COLLECTION ZONE ROUGE. Hôtesse sur Air Liberté. La suite (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2409 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 031 318 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 3 784 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ZONE ROUGE. Hôtesse sur Air Liberté. La suite (3/3)
Nous avons quitté Orly avec Radia que je dois chaperonner jusqu’à Tahiti avec escale, comme chaque fois à Los Angeles.
14 heures de vol à nous occupés de deux clients, acteurs connus mais dont je tairais le nom.
De quarante à cinquante ans, quand je vois déjà Radia sucer Gérard, il va falloir que j’intervienne.
Je sors le sexe de Philippe pour lui faire prendre l’air, je pourrais le masturber, mais je connais mon métier, je le laisse libre.
• Mesdames et messieurs, nous sommes à hauteur de vole, vous pouvez vous détacher.
Sauvé par le gong.
• Radia vient m’aider à préparer des boissons pour nos clients, voulez-vous du champagne ?
Toujours attaquer comme ça, déjà quelques beaux billets qui leur seront facturés.
• Mais oui mesdames, en l’honneur à votre beauté.
• Inutile de vous donner les tarifs, je pense que nos bureaux vous ont mis au courant !
• Aucun problème, nous avons même choisi le millésime, nous avons pris le meilleur, je t’offre cette bouteille Radia, pour fêter ton premier vol.
Une bouteille de champagne offert à Radia, je la mets sur la feuille des consommations qu’ils recevront à leur retour.
Encore quelques billets supplémentaires, nous sommes intéressés à la consommation.
Ce qu’il y a de bien, sur Air Liberté, c’est que si nos clients se bourrent la gueule, ils ont confié les commandes à d’autres.
Deux fois dont un avec Isabelle, il est arrivé que notre client soit tellement beurré qu’ils ont cuvé tout le voyage.
Le deuxième ronflait à côté de nous, j’avais une bouteille en main du meilleur millésime, à ses frais bien sûrs, que je versais au creux de mon nombril, Isabelle buvant à ma source.
Le froid du champagne et la langue de ma copine, avant la fin de la bouteille, j’ai joui avec des orgasmes à répétition.
J’en ai fait de même pour elle, bilan trois bouteilles et oui, nos pilotes ont eu droit à la leur.
Arrivé au terminus, à part nos pilotes qui tiennent la bouteille, nous avons été obligés de faire évacuer le client par les services de secours dans l’état où il était.
Nous avions remis tout en état, remettant nos uniformes nous rendant respectable comme toutes les autres hôtesses.
On a refait le lit changeant les draps couverts de champagne.
Ce lit a surpris les jeunes secouristes qui ont découvert ce que sont les voyages pour des hommes d’affaires dans le luxe.
Lorsque nous sommes descendus à notre tour, j’ai failli me casser la figure en descendant la passerelle.
Avec Isabelle, elle aussi dans l’impossibilité de conduire, nous avons pris une chambre d’hôtel à Orly.
J’avais noté avec mon rouge à lèvres sur mon poudrier le numéro de la compagnie d’ambulances et je les ai appelés.
• Je m’excuse, Éric est bien ambulancier chez vous !
• Oui, il vient de rentrer de mission et a fini sa garde avec Louis, son binôme.
C’est à quel sujet ?
• Il est intervenu dans un avion pour notre passager ayant un léger malaise certainement dû à l’altitude.
Il avait sa plaquette ou il a noté des renseignements, mais a oublié son stylo à plume certainement personnelle.
Je voudrais l’appeler pour lui dire comment faire pour que je lui rends.
• Oui, c’est un stylo que sa grand-mère lui a offert pour sa communion, c’est bizarre qu’il l’ait oublié.
Vous devez être très jolie mademoiselle pour qu’il ait été très tête en l’air.
• Vous aussi, vous avez une voix magnifique !
• Une voix d’une grand-mère de soixante ans, à deux pas de la retraite ce soir, c’était mon dernier jour, avez-vous de quoi noter ?
06 .. .. !
Appelé le, il doit être proche d’ici avec Louis, il retourne ensemble dans leur cité.
Bien sûr, pour le stylo, comment je le savais ?
Je l’avais repéré, quand Éric l’avait remis dans sa poche, un jeune homme avec un tel stylo s’était étonnant à notre époque.
Mais il va de soi que c’était tout autre chose qui nous intéressait surtout lorsqu’il a décroché.
• Nous sommes dans la chambre 63 au grand hôtel de l’aéroport, avec ma copine Isabelle, nous t’attendons.
• Je suis avec Louis mon copain !
• Deux contre deux, nous pourrons faire une belote, je coupe et j’en rejoue.
