COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. L’occasionnelle (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. L’occasionnelle (5/5)
Qui entre dans cette chambre ?
Cette chambre où je suis venue avec mon équipe, mais surtout Fred mon adjoint au commissariat de police de Beaune en Côte d’Or.
À ce jour, depuis que j’ai rejoint cet hôtel de police, les affaires dont nous avons eu à nous occuper ce sont des simples vols de raisins, même si le préjudice au prix de l’hecto de jus peut mettre des exploitations en péril dans notre région viticole.
Surtout que Beaune, très connu par ses hospices et ses ventes à la bougie de pièces servant à entretenir l’hôpital de la ville est un risque sur son fonctionnement.
Les crus de Côte d’Or tels que ceux de Pommard, Gevrey-Chambertin plus près de Dijon, Meursault allant jusqu’à Santenay avant de basculer dans la côte chalonnaise ou là aussi mes collègues de la gendarmerie sont confrontés aux mêmes vols.
Les éternels chiens écrasés, volontairement ou non, sans oublier et ça c’est plus grave pour moi qui suis une femme, les violences conjugales de plus en plus fréquentes et de plus en plus dénoncé et à prendre en compte.
Pour garder une note d’humour, dans ce monde de plus en plus fou, Violeta, la fêlée du bocal de notre région qui au matin parcourt nos chemins de campagne pour démasquer les tueurs de hérissons.
Que les défenseurs ou défenseuses des animaux se calment, j’aime ces petites bêtes même si j’éviterais d’en mettre dans mon lit, mais, comment prouver qu’un hérisson était prioritaire tout comme un piéton même hors des passages cloutés.
Alors un décès suspect dans un hôtel, principal lieu de passage sur la route des vins entre la Côte d’Or dans le 21 et la Saône et Loire dans le 71, c’est une aubaine pour nous.
Je parle de décès suspect, car la femme décédée retrouvée dans une chambre à l’allure suspecte, est composée de plusieurs glaces sur les murs et même au plafond donnant une impression étrange dès que j’y rentre pour les premières constatations.
La femme découverte par la femme de ménage et le patron de l’hôtel, mais celui qui a son tour sur la vidéo je le vois entrer c’est lui, le patron.
• Fred je viens t’aider, cette salope semble moins prédisposée à aller plus loin pour que nos clients en aient pour leur argent !
Il la ceinture et Frédéric François lui passe la laisse autour de son cou, la tirant en arrière, la boucle se referme de plus jusqu’à lui faire sortir les yeux de la tête.
Quant à la boule lui obstruant la bouche, on voit qu’elle recherche à respirer chaque fois que la laisse se détend.
Il la relâche une dizaine de fois, elle se redresse et il finit par l’enculer.
J’arrête là, on comprend la suite et comment elle passe de vie à trépas.
Deux minutes et la panique s’empare des protagonistes, les images s’arrêtent là, c’est bien Frédéric François qui a tué cette femme dans des moments de sadomasochiste.
Je fais entrer Frédéric François et le patron et nous leur montrons les images implacables, que faut-il de plus comme preuves ?
• Madame, je persiste à dire, que c’est mon frère qui est sur ce film, comparer les ADNs, vous verrez bien que j’ai raison.
• J’ai appelé notre service à Dijon, ils ont bien retrouvé de l’ADN sur le matelas, mais vous êtes malin, ils m’ont expliqué que l’ADN de jumeaux était identique et vous devez le savoir !
J’ai vu sur votre profil que vous aviez fait des études dans ces domaines dès votre plus jeune âge, vous vous sentez très fort, mais nous verrons si le juge et les jurés ont le même avis que vous.
À part Claude François, tous sont déférés à un juge d’instruction pour avoir donné la mort à cette femme sans pour autant l’avoir souhaité pour certains de ces pervers qui filmait.
Quoique, jusqu’à ou allaient les contrats.
Nous retrouvons les quatre photographes où les tourneurs de vidéos, c’est à cause de ce genre de type et le pognon qu’ils leur donnaient que Solange est morte, ils ont donc une grande part de responsabilité.
