COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (1/5)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (1/5)
Martine est de retour ayant énormément changé sa vie.
Toujours inspecteur à Beaune et pute pour Olaf le macro qu’elle était censée démasquer.
Cinq premiers chapitres, comme pour l’histoire précédente, avant de croiser avec cette histoire, le temps de l’écriture.
« Martine, tu te rends à Dijon, hôtel Mercure près du lac de Kir chambre 222.
Olaf compte sur toi, soit à la hauteur. »
C’est le message que j’attendais, je me demandais quand Olaf m’enverrait sur le terrain pour concrétiser ma soumission étant devenue une pute à son service.
Dijon, la porte d’à côté, combien une demi-heure par l’autoroute sans utiliser le gyrophare, inutile de me faire remarquer par quelques collègues que ce soit.
Mon retour du Nord m’a vacciné surtout que je peux toujours prétendre que je continue ma mission d’infiltration.
J’arrive à l’hôtel ayant longé le lac, bien connu car un blanc cassis a fait de kir, une boisson appréciée dans bon nombre de pays.
Le chanoine du même nom en a fait la réputation, il aurait été un fervent consommateur de ce breuvage.
• Martine vous ici, j’attendais une autre jeune femme !
• Non, c’est bien moi qui suis là pour vous satisfaire !
• Je savais Olaf Boroski un maître pour faire comprendre à des femmes de travailler pour nous, mais retourner l'inspectrice que j’ai été contraint de désigner pour l’infiltrer dans notre propre organisation, chapeau l’artiste.
• La règle veut que je taise qui vous êtes, monsieur !
Mais oui, on se connaît, c’est moi Martine l’inspecteur de Beaune, qu’Olaf a fait entrer dans son équipe de prostituer de luxe !
• Soulève ta mini, je veux voir si tu cherches à me piéger !
Merde, tu as bien les colombes enlacées incrustées sur ton cul.
Je le redis salut l’artiste, je m’attendais à tous lorsque je t’ai reçu pour te confier ta mission, mais de voir les deux colombes inversées gravées au fer rouge sur ta fesse, c’est impressionnant.
Je sais qu’il est intransigeant.
Si tu es là, c’est que je ne crains rien, sinon il t’aurait fait passer par-dessus bord, comme deux de nos putes qui ont voulu lui faire prendre des vessies pour des lanternes.
Je m’appelle Martine Durand avec un « D, » vous me connaissiez comme inspecteur de la police nationale basé à Beaune en Côte d’Or.
En prime aujourd’hui vous avez toujours l’inspecteur, j’ai réussi à garder mon poste à Beaune, mais en plus vous avez une pute de luxe, ici, dans cette chambre pour améliorer ma retraite lorsque le moment sera venu.
• Bien, c’est sympa de parler avec vous, mais les 5 000 € que vous avez payés, je suis là pour nous les faire gagner.
• Une dernière question, avant que je te m’occupe de toi à ma façon, tu as raison, nous sommes là pour ça et non pour enfiler des perles.
Pourquoi as-tu basculé ?
• Ce serait insultant de vous traiter de pauvre con, monsieur, sauf votre respect.
Je vais vous répondre franchement, j’ai pris conscience du peu d’argent que je touchais de l’état comme inspecteur et je veux me préparer une retraite dorée pour mes vieux jours.
Avec ce que je touche, je pense me retirer lorsque Olaf me le permettra et m’acheter un petit mas dans le sud de la France où j’élèverais des chevaux.
Bon ouvrez votre braguette, Olaf dit que je suis la meilleure suceuse de son groupe d’escorte ou de pute si vous préférez, l’un ou l’autre de ces mots ne m’embête pas du moment que j’améliore mon ordinaire !
Mon haut dignitaire dijonnais, celui que l’on dit ayant pour ambition de viser le poste à Beauvau si un remaniement se produit, se payait mes services et à quel prix.
C’est lui dont je suis ici pour lui sucer la queue pour 1 500 €, 30 % des 5 000 € qu’il a payés pour me sauter.
Les 3 500 € restants allant à Olaf, c’est normal, il nous trouve nos clients ou clientes, des gens de haut rang, qui payent rubis sur l’ongle les fortes sommes que notre cul vos.
La preuve m’en est donnée, dès ma première passe avec mon supérieur dijonnais.
