COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. L’occasionnelle (3/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. L’occasionnelle (3/5)
• Ma femme, ou est ma femme, que faisait-elle dans cet hôtel si près de notre maison !
• Calmez-vous monsieur, je pense que vous êtes Claude François le mari de Solange François qui vient d’être découverte morte ?
Une femme de ménage l’a trouvée allongée sur le lit dans la chambre voisine !
• Oui, ce sont vos flics qui sont venus qui m’ont annoncé au saut du lit, cette nouvelle qui m’a dévasté.
Hier, elle m’a envoyé un appel téléphonique vers 16 heures qu’elle se rendait chez sa mère qui avait un petit ennuie de santé et qu’elle y passerait la nuit.
Ce matin alors que je fumais ma clope sur le pas de ma porte, vos agents m’annoncent qu’elle a été retrouvée morte à quelques dizaines de kilomètres de chez nous dans cet hôtel.
• Ou étiez-vous après son coup de fil de votre femme, monsieur François et êtes-vous sorti ?
• Non, je suis resté chez moi, avec mon frère, je vous l’ai dit, je venais de me réveiller et je fumais ma clope à l’extérieur, Solange a horreur de l’odeur du tabac froid.
• Où est ce frère, on peut le joindre ?
• Bien sûr, lorsque vos policiers m’ont prévenu du malheur qui me frappe, il était dans sa chambre, je dois dire que nous avions un peu picolé, lui plus que moi et il doit encore dormir à cette heure.
• Messieurs, retournez chez monsieur François amenez-moi, comment s’appelle votre frère, vous c’est Claude ?
• Frédéric, il s’appelle Frédéric François et nous sommes jumeaux.
• Comme Frédéric François le chanteur belge d’origine italienne ?
• Oui, maman était fan de ces deux chanteurs ayant bercé sa jeunesse et comme notre nom de famille c’est François.
• Je devine la suite, je vous dirais bien que je sois inspecteur de police et qu’à ce titre, j’aie comme l’on dit beaucoup de flair !
Les larmes de cet homme on fait place à une froide maitrise de lui.
J’ai rarement vu un homme ayant perdu sa femme se reprendre aussi rapidement et montrer un visage déterminé.
• Puis-ce que vous êtes là et que vous me semblez reprendre pied sur terre, puis-je vous posez une autre petite question !
• Vous pouvez, je sais que j’ai fait des bêtises étant jeunes, que j’ai payés à la société, mais vous devez déjà le savoir, vous avez déjà dû regarder mon dossier.
Je sais comment fonctionne un interrogatoire surtout après avoir lu mes antécédents de jeunesse.
• Oui, c’est exact, mon collège m’a dit savoir tout ça, mais pour le moment inutile d’être sur la défensive.
Nous pensons que votre femme avait un amant avec lequel elle avait des jeux un peu poussés et quelle en est morte dans la chambre voisine.
• C’est impossible, j’ai connu Solange alors que j’étais en prison, nous avons correspondu et elle venait me voir au parloir, nous nous sommes mariés un an avant ma sortie et depuis nous étions très heureux.
• Même pas un peu de rudesse dans vos rapports, ici avant sa mort elle semblait bien se défouler, elle avait un amant qui la martyrisait, possédez-vous une cravache ?
• Quelle horreur, des jeux sado-masos pendant que vous y êtes, avec Solange nous avons eu des rapports plus que normaux.
Peut-être seulement quelques petites claques sur ses fesses, dans des moments de passion.
Vous devez savoir ce que sait, je vois que vous avez une alliance, votre mari vous fesse peut-être de temps en temps, Solange se prêtait simplement à cela.
Dans les interrogatoires, j’ai souvent entendu ceux qui sont potentiellement des bourreaux vouloir se faire passer pour des victimes et commencent d’en dire plus que de raison, sur ce qu’ils ont vécu, proche de la réalité.
Quant à Solange, elle faisait partie de ces femmes qui craque pour les mauvais garçons, vivant leurs fantasmes au fond de nos prisons en conversant ou en leur écrivant.
Prenez mon cas, Fred, si par un grand fait du hasard, le matin de mon repas prévu dans cet hôtel, semblant nous cacher quelques surprises.
