COLLECTION ZONE ROUGE. Demain je me marie (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Demain je me marie (1/1)
- Vas-y Valentin encule ta salope de future belle-sœur.
Elle veut de la bite, elle va en avoir.
En double péné on va lui faire voir que dans la famille nous sommes solidaires.
Quand je tourne la tête, je me vois dans la grande glace de la salle où je me trouve.
La bite de Paul mon futur beau-père dans la chatte et celle de Valentin le frère de mon futur mari à l’orée de ma rosette.
Christian mon fiancé est parti avec sa mère à la salle des fêtes depuis le début d'après-midi quand on sonne à la porte de la demeure du fils de ceux que je vais épouser.
Je me savais seule dans cette magnifique demeure placée sur les bords de la Loire.
Paul mon beau-père de son côté était allé à sa banque dans une ville très proche avec son fils qui est en train de me sodomiser.
Mais l’absence de tous est loin d’être la cause de la bêtise que j’ai faite.
Je suis descendue ouvrir le personnel étant eux aussi partis installer la salle de mon mariage.
J’étais loin de penser que ce serait Louis mon ex qui serait derrière la porte.
Je faisais la sieste quand il a sonné attendant pour 15 heures la coiffeuse qui devait apprêter ma coiffure.
Ce doit être une étape afin que demain elle ait juste un ajustement à faire une fois que j’ai passé ma robe blanche.
Ma robe blanche, seul Christian croit à cette connerie de la jeune fille pure.
C’est Josua ma belle-mère qui l’a élevé dans le mythe de la virginité.
J’ai toujours eux de gros doute dès que je l’ai mieux connu sur sa propre robe blanche mais étant invité dans la plus grande famille du secteur, je me suis bien gardée de lui en demander plus.
Quand ça a sonné, j’étais nue car en ce mois de juin la canicule pointait son nez.
J’étais mollement allongée sur le lit que ma belle-mère m’avait octroyé dans la chambre jaune.
Combien de chambres y avaient-ils, je me garderais bien d’aller les compter.
D’avance avec cette chaleur je renonce préférant me servir de Bourriquet.
Bourriquet mon gode à vibration et non l’âne des dessins animés.
Je l’ai surnommé ainsi car il a une particularité, il est monté comme un âne et me remplit à merveille dans ces temps d’abstinence afin d’éviter que mon mariage soit annulé.
La chaleur et la clim sont les causes qui m’ont conduite à rencontrer Christian quand il est venu avec son père pour passer contrat sur l’installation d’une climatisation généralisée.
J’ai fait des études dans les fluides et à ce titre je suis celle qui calcule le matériel et les emplacements où mettre le matériel du tout nouveau catalogue.
Un regard avec mon futur a suffi pour qu’au bout d’une cour intensive il s’agenouille et me demande ma main.
Christian et moi partons en voyage de noces à Venise et Rome alors que mes beaux-parents avec Valentin s’en vont à Biarritz dans leur maison secondaire presque les pieds dans l’eau.
Bref, moi la fille d’un ancien conducteur de la RATP et d’une mère sans emploi j’ai la chance d’épouser la plus grosse fortune de la région.
Je suis venue à la porte et quand j’ai ouvert ma stupeur a été grande d’y trouver Louis mon ex.
- Bonjour Bébé, je comprends pourquoi tu as cassé avec moi, ça pue le pognon ici.
- Que veux-tu, nous deux c’est fini ?
- Et si je te fais ça, c’est toujours fini !
Louis connaît mes points faibles, depuis deux ans que nous baisions sans aucune retenue, c’est normal.
Une grande partie du Kama-Sutra y est passée sans que l’on ait besoin d’acheter le livre ou d’aller voir sur Internet.
Il va de soi que j’ai caché à tous que j’aimais le sexe, espérant être assez maligne pour faire croire à ce grand couillon de Christian à ma virginité.
À cet effet caché dans ma boîte à secret où Bourriquet réside la plupart du temps, j’ai récupéré de mon propre sang grâce à une amie infirmière amoureuse de moi une petite fiole de mon propre sang que j’ouvrirais pour tacher les draps.
On voit pourquoi, je dois tromper belle-maman et sa femme de ménage entièrement à sa disposition j’ignore pourquoi mais j’ai le temps de trouver tous les travers de cette famille.