Nul doute qu’Olaf m’a désigné pour cette première passe pour me montrer la puissance de ceux qui le financent.
Je sais que des salopes convoitent aussi nos jolies fesses marquées au fer rouge par ce même Olaf sur son yach.
• Comment voulez-vous me baiser en levrette Robert, pardon ton nom m’a échappé !
• En levrette, ce serait si simple !
Pour mon nom entre nous, tu peux même m’appeler commissaire principal Robert Lyon, un coup de fil si tu déconnes et on te retrouve noyée dans une des nombreuses mers qui bordent notre beau pays.
Que j’aime voir ces colombes lorsque tu me les montres si gentiment.
La menace est indirecte, il me dit ce qui fera avec sa verge étant bien au fond de ma chatte.
Mais faire allusion au bain que je pourrais prendre alors que j’ai évité d’en prendre un au large de Bordeaux, ça me montre le peu de cas que cet homme fait de la vie humaine.
• Si tu crois que pour moi sauter une salope, j’ai besoin d’une petite arriviste comme toi, cela sera d’une facilité enfantine et ne vaudrait pas l’argent que ça me coute.
Moi les jeux auxquels je me livre sont bien plus avilissants pour toi ou pour moi.
Fou toi à poils, j’en fais de même.
J’enlève mes affaires, je lui présente ma vulve, j’avais reçu un ordre il y a quelques semaines et sans savoir pourquoi, je l’avais exécuté.
• Je vois que tu as respecté la consigne que je donne à chaque fois que je fais venir une pute de ton calibre.
Tu as laissé fleurir ta pilosité et c’est un véritable tablier de sapeur que tu me présentes.
J’ai une sainte horreur de deux choses, les jeunes pucelles, elles sont souvent des sources d’emmerdes, ce fut le cas de celle de Dunkerque.
Olaf croisait au large pendant que je faisais une visite d’inspection dans la région du Nord de la France.
Je suis revenue dans mon hôtel et je l’ai surprise à fouiller dans un tas de papiers sur le bureau dans ma chambre alors qu’elle m’attendait.
Deux heures après, Olaf l’avait récupéré et envoyer manger les poissons en pleine mer.
Comme il va de soi, c’est après qu’il a enquêté et il s’est avéré que s’était simplement de la curiosité.
Elle est morte, mais hélas trop tard pour l’absoudre de sa négligence.
Si je te parle de ça, c’est pour te faire comprendre qui nous sommes et que vous n’êtes que de vagues morceaux de chair pour les gens friqués comme nous.
Je sentais bien, que ces mots avaient un sens, ce mot, c’est, « laisse-toi baiser, prend ton fric et surtout ferme ta gueule. »
Je comprenais le degré de perversité de cet homme, capable de m’avouer à moi la flic que ce sont des gens prêt à tuer l’avouant même à un inspecteur de police.
Je pourrais être terrifiée, mais d’un autre côté ça me rassure de voir le degré de prise de décision aussi rapide, protégeant ainsi la flic et la pute que je suis.
Il se présente nu comme moi, il doit être très sportif car à son âge disons 45 à 50 ans, Ronaldo le footballeur portugais rivalise avec ses tablettes de chocolat.
• Viens dans la salle de bain, c’est une pièce que j’ai fait spécialement aménager pour avoir des rapports avec toi, d’un tout autre genre, qu’une simple baise.
Toute la journée et jusqu’au week-end, vu mon rang, ces connards se mettant à quatre pattes devant moi, je vais te faire voir comment je leur pise à la gueule.
Le degré de perversité des mots que le commissaire principal emploi son si cru que je sens que les 1 500 € ce sera par une expérience bien différente que ce que j’avais imaginé que je vais les gagner.
• À genoux et ouvre ta bouche, je vais te pisser à la gueule, avale le maximum du nectar que ma vessie est capable de te fournir.
Aussitôt dit aussitôt fait, je me mets sur mes genoux et j’ouvre ma bouche.
Le premier jet, trop puissant, m’arrive dans l’œil, c’est chaud, mais la surprise passée, les premières giclées entrent dans ma bouche m’obligeant à déglutir.
J’avance ma main, afin de rediriger le jet et réussir à avaler les giclées suivantes.
J’ai toujours mon bracelet Pendora, l’une des giclées l’atteignant.