Une envie présente m’ayant rapproché des toilettes de notre commissariat, assises sur la lunette, Yolande et Sylvie, rentrant après moi sont venues fumer elles aussi une petite cigarette.
Elles ont comparé leurs expériences avec Fred et c’est ainsi que j’ai su que j’avais affaire à un sérial niqueur qui voulait toutes nous accrocher à son tableau de chasse.
Sans elles, à cette heure, Jules porterait certainement des cornes et mes deux enfants une mère plutôt salope.
• Mais j’y pense, patron, j’étais venue vérifier une impression d’être passé près d’un élément primordial dans mon enquête, ouvrez-moi cette chambre.
• Je veux bien, mais que pouvez-vous trouver de plus, vous avez tout regardé.
C’est de plus en plus bizarre, qu’a-t-il pu se passer dans cette chambre mal entretenue, il finit par ouvrir.
• Martine, me revoilà, les deux agents sont revenus, ils sont à l’accueil.
La maison était vide, un voisin était dans son jardin, ils m’ont dit qu’il avait vu Frédéric François partir précipitamment après que nous soyons venus chercher ce monsieur Claude François !
J’ai autre chose à te montrer, les clients, ils étaient tous au deuxième pendant que cette femme se faisait étrangler au premier.
Tout à l’heure, la femme de ménage a parlé de cinq chambres à faire, ils étaient quatre à avoir loué, le registre l’atteste.
Ce registre, le voilà, je l’ai monté, tu peux regarder les quatre clients, surtout le lieu de résidence du second.
Le cinquième pourrait être l’assassin de Solange François !
Je consulte le registre et je peux lire.
• Le premier, Paul Gauguin, domicilié à Bar-le-Duc.
Lui, à part son nom rien de spécial.
Benoît Poelvoorde, Santenay, rue du chemin creux.
Santenay, 30 kilomètres entre Santenay et Beaune, mais moins de dix d’ici.
Qui vient coucher à moins de dix kilomètres de chez lui, sinon celui qui doit y rencontrer quelqu’un, nous tenons peut-être cet amant.
Fred, tu as raison ça c’est suspect, venir dormir dans un hôtel alors qu’on habite si prêt, rend toi à Santenay et ramène nous ce Benoît, si tu le trouves bien sûr !
J’ai de plus en plus de doute de ce qui est écrit sur votre registre, patron !
J’ai quelles questions à vous poser.
Fred nous quitte avec les deux agents en tenue.
• Entrons dans cette chambre 15, mon pif légendaire me fait comprendre qu’une grande partie de ce mystère se trouve là.
« Bon sang, mais c’est bien sûr ! »
Non, ça, c’est trop tôt pour la dire, Antoine Bourrel, l’inspecteur Bourrel disait cette phrase dans les « cinq dernières minutes » dans la fin des années 50.
C’était après réflexion, lorsqu’il avait analysé tous les éléments, que Claude Loursais faisait dire cette phrase à Raymond Souplex, celui qui incarnait Bourrel et sa pipe légendaire.
Aucune méprise, je suis trop jeune pour avoir connu en direct ces « cinq dernières minutes », mais ma grand-mère en était amoureuse et fan et avait toutes les cassettes mises sur le marché des années plus tard.
Elles ont bercé ma jeunesse et si j’ai choisi de devenir inspecteur de police, c’est grâce à elles, je les dévorais.
En pénétrant de nouveau dans la pièce, je sens que le mystère ayant entrainé la mort de Solange se trouve en partie là.
Je rumine me promenant de droite à gauche, regardant tous les éléments qui composent cette chambre.
C’est le mouvement que fait le patron de l’hôtel qui me met la puce à l’oreille.
La première fois où nous sommes venus, il se tenait de l’autre côté du lit en rapport du tableau qui y est accroché.
Qu’ai-je fait la première fois, c’est moi qui étais à cette place qu’il semble vouloir m’interdire ?
• Patron, repassez de l’autre côté du lit, je sens que j’approche de l’énigme qui m’a échappé.
Il s’exécute, mais je le sens encore plus crispé, qu’est-ce que ce bon sang de tableau veut me dire.
« Mais oui, mais c’est bien sûr ! »
Je l’ai remis droit, moi qui ai horreur des objets non alignée.