Un autre point dans cette vidéo, les bougies allumées qu’ils avaient enlevées, je les vois clairement brûler lorsque le patron vient donner mains fortes à Frédéric François, il refuse l’irréfutable, mais le juge démêlera ce point de litige.
Pour moi et Fred mon adjoint, l’affaire s’arrête là pour la soirée où Solange a perdu la vie, la justice à Dijon tranchera, je fais part de ma constatation sur la peau bronzée de Claude François.
• Fred, dis-moi, as-tu déjà fait parvenir les scellés à Dijon ?
• Non, elles sont dans mon bureau, je pensais les envoyer demain matin.
• Va chercher le passe du patron de l’hôtel, j’ai encore quelque chose à aller vérifier avec toi, après nous pourrons clore la partie nous revenant, je suis fière de vous qui m’avez aidé à voir clair dans cette affaire.
On pourrait trouver bizarre cette demande, que vais-je chercher dans cet hôtel qui se trouve obligatoirement fermé après l’incarcération de son patron ?
À l’étage, j’ouvre la porte de la chambre avec des glaces.
• Fred, j’ai une chose à voir, peux-tu ouvrir la porte de la chambre d’en face toi qui est fort, ramène le matelas même sans les draps.
Ce qui est bien avec Fred, c’est qu’il exécute mes ordres sans poser de question.
Lorsqu’il revient portant à bout de bras le matelas, j’ai eu le temps de me dénuder.
• Place le sur ce sommier !
Ses yeux visent ma chatte, si je passe ma main sur sa braguette je suis certaine qu’il bande.
Le matelas en place, je m’allonge, en écartant mes cuisses.
La sensation de voir ma chatte et mes seins au-dessus de moi, me fait admettre que je coule d’envie.
Fred un instant étonné se reprend et me montre quel amant il est.
Je sais, Jules mon mari, pourquoi aujourd’hui et non la première fois où Fred m’a invité à manger espérant me bouffer la chatte comme il me l’a bouffe en ce moment.
On l’a compris, depuis j’ai découvert les glaces dans cette chambre.
Un point de détail, mais qu’il m’est impossible de combler, j’ai cru comprendre que Solange était volontaire dans la première partie de la soirée.
J’aimerais que quelqu’un me regarde derrière cette glace que je croyais sans tain la première fois où je l’ai vu.
Au moment où je jouis, sous la langue de Fred, j’ai l’impression qu’une ombre bouge dans la chambre voisine !
C’est le moment où il remonte sa verge jusqu’à ma bouche.
Je le prends en main, Jules a beaucoup à gagner s’il veut être aussi puissant que mon amant du moment.
Du moment, je le jure, ce sera le seul, je voulais tester les glaces.
Tout en le masturbant et en le suçant, je peux jeter un coup d’œil à droite et à gauche, j’ai des dizaines, non, des centaines voire plus de verge dans ma bouche.
Fred doit sentir qu’il va éjaculer, car de lui-même il se retire et récupère son jean avant de prendre un préservatif dans sa poche.
Je vais être franche, c’est la première fois que je vois un étui de capote de mes yeux.
Avec Jules, nous avions fait des contrôles avant de faire l’amour.
Un expert, il l’a place et la déroule en un tour de main, il se présente à l’entrée de ma grotte et d’un coup puissant il me transperce.
Là encore, j’ai le temps de voir toutes ces bites, combien d’hommes vont me prendre cet après-midi ?
Ai-je jamais autant joui sous la puissance des coups de mon adjoint, je l’ignore, mais j’ai l’impression d’être épié.
Est-ce l’effet des glaces, démultipliant mon amant, j’ai un très bel orgasme, prodigué par ces multitudes de bites en moi, bien que celle de Fred soit seule.
Je me lève, je fais celle qui va dans la salle de bain, j’aurais bien voulu faire redescendre la pression lentement comme j’ai l’habitude de le faire avec Jules, mes orgasmes sont toujours un moment important de ma vie.
Je récupère mon arme, j’ouvre la porte et je clenche à la chambre 15.
