COLLECTION VENGEANCE. Elle se mange froide (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Elle se mange froide (3/3)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Coralie :
Il y a quelques heures que je suis nue dans ce qu’il semble être une cave aménagée par Jean mon beau-père à qui j’ai fait faire 3 ans 6 jours et 10 heures de prison pensant protéger maman de ses maltraitances.
Je me suis peut-être trompée, au tribunal maman est venue le défendre disant au juge que ce n’était que des jeux érotiques.
Ma mise en scène a été si efficace qu’il a balayé ses arguments prenant en compte que les faits que je lui avais rapportés.
Cinq ans, c’est la peine qui lui est assignée.
Je l’avais oublié quand il se rappel à mon bon souvenir en me séquestrant dans cette cave.
Il y a quelques jours qu’il me prostitue à ce qui semble être des hommes de tout genre et de tout âge sorti des geôles françaises.
Enfermé 3 ans 6 jours 10 heures, il me promet le même temps enfermée dans ce trou d’une grande propreté pour autant.
Pour en sortir, j’ai essayé la grève de la faim, je n’ai pas tenu deux jours.
Il faut dire que le plateau-repas est succulent.
J’ai tenté le suicide projetant la carafe d’eau que j’avais demandé contre le mur, là encore sans succès, la porte s’étant ouverte presque immédiatement et j’avais ramassé les deux baffes qui semblent m’être destiné.
Ultime tentative, le client !
Je dis bien le client, jeune homme que je reçois seule mes tortionnaires n’hésitant pas à me livrer à cinq hommes à la fois.
Je sens que si c’est un ex-tolar, c’est un jeune homme qui a dû se faire embarquer contre son gré et que c’est un garçon ayant de l’éducation.
Je lui propose de prévenir la police et que je serais à lui le temps qui le voudra.
Le temps passe, la porte s’ouvre, je suis persuadée que c’est la police.
Et je me ramasse deux nouvelles baffes dans la gueule me faisant valser au sol.
Mon Dieu qu’il cogne fort, pourtant le même jour, je découvre son côté féminin dans ce corps de brute.
La porte s’ouvre et ils sont là tous les deux, joli couple d’homosexuelles car la chatte à l’air ne semble pas être leur centre d’intérêt.
L’homme à claques toujours cagoulé a des gants de ménagère.
Ils me mettent accroupie dans l’un des coins de ma cellule car même si je n’ai aucun barreau autour de moi, j’ai bien conscience que je suis dans une prison pour le même temps que celui passé par mon beau-père dans la sienne.
Une vraie fée du logis, toujours sans un mot, il entre et il sort au gré du nettoyage qu’il fait.
Sa tantouse reste à la porte, mais je ne vois pas ce qu’il y a derrière.
La serpillière passée, je pense qu’il en a terminé, mais c’est mal connaître doigts de fée, du moins c’est ainsi qu’à partir de ce jour je le surnomme.
Il arrive avec tout le nécessaire d’une coiffeuse à domicile et se met à me refaire la tête.
L’autre vient à moi m’empoigne par les cheveux sans ménagement.
S’ils sont en couple, qui est l’homme qui est la femme, je cherche encore car doigts de fée est musculeux alors que celui sans surnom est plus efféminé mais semble plus pervers.
- Pas si cour, j’aime que les cheveux retombent sur mes épaules.
Je lui dis cela me regardant dans la glace qu’il a posé sur la table.
Encore une, pourtant je la vois partir mais il est plus rapide que moi et je tombe de ma chaise.
J’ai une nouvelle fois compris, je ferme ma gueule à partir de ce moment-là.
Il me fait signe de m’allonger sur mon lit, c’est ma chatte qu’il rectifie.
J’ai l’impression d’une mariée se préparent pour ses noces.
Dès le soir, plateau et trois clients me rappellent à ma réalité, je suis là outre pour assouvir ces hommes, surtout pour assouvir la vengeance de Jean, celui que j’ai fait enfermer.
Dans les jours qui ont suivi, je constate une chose bizarre.
J’ai l’impression d’avoir encore l’estomac plein quand mon plateau arrive.
Certes le sperme que l’on me fait ingurgiter doit y être pour beaucoup surtout certains soirs les clients étant légion.
Mon bourreau veut-il me punir très sévèrement et me faire plusieurs séances de passes dans la même journée.
