COLLECTION VENGEANCE. Justice immanente (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Justice immanente (2/2)
15 heures, souvent, je me rends dans le parc des Buttes-Chaumont où j’ai pris l’habitude de m’asseoir sur le même banc.
Quelle mouche m’a piqué quand j’ai écarté mes cuisses devant un jeune homme qui lisait sur le banc face au mien, avant qu’il vienne me proposer de le suivre pour me baiser me prenant pour une pute.
Je l’ai suivi jusque chez lui où il m’a sauté me vengeant de l’infidélité de Mathéo avec Corinne sa secrétaire.
Quand je récupère mes affaires dans sa salle de bains, mon amant est parti et m’ayant laissé 150 € avec son numéro de téléphone pour que je rappelle quand je serais disponible.
Il m’a vraiment prise pour une prostituée insinuant même que j’avais simulé ma jouissance alors que sa queue m’avait montré des lendemains qui chantent.
L’indifférence que me montre Mathéo les jours suivants a eu le don de m’exaspérer et je finis par l’appeler, la moule dégoulinante d’envie.
Il me donne rendez-vous une nouvelle fois à 15 heures, mais me demande d’aller dans la chambre de l’autre côté de celle où j’étais venue la première fois.
J’aurais dû me méfier, mais bonne fille et surtout accro à la bonne baise que nous allons pratiquer, je frappe et j’entre dans une chambre ou oh ! surprise un grand noir attend des billets en main.
Au lieu de les refuser, j’ai le malheur de les prendre et de les poser sur la table de nuit.
• Salut, ma belle, Gabriel avait raison, tu es bandante malgré ta quarantaine, viens me sucer, tu vaux bien tes 150 €, j’avais peur de te faire venir avant d’avoir vu la marchandise.
Une marchandise voilà comment ce garçon venu d’Afrique ou des îles me voit, aussi, je m’applique à lui montrer que je suis une bonne pute malgré le mal que j’ai à mettre ce gourdin dans ma bouche.
Il est dégoulinant de ma bave quand il se redresse et me donne l’ordre de me mettre dans la position où il souhaite me sauter.
• Positionne-toi en levrette, je vais venir derrière toi.
Je m’exécute et il se place, je pense qu’il va me prendre avec son gros machin dans la chatte, mais il frappe à ma rosette que j’ai dite inviolé et inviolable dans le chapitre 1.
Je me laisse tomber protégeant mon anus surtout avec le sexe disproportionné qu’il souhaite introduire dans un si petit trou.
• 150 de plus pour te sodomiser.
• Surement pas.
• Je vois que tu es gourmande, mais ta réaction me fait penser que peu de queues t’ont perforé l’anus au diable l’avarice.
Il se redresse ouvre le tiroir de la table de nuit ou est déjà posé mes trois premiers billets, il en sort trois autres de 100 et me les montrant les poses à côté des autres.
Je repars en mode zombi et je me surprends à me redresser pour me positionner.
À ce moment, une seule pensée m’obsède, Corinne se laisse-t-elle sodomiser par Mathéo et si oui, lui verse-t-il 300 € pour cela ?
Un fer rouge entre en moi, je sens ses couilles venir rapidement taper mon fessier, il m’a au moins mis 30 centimètres dans les boyaux, son pilonnage rapidement efficace surtout quand il passe sa main sous mon corps pour martyriser mon clito, faisant baver ma chatte.
Si j’ai joui avec celui que je découvre s’appeler Gabriel, ce grand noir dont j’ignore le nom a le don de me faire jouir très intensément.
Je pense qu’il va éjaculer dans mon fondement, mais quand il sort me laissant orpheline de sa queue une fraction de seconde pour me la remettre dans la bouche, je constate qu’il me baisait sans capote, mais je m’en fiche, car les longs jets de sperme que j’avale comble mon bonheur.
Avant de m’écrouler repu, j’ai cette dernière pensée un peu lugubre, si Mathéo désire me baiser les jours prochains, je le laisserais m’enculer et si j’ai attrapé une saleté, je serais enchanté qu’il la refile à la pute qui lui sert de secrétaire.
Je me retrouve allongée à ses côtés, surprise du chemin que je viens de parcourir en si peu de temps.
Quand je tourne la tête tous les billets qui s’entassent sur la table de nuit et que je viens de gagner avec mon anus en acceptant de me faire sodomiser fond de moi une putain lubrique, avide d’argent.