Elle est ouverte, j’entre et j’allume, elle est dans le noir.
• Madame Martine, c’est moi Martha, épargnez-moi !
• Que faite vous dans cette chambre dans le noir, l’hôtel est fermé, votre patron est parti en prison, vous avez perdu votre emploi.
• C’est justement pour cela que je suis revenue ayant la clef, je suis rentrée par la porte de service.
Je voulais aller dans le bureau du patron lorsque je vous ai entendu arriver sans savoir que c’était vous.
Je suis venue dans cette chambre, avant d’appeler la police.
• Et vous m’avez vu avec mon adjoint.
• Je vous ai vue, non, vous vous trompez, je pourrais le jurer, on m’a toujours appris à m’occuper de mes affaires.
• Je vais me renseigner pour que vous touchiez votre argent avant si je me souviens bien de retourner dans votre pays.
• C’est inutile, je suis allée dans le bureau, j’ai récupéré les sous qu’il me devait, je savais où il cachait l’argent de ces soirées ayant couté la vie à cette pauvre femme.
Elle a un sac à main à sa main, je le récupère sans qu’elle pose le moindre geste de révolte.
Des billets, une véritable liasse, certainement la somme versée par les voyeurs pour filmer la scène ayant entrainé la mort de cette pauvre femme.
• Vous semblez bien gagner votre vie dans cet hôtel, bon partez, ça couvrira largement vos frais de licenciement.
Suis-je généreuse ?
Non, si j’avais saisi cet argent, j’aurais été obligé de faire un rapport mon enquête étant déjà bouclée.
J’aurais été obligé d’expliquer à mon commissaire, deux choses.
Pourquoi, nous avions oublié cet argent dans le bureau même s’il était bien caché alors que nous avions perquisitionné et surtout pourquoi je m’étais servi de scellés pour revenir dans cet hôtel avec Fred mon adjoint ?
Cette chambre où je suis venue avec mon équipe, mais surtout Fred mon adjoint au commissariat de police de Beaune en Côte d’Or.
À ce jour, depuis que j’ai rejoint cet hôtel de police, les affaires dont nous avons eu à nous occuper ce sont des simples vols de raisins, même si le préjudice au prix de l’hecto de jus peut mettre des exploitations en péril dans notre région viticole.
Surtout que Beaune, très connu par ses hospices et ses ventes à la bougie de pièces servant à entretenir l’hôpital de la ville est un risque sur son fonctionnement.
Les crus de Côte d’Or tels que ceux de Pommard, Gevrey-Chambertin plus près de Dijon, Meursault allant jusqu’à Santenay avant de basculer dans la côte chalonnaise ou là aussi mes collègues de la gendarmerie sont confrontés aux mêmes vols.
Les éternels chiens écrasés, volontairement ou non, sans oublier et ça c’est plus grave pour moi qui suis une femme, les violences conjugales de plus en plus fréquentes et de plus en plus dénoncé et à prendre en compte.
Pour garder une note d’humour, dans ce monde de plus en plus fou, Violeta, la fêlée du bocal de notre région qui au matin parcourt nos chemins de campagne pour démasquer les tueurs de hérissons.
Que les défenseurs ou défenseuses des animaux se calment, j’aime ces petites bêtes même si j’éviterais d’en mettre dans mon lit, mais, comment prouver qu’un hérisson était prioritaire tout comme un piéton même hors des passages cloutés.
Alors un décès suspect dans un hôtel, principal lieu de passage sur la route des vins entre la Côte d’Or dans le 21 et la Saône et Loire dans le 71, c’est une aubaine pour nous.
Je parle de décès suspect, car la femme décédée retrouvée dans une chambre à l’allure suspecte, est composée de plusieurs glaces sur les murs et même au plafond donnant une impression étrange dès que j’y rentre pour les premières constatations.
La femme découverte par la femme de ménage et le patron de l’hôtel, mais celui qui a son tour sur la vidéo je le vois entrer c’est lui, le patron.
• Fred je viens t’aider, cette salope semble moins prédisposée à aller plus loin pour que nos clients en aient pour leur argent !
