un coup, le champagne, ça fini par ressortir à un moment ou à un autre.
• Au moins, vous parlez sans l’impression que vous êtes bourré.
• Je vois, je vous sers d’alibi pour fuir le cousin, Romain, quand il a bu, c’est impressionnant les conneries qu’il peut sortir.
• Vous êtes dans le vrai Christian, j’ignore ce qu’il a voulu me dire, il m’a parlé de gazon, a-t-il voulu me parler de votre pelouse, je sais que vous l’entretenez avec amour.
• Laisse tomber trois choses, le cousin, le vouvoiement et surtout les Christian, j’ai horreur de mon nom depuis que dans mes années de jeunesse, un acteur dans un feuilleton qui passait tous les jours avait comme surnom Chris Chris d’amour.
Je ne pouvais pas faire trois pas sans que j’entende Chris Chris d’amour par si, Chris Chris d’amour par là, bref une overdose, c’est la période où je fréquentais ma femme, avant que je l’épouse et que Ludivine vienne au monde.
Je n’ai même pas pu draguer les filles, les Christian les tombaient toutes grâce à ce surnom, tu as vu ce que j’ai récupéré.
• Arrête, les copains m’ont toujours dit avant d’épouser ta femme, regarde sa mère, j’ai regardé, j’ai trouvé cela pas mal à cinquante ans, ta femme sait se tenir.
• En façade, mais l’intérieur est bien différent, pour le nom, appel moi Christopher, j’ai pris ce nom dans notre période américaine, nous sommes restés à New York jusqu’à ce que Ludivine ait 22 ans, elle a souhaité nous suivre quand nous sommes rentrés.
• Un chagrin d’amour ?
• C’est ce que nous savons, mais retournons vers nos femmes, je te rappelle que tu as passé une bague au doigt à ma fille, tu vas devoir assumer dans peu de temps.
J’ai été heureux d’avoir cette conversation avec toi, Jules, tu me débarrasses de ma fille, je resterais à jamais ton débiteur.
C’est ainsi que la fête presque terminée, nous nous échappons vers l’hôtel quatre-étoiles, dans ce coin de Normandie, les cinq étant trop loin, j’ai pris Ludivine dans mes bras pour lui faire passer le seuil de notre chambre.
• Embrasse-moi, j’adore embrasser.
J’ai failli lui dire qui, mais j’ai su me retenir, je l’ai posé sur le lit, elle soulève sa robe blanche, arrache son string et me fourre sa chatte sur ma bouche, en me tirant par la tête.
• Lèche-moi bien, broute-moi à fond, oui, continus longtemps.
Un temps infini, je lui passe ma langue sur la chatte, elle se soulève les jambes et j’arrive à aller jusqu’à son anus, je bande à en avoir mal, mais elle joui et j’ai l’impression de rester en rade.
Je lui ôte sa robe, elle se laisse faire, comme absente, elle est tellement bandante que de suite, je rebande, avant qu’elle prenne la moindre initiative, je me couche sur elle et je la pénètre.
Bizarrement, à partir de ce moment, Ludivine s'est laissé faire et a répondu à toutes mes sollicitations, on aurait dit que cette première pénétration l’avait libéré et qu’elle était devenue une fille normale et aimante sexuellement.
Les années ont passé dans cette douce harmonie, jusqu’à ce que son portable sonne alors que nous regardions la télévision, j’avais la moitié de la conversation, voilà ce que j’ai entendu.
• Ashley, c’est toi, d’où me téléphones-tu ?
• De New-york tu arrives à Roissy demain par le vol de 17 heures 30, tu veux savoir si on peut te recevoir, attends, je demande à Jules.
• Oui, c’est le nom de mon mari, c’est vrai aux USA, les Jules, ce n’est pas courant, tu verras il est très gentil, Jules, c’est Ashley une copine d’enfance américaine, elle vient vivre à Paris, peut-elle habiter chez nous le temps de trouver ou se loger.
Je suis gentil, heureusement que je ne mords pas.
• Excuse-le, il regarde un match de football, non foot européen pas américain.
• Soccer, c’est ça, la France gagne un à 0, il me fait oui de la tête, pas de souci, nous serons à Roissy au terminal d’arrivée à demain.
C’est comme cela que nous sommes allés chercher la copine de jeunesse de Ludivine le lendemain avant de la ramener chez nous.