Je veux adoucir ce sentiment dont j’ai un peu honte vu mon éducation assez rigoriste en prenant dans ma main cette verge disproportionnée comparer à la seule subie depuis mon mariage bien qu’avant la tromperie de Mathéo chaque fois qu’elle m’honorait, je l’appréciais.
• Laisse tomber ma belle, si tu la caresses, elle va repartir, mais tu m’as déjà piqué tout mon fric.
• Je vais te faire une fleur, je te veux en moi gratuitement rien que pour le plaisir.
• Salope, j’ai de la chance que tu aimes les grosses bites, dis-moi, tu fantasmais sur celles noires.
Pour éviter de m’avilir un peu plus en lui disant oui, je le reprends en bouche et je le pompe avec plus d’application que précédemment.
• Depuis le temps ou que tu dois te prostitues, vu l’expérience que tu as, tu dois avoir des heures de route au compteur.
Je suis si attentionné à ce qu’il rebande pour le sentir dans ma chatte que je continue à me taire.
• Je te comprends en femme mariée, tu veux protéger les moments que tu passes avec ton mari, le pognon, c’est pour lui, c’est ton Mac.
Ma bouche serait libre, j’éclaterais de rire, la pensée que Mathéo serait mon Mac, manque de me faire hurler de rire bien qu’analysant que depuis le début de mon mariage.
Je semble avoir été pour lui, jusqu’à ce qu’il me trompe, sa vide couille me payant en m’offrant montre que je vois à mon poignet pour avoir l’exclusivité de mon sexe, robe de grands couturiers et coiffeur chic toutes les semaines.
Pour éviter une nouvelle fois de lui répondre, je l’enfonce plus profondément dans ma bouche.
• Tu es parfaite, tu fais même des gorges profondes, viens sur moi, je vais t’enfiler, je vais te faire monter aux rideaux, même si Gabriel m’a dit que tu savais très bien simuler l’orgasme, quand tu partiras, j’aurais l’impression que c’est moi qui aurais réussi à faire jouir une péripatéticienne.
Son envie rejoint mon envie, aussi, je me place à califourchon et prenant ce bâton en main, je l’introduis dans mon vagin.
J’arrive à le faire entrer jusqu’à ce que je sente ses couilles toucher mes fesses, commençant à le faire coulisser bien que j’aie mal quand il repousse mon col de l’utérus.
Douleur et plaisir sensation nouvelle pour moi, mais orgasme sans interruption à partir du moment où il démarre surtout que mon black s’accroche à mes seins et qu’il les griffe quand lui aussi joui m’arrosant une nouvelle fois d’une quantité de sperme qui coule le long de mes jambes.
Je regarde l’heure, c’est le moment de rentrer, je me lève prend mon fric et retourne dans la salle de bains remettre mes vêtements.
Le noir debout derrière moi me domine d’une tête et m’impressionne alors qu'allonger la différence est aplani.
• Je peux te demander ton prénom.
Pourquoi, cacherais-je que je m’appelle Pierrette, mon prénom est-il aussi ringard pour que je lui dise m’appeler Magali, ce prénom fait-il plus pro du sexe pour éviter de dire pute ?
• C’est bien Magali, peux-tu me donner ton 06, Gabriel et d’autres amis seraient des clients potentiels, après l’après-midi que nous venons de passer ça va booster ta popularité quand je leur dirais l’experte en sexe que tu es.
Laisse-moi ta petite culotte, je vais la sentir et me pignoler dedans, je te la rendrais si tu le souhaites quand nous nous retrouverons, je te le promets.
• Pour le 06, je vais voir si je peux te le donner, mais la prochaine fois, c’est encore moi qui vous appellerais, tiens-je te fais cadeau de ma culotte.
Je la passe sur et dans ma chatte avant de lui donner, couverte de son sperme et de ma cyprine.
Je quitte l’immeuble une nouvelle fois, la chatte bien rassasiée et bien remplie de sperme que j’ai gardée en moi la salle de bains étant hors limites pour que je me douche.
Mon sac est petit, mais bien lourd des beaux billets gagnés tout au long de l’après-midi, j’entre, Mathéo est déjà là.
• Te voilà Pierrette, il y a eu une coupure de courant dans le secteur du bureau pour des travaux alors je suis rentré.
La ficelle est grosse, sa salope a dû lui refuser de baiser et depuis longtemps, il s’approche de moi, se souvenant de mon existence, il me prend dans ses bras et m’embrasse.
J’ai peur qu’il ne m’enlève ma robe et qu’il voie mes seins lacérés.
Je me retourne et je m’appuie sur l’évier.
