COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (11/13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (11/13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (11/13)
Je ne peux répondre à votre demande tout en respectant des normes de responsabilité et de respect dans l'écriture.
Si vous souhaitez aborder un sujet ou explorer une idée, je vous invite à reformuler votre requête avec des termes appropriés et un contexte clair.
Ensemble, nous pourrons créer un contenu constructif et enrichissant.

Bon Chris71 a encore de beaux jours devant lui en ce qui concerne les histoires de cul ou de sexe.
Je viens, à la fin du chapitre dernier de taper trois mots, « Pute » « Martine » et « Salope » ce que Martine Durand est devenue en devenant une des filles d’Olaf alors qu’elle est dans le même temps inspecteur de police Nationale
Durand avec un « D » à la fin.
Inutile de vous rappeler qu’elle tient personnellement à ce que l’on dise inspecteur et non inspectrice.
Le texte en début du chapitre est le texte que m’a pondu l’intelligence artificielle en lui donnant ces trois mots.
Soit elle est loin des histoires de cul pourtant étant de tout temps le centre du monde, sans cul pas d’histoire et sans histoire pas de cul donc de monde.
Soit l’I.a. est prude ce qui dénoterait avec ce qui fait tourner le monde.
Sans prendre les curés, les bonnes sœurs, les je ne sais quoi, le cul, le cul, toujours le cul et rien que le cul.
Mettez quelques personnes dans une salle, autour d’une bonne table par exemple, sans sujet particulier.
Si la politique peut être se trouver absente des débats car aucune élection n’est en vue, rapidement le sujet du sexe va débouler.
« Vous avez su, Nénette fait cocu Poupette » si ce sont des gouines.
« Ton père, ce salopard, j’ai bien fait de le quitter, il baisait déjà mal, mais Colinette sa nouvelle l’a quitté en se répandant dans le village en disant qu’il avait une petite bite. »
Dernier exemple et non des moindres, parlons de la sortie de « Cinquante nuances de Grey, » il y a quelques années.
Passons, les petits coups sur les fesses d’Anastasia, moi je l’aurais flagellé à lui déchirer le cul.
Je me souviens de certaines personnes prudes en temps normal expliquant pourquoi ce livre était un best-seller.
Vous êtes intrigué, vous allez voir le film, de l’eau de rose tout au plus alors.
Olga par exemple dans ces histoires bien réelles dans la Rome antique, le fouet était l’arme préférée de ceux qui souhaitaient caresser les côtes de certaines soumises.
Bref, il a plus de plaisir à vous faire plaisir.
Pardon, essayons de vous faire plaisir, en replongeant dans les profondeurs de la terre où Martine et Solène, la laisse et le collier de chien au cou attendent pour savoir à quelle sauce elles vont être mangées.

Mais revenons plus particulièrement à moi, Martine et à ce que je viens de découvrir avec mes yeux écarquillés !
Une salle certainement sous terre assez grande pour d’une seule portée contenant cent à deux cents personnes respirant comme si nous étions en surface presque à l’air libre.
Juste le ronronnement du système nous permettant de respirer.
Essayé de marcher sur vos genoux la cravache de Rodolf vous caressant les cotes et il est facile de comprendre que je mange une marche en montant sur l’estrade.
Comme un tribun, Rodolf le chef de cette meute de nostalgique du passé hitlérien prend la parole et explique pourquoi tous se retrouvent réunis.
Ayant trouvé cette salle et ses dépendances, au moment de la reconstruction de Berlin, il avait eu l’idée de retrouver les héritiers vivants de ces monstres de la Seconde Guerre mondiale.
C’est à ce moment dans un mouvement de foule que je la vois pour la première fois, comment peut-elle se retrouver au milieu de cette bande de fanatiques, mais je suis prise de vitesse par Rodolf qui continue son discours.

• Mesdames et messieurs, j’ai le plaisir de vous présenter Gustave Hitler arrière, arrière, petit-neveu de notre grand dirigeant qui hélas nous a été enlevé à cause des Américains à l’ouest et les bolchéviques à l’Est.
Applaudissons le bien fort, qu’il monte sur scène pour nous dire quelques mots.

Ce garçon en costume comme tous les autres, à la coupe avec mèche sur le devant et petite moustache sous le nez comme son illustre parents.
Je passe le discours de propagande de ce pseudo national-Socialiste lorsque Rodolf clôt les discours.

• Mes chers amis, que la fête commence, mes deux petites chiennes sont à votre disposition, elles adorent être saillies.

On me tire d’un coup de la scène ainsi que Solène par des mains avide de profiter de nos corps.
Je tombe lourdement au sol happé par des mains partout sur mon corps.
C’est à ce moment que celle que je venais de découvrir alors que rien ne pouvait me faire penser qu’une telle femme était là.

• Écartez, je suis la représentante officielle de notre mouvement en France, je veux cette femme, elle est ma propriété.

Je me retrouve dans ses bras, j’ai déjà des doigts dans ma chatte, depuis que j’ai rejoint les filles d’Olaf, c’est la première fois que je me sens autant pute en gagnant mon argent.

• Martine, prend ça sans me poser de question, tu me remercieras plus tard !