La liste d’attente pour venir me baiser s’allonge-t-elle au point de me faire faire des heures supplémentaires !
Rapidement je l’ignore car le temps enfermé sans jamais sortir n’a pas la même valeur que lorsque ma vie se déroulait de façon normal.
Une autre fois et les choses se sont renouvelées on m’a remis la cagoule sur ma tête.
Toute la soirée, pardons, j’ignore l'heure réelle, tout le temps où l’homme a été là j’ai été baiser sans savoir qui il était.
J’ai de gros doute que ce ne soit pas Jean qui vienne se servir de la bête trompant par la même occasion ma mère.
Ma bouche est libre et je reçois du sperme à grande giclée.
Un jour on me met une cagoule et je suis tirée vers l’extérieur de ma cellule, vais-je prendre l’air ou mon calvaire va s’arrêter ?
On me sort, la brise que je sens sur mes seins et ma chatte.
Hier doigts de fée est venus me faire désirable.
Je me suis vue dans sa glace, je deviens plus pulpeuse, plus plantureuse.
Le temps que je me regarde, je prends les deux traditionnelles baffes me faisant tomber sur mon cul, par chance sur la chaise.
On roule, roule et roule encore.
On m’a attaché une main en l’air par une menotte, certainement à la poignée au-dessus des portes des voitures.
On s’arrête, on me détache et la voiture repart.
J’attends transie.
Je finis par enlever ma cagoule.
« Bar » en lettre lumineuse.
J’avance vers la porte où un Juda permet de voir qui a sonné.
- Qu’est-ce que vous cherchez ?
- Laissez-moi entrer, j’ai été enlevé.
La porte s’ouvre, une femme ayant environ l’âge de ma mère se tient devant moi.
- Ça, ce n’est pas banal, des putes j’en ai vu dans ma chienne de vie.
J’en ai trois en haut qui attendent le client.
Mais une qui vient directement nue, je n’en ai jamais eu.
Elle me fait entrer, dans le bar trois filles sans client.
J’explique mon histoire, la patronne téléphone à la police.
Elle me prête des fringues sorties de son armoire et quand la police arrive je suis décente.
Rebelote avec les flics, après être revenue du commissariat, je reste chez la tenancière du bar à pute.
Je n’ai ni argent, ni endroit où aller après avoir appris que je suis en Belgique là où ce genre de bar est autorisé.
Je suis convoquée dans les jours suivants.
- Coralie, ça ne va pas recommencer, pourquoi m’accuses-tu de t’avoir prostitué ?
- Ne rigole pas Jean tu te souviens 3 ans, 6 mois, 10 heures.
Tout ce temps, j’ai été enfermé dans une cave à ta merci.
- Mademoiselle, où et quand, vous pouvez nous aider pour vérifier vos dires ?
Je ne peux pas, bien sûr et mon beau-père est libéré.
Tous les jours pendant quatre ans, il a profité de l’argent gagné et de maman en faisant le tour de l’Europe en camping-car.
De nombreux amis connus au moment de sa détention ont reçu des cartes postales signées de sa main, le cachet de la poste faisant foi.
Les policiers n’étant pas cons, du moins le croyais-je, ont appelé leurs homologues qui ont pu vérifier les détails qu’il leur a donnés.
On a montré sa photo et de nombreuses personnes ont reconnu l’homme qui était venu acheter ou poster ces cartes.
Seuls trous dans son emploi du temps n’en faisant pas un suspect pour autant peuvent corresponde aux jours où l’on me passait une cagoule et qu’un homme venait me baiser.
Il est donc libéré et je fais chou blanc.
Dans le couloir, il me dit « ça se mange froid ».
Je sais qu’il parle de sa vengeance.
En sortant du commissariat, il monte dans une grosse BMV où j’ai le temps de voir maman à ses côtés.
C’est à ce jour la dernière fois que je les vois.
- Vous êtes libre mademoiselle !
J’ai commencé à baiser avec mon beau-père à 18 ans, j’ai vécu quelque temps avec Gorges me laissant entretenir !
3 ans 6 mois dans ma cave à tapiner, j’ai 26 ans demain.
À part faire la pute que sais-je faire ?
Ce client est celui que je vais monter dans le bar à pute là où j’ai été libéré, la patronne cherchant une fille connaissant très bien le métier.