• Enfin, tu vas me baiser, viens en moi, j’ai tellement attendu ce moment depuis des lustres que je vais te faire le cadeau que je t’ai toujours refusé, sodomise-moi.
• Merci chérie, il y a si longtemps que je fantasme sur ta rosette, savoir que je vais être le premier comme je l’étais pour ta chatte lorsque je t’ai dépucelé, regarde, je bande pour toi.
Mais ces phrases, écrites à partir du moment où je dis que Mathéo est déjà rentré, sont une pure utopie, sur la table de la cuisine il y a un mot.
« Pierrette, je suis venu cette après-midi faire ma valise, j’emménage chez ma maîtresse et je demande le divorce, mes avocats prendront contact avec les tiens dans les meilleurs délais. »
C’est en larmes que je vois le massacre, surtout que dans les jours qui suivent, je perds tout, mon avocat et pas « les miens » comme il le disait, sans travail, j’en prends un commis d’office étant marié avec contrat et à la tête de mes simples passes comme argent, je dois même rendre la Cartier et les quelques bijoux que j’aurais pu monnayer.
Pour gagner, ils ont produit une lettre où je disais que je refusais la maternité alors que lui voulait des enfants.
J’ai fait à mon tour ma valise, j’ai loué un appartement dans le même immeuble minable ou habite Gabriel et Toni le black, je les vois régulièrement soit chez eux soit chez moi et la pute intégrale que je suis devenue vie de l’argent que ma chatte et mon cul me rapportent.
Comme ils me l’avaient promis les clients sont nombreux sans que j’aille au parc exhiber ma petite culotte.
Aujourd’hui, je passe devant les kiosques de journaux, un titre attire mes yeux.
« Il prostituait sa secrétaire. »
L’article qui suit, m’indique que depuis quelques semaines, un dénommé Mathéo avait emménagé avec sa secrétaire après avoir divorcé, ses affaires ayant périclité, il prostituait la dénommée Corinne, devenant son Mac.
La police étant intervenue, il a été mis en examen et incarcéré.
Dans le même temps, je me suis inscrit à une formation de remise à niveau pour être infirmière afin d’aider les gens et surtout les enfants victimes d’une maladie ou peu en réchappent.
Plus d’hommes dans ma vie, mais plus d’homme attitré, il y a autant de misère par le sexe que de misère par la maladie, j’envisage de devenir aussi visiteuse de prisons.
Quelle mouche m’a piqué quand j’ai écarté mes cuisses devant un jeune homme qui lisait sur le banc face au mien, avant qu’il vienne me proposer de le suivre pour me baiser me prenant pour une pute.
Je l’ai suivi jusque chez lui où il m’a sauté me vengeant de l’infidélité de Mathéo avec Corinne sa secrétaire.
Quand je récupère mes affaires dans sa salle de bains, mon amant est parti et m’ayant laissé 150 € avec son numéro de téléphone pour que je rappelle quand je serais disponible.
Il m’a vraiment prise pour une prostituée insinuant même que j’avais simulé ma jouissance alors que sa queue m’avait montré des lendemains qui chantent.
L’indifférence que me montre Mathéo les jours suivants a eu le don de m’exaspérer et je finis par l’appeler, la moule dégoulinante d’envie.
Il me donne rendez-vous une nouvelle fois à 15 heures, mais me demande d’aller dans la chambre de l’autre côté de celle où j’étais venue la première fois.
J’aurais dû me méfier, mais bonne fille et surtout accro à la bonne baise que nous allons pratiquer, je frappe et j’entre dans une chambre ou oh ! surprise un grand noir attend des billets en main.
Au lieu de les refuser, j’ai le malheur de les prendre et de les poser sur la table de nuit.
• Salut, ma belle, Gabriel avait raison, tu es bandante malgré ta quarantaine, viens me sucer, tu vaux bien tes 150 €, j’avais peur de te faire venir avant d’avoir vu la marchandise.
Une marchandise voilà comment ce garçon venu d’Afrique ou des îles me voit, aussi, je m’applique à lui montrer que je suis une bonne pute malgré le mal que j’ai à mettre ce gourdin dans ma bouche.
Il est dégoulinant de ma bave quand il se redresse et me donne l’ordre de me mettre dans la position où il souhaite me sauter.
• Positionne-toi en levrette, je vais venir derrière toi.
Je m’exécute et il se place, je pense qu’il va me prendre avec son gros machin dans la chatte, mais il frappe à ma rosette que j’ai dite inviolé et inviolable dans le chapitre 1.