Tout a été normal jusqu’au troisième jour, nous regardions la télé après avoir pris notre bain et être comme tous les soirs en tenue de nuit.
J’étais dans mon fauteuil, Ashley allongée sur le canapé, la copine de ma femme était en nuisette, mais avait un slip la rendant présentable, seuls ses seins dans son léger tissu auraient pu me faire bander.
Ludivine est arrivée de la salle de bains dans une nuisette identique, Ashley s’est poussée et ma femme est venue se lover contre elle.
Je voyais que Ludivine contrairement à sa copine avait sa chatte libre de toute entrave, je voyais sa toison brune, ça m’a fait bander, mais le film était prenant et elles regardaient avec beaucoup d’attentions.
Je regardais ce qui se passait sur l’écran, mais aussi sur le canapé, sans qu’elle semble le faire avec attention, Ludivine a déplacé sa main et l’a posée sur le sein d’Ashley, la situation est restée comme ça quelques minutes ou sur l’écran, le tueur est arrivé derrière sa victime et lui a tranché la gorge.
Dans un même cri, les deux femmes ont montré leur peur, Ludivine a relevé la tête légèrement plus basse et elles se sont embrassées, pas un baisé de cinéma, j’étais fasciné, ma femme avait l’air très intime avec Ashley.
Il était impossible que ce soit le tueur qui est déclenché ce que je voyais, elles s’embrassaient à pleine bouche surtout quand l’américaine a placé sa main dans la fourche de ma femme.
Je l’entendais glousser, le doigt est entré dans le vagin de Ludivine qui n’a rien fait pour le faire ressortir, au contraire, elle a écarté ses cuisses et rapidement trois doigts étaient en elle.
À la longueur de leur baiser, j’étais largué, je bandais ayant irrémédiablement quitté la télé des yeux, le spectacle sur le canapé était plus prenant que cet assassin surtout que j’avais déjà vu ce film et que c'était l’inspecteur qui était le tueur en série.
Ludivine comme elle était placée, a quitté la bouche de notre amie pour venir à la hauteur de son sexe, rapidement les coups de langue mouillée qu’elle lui prodigue ont rendu transparente la petite culotte.
Chaque fois qu’elle s’écarte pour reprendre son souffle et regarder de nouveau avec amour les yeux de celle qui semblait déjà être sa maîtresse, avant ce soir, sa fente bien marquée et entièrement rasée m’apparaît.
• Je t’aime.
• Moi aussi, on a été bête de nous séparer pour une petite baliverne, je t’aime.
J’étais fasciné, je regardais ma femme faire l’amour avec une autre femme, c’est à ce moment que l’histoire du cousin parlant de gazon m’est revenue en mémoire, j’avais épousé une gouine et tous dans sa famille semblaient être au courant.
Le temps que cette pensée m’assaille, les deux cochonnes ont un orgasme simultané.
Je me suis retrouvé en panne, les deux femmes se sont endormies repues par l'acte sexuel qu’elles m’avaient offert, je n’osais bouger jusqu’à ce que Ludivine ouvre un œil.
Me voyant, elle s’est dégagée sans la réveiller et venir jusqu’à moi, se plaçant entre mes pieds.
• Chéri, excuse-nous, ça été plus fort que nous, nous avons retrouvé nos vingt ans, le soir de ma nuit de noces, j’ai bien vu que tu trouvais anormal que je te fasse sucer ma chatte aussi longtemps que tu l’as fait.
Je craignais la pénétration, avec Ashley, c’est à notre puberté qu’un soir nous avons découvert notre sexualité et rapidement l’amour que nous avions l’une pour l’autre.
Je ne t’ai pas menti quand je t’ai dit être vierge avant notre mariage, Ashley avait enlevé mon hymen avec sa main, mais ta verge est la première à m’avoir prise, c’est pour cela que j’étais hésitante.
Merci de m’avoir un peu forcé à devenir une femme aimant les hommes, mais aussi cette femme.
• Pourquoi, vous êtes vous séparez, si vous vous aimiez, ce sont tes parents qui ont insisté pour vous séparer et te ramener en France ?
• Non, j’aurais pu rester, mais Ashley venait de me trahir.
• Te trahir, quel grand mot.
• Tu ne peux pas comprendre, elle venait de m’avouer avoir couché avec un homme.