Il est fixé solidement et je sais qu’il résiste à l’eau lorsque je me lave les mains.
Un homme est un homme, sa pisse finit par se tarir.
Mais c’est là qu’il s’allonge sur le sol ou les filets d’urine se dirigent au centre de la pièce d’eau ou se trouvent le siphon, grâce à la légère pente.
J’ai vu des douches à l’Italienne, là, c’est l’une d’elles, mais couvrant l’intégralité de la pièce.
• J’espère que tu as suivi les ordres et que tu te retiens depuis longtemps et que tu as une grosse envie.
Gicle-moi sur tout le corps de ton urine, tu fais comme moi, vise ma bouche, j’ai une immense soif de boire ton pipi.
Un homme puissant au sol en carrelage légèrement pentu, un homme allongé, moi, les jambes écartées au-dessus de lui, écartant mes lèvres vaginales, je dirige mon jet droit dans ma cible.
Il était temps, j’étais à deux doigts de faire pipi dans ma petite culotte.
Je vais de sa figure à sa verge, qui lorsque mon urine la touche se tend de plus en plus.
Mes besoins terminés, je suis à deux doigts de me demander s’il ne va pas me dire de déféquer sur lui.
Ouf, prestement il se relève et m’empoignant me fait redescendre d’un étage, se masturbe tellement vite qu’il finit par me gicler sur ma figure.
Contre toute attente, il pousse des cris de singes comme ceux, vu il y a quelques années au zoo de Thoiry.
En quelques secondes, mon visage est couvert de sperme au point où j’ai un œil de collé par l’une des giclées que sa bite expulse.
• Prends ton temps pour te laver, j’ai une réunion de la plus haute importance au ministère dans quelques minutes.
Il quitte la pièce sans se laver.
La porte est ouverte, il s’habille en tenue de sortie pour nous les flics et sors me laissant seule dans cette chambre ou sur une table de travail il y a un paquet de document.
Le message concernant le bain non voulut qu’une des putes aurait subi au large de Dunkerque me dissuade de farfouiller, même de les regarder.
J’ai déjà fait l’expérience des méthodes d’Olaf et de ses hommes de main, qui me dit que dans ces pièces, des caméras ne sont pas là pour espionner mes gestes et voir si je suis franche du collier.
J’ai parlé de mon Pandora, l’eau douce je sais qu’il ne risque rien, ce serait trop bête de le perdre alors que c’est ma fille qui me l’a offert.
Dans l’eau de mer, je préfère éviter d’en faire le test, même si en plus, je suis à plus de 10 kilomètres des côtes.
Je me douche en ouvrant l’eau en position moyenne.
L’eau qui me coule dessus est froide, je pense que c’est voulu, il teste ma résistance, mais ce ne sera pas moi qui baisserai pavillon.
Je suis devenue une salope, cette nouvelle et première passe me montrant un jour nouveau sur la sexualité.
Après ça, la réponse de Jules a sa possible pédophilie.
Même si c’est au Japon où la majorité sexuelle semble plus jeune d’une année que dans notre pays, me ramène à son niveau en ayant pris gout à boire la pisse de mon supérieur hiérarchique.
• Au fait, j’ai oublié de te demander quelque chose, vu ta position et ce que tu es capable d’accepter, peux-tu me rendre un grand service ?
• Que voulez-vous, mais il faudra qu’Olaf soit au courant et touche sa part sur ce que cela va vous coûter ?
• Sans problème, il s’agirait de séduire une femme mariée de faire des photos de ce que tu seras capable de lui faire faire surtout si c’est hard.
Il te suffira de me les envoyer, je m’occupe du reste.
• Et qui est cette femme ?
• Françoise Loréal la femme qui dirige l’institut des hautes études françaises.
Si tu réussis à la faire virer sans que j’apparaisse, Olaf et toi vous recevrez une somme très supérieure à celle que j’ai payée aujourd’hui.
C’est à ça que vous servez, nos putes et votre mac, capable d’aider l’état à se débarrasser de cafards se croyant tout permis car ils ont un soupçon d’autorité.
Cette salope de Loréal travaille à Paris, mais tous ses week-ends, elle les passe à Besançon où elle rejoint son compagnon Ludovic, haut placé à la préfecture dans ce département du Doubs...