Il la ceinture et Frédéric François lui passe la laisse autour de son cou, la tirant en arrière, la boucle se referme de plus jusqu’à lui faire sortir les yeux de la tête.
Quant à la boule lui obstruant la bouche, on voit qu’elle recherche à respirer chaque fois que la laisse se détend.
Il la relâche une dizaine de fois, elle se redresse et il finit par l’enculer.
J’arrête là, on comprend la suite et comment elle passe de vie à trépas.
Deux minutes et la panique s’empare des protagonistes, les images s’arrêtent là, c’est bien Frédéric François qui a tué cette femme dans des moments de sadomasochiste.
Je fais entrer Frédéric François et le patron et nous leur montrons les images implacables, que faut-il de plus comme preuves ?
• Madame, je persiste à dire, que c’est mon frère qui est sur ce film, comparer les ADNs, vous verrez bien que j’ai raison.
• J’ai appelé notre service à Dijon, ils ont bien retrouvé de l’ADN sur le matelas, mais vous êtes malin, ils m’ont expliqué que l’ADN de jumeaux était identique et vous devez le savoir !
J’ai vu sur votre profil que vous aviez fait des études dans ces domaines dès votre plus jeune âge, vous vous sentez très fort, mais nous verrons si le juge et les jurés ont le même avis que vous.
À part Claude François, tous sont déférés à un juge d’instruction pour avoir donné la mort à cette femme sans pour autant l’avoir souhaité pour certains de ces pervers qui filmait.
Quoique, jusqu’à ou allaient les contrats.
Nous retrouvons les quatre photographes où les tourneurs de vidéos, c’est à cause de ce genre de type et le pognon qu’ils leur donnaient que Solange est morte, ils ont donc une grande part de responsabilité.
Un autre point dans cette vidéo, les bougies allumées qu’ils avaient enlevées, je les vois clairement brûler lorsque le patron vient donner mains fortes à Frédéric François, il refuse l’irréfutable, mais le juge démêlera ce point de litige.
Pour moi et Fred mon adjoint, l’affaire s’arrête là pour la soirée où Solange a perdu la vie, la justice à Dijon tranchera, je fais part de ma constatation sur la peau bronzée de Claude François.
• Fred, dis-moi, as-tu déjà fait parvenir les scellés à Dijon ?
• Non, elles sont dans mon bureau, je pensais les envoyer demain matin.
• Va chercher le passe du patron de l’hôtel, j’ai encore quelque chose à aller vérifier avec toi, après nous pourrons clore la partie nous revenant, je suis fière de vous qui m’avez aidé à voir clair dans cette affaire.
On pourrait trouver bizarre cette demande, que vais-je chercher dans cet hôtel qui se trouve obligatoirement fermé après l’incarcération de son patron ?
À l’étage, j’ouvre la porte de la chambre avec des glaces.
• Fred, j’ai une chose à voir, peux-tu ouvrir la porte de la chambre d’en face toi qui est fort, ramène le matelas même sans les draps.
Ce qui est bien avec Fred, c’est qu’il exécute mes ordres sans poser de question.
Lorsqu’il revient portant à bout de bras le matelas, j’ai eu le temps de me dénuder.
• Place le sur ce sommier !
Ses yeux visent ma chatte, si je passe ma main sur sa braguette je suis certaine qu’il bande.
Le matelas en place, je m’allonge, en écartant mes cuisses.
La sensation de voir ma chatte et mes seins au-dessus de moi, me fait admettre que je coule d’envie.
Fred un instant étonné se reprend et me montre quel amant il est.
Je sais, Jules mon mari, pourquoi aujourd’hui et non la première fois où Fred m’a invité à manger espérant me bouffer la chatte comme il me l’a bouffe en ce moment.
On l’a compris, depuis j’ai découvert les glaces dans cette chambre.
Un point de détail, mais qu’il m’est impossible de combler, j’ai cru comprendre que Solange était volontaire dans la première partie de la soirée.
J’aimerais que quelqu’un me regarde derrière cette glace que je croyais sans tain la première fois où je l’ai vu.