• À la grosse trahison, vous vous aimiez !
• Que penses-tu faire, je vois que vous avez renoué vos pratiques d’antan.
• Impossible, je t’aime aussi, je vais te le prouver, j’ai toujours refusé de te sucer, laisse-moi faire.
C’est ainsi que ma femme baisse mon boxer que je porte quand je regarde la télé et m’engame jusqu’aux couilles.
Première fellation de sa part, c’est à ce moment que je vois qu’Ashley a ouvert les yeux et qu’elle regarde sa copine, amie, maîtresse, je ne sais pas comment dire, elle se lève et approche.
Elle s’agenouille et a un mouvement pour approcher sa bouche à hauteur de celle de Ludivine, elle quitte ma verge.
• Non Ashley, c’est mon homme, je suis sûr qu’il va accepter que nous vivions tous les trois ensemble, mais à aucun moment, il ne doit y avoir de contact entre vous.
Sinon, je serais obligé de vous quitter tous les deux, je vous aime autant l’un l’autre, je suis incapable de choisir entre l’un et l’autre.
Ashley, viens me brouter le gazon pendant que je suce mon mari.
Brouter le gazon, les mots sont lâchés, ça fait deux ans que nous avons acheté un grand lit et que nous sommes deux couples vivant à trois.
Ludivine m’a donné Jules mon fils, il est chez mes beaux-parents, nous prenons l’avion pour New york, nous avons rendez-vous pour une PMA où je serais le donneur de sperme.
Nous avons trouvé l’équilibre entre nos deux couples, j’aurais un peu touché Ashley par mes spermatozoïdes et bientôt par nos enfants.
J’ai ramé presque un an avant qu’elle accepte de m’épouser, j’ai bien senti que sa vie d’avant était sa vie à elle et j’ai toujours fermé ma gueule, de peur de la perdre, les rares fois où j’avais des avancées dans nos rapports.
Et un jour, robe blanche, bouquet, beau-père, belle-mère sans oublier le cousin un peu, non beaucoup bourré.
• Elle a enfin trouvé chaussure à son pied, la cousine, je croyais que c’était une brouteuse de gazon à vie.
Brouteuse de gazon, vu son métier, elle a une entreprise dans la région parisienne qui fabrique des programmes informatiques, y a-t-il un rapport avec les mots de cet ivrogne, j’en doute, mais comme mon beau-père passe par là, je lui attrape le bras.
• Romain, tu m’excuses, j’ai quelque chose à demander à mon beau-père.
• Demande-lui pour le gazon, c’est un secret de famille, mais je pense que tu es en droit de savoir.
Tous ces mots dits de manière incertaine.
• Christian, je peux vous parler !
• J’allais pisser un coup, le champagne, ça fini par ressortir à un moment ou à un autre.
• Au moins, vous parlez sans l’impression que vous êtes bourré.
• Je vois, je vous sers d’alibi pour fuir le cousin, Romain, quand il a bu, c’est impressionnant les conneries qu’il peut sortir.
• Vous êtes dans le vrai Christian, j’ignore ce qu’il a voulu me dire, il m’a parlé de gazon, a-t-il voulu me parler de votre pelouse, je sais que vous l’entretenez avec amour.
• Laisse tomber trois choses, le cousin, le vouvoiement et surtout les Christian, j’ai horreur de mon nom depuis que dans mes années de jeunesse, un acteur dans un feuilleton qui passait tous les jours avait comme surnom Chris Chris d’amour.
Je ne pouvais pas faire trois pas sans que j’entende Chris Chris d’amour par si, Chris Chris d’amour par là, bref une overdose, c’est la période où je fréquentais ma femme, avant que je l’épouse et que Ludivine vienne au monde.
Je n’ai même pas pu draguer les filles, les Christian les tombaient toutes grâce à ce surnom, tu as vu ce que j’ai récupéré.
• Arrête, les copains m’ont toujours dit avant d’épouser ta femme, regarde sa mère, j’ai regardé, j’ai trouvé cela pas mal à cinquante ans, ta femme sait se tenir.
• En façade, mais l’intérieur est bien différent, pour le nom, appel moi Christopher, j’ai pris ce nom dans notre période américaine, nous sommes restés à New York jusqu’à ce que Ludivine ait 22 ans, elle a souhaité nous suivre quand nous sommes rentrés.
