COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (12/13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (12/13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (12/13)
Sous la lueur tamisée d'une lanterne vacillante, Martine Durand, l'inspectrice au regard perçant, reprit sa lecture.
Le poème, écrit d'une main tremblante mais passionnée, portait les initiales de Christine.
Les mots évoquaient une histoire oubliée, presque effacée par le poids des années. Leur passé commun, marqué par des élans d'émotion et des silences lourds de sens, ressurgissait à travers ces lignes poétiques.
Martine se souvint d'un été lointain, où les rires de Christine résonnaient comme des promesses dans l'air chaud, et où ses propres sentiments avaient trouvé un écho inattendu.
Mais pouvait-on encore faire renaître ce qui, jadis, avait été étouffé par la peur et les conventions ?
Cette enquête, qui semblait au départ purement professionnelle, devenait un labyrinthe émotionnel où Martine et Christine devaient naviguer, non seulement pour découvrir la vérité, mais aussi pour affronter les fantômes de leurs amours inavouées.

Cette déclaration d’amour entre Christine et Martine, on dirait un poème.
Non, il s’agit simplement de l’amour naissant entre deux femmes se retrouvant après un moment ou tout dans la vie de l’une et de l’autre dans un sens bien différent de ce qu’elles sont réellement.
Martine une femme épanouie et Christine ayant toute sa vie, du moins depuis son mariage, une vie de frustration à commencer par ses rapports avec Anatole celui qu’elle avait épousé.

Christine, dans le secret de ses pensées, repassait les années de son mariage avec Anatole.
Il n'était pas seulement question de désirs physiques inassouvis, mais d'une frustration plus profonde, plus insidieuse.
Anatole, malgré ses efforts pour lui plaire, semblait incapable de combler le vide qu'elle ressentait.
Ce vide n'était pas simplement celui d'une passion éteinte, mais celui de dialogues absents, de regards qui ne disaient rien, de mains qui ne savaient pas réconforter.
Elle se souvenait des premières années, où elle avait espéré, cru que le temps améliorerait leur relation.
Mais rapidement, elle avait compris que ce mariage était construit sur des fondations fragiles, des attentes irréalistes et des illusions.
Chaque jour passé dans cette maison où elle se sentait étrangère renforçait l'amertume qui s'accumulait en elle.
C'était ainsi que le souvenir de Martine avait commencé à la hanter.
Martine, avec sa manière de voir Christine telle qu'elle était réellement, sans le filtre des conventions.
Leurs échanges, leurs moments partagés, tout cela représentait une lumière dans l'obscurité qui enveloppait le cœur de Christine.
Et maintenant, à travers cette enquête qui les rapprochait à nouveau, elle se demandait si elle pourrait enfin trouver la force de réécrire son histoire, loin des ombres d'Anatole et de ses propres regrets.

Ces mots, ce sont presque à la lettre près, ceux que Christine prononce lorsque après de simples caresses sur nos corps respectifs elle m’explique enfin pourquoi et comment elle s’est retrouvée dans ce blockhaus souterrain devant ces jeunes nazillons.

• Je t’ai dit que les choses avaient changé avec la déprime, d’Anatole.
Robert est venu le voir, il était sous calmants.
Des gélules, la même que celle que je t’ai donnée à Berlin.
Ça assomme très rapidement et surtout, ça évite que vous n’ayez des idées suicidaires comme c’était son cas après que tu sais ce qui s’est passé.
• Robert ?
• Oui, j’ai pris l’habitude de dire simplement Robert, il veut toujours rester le plus possible anonyme.
Robert Lyon, le commissaire principal posté à Dijon, Anatole et Fred sont sous ses ordres, tu le connais peut-être !

Je comprends très bien que Christine va me dire, vu la façon dont elle parle de lui, qu’il y a rapport avec celui qui a contrôlé que j’étais bien devenue une pute d’Olaf.
En me payant et en me baisant, il faisait d’une pierre deux coups, même trois pierres puisqu’il a réussi à mettre sa femme à la place de Françoise Loréal dans un institut à Paris.
Je suis à deux doigts de lui demander si son robert l’emmenait dans la salle de bains pour lui pisser dans sa jolie bouche et qu’elle en face pareil avec lui !
Mais avant je voulais apprendre de sa bouche ce qu’elle avait fait.

• J’en ai entendu parlé, il a des chances de prendre un poste plus important s’il y avait un prochain remaniement.
• Ma chérie, ça c’est ce qu’il se dit, mais de source sur, je vais t’expliquer que c’est un poste bien plus haut qu’il envisage.
Mais d’abord, ayant vu Anatole dormant dans notre lit, je retournais vers la salle lorsque j’ai senti ses deux mains sur mes fesses.
C’était la première fois qu’un homme se permettait ces privautés avec moi.
J’ai failli me retourner et lui mettre une baffe.
Il a intercepté ma main et d’un bras ferme m’a collé à lui.
• Et là, tu as craqué !
• Plutôt deux fois qu’une, j’ai senti sa verge bandée sur mon centre.
C’était la première fois que je sentais un homme, un bel homme qui avait des envies de moi sans que je ne fasse quoi que ce soi.
Avec Anatole, neuf fois sur dix lorsque j’ai mes propres envies, il me fallait un temps fou pour que sa petite bite devienne dure, malgré de gros efforts.
C’est en grande partie ce qui m’avait paru inadmissible lorsque j’ai su qu’il avait sauté cette putain de Yolande sur son bureau.
Avec elle, il bandait direct comme Robert à ce moment alors lorsqu’il m’a retourné et plaqué le buste sur la table de la salle, j’ai de moi-même…

Christine a besoin de reprendre son souffle à ce point de son récit.
Je décide de m’amuser un peu, surtout lorsque je vois sa petite culotte rose bien sympathique sa jupe ayant remonté lors de nos premières approches.
Rose, mais surtout mouillée de nos premières approche de notre sexualité débordante de l’une pour l’autre.