Bien sûr, c’est de l’humour, dès qu’ils franchissent la porte de notre chambre, notre nudité leur a fait comprendre ce que nous attendions d’eux.
Le plus drôle avant leur arrivée, c’était mon amie téléphonant à son mari pour lui signaler le retard dû au brouillard, ayant détourné notre vol, retard de 24 heures.
Le client avait dormi, bourré comme un coin, nous nous sommes fait bourrer par les deux apollons, pompier, hors des interventions ils entretenaient leurs plaquettes dans leur salle de sport.
Je rigole à l’évocation de leurs plaquettes, Gérard, il y a bien longtemps que les siennes ont disparu sous des tonnes de graisse.
Heureusement, son sexe qui entre en moi, avec capote, bien sûre, est assez gros pour m’apporter un premier orgasme lors de notre voyage.
C’est un peu pour eux aussi que je vole sur « air sexe liberté ».
Gérard est sur le lit, je suis à califourchon sur lui, j’aime cette position avec Benoit, j’ai l’impression de dominer le monde.
Dans cette position, je sens la queue qui me fouille distendant ma vulve tellement elle est grosse.
J’ai des heures de vol, aussi bien en l’air que sur terre avec les hommes.
À part un voyage avec un Sénégalais de Paris à Dakar, c’est le plus grosse que j’ai eue dans ma chatte.
Avec mon expérience, même si j’ai ma première jouissance du voyage, la grosseur est sans importance, seule la façon dont ils se servent de leur queue est une source de plaisir pour nous.
« Mesdames, messieurs, le voyage va être encore long, Jennifer et Radia, vos pilotes ont faim, je pense que nos passagers aussi ! »
Ça c’est tout Cri-Cri, je le connais comme si je l’avais fait depuis le nombre de voyages ensemble.
Certes, il prend soin de nous, il sait que c’est dur de tenir la distance et le temps avec nos clients qui en veulent pour leur argent.
Si j’avais noté le nombre de fois dans l’avion ou dans les chambres des hôtels aux escales, le nombre de fois simplement ou je l’ai sucé, le chiffre serait certainement supérieur à celui avec mon mari.
Il sait aussi que les heures au pieu ou ailleurs, à baiser, c’est autant de bouteilles de moins que nos clients vont avoir à régler et Luc adore que le nombre soit le plus faramineux possible.
• À table, à table, on a faim.
Ça c’est Gérard qui venait de se vider les couilles dans sa capote et est sous la douche.
Il fait entendre son envie de remplir son gros ventre d’aliments plus conséquent que ma cyprine lorsque avant de me prendre, il m’a sucé la chatte.
Porc, mais pas loin, lorsqu’il rote après avoir ingurgité foie gras, chevreuil grand veneur, fromage suivi d’une omelette norvégienne flambée.
En bon Français, café, cognac vingt ans d’âge, un jour, j’ai demandé le prix au service de livraison d’un grand restaurant des champs Élysée, 2 500 € la bouteille.
Deux bouteilles de champagne en apéro et au dessert, Gérard est une vraie barrique et ingurgite tout, la sauce coulant le long de ses bajoues.
Dire qu’il est adulé des foules et que toutes les femmes rêvent de se retrouver dans ses bras.
Moi je le suis jusqu’à Los Angeles, heureusement que j’enquille les zéros sur l’argent que je vais toucher, sinon je vous laisse volontiers ma place.
Radia de son côté rechigne à me remplacer, je comprends que cette petite pour son premier voyage sur air Sexe liberté se contente de s’occuper de Philippe, moins expressif dans ses débordements.
C’est elle qui a servi les pilotes, ils mangent comme nous, le temps passé près d’eux me fait penser qu’elle a dû s’occuper de sucer Cri-Cri.
Je sais que lorsqu’il pilote, il veut toujours être près des commandes même si le pilote automatique est enclenché.
J’aurais bien été m’occuper d’Hamed, mais Gérard a une nouvelle idée saugrenue.
• Philippe et si nous faisions quelques putts avant l’arrivée !
• Ou tu vois un trou, pour faire entrer les balles.
• Facile, nous en avons deux à notre disposition.
Jennifer assied toi au sol jambes écartées et toi fait en de même près des toilettes.
Vos chattes seront les putts que nous aurons à trouver.
Sur air sexe liberté, j’ai fait beaucoup de choses pour plaire à nos clients, mais faire le trou de golf avec ma chatte, ça ce sera une première.
Voilà Gérard malgré qu’il soit bourré, a mis les trois quarts de ses balles au fond et pour nous à une demi-heure de notre arrivée aux Amériques, nous faisons sauter un dernier bouchon.