Je me laisse tomber protégeant mon anus surtout avec le sexe disproportionné qu’il souhaite introduire dans un si petit trou.
• 150 de plus pour te sodomiser.
• Surement pas.
• Je vois que tu es gourmande, mais ta réaction me fait penser que peu de queues t’ont perforé l’anus au diable l’avarice.
Il se redresse ouvre le tiroir de la table de nuit ou est déjà posé mes trois premiers billets, il en sort trois autres de 100 et me les montrant les poses à côté des autres.
Je repars en mode zombi et je me surprends à me redresser pour me positionner.
À ce moment, une seule pensée m’obsède, Corinne se laisse-t-elle sodomiser par Mathéo et si oui, lui verse-t-il 300 € pour cela ?
Un fer rouge entre en moi, je sens ses couilles venir rapidement taper mon fessier, il m’a au moins mis 30 centimètres dans les boyaux, son pilonnage rapidement efficace surtout quand il passe sa main sous mon corps pour martyriser mon clito, faisant baver ma chatte.
Si j’ai joui avec celui que je découvre s’appeler Gabriel, ce grand noir dont j’ignore le nom a le don de me faire jouir très intensément.
Je pense qu’il va éjaculer dans mon fondement, mais quand il sort me laissant orpheline de sa queue une fraction de seconde pour me la remettre dans la bouche, je constate qu’il me baisait sans capote, mais je m’en fiche, car les longs jets de sperme que j’avale comble mon bonheur.
Avant de m’écrouler repu, j’ai cette dernière pensée un peu lugubre, si Mathéo désire me baiser les jours prochains, je le laisserais m’enculer et si j’ai attrapé une saleté, je serais enchanté qu’il la refile à la pute qui lui sert de secrétaire.
Je me retrouve allongée à ses côtés, surprise du chemin que je viens de parcourir en si peu de temps.
Quand je tourne la tête tous les billets qui s’entassent sur la table de nuit et que je viens de gagner avec mon anus en acceptant de me faire sodomiser fond de moi une putain lubrique, avide d’argent.
Je veux adoucir ce sentiment dont j’ai un peu honte vu mon éducation assez rigoriste en prenant dans ma main cette verge disproportionnée comparer à la seule subie depuis mon mariage bien qu’avant la tromperie de Mathéo chaque fois qu’elle m’honorait, je l’appréciais.
• Laisse tomber ma belle, si tu la caresses, elle va repartir, mais tu m’as déjà piqué tout mon fric.
• Je vais te faire une fleur, je te veux en moi gratuitement rien que pour le plaisir.
• Salope, j’ai de la chance que tu aimes les grosses bites, dis-moi, tu fantasmais sur celles noires.
Pour éviter de m’avilir un peu plus en lui disant oui, je le reprends en bouche et je le pompe avec plus d’application que précédemment.
• Depuis le temps ou que tu dois te prostitues, vu l’expérience que tu as, tu dois avoir des heures de route au compteur.
Je suis si attentionné à ce qu’il rebande pour le sentir dans ma chatte que je continue à me taire.
• Je te comprends en femme mariée, tu veux protéger les moments que tu passes avec ton mari, le pognon, c’est pour lui, c’est ton Mac.
Ma bouche serait libre, j’éclaterais de rire, la pensée que Mathéo serait mon Mac, manque de me faire hurler de rire bien qu’analysant que depuis le début de mon mariage.
Je semble avoir été pour lui, jusqu’à ce qu’il me trompe, sa vide couille me payant en m’offrant montre que je vois à mon poignet pour avoir l’exclusivité de mon sexe, robe de grands couturiers et coiffeur chic toutes les semaines.
Pour éviter une nouvelle fois de lui répondre, je l’enfonce plus profondément dans ma bouche.
• Tu es parfaite, tu fais même des gorges profondes, viens sur moi, je vais t’enfiler, je vais te faire monter aux rideaux, même si Gabriel m’a dit que tu savais très bien simuler l’orgasme, quand tu partiras, j’aurais l’impression que c’est moi qui aurais réussi à faire jouir une péripatéticienne.
Son envie rejoint mon envie, aussi, je me place à califourchon et prenant ce bâton en main, je l’introduis dans mon vagin.
J’arrive à le faire entrer jusqu’à ce que je sente ses couilles toucher mes fesses, commençant à le faire coulisser bien que j’aie mal quand il repousse mon col de l’utérus.