Ma mère a un meuble de salle à manger ancien avec des clefs pour ouvrir.
Chaque fois que j’y vais et que je les vois, je les redresse, c’est maladif chez moi.
Là, la phrase de Bourrel prend tout son sens lorsque je pousse le tableau et qu’une vitre m’apparait.
Il me reste encore une gendarmette près de moi, je lui donne un ordre.
• Isabelle, allez dans la chambre 13 allumer la lumière ou ouvrez le store de la fenêtre pour mettre de la lumière.
Euréka, que la lumière fut et décrochant le tableau, la glace dans laquelle je me suis regardé entre la chambre 13 et la chambre 15 est une glace sans tain.
De la pièce où je me tiens, j’ai tout loisir de voir, presque comme si j’y étais le lit ou le matelas a été retiré et toutes ces glaces même celle du plafond.
• Antoine, je t’avais bien dit qu’un jour nous aurions des problèmes lorsque tu m’as proposé de faire des films sur une salope se faisant défoncer.
• Monsieur qui êtes-vous.
• Martine, c’est monsieur Benoît Poelvoorde, que tu m’as demandé d’aller chercher à Santenay.
Nous avons eu de la chance, les noms sont faux sur le registre, c’est bien benoît, mais « Poulveau, » j’ai fait le rapprochement en voyant ce nom sur les boîtes aux lettres et je t’ai ramené ce monsieur avec en prime un appareil photo dernier modèle.
• Je vais tout vous dire, je connais ce monsieur qui est là !
Tiens, François tu as coupé ta barbe depuis cette nuit !
Cette remarque m’interpelle, mais je le laisse continuer.
• Il m’a proposé de faire des photos de sa femme qui aimait le masochisme et de venir dans cette chambre pendant qu’il la défoncerait.
J’ai payé très chère ces photos, c’est très rare de pouvoir en faire soi-même.
Lorsque je suis retourné dans ma chambre à l’étage supérieur, pour me délecter de ce que j’avais photographié, sa femme était bien vivante.
Une fois partie, j’ignore si les jeux ont continué, mais patron, vous avez frappé à nos portes, nous étions quatre à filmer.
Nous avons dû partir précipitamment, vous nous avez dit qu’un malheur venait d’arriver...
• Calmez-vous monsieur, je pense que vous êtes Claude François le mari de Solange François qui vient d’être découverte morte ?
Une femme de ménage l’a trouvée allongée sur le lit dans la chambre voisine !
• Oui, ce sont vos flics qui sont venus qui m’ont annoncé au saut du lit, cette nouvelle qui m’a dévasté.
Hier, elle m’a envoyé un appel téléphonique vers 16 heures qu’elle se rendait chez sa mère qui avait un petit ennuie de santé et qu’elle y passerait la nuit.
Ce matin alors que je fumais ma clope sur le pas de ma porte, vos agents m’annoncent qu’elle a été retrouvée morte à quelques dizaines de kilomètres de chez nous dans cet hôtel.
• Ou étiez-vous après son coup de fil de votre femme, monsieur François et êtes-vous sorti ?
• Non, je suis resté chez moi, avec mon frère, je vous l’ai dit, je venais de me réveiller et je fumais ma clope à l’extérieur, Solange a horreur de l’odeur du tabac froid.
• Où est ce frère, on peut le joindre ?
• Bien sûr, lorsque vos policiers m’ont prévenu du malheur qui me frappe, il était dans sa chambre, je dois dire que nous avions un peu picolé, lui plus que moi et il doit encore dormir à cette heure.
• Messieurs, retournez chez monsieur François amenez-moi, comment s’appelle votre frère, vous c’est Claude ?
• Frédéric, il s’appelle Frédéric François et nous sommes jumeaux.
• Comme Frédéric François le chanteur belge d’origine italienne ?
• Oui, maman était fan de ces deux chanteurs ayant bercé sa jeunesse et comme notre nom de famille c’est François.
• Je devine la suite, je vous dirais bien que je sois inspecteur de police et qu’à ce titre, j’aie comme l’on dit beaucoup de flair !
Les larmes de cet homme on fait place à une froide maitrise de lui.
J’ai rarement vu un homme ayant perdu sa femme se reprendre aussi rapidement et montrer un visage déterminé.