J’ignore comment va se poursuivre notre voyage, vu nos clients il sera certainement épique et je vous promets de venir vous conter nos aventures sur « air Sexe Liberté. »
14 heures de vol à nous occupés de deux clients, acteurs connus mais dont je tairais le nom.
De quarante à cinquante ans, quand je vois déjà Radia sucer Gérard, il va falloir que j’intervienne.
Je sors le sexe de Philippe pour lui faire prendre l’air, je pourrais le masturber, mais je connais mon métier, je le laisse libre.
• Mesdames et messieurs, nous sommes à hauteur de vole, vous pouvez vous détacher.
Sauvé par le gong.
• Radia vient m’aider à préparer des boissons pour nos clients, voulez-vous du champagne ?
Toujours attaquer comme ça, déjà quelques beaux billets qui leur seront facturés.
• Mais oui mesdames, en l’honneur à votre beauté.
• Inutile de vous donner les tarifs, je pense que nos bureaux vous ont mis au courant !
• Aucun problème, nous avons même choisi le millésime, nous avons pris le meilleur, je t’offre cette bouteille Radia, pour fêter ton premier vol.
Une bouteille de champagne offert à Radia, je la mets sur la feuille des consommations qu’ils recevront à leur retour.
Encore quelques billets supplémentaires, nous sommes intéressés à la consommation.
Ce qu’il y a de bien, sur Air Liberté, c’est que si nos clients se bourrent la gueule, ils ont confié les commandes à d’autres.
Deux fois dont un avec Isabelle, il est arrivé que notre client soit tellement beurré qu’ils ont cuvé tout le voyage.
Le deuxième ronflait à côté de nous, j’avais une bouteille en main du meilleur millésime, à ses frais bien sûrs, que je versais au creux de mon nombril, Isabelle buvant à ma source.
Le froid du champagne et la langue de ma copine, avant la fin de la bouteille, j’ai joui avec des orgasmes à répétition.
J’en ai fait de même pour elle, bilan trois bouteilles et oui, nos pilotes ont eu droit à la leur.
Arrivé au terminus, à part nos pilotes qui tiennent la bouteille, nous avons été obligés de faire évacuer le client par les services de secours dans l’état où il était.
Nous avions remis tout en état, remettant nos uniformes nous rendant respectable comme toutes les autres hôtesses.
On a refait le lit changeant les draps couverts de champagne.
Ce lit a surpris les jeunes secouristes qui ont découvert ce que sont les voyages pour des hommes d’affaires dans le luxe.
Lorsque nous sommes descendus à notre tour, j’ai failli me casser la figure en descendant la passerelle.
Avec Isabelle, elle aussi dans l’impossibilité de conduire, nous avons pris une chambre d’hôtel à Orly.
J’avais noté avec mon rouge à lèvres sur mon poudrier le numéro de la compagnie d’ambulances et je les ai appelés.
• Je m’excuse, Éric est bien ambulancier chez vous !
• Oui, il vient de rentrer de mission et a fini sa garde avec Louis, son binôme.
C’est à quel sujet ?
• Il est intervenu dans un avion pour notre passager ayant un léger malaise certainement dû à l’altitude.
Il avait sa plaquette ou il a noté des renseignements, mais a oublié son stylo à plume certainement personnelle.
Je voudrais l’appeler pour lui dire comment faire pour que je lui rends.
• Oui, c’est un stylo que sa grand-mère lui a offert pour sa communion, c’est bizarre qu’il l’ait oublié.
Vous devez être très jolie mademoiselle pour qu’il ait été très tête en l’air.
• Vous aussi, vous avez une voix magnifique !
• Une voix d’une grand-mère de soixante ans, à deux pas de la retraite ce soir, c’était mon dernier jour, avez-vous de quoi noter ?
06 .. .. !
Appelé le, il doit être proche d’ici avec Louis, il retourne ensemble dans leur cité.
Bien sûr, pour le stylo, comment je le savais ?
Je l’avais repéré, quand Éric l’avait remis dans sa poche, un jeune homme avec un tel stylo s’était étonnant à notre époque.
Mais il va de soi que c’était tout autre chose qui nous intéressait surtout lorsqu’il a décroché.
• Nous sommes dans la chambre 63 au grand hôtel de l’aéroport, avec ma copine Isabelle, nous t’attendons.
• Je suis avec Louis mon copain !
• Deux contre deux, nous pourrons faire une belote, je coupe et j’en rejoue.
Bien sûr, c’est de l’humour, dès qu’ils franchissent la porte de notre chambre, notre nudité leur a fait comprendre ce que nous attendions d’eux.