Ne suis-je pas la candidate la plus expérimentée !!
Coralie :
Il y a quelques heures que je suis nue dans ce qu’il semble être une cave aménagée par Jean mon beau-père à qui j’ai fait faire 3 ans 6 jours et 10 heures de prison pensant protéger maman de ses maltraitances.
Je me suis peut-être trompée, au tribunal maman est venue le défendre disant au juge que ce n’était que des jeux érotiques.
Ma mise en scène a été si efficace qu’il a balayé ses arguments prenant en compte que les faits que je lui avais rapportés.
Cinq ans, c’est la peine qui lui est assignée.
Je l’avais oublié quand il se rappel à mon bon souvenir en me séquestrant dans cette cave.
Il y a quelques jours qu’il me prostitue à ce qui semble être des hommes de tout genre et de tout âge sorti des geôles françaises.
Enfermé 3 ans 6 jours 10 heures, il me promet le même temps enfermée dans ce trou d’une grande propreté pour autant.
Pour en sortir, j’ai essayé la grève de la faim, je n’ai pas tenu deux jours.
Il faut dire que le plateau-repas est succulent.
J’ai tenté le suicide projetant la carafe d’eau que j’avais demandé contre le mur, là encore sans succès, la porte s’étant ouverte presque immédiatement et j’avais ramassé les deux baffes qui semblent m’être destiné.
Ultime tentative, le client !
Je dis bien le client, jeune homme que je reçois seule mes tortionnaires n’hésitant pas à me livrer à cinq hommes à la fois.
Je sens que si c’est un ex-tolar, c’est un jeune homme qui a dû se faire embarquer contre son gré et que c’est un garçon ayant de l’éducation.
Je lui propose de prévenir la police et que je serais à lui le temps qui le voudra.
Le temps passe, la porte s’ouvre, je suis persuadée que c’est la police.
Et je me ramasse deux nouvelles baffes dans la gueule me faisant valser au sol.
Mon Dieu qu’il cogne fort, pourtant le même jour, je découvre son côté féminin dans ce corps de brute.
La porte s’ouvre et ils sont là tous les deux, joli couple d’homosexuelles car la chatte à l’air ne semble pas être leur centre d’intérêt.
L’homme à claques toujours cagoulé a des gants de ménagère.
Ils me mettent accroupie dans l’un des coins de ma cellule car même si je n’ai aucun barreau autour de moi, j’ai bien conscience que je suis dans une prison pour le même temps que celui passé par mon beau-père dans la sienne.
Une vraie fée du logis, toujours sans un mot, il entre et il sort au gré du nettoyage qu’il fait.
Sa tantouse reste à la porte, mais je ne vois pas ce qu’il y a derrière.
La serpillière passée, je pense qu’il en a terminé, mais c’est mal connaître doigts de fée, du moins c’est ainsi qu’à partir de ce jour je le surnomme.
Il arrive avec tout le nécessaire d’une coiffeuse à domicile et se met à me refaire la tête.
L’autre vient à moi m’empoigne par les cheveux sans ménagement.
S’ils sont en couple, qui est l’homme qui est la femme, je cherche encore car doigts de fée est musculeux alors que celui sans surnom est plus efféminé mais semble plus pervers.
- Pas si cour, j’aime que les cheveux retombent sur mes épaules.
Je lui dis cela me regardant dans la glace qu’il a posé sur la table.
Encore une, pourtant je la vois partir mais il est plus rapide que moi et je tombe de ma chaise.
J’ai une nouvelle fois compris, je ferme ma gueule à partir de ce moment-là.
Il me fait signe de m’allonger sur mon lit, c’est ma chatte qu’il rectifie.
J’ai l’impression d’une mariée se préparent pour ses noces.
Dès le soir, plateau et trois clients me rappellent à ma réalité, je suis là outre pour assouvir ces hommes, surtout pour assouvir la vengeance de Jean, celui que j’ai fait enfermer.
Dans les jours qui ont suivi, je constate une chose bizarre.
J’ai l’impression d’avoir encore l’estomac plein quand mon plateau arrive.
Certes le sperme que l’on me fait ingurgiter doit y être pour beaucoup surtout certains soirs les clients étant légion.
Mon bourreau veut-il me punir très sévèrement et me faire plusieurs séances de passes dans la même journée.
La liste d’attente pour venir me baiser s’allonge-t-elle au point de me faire faire des heures supplémentaires !