• Un chagrin d’amour ?
• C’est ce que nous savons, mais retournons vers nos femmes, je te rappelle que tu as passé une bague au doigt à ma fille, tu vas devoir assumer dans peu de temps.
J’ai été heureux d’avoir cette conversation avec toi, Jules, tu me débarrasses de ma fille, je resterais à jamais ton débiteur.
C’est ainsi que la fête presque terminée, nous nous échappons vers l’hôtel quatre-étoiles, dans ce coin de Normandie, les cinq étant trop loin, j’ai pris Ludivine dans mes bras pour lui faire passer le seuil de notre chambre.
• Embrasse-moi, j’adore embrasser.
J’ai failli lui dire qui, mais j’ai su me retenir, je l’ai posé sur le lit, elle soulève sa robe blanche, arrache son string et me fourre sa chatte sur ma bouche, en me tirant par la tête.
• Lèche-moi bien, broute-moi à fond, oui, continus longtemps.
Un temps infini, je lui passe ma langue sur la chatte, elle se soulève les jambes et j’arrive à aller jusqu’à son anus, je bande à en avoir mal, mais elle joui et j’ai l’impression de rester en rade.
Je lui ôte sa robe, elle se laisse faire, comme absente, elle est tellement bandante que de suite, je rebande, avant qu’elle prenne la moindre initiative, je me couche sur elle et je la pénètre.
Bizarrement, à partir de ce moment, Ludivine s'est laissé faire et a répondu à toutes mes sollicitations, on aurait dit que cette première pénétration l’avait libéré et qu’elle était devenue une fille normale et aimante sexuellement.
Les années ont passé dans cette douce harmonie, jusqu’à ce que son portable sonne alors que nous regardions la télévision, j’avais la moitié de la conversation, voilà ce que j’ai entendu.
• Ashley, c’est toi, d’où me téléphones-tu ?
• De New-york tu arrives à Roissy demain par le vol de 17 heures 30, tu veux savoir si on peut te recevoir, attends, je demande à Jules.
• Oui, c’est le nom de mon mari, c’est vrai aux USA, les Jules, ce n’est pas courant, tu verras il est très gentil, Jules, c’est Ashley une copine d’enfance américaine, elle vient vivre à Paris, peut-elle habiter chez nous le temps de trouver ou se loger.
Je suis gentil, heureusement que je ne mords pas.
• Excuse-le, il regarde un match de football, non foot européen pas américain.
• Soccer, c’est ça, la France gagne un à 0, il me fait oui de la tête, pas de souci, nous serons à Roissy au terminal d’arrivée à demain.
C’est comme cela que nous sommes allés chercher la copine de jeunesse de Ludivine le lendemain avant de la ramener chez nous.
Tout a été normal jusqu’au troisième jour, nous regardions la télé après avoir pris notre bain et être comme tous les soirs en tenue de nuit.
J’étais dans mon fauteuil, Ashley allongée sur le canapé, la copine de ma femme était en nuisette, mais avait un slip la rendant présentable, seuls ses seins dans son léger tissu auraient pu me faire bander.
Ludivine est arrivée de la salle de bains dans une nuisette identique, Ashley s’est poussée et ma femme est venue se lover contre elle.
Je voyais que Ludivine contrairement à sa copine avait sa chatte libre de toute entrave, je voyais sa toison brune, ça m’a fait bander, mais le film était prenant et elles regardaient avec beaucoup d’attentions.
Je regardais ce qui se passait sur l’écran, mais aussi sur le canapé, sans qu’elle semble le faire avec attention, Ludivine a déplacé sa main et l’a posée sur le sein d’Ashley, la situation est restée comme ça quelques minutes ou sur l’écran, le tueur est arrivé derrière sa victime et lui a tranché la gorge.
Dans un même cri, les deux femmes ont montré leur peur, Ludivine a relevé la tête légèrement plus basse et elles se sont embrassées, pas un baisé de cinéma, j’étais fasciné, ma femme avait l’air très intime avec Ashley.
Il était impossible que ce soit le tueur qui est déclenché ce que je voyais, elles s’embrassaient à pleine bouche surtout quand l’américaine a placé sa main dans la fourche de ma femme.
Je l’entendais glousser, le doigt est entré dans le vagin de Ludivine qui n’a rien fait pour le faire ressortir, au contraire, elle a écarté ses cuisses et rapidement trois doigts étaient en elle.