Le plus drôle avant leur arrivée, c’était mon amie téléphonant à son mari pour lui signaler le retard dû au brouillard, ayant détourné notre vol, retard de 24 heures.
Le client avait dormi, bourré comme un coin, nous nous sommes fait bourrer par les deux apollons, pompier, hors des interventions ils entretenaient leurs plaquettes dans leur salle de sport.
Je rigole à l’évocation de leurs plaquettes, Gérard, il y a bien longtemps que les siennes ont disparu sous des tonnes de graisse.
Heureusement, son sexe qui entre en moi, avec capote, bien sûre, est assez gros pour m’apporter un premier orgasme lors de notre voyage.
C’est un peu pour eux aussi que je vole sur « air sexe liberté ».
Gérard est sur le lit, je suis à califourchon sur lui, j’aime cette position avec Benoit, j’ai l’impression de dominer le monde.
Dans cette position, je sens la queue qui me fouille distendant ma vulve tellement elle est grosse.
J’ai des heures de vol, aussi bien en l’air que sur terre avec les hommes.
À part un voyage avec un Sénégalais de Paris à Dakar, c’est le plus grosse que j’ai eue dans ma chatte.
Avec mon expérience, même si j’ai ma première jouissance du voyage, la grosseur est sans importance, seule la façon dont ils se servent de leur queue est une source de plaisir pour nous.
« Mesdames, messieurs, le voyage va être encore long, Jennifer et Radia, vos pilotes ont faim, je pense que nos passagers aussi ! »
Ça c’est tout Cri-Cri, je le connais comme si je l’avais fait depuis le nombre de voyages ensemble.
Certes, il prend soin de nous, il sait que c’est dur de tenir la distance et le temps avec nos clients qui en veulent pour leur argent.
Si j’avais noté le nombre de fois dans l’avion ou dans les chambres des hôtels aux escales, le nombre de fois simplement ou je l’ai sucé, le chiffre serait certainement supérieur à celui avec mon mari.
Il sait aussi que les heures au pieu ou ailleurs, à baiser, c’est autant de bouteilles de moins que nos clients vont avoir à régler et Luc adore que le nombre soit le plus faramineux possible.
• À table, à table, on a faim.
Ça c’est Gérard qui venait de se vider les couilles dans sa capote et est sous la douche.
Il fait entendre son envie de remplir son gros ventre d’aliments plus conséquent que ma cyprine lorsque avant de me prendre, il m’a sucé la chatte.
Porc, mais pas loin, lorsqu’il rote après avoir ingurgité foie gras, chevreuil grand veneur, fromage suivi d’une omelette norvégienne flambée.
En bon Français, café, cognac vingt ans d’âge, un jour, j’ai demandé le prix au service de livraison d’un grand restaurant des champs Élysée, 2 500 € la bouteille.
Deux bouteilles de champagne en apéro et au dessert, Gérard est une vraie barrique et ingurgite tout, la sauce coulant le long de ses bajoues.
Dire qu’il est adulé des foules et que toutes les femmes rêvent de se retrouver dans ses bras.
Moi je le suis jusqu’à Los Angeles, heureusement que j’enquille les zéros sur l’argent que je vais toucher, sinon je vous laisse volontiers ma place.
Radia de son côté rechigne à me remplacer, je comprends que cette petite pour son premier voyage sur air Sexe liberté se contente de s’occuper de Philippe, moins expressif dans ses débordements.
C’est elle qui a servi les pilotes, ils mangent comme nous, le temps passé près d’eux me fait penser qu’elle a dû s’occuper de sucer Cri-Cri.
Je sais que lorsqu’il pilote, il veut toujours être près des commandes même si le pilote automatique est enclenché.
J’aurais bien été m’occuper d’Hamed, mais Gérard a une nouvelle idée saugrenue.
• Philippe et si nous faisions quelques putts avant l’arrivée !
• Ou tu vois un trou, pour faire entrer les balles.
• Facile, nous en avons deux à notre disposition.
Jennifer assied toi au sol jambes écartées et toi fait en de même près des toilettes.
Vos chattes seront les putts que nous aurons à trouver.
Sur air sexe liberté, j’ai fait beaucoup de choses pour plaire à nos clients, mais faire le trou de golf avec ma chatte, ça ce sera une première.
Voilà Gérard malgré qu’il soit bourré, a mis les trois quarts de ses balles au fond et pour nous à une demi-heure de notre arrivée aux Amériques, nous faisons sauter un dernier bouchon.
J’ignore comment va se poursuivre notre voyage, vu nos clients il sera certainement épique et je vous promets de venir vous conter nos aventures sur « air Sexe Liberté. »
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...