Douleur et plaisir sensation nouvelle pour moi, mais orgasme sans interruption à partir du moment où il démarre surtout que mon black s’accroche à mes seins et qu’il les griffe quand lui aussi joui m’arrosant une nouvelle fois d’une quantité de sperme qui coule le long de mes jambes.
Je regarde l’heure, c’est le moment de rentrer, je me lève prend mon fric et retourne dans la salle de bains remettre mes vêtements.
Le noir debout derrière moi me domine d’une tête et m’impressionne alors qu'allonger la différence est aplani.
• Je peux te demander ton prénom.
Pourquoi, cacherais-je que je m’appelle Pierrette, mon prénom est-il aussi ringard pour que je lui dise m’appeler Magali, ce prénom fait-il plus pro du sexe pour éviter de dire pute ?
• C’est bien Magali, peux-tu me donner ton 06, Gabriel et d’autres amis seraient des clients potentiels, après l’après-midi que nous venons de passer ça va booster ta popularité quand je leur dirais l’experte en sexe que tu es.
Laisse-moi ta petite culotte, je vais la sentir et me pignoler dedans, je te la rendrais si tu le souhaites quand nous nous retrouverons, je te le promets.
• Pour le 06, je vais voir si je peux te le donner, mais la prochaine fois, c’est encore moi qui vous appellerais, tiens-je te fais cadeau de ma culotte.
Je la passe sur et dans ma chatte avant de lui donner, couverte de son sperme et de ma cyprine.
Je quitte l’immeuble une nouvelle fois, la chatte bien rassasiée et bien remplie de sperme que j’ai gardée en moi la salle de bains étant hors limites pour que je me douche.
Mon sac est petit, mais bien lourd des beaux billets gagnés tout au long de l’après-midi, j’entre, Mathéo est déjà là.
• Te voilà Pierrette, il y a eu une coupure de courant dans le secteur du bureau pour des travaux alors je suis rentré.
La ficelle est grosse, sa salope a dû lui refuser de baiser et depuis longtemps, il s’approche de moi, se souvenant de mon existence, il me prend dans ses bras et m’embrasse.
J’ai peur qu’il ne m’enlève ma robe et qu’il voie mes seins lacérés.
Je me retourne et je m’appuie sur l’évier.
• Enfin, tu vas me baiser, viens en moi, j’ai tellement attendu ce moment depuis des lustres que je vais te faire le cadeau que je t’ai toujours refusé, sodomise-moi.
• Merci chérie, il y a si longtemps que je fantasme sur ta rosette, savoir que je vais être le premier comme je l’étais pour ta chatte lorsque je t’ai dépucelé, regarde, je bande pour toi.
Mais ces phrases, écrites à partir du moment où je dis que Mathéo est déjà rentré, sont une pure utopie, sur la table de la cuisine il y a un mot.
« Pierrette, je suis venu cette après-midi faire ma valise, j’emménage chez ma maîtresse et je demande le divorce, mes avocats prendront contact avec les tiens dans les meilleurs délais. »
C’est en larmes que je vois le massacre, surtout que dans les jours qui suivent, je perds tout, mon avocat et pas « les miens » comme il le disait, sans travail, j’en prends un commis d’office étant marié avec contrat et à la tête de mes simples passes comme argent, je dois même rendre la Cartier et les quelques bijoux que j’aurais pu monnayer.
Pour gagner, ils ont produit une lettre où je disais que je refusais la maternité alors que lui voulait des enfants.
J’ai fait à mon tour ma valise, j’ai loué un appartement dans le même immeuble minable ou habite Gabriel et Toni le black, je les vois régulièrement soit chez eux soit chez moi et la pute intégrale que je suis devenue vie de l’argent que ma chatte et mon cul me rapportent.
Comme ils me l’avaient promis les clients sont nombreux sans que j’aille au parc exhiber ma petite culotte.
Aujourd’hui, je passe devant les kiosques de journaux, un titre attire mes yeux.
« Il prostituait sa secrétaire. »
L’article qui suit, m’indique que depuis quelques semaines, un dénommé Mathéo avait emménagé avec sa secrétaire après avoir divorcé, ses affaires ayant périclité, il prostituait la dénommée Corinne, devenant son Mac.
La police étant intervenue, il a été mis en examen et incarcéré.
Dans le même temps, je me suis inscrit à une formation de remise à niveau pour être infirmière afin d’aider les gens et surtout les enfants victimes d’une maladie ou peu en réchappent.
Plus d’hommes dans ma vie, mais plus d’homme attitré, il y a autant de misère par le sexe que de misère par la maladie, j’envisage de devenir aussi visiteuse de prisons.
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