Toujours inspecteur à Beaune et pute pour Olaf le macro qu’elle était censée démasquer.
Cinq premiers chapitres, comme pour l’histoire précédente, avant de croiser avec cette histoire, le temps de l’écriture.
« Martine, tu te rends à Dijon, hôtel Mercure près du lac de Kir chambre 222.
Olaf compte sur toi, soit à la hauteur. »
C’est le message que j’attendais, je me demandais quand Olaf m’enverrait sur le terrain pour concrétiser ma soumission étant devenue une pute à son service.
Dijon, la porte d’à côté, combien une demi-heure par l’autoroute sans utiliser le gyrophare, inutile de me faire remarquer par quelques collègues que ce soit.
Mon retour du Nord m’a vacciné surtout que je peux toujours prétendre que je continue ma mission d’infiltration.
J’arrive à l’hôtel ayant longé le lac, bien connu car un blanc cassis a fait de kir, une boisson appréciée dans bon nombre de pays.
Le chanoine du même nom en a fait la réputation, il aurait été un fervent consommateur de ce breuvage.
• Martine vous ici, j’attendais une autre jeune femme !
• Non, c’est bien moi qui suis là pour vous satisfaire !
• Je savais Olaf Boroski un maître pour faire comprendre à des femmes de travailler pour nous, mais retourner l'inspectrice que j’ai été contraint de désigner pour l’infiltrer dans notre propre organisation, chapeau l’artiste.
• La règle veut que je taise qui vous êtes, monsieur !
Mais oui, on se connaît, c’est moi Martine l’inspecteur de Beaune, qu’Olaf a fait entrer dans son équipe de prostituer de luxe !
• Soulève ta mini, je veux voir si tu cherches à me piéger !
Merde, tu as bien les colombes enlacées incrustées sur ton cul.
Je le redis salut l’artiste, je m’attendais à tous lorsque je t’ai reçu pour te confier ta mission, mais de voir les deux colombes inversées gravées au fer rouge sur ta fesse, c’est impressionnant.
Je sais qu’il est intransigeant.
Si tu es là, c’est que je ne crains rien, sinon il t’aurait fait passer par-dessus bord, comme deux de nos putes qui ont voulu lui faire prendre des vessies pour des lanternes.
Je m’appelle Martine Durand avec un « D, » vous me connaissiez comme inspecteur de la police nationale basé à Beaune en Côte d’Or.
En prime aujourd’hui vous avez toujours l’inspecteur, j’ai réussi à garder mon poste à Beaune, mais en plus vous avez une pute de luxe, ici, dans cette chambre pour améliorer ma retraite lorsque le moment sera venu.
• Bien, c’est sympa de parler avec vous, mais les 5 000 € que vous avez payés, je suis là pour nous les faire gagner.
• Une dernière question, avant que je te m’occupe de toi à ma façon, tu as raison, nous sommes là pour ça et non pour enfiler des perles.
Pourquoi as-tu basculé ?
• Ce serait insultant de vous traiter de pauvre con, monsieur, sauf votre respect.
Je vais vous répondre franchement, j’ai pris conscience du peu d’argent que je touchais de l’état comme inspecteur et je veux me préparer une retraite dorée pour mes vieux jours.
Avec ce que je touche, je pense me retirer lorsque Olaf me le permettra et m’acheter un petit mas dans le sud de la France où j’élèverais des chevaux.
Bon ouvrez votre braguette, Olaf dit que je suis la meilleure suceuse de son groupe d’escorte ou de pute si vous préférez, l’un ou l’autre de ces mots ne m’embête pas du moment que j’améliore mon ordinaire !
Mon haut dignitaire dijonnais, celui que l’on dit ayant pour ambition de viser le poste à Beauvau si un remaniement se produit, se payait mes services et à quel prix.
C’est lui dont je suis ici pour lui sucer la queue pour 1 500 €, 30 % des 5 000 € qu’il a payés pour me sauter.
Les 3 500 € restants allant à Olaf, c’est normal, il nous trouve nos clients ou clientes, des gens de haut rang, qui payent rubis sur l’ongle les fortes sommes que notre cul vos.
La preuve m’en est donnée, dès ma première passe avec mon supérieur dijonnais.
Nul doute qu’Olaf m’a désigné pour cette première passe pour me montrer la puissance de ceux qui le financent.