• Puis-ce que vous êtes là et que vous me semblez reprendre pied sur terre, puis-je vous posez une autre petite question !
• Vous pouvez, je sais que j’ai fait des bêtises étant jeunes, que j’ai payés à la société, mais vous devez déjà le savoir, vous avez déjà dû regarder mon dossier.
Je sais comment fonctionne un interrogatoire surtout après avoir lu mes antécédents de jeunesse.
• Oui, c’est exact, mon collège m’a dit savoir tout ça, mais pour le moment inutile d’être sur la défensive.
Nous pensons que votre femme avait un amant avec lequel elle avait des jeux un peu poussés et quelle en est morte dans la chambre voisine.
• C’est impossible, j’ai connu Solange alors que j’étais en prison, nous avons correspondu et elle venait me voir au parloir, nous nous sommes mariés un an avant ma sortie et depuis nous étions très heureux.
• Même pas un peu de rudesse dans vos rapports, ici avant sa mort elle semblait bien se défouler, elle avait un amant qui la martyrisait, possédez-vous une cravache ?
• Quelle horreur, des jeux sado-masos pendant que vous y êtes, avec Solange nous avons eu des rapports plus que normaux.
Peut-être seulement quelques petites claques sur ses fesses, dans des moments de passion.
Vous devez savoir ce que sait, je vois que vous avez une alliance, votre mari vous fesse peut-être de temps en temps, Solange se prêtait simplement à cela.
Dans les interrogatoires, j’ai souvent entendu ceux qui sont potentiellement des bourreaux vouloir se faire passer pour des victimes et commencent d’en dire plus que de raison, sur ce qu’ils ont vécu, proche de la réalité.
Quant à Solange, elle faisait partie de ces femmes qui craque pour les mauvais garçons, vivant leurs fantasmes au fond de nos prisons en conversant ou en leur écrivant.
Prenez mon cas, Fred, si par un grand fait du hasard, le matin de mon repas prévu dans cet hôtel, semblant nous cacher quelques surprises.
Une envie présente m’ayant rapproché des toilettes de notre commissariat, assises sur la lunette, Yolande et Sylvie, rentrant après moi sont venues fumer elles aussi une petite cigarette.
Elles ont comparé leurs expériences avec Fred et c’est ainsi que j’ai su que j’avais affaire à un sérial niqueur qui voulait toutes nous accrocher à son tableau de chasse.
Sans elles, à cette heure, Jules porterait certainement des cornes et mes deux enfants une mère plutôt salope.
• Mais j’y pense, patron, j’étais venue vérifier une impression d’être passé près d’un élément primordial dans mon enquête, ouvrez-moi cette chambre.
• Je veux bien, mais que pouvez-vous trouver de plus, vous avez tout regardé.
C’est de plus en plus bizarre, qu’a-t-il pu se passer dans cette chambre mal entretenue, il finit par ouvrir.
• Martine, me revoilà, les deux agents sont revenus, ils sont à l’accueil.
La maison était vide, un voisin était dans son jardin, ils m’ont dit qu’il avait vu Frédéric François partir précipitamment après que nous soyons venus chercher ce monsieur Claude François !
J’ai autre chose à te montrer, les clients, ils étaient tous au deuxième pendant que cette femme se faisait étrangler au premier.
Tout à l’heure, la femme de ménage a parlé de cinq chambres à faire, ils étaient quatre à avoir loué, le registre l’atteste.
Ce registre, le voilà, je l’ai monté, tu peux regarder les quatre clients, surtout le lieu de résidence du second.
Le cinquième pourrait être l’assassin de Solange François !
Je consulte le registre et je peux lire.
• Le premier, Paul Gauguin, domicilié à Bar-le-Duc.
Lui, à part son nom rien de spécial.
Benoît Poelvoorde, Santenay, rue du chemin creux.
Santenay, 30 kilomètres entre Santenay et Beaune, mais moins de dix d’ici.
Qui vient coucher à moins de dix kilomètres de chez lui, sinon celui qui doit y rencontrer quelqu’un, nous tenons peut-être cet amant.
Fred, tu as raison ça c’est suspect, venir dormir dans un hôtel alors qu’on habite si prêt, rend toi à Santenay et ramène nous ce Benoît, si tu le trouves bien sûr !