Au moment où je jouis, sous la langue de Fred, j’ai l’impression qu’une ombre bouge dans la chambre voisine !
C’est le moment où il remonte sa verge jusqu’à ma bouche.
Je le prends en main, Jules a beaucoup à gagner s’il veut être aussi puissant que mon amant du moment.
Du moment, je le jure, ce sera le seul, je voulais tester les glaces.
Tout en le masturbant et en le suçant, je peux jeter un coup d’œil à droite et à gauche, j’ai des dizaines, non, des centaines voire plus de verge dans ma bouche.
Fred doit sentir qu’il va éjaculer, car de lui-même il se retire et récupère son jean avant de prendre un préservatif dans sa poche.
Je vais être franche, c’est la première fois que je vois un étui de capote de mes yeux.
Avec Jules, nous avions fait des contrôles avant de faire l’amour.
Un expert, il l’a place et la déroule en un tour de main, il se présente à l’entrée de ma grotte et d’un coup puissant il me transperce.
Là encore, j’ai le temps de voir toutes ces bites, combien d’hommes vont me prendre cet après-midi ?
Ai-je jamais autant joui sous la puissance des coups de mon adjoint, je l’ignore, mais j’ai l’impression d’être épié.
Est-ce l’effet des glaces, démultipliant mon amant, j’ai un très bel orgasme, prodigué par ces multitudes de bites en moi, bien que celle de Fred soit seule.
Je me lève, je fais celle qui va dans la salle de bain, j’aurais bien voulu faire redescendre la pression lentement comme j’ai l’habitude de le faire avec Jules, mes orgasmes sont toujours un moment important de ma vie.
Je récupère mon arme, j’ouvre la porte et je clenche à la chambre 15.
Elle est ouverte, j’entre et j’allume, elle est dans le noir.
• Madame Martine, c’est moi Martha, épargnez-moi !
• Que faite vous dans cette chambre dans le noir, l’hôtel est fermé, votre patron est parti en prison, vous avez perdu votre emploi.
• C’est justement pour cela que je suis revenue ayant la clef, je suis rentrée par la porte de service.
Je voulais aller dans le bureau du patron lorsque je vous ai entendu arriver sans savoir que c’était vous.
Je suis venue dans cette chambre, avant d’appeler la police.
• Et vous m’avez vu avec mon adjoint.
• Je vous ai vue, non, vous vous trompez, je pourrais le jurer, on m’a toujours appris à m’occuper de mes affaires.
• Je vais me renseigner pour que vous touchiez votre argent avant si je me souviens bien de retourner dans votre pays.
• C’est inutile, je suis allée dans le bureau, j’ai récupéré les sous qu’il me devait, je savais où il cachait l’argent de ces soirées ayant couté la vie à cette pauvre femme.
Elle a un sac à main à sa main, je le récupère sans qu’elle pose le moindre geste de révolte.
Des billets, une véritable liasse, certainement la somme versée par les voyeurs pour filmer la scène ayant entrainé la mort de cette pauvre femme.
• Vous semblez bien gagner votre vie dans cet hôtel, bon partez, ça couvrira largement vos frais de licenciement.
Suis-je généreuse ?
Non, si j’avais saisi cet argent, j’aurais été obligé de faire un rapport mon enquête étant déjà bouclée.
J’aurais été obligé d’expliquer à mon commissaire, deux choses.
Pourquoi, nous avions oublié cet argent dans le bureau même s’il était bien caché alors que nous avions perquisitionné et surtout pourquoi je m’étais servi de scellés pour revenir dans cet hôtel avec Fred mon adjoint ?
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’attends la suite avec impatience. 😊
La chipie
La chipie
Il y aura des suites de cette série
Et le mari de la femme morte, pourquoi elle se prostituait d’ailleurs ?
Pourquoi la flic s’est tapé 1 amant ? Remarque il vaut mieux ne rien dire. 🤷♀️
Pourquoi la flic s’est tapé 1 amant ? Remarque il vaut mieux ne rien dire. 🤷♀️