Dans chaque famille il y a un travers, chez nous c'était le jeu et ça a conduit mes parents à la plus haute branche de notre cerisier où ils ont terminé leur vie.
Par chance la vente de leur maison a couvert les dettes.
C’est quand ils ont dû la vendre qu’ils ont pris conscience de ce qu’ils avaient fait et qu’ils ont mis fin à leurs jours me laissant seule au monde.
Bref Louis avance sa main et passe sous mon peignoir me caressant la chatte et plus particulièrement mon bouton ultra sensible.
- T’es un salopard, mais viens, on a une petite demi-heure.
- Je sais avant de sonner j’ai pris tous mes renseignements.
Je l’ai emmené dans le salon pièce la plus proche et c’est là que j’ai considéré que Bourriquet s’était bien mais que sa bite était mieux.
Ça faisait dix minutes que j’avais son sexe dans mon vagin après l’avoir profondément sucé.
Bref je retrouvais nos jeux d’antan où nous étions amants quand mon beau-père est entré dans la pièce où Louis me baisait.
J’étais les seins sur la table la chatte à l’air et c’est par-derrière dans mon vagin qu’il me besognait.
- Salope et chez moi avec un inconnu, vous fichez le camp sinon j’appelle la police.
Louis est parti plus vite qu’il était venu.
- Tu vois Valentin ta belle-sœur est bien foutue nous allons la tringler tous les deux.
C’est comme ça que vous m’avez trouvé au début de mon histoire sur le tapis au pied de la grande glace voyant ces deux hommes me prendre en double pénétration.
Ces deux bites en moi me font monter au rideau.
- Allez-y j’aime ça continué, Valentin tape plus fort dans mon anus.
Ils ont joui au moment d'un orgasme dévastateur pris par ces deux bites.
Je les sentais se frotter sans se toucher de chaque côté de mon périnée.
Sentir leurs deux jets simultanés m’a apporté un deuxième orgasme moins fort il est vrai.
Ils m’ont libéré, mon beau-père allant se servir un whisky dans le bar près du canapé.
J’étais encore dans les vapes quand un nouvel ordre est tombé.
- Valentin je vois que tu bandes encore, tringle là par-devant tu l’auras eu des deux côtés.
Mon beau-frère un peu gauche m’a présenté sa queue que j’ai nettoyée avec ma langue.
Je savais où j’étais mais le manque de sexe sauf Bourriquet me manquait.
Quand on aime, on aime et cette partie à deux, puis à trois et de nouveau à deux est plus pour me plaire que me déplaire.
- Oui Valentin baise-moi après j’irais faire ma valise et vous direz à Christian que je regrette mais qu’il m’est impossible de l’épouser.
Par la même occasion, vous remercierez tous vos invités que vous allez être obligé de prévenir de notre non-mariage.
- Continue à la baiser Valentin, Jade en redemande, c’est une gourmande.
Tout à une fin notre coït aussi, je me retrouve les cuisses écartées sur le divan ignorant ce que je dois faire.
Dois-je moi aussi prendre mes jambes à mon coup ?
- Tu parles de valise, oublie demain tu épouses Christian normalement.
Qu’en penses-tu fiston, une salope que j’ai sur mon portable se faisant enfiler par un inconnu sera une belle fille ou belle sœur dès que Christian sera absent à notre disposition.
Une pute à la maison qu’est-ce que t’en dit, je t’avais promis que tu perdrais ton pucelage à la noce de ton frère.
J’ignorais que ce serait avec la future mariée.
- Bien sûr papa, nous la gardons.
J’entends du bruit, séparons-nous.
Ils partent je remets mon peignoir et je vais accueillir ma coiffeuse.
Mon futur revient avec belle-maman et le personnel.
Le lendemain je me retrouve mariée ayant dit oui à l’homme de ma vie.
Là j’exagère, à l’homme qui m’assure une fin de vie des plus aisés.
- Laisse-moi danser avec la mariée.
- Oui papa fait attention, évite de la casser.
Mon beau-père me fait danser.
Il me glisse quelque chose dans la main.
- Tient Jade, j’ai garé la Mercedes afin que nous soyons tranquilles, je te rejoins.
Je fais celle qui va aux toilettes et le premier soir de mon mariage, je lui suce la queue avalant son sperme jusqu’à la dernière goutte.
De retour dans la salle, c’est Josua qui m’interpelle.
Les gens semblent trouver normal que belle-fille et belle-mère aient des confidences à se faire.