J’ai de plus en plus de doute de ce qui est écrit sur votre registre, patron !
J’ai quelles questions à vous poser.
Fred nous quitte avec les deux agents en tenue.
• Entrons dans cette chambre 15, mon pif légendaire me fait comprendre qu’une grande partie de ce mystère se trouve là.
« Bon sang, mais c’est bien sûr ! »
Non, ça, c’est trop tôt pour la dire, Antoine Bourrel, l’inspecteur Bourrel disait cette phrase dans les « cinq dernières minutes » dans la fin des années 50.
C’était après réflexion, lorsqu’il avait analysé tous les éléments, que Claude Loursais faisait dire cette phrase à Raymond Souplex, celui qui incarnait Bourrel et sa pipe légendaire.
Aucune méprise, je suis trop jeune pour avoir connu en direct ces « cinq dernières minutes », mais ma grand-mère en était amoureuse et fan et avait toutes les cassettes mises sur le marché des années plus tard.
Elles ont bercé ma jeunesse et si j’ai choisi de devenir inspecteur de police, c’est grâce à elles, je les dévorais.
En pénétrant de nouveau dans la pièce, je sens que le mystère ayant entrainé la mort de Solange se trouve en partie là.
Je rumine me promenant de droite à gauche, regardant tous les éléments qui composent cette chambre.
C’est le mouvement que fait le patron de l’hôtel qui me met la puce à l’oreille.
La première fois où nous sommes venus, il se tenait de l’autre côté du lit en rapport du tableau qui y est accroché.
Qu’ai-je fait la première fois, c’est moi qui étais à cette place qu’il semble vouloir m’interdire ?
• Patron, repassez de l’autre côté du lit, je sens que j’approche de l’énigme qui m’a échappé.
Il s’exécute, mais je le sens encore plus crispé, qu’est-ce que ce bon sang de tableau veut me dire.
« Mais oui, mais c’est bien sûr ! »
Je l’ai remis droit, moi qui ai horreur des objets non alignée.
Ma mère a un meuble de salle à manger ancien avec des clefs pour ouvrir.
Chaque fois que j’y vais et que je les vois, je les redresse, c’est maladif chez moi.
Là, la phrase de Bourrel prend tout son sens lorsque je pousse le tableau et qu’une vitre m’apparait.
Il me reste encore une gendarmette près de moi, je lui donne un ordre.
• Isabelle, allez dans la chambre 13 allumer la lumière ou ouvrez le store de la fenêtre pour mettre de la lumière.
Euréka, que la lumière fut et décrochant le tableau, la glace dans laquelle je me suis regardé entre la chambre 13 et la chambre 15 est une glace sans tain.
De la pièce où je me tiens, j’ai tout loisir de voir, presque comme si j’y étais le lit ou le matelas a été retiré et toutes ces glaces même celle du plafond.
• Antoine, je t’avais bien dit qu’un jour nous aurions des problèmes lorsque tu m’as proposé de faire des films sur une salope se faisant défoncer.
• Monsieur qui êtes-vous.
• Martine, c’est monsieur Benoît Poelvoorde, que tu m’as demandé d’aller chercher à Santenay.
Nous avons eu de la chance, les noms sont faux sur le registre, c’est bien benoît, mais « Poulveau, » j’ai fait le rapprochement en voyant ce nom sur les boîtes aux lettres et je t’ai ramené ce monsieur avec en prime un appareil photo dernier modèle.
• Je vais tout vous dire, je connais ce monsieur qui est là !
Tiens, François tu as coupé ta barbe depuis cette nuit !
Cette remarque m’interpelle, mais je le laisse continuer.
• Il m’a proposé de faire des photos de sa femme qui aimait le masochisme et de venir dans cette chambre pendant qu’il la défoncerait.
J’ai payé très chère ces photos, c’est très rare de pouvoir en faire soi-même.
Lorsque je suis retourné dans ma chambre à l’étage supérieur, pour me délecter de ce que j’avais photographié, sa femme était bien vivante.
Une fois partie, j’ignore si les jeux ont continué, mais patron, vous avez frappé à nos portes, nous étions quatre à filmer.
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