• Dis-moi comment tu étais habillé lorsque Robert est arrivé ?
• Tu me mets devant la salope que sans le savoir, dans ma tête j’étais en train de devenir.
J’étais dans mon bain lorsqu’il a sonné, je voulais que l’on parte pensant que c’était un représentant venu me vendre un aspirateur.
• Tu as eu peur qu’il ne réveille Anatole parce qu’il insistait !
• On pourrait croire que tu y étais, ma chérie !
• Non, pas précisément, mais dans ma vie amoureuse, j’ai eu quelques situations presque identiques.
Je te taquine, si nous allons plus loin dans nos relations, tu t’apercevras que j’aime taquiner mes partenaires, ça met du piquant dans nos relations.

Une nouvelle fois, c’est moi qui prends une initiative comme Robert a su la prendre avec Christine.
Je me glisse entre ses jambes, je sais qu’avec ma grande sauterelle s’était gagnée, mais je voulais la voir se tordre sous mes assauts.
Mon assaut, un suffira, ma langue vient au contact de sa culotte me montrant au goût et à l’odeur que c’était de la cyprine que sa chatte l’avait mouillée.
C’est à ce moment que je vois que la petite culotte bleue.
Vous aussi mes chers amis et amies, je vous taquine sa petite culotte était rose précédemment.
Sa petite culotte rose, donc, à des petites ficelles de chaque côté.
J’étais à deux doigts de la déchirer avec mes dents, elle était si mouillée.
Mais chaque petite corde cède lorsque je les tire avec mes dents, me livrant sans la moindre ambiguïté son bouton, qu’il faut que je sorte de son capuchon.


• Ma chérie, j’ai souvent rêvé de faire avec toi ce que tu me fais.
Souvient toi au restaurant lors de notre anniversaire de mariage avec Anatole, je n’avais d’yeux que pour toi chaque fois que j’arrivais à tourner ma tête dans ta direction.
Je m’en doute, je me serais presque tiré une balle avec le pistolet d’Anatole, lors de notre anniversaire de mariage, tu es venue vers moi pour me proposer de nous aimer.
De vilain préjugé, non, Anatole qui sans s’en rendre compte, m’a expliqué ton enquête au jour le jour.
Souviens-toi au début de ses félicitations, car tu avais résolu cette affaire.
J’ai clairement compris que Marie la proviseure était loin de t’être indifférente.
Même dans notre cuisine au risque d’être surprise, j’ai eu un moment envie de te prendre dans mes bras surtout que tu te sois mise à me tutoyer me montrant que tu appréciais notre intimité.
Il m’arrivait souvent de prendre l’arme de mon époux, de me la mettre dans ma bouche, la frotter sur mes seins et suprême provocation de la faire entrer dans mon vagin.
Tu ne vas pas me croire, mais, le contact du métal sur le petit bouton que tu as sucé m’apportant un plaisir fou avec ta langue, j’ai ressenti la même chose avec l’arme en moi.
• Était chargée !
• Je l’ignore, mais je ne pense pas un soir où il dormait m’ayant une nouvelle fois resté insatisfait et où j’avais mes règles me montrant qu’une fois de plus, je n’aurais pas d’enfant.
J’ai appuyé sur la détente frustrée qu’il ne se passe rien.
• C’est normal dans les écoles de police, on nous apprend à ranger l’arme le chargeur enlevé.
Lupin respectait ce règlement et je l’en remercie, sinon je n’aurais pas le plaisir de faire l’amour avec toi.
Attends, je reviens !

Je saute du lit, je vais dans mon placard, avant de partir pour Berlin faire la pute comme fille d’Olaf comme toutes les fois mon arme est dans le petit coffre dont moi seule je connais la combinaison.
Vous savez où j’habite, Martine ou Léon Durand avec un « D » c’est facile à trouver dans notre petite ville de Bourgogne.
(Il pourrait vous prendre l’envie de venir me la voler, inutile de vous donner la combinaison du coffre à vous de la trouver.)
J’ai bien contrôlé que le chargeur est resté dans le coffre et qu’aucune balle n’est restée dans la chambre.
Pour ma part je retourne dans ma chambre où je retrouve Christine, je suis nue et elle en a fait de même.
J’adore ses seins que j’étais frustré au restaurant et dans le barbecue partie qu’il m’a été impossible de voir, la première fois et de prendre dans mes mains dans sa cuisine.
Replacée à côté d’elle, je m’amuse à caresser l’arme sur ses seins, ses jolies fraises se mettent à bander.
Je lui frotte sur les joues, reviens à ses seins retardant le moment de faire ce qu’elle a fait avec l’arme de Lupin.
Je veux qu’elle mouille, même si je devrais changer les draps.
Je finis dans sa chatte, comme elle le faisait.
Je joue du canon de mon automatique et non du révolver comme Christine l’a dit.
Je ressors le canon, luisant de sa cyprine, je lui mets dans la bouche de nouveau et comprenant ce que je veux, elle suce le canon me le rendant propre avant qu’il replonge dans sa chatte.
Je recommence l’opération jusqu’à ce qu’elle se torde de plaisir appuyant sur son clito afin de l’enflammer.
Victoire, à ses cris de plaisir me montre qu’un orgasme vient de la traverser.

• Dis-moi sinon je tire comment Robert t’a baisé sur ta table de salle à manger.
J’ai compris que sortant de ton bain tu étais nue sous le peignoir que tu avais enfilée lorsqu’il avait sonné…

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