Et quelle confidence.
- Paul t’a baisé dans notre voiture !
- Avec ma robe, juste une fellation.
Mais vous savez.
- Plus de 40 ans de mariage, je le connais comme si je l’avais fait.
Soit sans crainte, je garderais tous ça pour moi vis-à-vis de Christian.
Je suis pour l’harmonie dans notre famille.
- Comment avez-vous su ?
- Hier dans la soirée, j’ai eu quelques poussées d’adrénaline et j’aurais bien baisé.
Paul m’a dit être crevé.
Je savais qu’il y avait une femme derrière ça.
J’ai vu sur son portable la scène où un grand brun te couche sur notre table de salle.
Connaissant mon fumier de mari, j’ai vite compris que c'était toi avec laquelle il avait baisé.
Une chose que j’ignore, Valentin était avec lui ?
Oui, c’est moi qui l’ai dépucelé.
- Quand Christian m’a dit qu’il voulait t’épouser, au début je voulais dire non.
Mais je me suis revue à ton âge, moi s’était dans une 4L que Simon mon beau-père m’a baisée.
Regarde, il dort à cette heure, en temps normal son infirmière l’a déjà couché.
C’était ma voiture étant fauché en ce temps-là et malgré ma robe blanche, j’ai simplement mis un peu de sang dessus.
- Je suis prête à tout pour que vous me pardonniez.
- Te pardonner, c’est facile, vous partez en, Italie pour ton voyage de noces et quand ton mari retrouve son père et son frère, tu me rejoins à Biarritz où nous nous ferons bronzer nues sur nos transats.
Tu apporteras Bourriquet que tu caches dans ta boîte.
- Vous savez pour Bourriquet !
- Bien sûr dans ma maison je sais toujours tout comme toi tu devras savoir tout quand tu la dirigeras.
- Inutile de tacher mes draps avec ton sang pouvant difficilement emmener la mariée dans mon lit.
Demain matin à ton réveil, ma servante sera en train de me brouter la chatte comme nous le ferons dès ton retour d’Italie.
- Ma chérie, c’est l’heure de couper notre gâteau avant de nous éclipser, j’ai hâte de faire de toi une femme.
- Oui, Christian, j’arrive.
S’il savait, mais je suis maligne, pourquoi saurait-il ?
Elle veut de la bite, elle va en avoir.
En double péné on va lui faire voir que dans la famille nous sommes solidaires.
Quand je tourne la tête, je me vois dans la grande glace de la salle où je me trouve.
La bite de Paul mon futur beau-père dans la chatte et celle de Valentin le frère de mon futur mari à l’orée de ma rosette.
Christian mon fiancé est parti avec sa mère à la salle des fêtes depuis le début d'après-midi quand on sonne à la porte de la demeure du fils de ceux que je vais épouser.
Je me savais seule dans cette magnifique demeure placée sur les bords de la Loire.
Paul mon beau-père de son côté était allé à sa banque dans une ville très proche avec son fils qui est en train de me sodomiser.
Mais l’absence de tous est loin d’être la cause de la bêtise que j’ai faite.
Je suis descendue ouvrir le personnel étant eux aussi partis installer la salle de mon mariage.
J’étais loin de penser que ce serait Louis mon ex qui serait derrière la porte.
Je faisais la sieste quand il a sonné attendant pour 15 heures la coiffeuse qui devait apprêter ma coiffure.
Ce doit être une étape afin que demain elle ait juste un ajustement à faire une fois que j’ai passé ma robe blanche.
Ma robe blanche, seul Christian croit à cette connerie de la jeune fille pure.
C’est Josua ma belle-mère qui l’a élevé dans le mythe de la virginité.
J’ai toujours eux de gros doute dès que je l’ai mieux connu sur sa propre robe blanche mais étant invité dans la plus grande famille du secteur, je me suis bien gardée de lui en demander plus.
Quand ça a sonné, j’étais nue car en ce mois de juin la canicule pointait son nez.
J’étais mollement allongée sur le lit que ma belle-mère m’avait octroyé dans la chambre jaune.
Combien de chambres y avaient-ils, je me garderais bien d’aller les compter.
D’avance avec cette chaleur je renonce préférant me servir de Bourriquet.
Bourriquet mon gode à vibration et non l’âne des dessins animés.