Je sais que des salopes convoitent aussi nos jolies fesses marquées au fer rouge par ce même Olaf sur son yach.
• Comment voulez-vous me baiser en levrette Robert, pardon ton nom m’a échappé !
• En levrette, ce serait si simple !
Pour mon nom entre nous, tu peux même m’appeler commissaire principal Robert Lyon, un coup de fil si tu déconnes et on te retrouve noyée dans une des nombreuses mers qui bordent notre beau pays.
Que j’aime voir ces colombes lorsque tu me les montres si gentiment.
La menace est indirecte, il me dit ce qui fera avec sa verge étant bien au fond de ma chatte.
Mais faire allusion au bain que je pourrais prendre alors que j’ai évité d’en prendre un au large de Bordeaux, ça me montre le peu de cas que cet homme fait de la vie humaine.
• Si tu crois que pour moi sauter une salope, j’ai besoin d’une petite arriviste comme toi, cela sera d’une facilité enfantine et ne vaudrait pas l’argent que ça me coute.
Moi les jeux auxquels je me livre sont bien plus avilissants pour toi ou pour moi.
Fou toi à poils, j’en fais de même.
J’enlève mes affaires, je lui présente ma vulve, j’avais reçu un ordre il y a quelques semaines et sans savoir pourquoi, je l’avais exécuté.
• Je vois que tu as respecté la consigne que je donne à chaque fois que je fais venir une pute de ton calibre.
Tu as laissé fleurir ta pilosité et c’est un véritable tablier de sapeur que tu me présentes.
J’ai une sainte horreur de deux choses, les jeunes pucelles, elles sont souvent des sources d’emmerdes, ce fut le cas de celle de Dunkerque.
Olaf croisait au large pendant que je faisais une visite d’inspection dans la région du Nord de la France.
Je suis revenue dans mon hôtel et je l’ai surprise à fouiller dans un tas de papiers sur le bureau dans ma chambre alors qu’elle m’attendait.
Deux heures après, Olaf l’avait récupéré et envoyer manger les poissons en pleine mer.
Comme il va de soi, c’est après qu’il a enquêté et il s’est avéré que s’était simplement de la curiosité.
Elle est morte, mais hélas trop tard pour l’absoudre de sa négligence.
Si je te parle de ça, c’est pour te faire comprendre qui nous sommes et que vous n’êtes que de vagues morceaux de chair pour les gens friqués comme nous.
Je sentais bien, que ces mots avaient un sens, ce mot, c’est, « laisse-toi baiser, prend ton fric et surtout ferme ta gueule. »
Je comprenais le degré de perversité de cet homme, capable de m’avouer à moi la flic que ce sont des gens prêt à tuer l’avouant même à un inspecteur de police.
Je pourrais être terrifiée, mais d’un autre côté ça me rassure de voir le degré de prise de décision aussi rapide, protégeant ainsi la flic et la pute que je suis.
Il se présente nu comme moi, il doit être très sportif car à son âge disons 45 à 50 ans, Ronaldo le footballeur portugais rivalise avec ses tablettes de chocolat.
• Viens dans la salle de bain, c’est une pièce que j’ai fait spécialement aménager pour avoir des rapports avec toi, d’un tout autre genre, qu’une simple baise.
Toute la journée et jusqu’au week-end, vu mon rang, ces connards se mettant à quatre pattes devant moi, je vais te faire voir comment je leur pise à la gueule.
Le degré de perversité des mots que le commissaire principal emploi son si cru que je sens que les 1 500 € ce sera par une expérience bien différente que ce que j’avais imaginé que je vais les gagner.
• À genoux et ouvre ta bouche, je vais te pisser à la gueule, avale le maximum du nectar que ma vessie est capable de te fournir.
Aussitôt dit aussitôt fait, je me mets sur mes genoux et j’ouvre ma bouche.
Le premier jet, trop puissant, m’arrive dans l’œil, c’est chaud, mais la surprise passée, les premières giclées entrent dans ma bouche m’obligeant à déglutir.
J’avance ma main, afin de rediriger le jet et réussir à avaler les giclées suivantes.
J’ai toujours mon bracelet Pendora, l’une des giclées l’atteignant.
Il est fixé solidement et je sais qu’il résiste à l’eau lorsque je me lave les mains.
Un homme est un homme, sa pisse finit par se tarir.