À la longueur de leur baiser, j’étais largué, je bandais ayant irrémédiablement quitté la télé des yeux, le spectacle sur le canapé était plus prenant que cet assassin surtout que j’avais déjà vu ce film et que c'était l’inspecteur qui était le tueur en série.
Ludivine comme elle était placée, a quitté la bouche de notre amie pour venir à la hauteur de son sexe, rapidement les coups de langue mouillée qu’elle lui prodigue ont rendu transparente la petite culotte.
Chaque fois qu’elle s’écarte pour reprendre son souffle et regarder de nouveau avec amour les yeux de celle qui semblait déjà être sa maîtresse, avant ce soir, sa fente bien marquée et entièrement rasée m’apparaît.
• Je t’aime.
• Moi aussi, on a été bête de nous séparer pour une petite baliverne, je t’aime.
J’étais fasciné, je regardais ma femme faire l’amour avec une autre femme, c’est à ce moment que l’histoire du cousin parlant de gazon m’est revenue en mémoire, j’avais épousé une gouine et tous dans sa famille semblaient être au courant.
Le temps que cette pensée m’assaille, les deux cochonnes ont un orgasme simultané.
Je me suis retrouvé en panne, les deux femmes se sont endormies repues par l'acte sexuel qu’elles m’avaient offert, je n’osais bouger jusqu’à ce que Ludivine ouvre un œil.
Me voyant, elle s’est dégagée sans la réveiller et venir jusqu’à moi, se plaçant entre mes pieds.
• Chéri, excuse-nous, ça été plus fort que nous, nous avons retrouvé nos vingt ans, le soir de ma nuit de noces, j’ai bien vu que tu trouvais anormal que je te fasse sucer ma chatte aussi longtemps que tu l’as fait.
Je craignais la pénétration, avec Ashley, c’est à notre puberté qu’un soir nous avons découvert notre sexualité et rapidement l’amour que nous avions l’une pour l’autre.
Je ne t’ai pas menti quand je t’ai dit être vierge avant notre mariage, Ashley avait enlevé mon hymen avec sa main, mais ta verge est la première à m’avoir prise, c’est pour cela que j’étais hésitante.
Merci de m’avoir un peu forcé à devenir une femme aimant les hommes, mais aussi cette femme.
• Pourquoi, vous êtes vous séparez, si vous vous aimiez, ce sont tes parents qui ont insisté pour vous séparer et te ramener en France ?
• Non, j’aurais pu rester, mais Ashley venait de me trahir.
• Te trahir, quel grand mot.
• Tu ne peux pas comprendre, elle venait de m’avouer avoir couché avec un homme.
• À la grosse trahison, vous vous aimiez !
• Que penses-tu faire, je vois que vous avez renoué vos pratiques d’antan.
• Impossible, je t’aime aussi, je vais te le prouver, j’ai toujours refusé de te sucer, laisse-moi faire.
C’est ainsi que ma femme baisse mon boxer que je porte quand je regarde la télé et m’engame jusqu’aux couilles.
Première fellation de sa part, c’est à ce moment que je vois qu’Ashley a ouvert les yeux et qu’elle regarde sa copine, amie, maîtresse, je ne sais pas comment dire, elle se lève et approche.
Elle s’agenouille et a un mouvement pour approcher sa bouche à hauteur de celle de Ludivine, elle quitte ma verge.
• Non Ashley, c’est mon homme, je suis sûr qu’il va accepter que nous vivions tous les trois ensemble, mais à aucun moment, il ne doit y avoir de contact entre vous.
Sinon, je serais obligé de vous quitter tous les deux, je vous aime autant l’un l’autre, je suis incapable de choisir entre l’un et l’autre.
Ashley, viens me brouter le gazon pendant que je suce mon mari.
Brouter le gazon, les mots sont lâchés, ça fait deux ans que nous avons acheté un grand lit et que nous sommes deux couples vivant à trois.
Ludivine m’a donné Jules mon fils, il est chez mes beaux-parents, nous prenons l’avion pour New york, nous avons rendez-vous pour une PMA où je serais le donneur de sperme.
Nous avons trouvé l’équilibre entre nos deux couples, j’aurais un peu touché Ashley par mes spermatozoïdes et bientôt par nos enfants.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...