Je l’ai surnommé ainsi car il a une particularité, il est monté comme un âne et me remplit à merveille dans ces temps d’abstinence afin d’éviter que mon mariage soit annulé.
La chaleur et la clim sont les causes qui m’ont conduite à rencontrer Christian quand il est venu avec son père pour passer contrat sur l’installation d’une climatisation généralisée.
J’ai fait des études dans les fluides et à ce titre je suis celle qui calcule le matériel et les emplacements où mettre le matériel du tout nouveau catalogue.
Un regard avec mon futur a suffi pour qu’au bout d’une cour intensive il s’agenouille et me demande ma main.
Christian et moi partons en voyage de noces à Venise et Rome alors que mes beaux-parents avec Valentin s’en vont à Biarritz dans leur maison secondaire presque les pieds dans l’eau.
Bref, moi la fille d’un ancien conducteur de la RATP et d’une mère sans emploi j’ai la chance d’épouser la plus grosse fortune de la région.
Je suis venue à la porte et quand j’ai ouvert ma stupeur a été grande d’y trouver Louis mon ex.
- Bonjour Bébé, je comprends pourquoi tu as cassé avec moi, ça pue le pognon ici.
- Que veux-tu, nous deux c’est fini ?
- Et si je te fais ça, c’est toujours fini !
Louis connaît mes points faibles, depuis deux ans que nous baisions sans aucune retenue, c’est normal.
Une grande partie du Kama-Sutra y est passée sans que l’on ait besoin d’acheter le livre ou d’aller voir sur Internet.
Il va de soi que j’ai caché à tous que j’aimais le sexe, espérant être assez maligne pour faire croire à ce grand couillon de Christian à ma virginité.
À cet effet caché dans ma boîte à secret où Bourriquet réside la plupart du temps, j’ai récupéré de mon propre sang grâce à une amie infirmière amoureuse de moi une petite fiole de mon propre sang que j’ouvrirais pour tacher les draps.
On voit pourquoi, je dois tromper belle-maman et sa femme de ménage entièrement à sa disposition j’ignore pourquoi mais j’ai le temps de trouver tous les travers de cette famille.
Dans chaque famille il y a un travers, chez nous c'était le jeu et ça a conduit mes parents à la plus haute branche de notre cerisier où ils ont terminé leur vie.
Par chance la vente de leur maison a couvert les dettes.
C’est quand ils ont dû la vendre qu’ils ont pris conscience de ce qu’ils avaient fait et qu’ils ont mis fin à leurs jours me laissant seule au monde.
Bref Louis avance sa main et passe sous mon peignoir me caressant la chatte et plus particulièrement mon bouton ultra sensible.
- T’es un salopard, mais viens, on a une petite demi-heure.
- Je sais avant de sonner j’ai pris tous mes renseignements.
Je l’ai emmené dans le salon pièce la plus proche et c’est là que j’ai considéré que Bourriquet s’était bien mais que sa bite était mieux.
Ça faisait dix minutes que j’avais son sexe dans mon vagin après l’avoir profondément sucé.
Bref je retrouvais nos jeux d’antan où nous étions amants quand mon beau-père est entré dans la pièce où Louis me baisait.
J’étais les seins sur la table la chatte à l’air et c’est par-derrière dans mon vagin qu’il me besognait.
- Salope et chez moi avec un inconnu, vous fichez le camp sinon j’appelle la police.
Louis est parti plus vite qu’il était venu.
- Tu vois Valentin ta belle-sœur est bien foutue nous allons la tringler tous les deux.
C’est comme ça que vous m’avez trouvé au début de mon histoire sur le tapis au pied de la grande glace voyant ces deux hommes me prendre en double pénétration.
Ces deux bites en moi me font monter au rideau.
- Allez-y j’aime ça continué, Valentin tape plus fort dans mon anus.
Ils ont joui au moment d'un orgasme dévastateur pris par ces deux bites.
Je les sentais se frotter sans se toucher de chaque côté de mon périnée.
Sentir leurs deux jets simultanés m’a apporté un deuxième orgasme moins fort il est vrai.
Ils m’ont libéré, mon beau-père allant se servir un whisky dans le bar près du canapé.
J’étais encore dans les vapes quand un nouvel ordre est tombé.
- Valentin je vois que tu bandes encore, tringle là par-devant tu l’auras eu des deux côtés.
Mon beau-frère un peu gauche m’a présenté sa queue que j’ai nettoyée avec ma langue.