Mais c’est là qu’il s’allonge sur le sol ou les filets d’urine se dirigent au centre de la pièce d’eau ou se trouvent le siphon, grâce à la légère pente.
J’ai vu des douches à l’Italienne, là, c’est l’une d’elles, mais couvrant l’intégralité de la pièce.
• J’espère que tu as suivi les ordres et que tu te retiens depuis longtemps et que tu as une grosse envie.
Gicle-moi sur tout le corps de ton urine, tu fais comme moi, vise ma bouche, j’ai une immense soif de boire ton pipi.
Un homme puissant au sol en carrelage légèrement pentu, un homme allongé, moi, les jambes écartées au-dessus de lui, écartant mes lèvres vaginales, je dirige mon jet droit dans ma cible.
Il était temps, j’étais à deux doigts de faire pipi dans ma petite culotte.
Je vais de sa figure à sa verge, qui lorsque mon urine la touche se tend de plus en plus.
Mes besoins terminés, je suis à deux doigts de me demander s’il ne va pas me dire de déféquer sur lui.
Ouf, prestement il se relève et m’empoignant me fait redescendre d’un étage, se masturbe tellement vite qu’il finit par me gicler sur ma figure.
Contre toute attente, il pousse des cris de singes comme ceux, vu il y a quelques années au zoo de Thoiry.
En quelques secondes, mon visage est couvert de sperme au point où j’ai un œil de collé par l’une des giclées que sa bite expulse.
• Prends ton temps pour te laver, j’ai une réunion de la plus haute importance au ministère dans quelques minutes.
Il quitte la pièce sans se laver.
La porte est ouverte, il s’habille en tenue de sortie pour nous les flics et sors me laissant seule dans cette chambre ou sur une table de travail il y a un paquet de document.
Le message concernant le bain non voulut qu’une des putes aurait subi au large de Dunkerque me dissuade de farfouiller, même de les regarder.
J’ai déjà fait l’expérience des méthodes d’Olaf et de ses hommes de main, qui me dit que dans ces pièces, des caméras ne sont pas là pour espionner mes gestes et voir si je suis franche du collier.
J’ai parlé de mon Pandora, l’eau douce je sais qu’il ne risque rien, ce serait trop bête de le perdre alors que c’est ma fille qui me l’a offert.
Dans l’eau de mer, je préfère éviter d’en faire le test, même si en plus, je suis à plus de 10 kilomètres des côtes.
Je me douche en ouvrant l’eau en position moyenne.
L’eau qui me coule dessus est froide, je pense que c’est voulu, il teste ma résistance, mais ce ne sera pas moi qui baisserai pavillon.
Je suis devenue une salope, cette nouvelle et première passe me montrant un jour nouveau sur la sexualité.
Après ça, la réponse de Jules a sa possible pédophilie.
Même si c’est au Japon où la majorité sexuelle semble plus jeune d’une année que dans notre pays, me ramène à son niveau en ayant pris gout à boire la pisse de mon supérieur hiérarchique.
• Au fait, j’ai oublié de te demander quelque chose, vu ta position et ce que tu es capable d’accepter, peux-tu me rendre un grand service ?
• Que voulez-vous, mais il faudra qu’Olaf soit au courant et touche sa part sur ce que cela va vous coûter ?
• Sans problème, il s’agirait de séduire une femme mariée de faire des photos de ce que tu seras capable de lui faire faire surtout si c’est hard.
Il te suffira de me les envoyer, je m’occupe du reste.
• Et qui est cette femme ?
• Françoise Loréal la femme qui dirige l’institut des hautes études françaises.
Si tu réussis à la faire virer sans que j’apparaisse, Olaf et toi vous recevrez une somme très supérieure à celle que j’ai payée aujourd’hui.
C’est à ça que vous servez, nos putes et votre mac, capable d’aider l’état à se débarrasser de cafards se croyant tout permis car ils ont un soupçon d’autorité.
Cette salope de Loréal travaille à Paris, mais tous ses week-ends, elle les passe à Besançon où elle rejoint son compagnon Ludovic, haut placé à la préfecture dans ce département du Doubs...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
En relisant, je vois des fautes de frappes dans ce que je viens d'écrire...
Attention à ton orthographe : un maquereau n'est pas un macro par exemple...
Dommage.
Dommage.