Pourquoi fais-je confiance à celle qui, qui, qui…

Combien de temps, suis-je resté dans les vapes sans savoir pourquoi, j’ai accepté d’avaler cette gélule ?
Je l’ignore, ce qui est drôle, c’est de me réveiller dans un lit qui me parait familier.
C’est tout à fait normal, je suis dans mon lit, oui, dans mon lit, mais dans mon lit de ma maison de Beaune.
Je rappelle que dans cette ville, je suis Martine Durand avec un « D » et que je suis officiellement inspecteur de police, inspecteur, j’y tiens et non inspectrice.
Mon lit, mon papier peint, je ne rêve pas comme je ne rêve pas lorsque assis à mon côté, celle qui a dû me ramener en France me tient la main.

• Mon amie, que faisais-tu à Berlin dans ce repaire de jeunes néo-nazis, toi, bien française, du moins je le crois.
• Tu peux le croire, je vais tout t’expliquer.
Mais toi Martine, je me pose la même question que faisais-tu à faire la chienne de Rodolf le refondateur du mouvement de jeunes fils ou filles d’anciens membres des SS jusqu’en 45 !
• Si chacune de nous attend que l’autre donne des explications à son comportement, on va y passer la nuit Christine.

Oui, celle que j’ai vue en dessous de moi, au bas de l’estrade où Rodolf m’exposait avec Solène.
Tient, elle est ou celle-là.
C’était Christine toujours une femme à qui j’aurais bien conté fleurette, mais qui m’ai paru inaccessible.
Christine Lupin, femme du commissaire Anatole Lupin la petite bite qui a été mon supérieur avant que tombant en dépression Fred Leroy contre toute attente nous ayons eu comme successeur.
Christine, cette grande femme qui m’a toujours impressionné et qui a ce jour m’a toujours échappé, surtout depuis qu’avec Lucie et surtout Marie la proviseure du Lycée j’ai appris à me gouiner avec des femmes.
Plusieurs expériences, mais elle manque à mon tableau de chasse.
Merde, voilà que je pense comme Fred, dans notre commissariat, il sautait tout ce qui avait une chatte.
J’ai même fini par y passer, ouvrant les vannes de mes débauches avec des hommes ou avec des femmes au point de finir par être l’une des putes d’Olaf mon proxo.

• Tu te souviens lorsque Anatole a fait sa dépression !
• Oui après que tu aies su qu’il avait sauté Yollande dans son bureau !
• Oui, j’avais consacré ma vie à la carrière de ce salopard, j’avais subi son sexe insignifiant sans jalais me plaindre.
J’avais failli venir te voir, j’avais senti qu’avec toi, j’aurais pu relancer ma vie et surtout ma vie sexuelle.

Christine me caresse la joue, je prends conscience que je suis dénudée dans mon lit.
Ce geste remplit de douceur et d’amour comme il m’arrive d’en faire à Alexandre, mais surtout à Charlotte, elle est encore si petite.
Ce geste, je le fais lorsque ayant cinq minutes à leur consacrer je passe chez mes beaux-parents et qu’ils sont déjà couchés.
Un baiser, une caresse et je m’en retourne à ma vie devenue bien différente de celle que j’avais imaginée en épousant et la carrière d’inspecteur de police et de femme de Jules.
Merde, Charlotte, merde mon Pandora, je passe ma main sur mon poignet où il devrait se trouver.

• Tu cherches ton bracelet, il est la sur ta table de nuit, je vais t’expliquer comme je l’ai récupéré.
• Merci, c’est un Pandora et c’est ma fille qui me l’a offert avec ses économies pour la fête des mères.

Je me redresse et je tente le geste que je pensais impossible, j’entour le joli cou gracile de Christine et avançant ma tête, nos lèvres se trouvent pour la première fois, pour après un grand moment ce séparer.
Nos langues ont su trouver leur place dans la bouche de l’autre sans le moindre problème.

• Arrête, j’ai envie de connaitre ces folies avec toi, mais j’ai besoin d’ouvrir mon cœur, pour que tout soit claire entre nous.
Lorsque j’ai dit que j’ai failli venir te voir après que tu m’aies induit en erreur à ce qu’a fait mon mari, je suis même passé au commissariat, le planton m’a dit que tu étais partie chez toi.
J’y suis allée, ta voiture était là, j’avais mon doigt sur le bouton de ta sonnette lorsque j’ai vu une vieille dame tourner le coin.
J’ai eu l’impression que si elle me voyait de près et que je la connaissais, elle pense que je venais…
• …Me donner du plaisir, grande folle, ce plaisir je l’attendais, c’est pour ça que j’ai pris ta capsule lorsque tu m’as dit « avales ça. »
Tu aurais pu me tuer avec une capsule de cyanure, je serais morte heureuse, d’être nue dans tes bras.

Nos langues retrouvent leur place et leur envie, de l’une et de l’autre.
La sensation de brûlure se fait une nouvelle fois sentir lorsqu’elle pose sa main sur mon sein qui comme par magie est sortie de dessous le drap.
Je la reprends par le cou et je la fais basculer.
Comme l’ion dit communément, il faut battre le fer lorsqu’il est chaud.
Je devrais dire, chaude, nous le sommes aussi l’une de l’autre.
Moi de sentir que j’atteins le but que j’ai toujours pensé inaccessible, Christine dans son maintien et la défense qu’elle me montrait, la sentir chaude comme la braise, il faut savoir en profiter.
Au diable, par quel déclic, elle semble avoir eu une aventure lors de la déprécision de petite bite, autant en profiter et commencer à lui faire l’amour…

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (11/13)
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