Je savais où j’étais mais le manque de sexe sauf Bourriquet me manquait.
Quand on aime, on aime et cette partie à deux, puis à trois et de nouveau à deux est plus pour me plaire que me déplaire.
- Oui Valentin baise-moi après j’irais faire ma valise et vous direz à Christian que je regrette mais qu’il m’est impossible de l’épouser.
Par la même occasion, vous remercierez tous vos invités que vous allez être obligé de prévenir de notre non-mariage.
- Continue à la baiser Valentin, Jade en redemande, c’est une gourmande.
Tout à une fin notre coït aussi, je me retrouve les cuisses écartées sur le divan ignorant ce que je dois faire.
Dois-je moi aussi prendre mes jambes à mon coup ?
- Tu parles de valise, oublie demain tu épouses Christian normalement.
Qu’en penses-tu fiston, une salope que j’ai sur mon portable se faisant enfiler par un inconnu sera une belle fille ou belle sœur dès que Christian sera absent à notre disposition.
Une pute à la maison qu’est-ce que t’en dit, je t’avais promis que tu perdrais ton pucelage à la noce de ton frère.
J’ignorais que ce serait avec la future mariée.
- Bien sûr papa, nous la gardons.
J’entends du bruit, séparons-nous.
Ils partent je remets mon peignoir et je vais accueillir ma coiffeuse.
Mon futur revient avec belle-maman et le personnel.
Le lendemain je me retrouve mariée ayant dit oui à l’homme de ma vie.
Là j’exagère, à l’homme qui m’assure une fin de vie des plus aisés.
- Laisse-moi danser avec la mariée.
- Oui papa fait attention, évite de la casser.
Mon beau-père me fait danser.
Il me glisse quelque chose dans la main.
- Tient Jade, j’ai garé la Mercedes afin que nous soyons tranquilles, je te rejoins.
Je fais celle qui va aux toilettes et le premier soir de mon mariage, je lui suce la queue avalant son sperme jusqu’à la dernière goutte.
De retour dans la salle, c’est Josua qui m’interpelle.
Les gens semblent trouver normal que belle-fille et belle-mère aient des confidences à se faire.
Et quelle confidence.
- Paul t’a baisé dans notre voiture !
- Avec ma robe, juste une fellation.
Mais vous savez.
- Plus de 40 ans de mariage, je le connais comme si je l’avais fait.
Soit sans crainte, je garderais tous ça pour moi vis-à-vis de Christian.
Je suis pour l’harmonie dans notre famille.
- Comment avez-vous su ?
- Hier dans la soirée, j’ai eu quelques poussées d’adrénaline et j’aurais bien baisé.
Paul m’a dit être crevé.
Je savais qu’il y avait une femme derrière ça.
J’ai vu sur son portable la scène où un grand brun te couche sur notre table de salle.
Connaissant mon fumier de mari, j’ai vite compris que c'était toi avec laquelle il avait baisé.
Une chose que j’ignore, Valentin était avec lui ?
Oui, c’est moi qui l’ai dépucelé.
- Quand Christian m’a dit qu’il voulait t’épouser, au début je voulais dire non.
Mais je me suis revue à ton âge, moi s’était dans une 4L que Simon mon beau-père m’a baisée.
Regarde, il dort à cette heure, en temps normal son infirmière l’a déjà couché.
C’était ma voiture étant fauché en ce temps-là et malgré ma robe blanche, j’ai simplement mis un peu de sang dessus.
- Je suis prête à tout pour que vous me pardonniez.
- Te pardonner, c’est facile, vous partez en, Italie pour ton voyage de noces et quand ton mari retrouve son père et son frère, tu me rejoins à Biarritz où nous nous ferons bronzer nues sur nos transats.
Tu apporteras Bourriquet que tu caches dans ta boîte.
- Vous savez pour Bourriquet !
- Bien sûr dans ma maison je sais toujours tout comme toi tu devras savoir tout quand tu la dirigeras.
- Inutile de tacher mes draps avec ton sang pouvant difficilement emmener la mariée dans mon lit.
Demain matin à ton réveil, ma servante sera en train de me brouter la chatte comme nous le ferons dès ton retour d’Italie.
- Ma chérie, c’est l’heure de couper notre gâteau avant de nous éclipser, j’ai hâte de faire de toi une femme.
- Oui, Christian, j’arrive.
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