Rapidement je l’ignore car le temps enfermé sans jamais sortir n’a pas la même valeur que lorsque ma vie se déroulait de façon normal.
Une autre fois et les choses se sont renouvelées on m’a remis la cagoule sur ma tête.
Toute la soirée, pardons, j’ignore l'heure réelle, tout le temps où l’homme a été là j’ai été baiser sans savoir qui il était.
J’ai de gros doute que ce ne soit pas Jean qui vienne se servir de la bête trompant par la même occasion ma mère.
Ma bouche est libre et je reçois du sperme à grande giclée.
Un jour on me met une cagoule et je suis tirée vers l’extérieur de ma cellule, vais-je prendre l’air ou mon calvaire va s’arrêter ?
On me sort, la brise que je sens sur mes seins et ma chatte.
Hier doigts de fée est venus me faire désirable.
Je me suis vue dans sa glace, je deviens plus pulpeuse, plus plantureuse.
Le temps que je me regarde, je prends les deux traditionnelles baffes me faisant tomber sur mon cul, par chance sur la chaise.
On roule, roule et roule encore.
On m’a attaché une main en l’air par une menotte, certainement à la poignée au-dessus des portes des voitures.
On s’arrête, on me détache et la voiture repart.
J’attends transie.
Je finis par enlever ma cagoule.
« Bar » en lettre lumineuse.
J’avance vers la porte où un Juda permet de voir qui a sonné.
- Qu’est-ce que vous cherchez ?
- Laissez-moi entrer, j’ai été enlevé.
La porte s’ouvre, une femme ayant environ l’âge de ma mère se tient devant moi.
- Ça, ce n’est pas banal, des putes j’en ai vu dans ma chienne de vie.
J’en ai trois en haut qui attendent le client.
Mais une qui vient directement nue, je n’en ai jamais eu.
Elle me fait entrer, dans le bar trois filles sans client.
J’explique mon histoire, la patronne téléphone à la police.
Elle me prête des fringues sorties de son armoire et quand la police arrive je suis décente.
Rebelote avec les flics, après être revenue du commissariat, je reste chez la tenancière du bar à pute.
Je n’ai ni argent, ni endroit où aller après avoir appris que je suis en Belgique là où ce genre de bar est autorisé.
Je suis convoquée dans les jours suivants.
- Coralie, ça ne va pas recommencer, pourquoi m’accuses-tu de t’avoir prostitué ?
- Ne rigole pas Jean tu te souviens 3 ans, 6 mois, 10 heures.
Tout ce temps, j’ai été enfermé dans une cave à ta merci.
- Mademoiselle, où et quand, vous pouvez nous aider pour vérifier vos dires ?
Je ne peux pas, bien sûr et mon beau-père est libéré.
Tous les jours pendant quatre ans, il a profité de l’argent gagné et de maman en faisant le tour de l’Europe en camping-car.
De nombreux amis connus au moment de sa détention ont reçu des cartes postales signées de sa main, le cachet de la poste faisant foi.
Les policiers n’étant pas cons, du moins le croyais-je, ont appelé leurs homologues qui ont pu vérifier les détails qu’il leur a donnés.
On a montré sa photo et de nombreuses personnes ont reconnu l’homme qui était venu acheter ou poster ces cartes.
Seuls trous dans son emploi du temps n’en faisant pas un suspect pour autant peuvent corresponde aux jours où l’on me passait une cagoule et qu’un homme venait me baiser.
Il est donc libéré et je fais chou blanc.
Dans le couloir, il me dit « ça se mange froid ».
Je sais qu’il parle de sa vengeance.
En sortant du commissariat, il monte dans une grosse BMV où j’ai le temps de voir maman à ses côtés.
C’est à ce jour la dernière fois que je les vois.
- Vous êtes libre mademoiselle !
J’ai commencé à baiser avec mon beau-père à 18 ans, j’ai vécu quelque temps avec Gorges me laissant entretenir !
3 ans 6 mois dans ma cave à tapiner, j’ai 26 ans demain.
À part faire la pute que sais-je faire ?
Ce client est celui que je vais monter dans le bar à pute là où j’ai été libéré, la patronne cherchant une fille connaissant très bien le métier.
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Le beau père mériterait de finir sur le trottoir et la mère cette pouf la mort.