COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (13/13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (13/13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (13/13)
Je sais, se servir de son arme de service pour faire jouir sa copine, c’est loin d’être professionnel.
Mais faire la pute pour un macro, même en dehors de ses heures de service, est-ce que cela l’est plus ?
Je dis, heures de service, mon œil, je profite de ma situation suite à mon infiltration à Bordeaux pour mme rendre à des rendez-vous et me faire sauter contre rémunération en vue de ma retraite.
Certes je suis jeune, mais un publicitaire n’a-t-il pas dit que si à 50 ans nous n’avions pas de Rolex, c’est que nous avons loupé notre vie.
Depuis que j’écarte mes cuisses pour satisfaire les clients d’Olaf, ce sont déjà quelques-unes de ces montres que je pourrais me payer.
Certes mon voyage à Berlin s’est terminé bizarrement, pour Christine la femme d’Anatole Lupin le commissaire se trouvait elle dans ce rassemblement de jeunes néo-nazis.
Et que dire lorsqu’elle me fait prendre une pilule que je sombre et de finir par me retrouver dans ma chambre à Beaune avec elle a mes côtés lorsque je me réveille.
Combien et comment ai-je franchi les centaines de kilomètres entre Berlin et la France et surtout comment Christine a pu réaliser tout ça.

• Maintenant dit m’en plus sur la façon dont Robert Lyon a fait de toi sa maîtresse, sinon je te tire dans la chatte.
• Sur ma table par deux fois, une fois les seins sur la table, lui derrière moi.
Lorsqu’il m’a dénudé, je me suis senti partir dans un autre monde, celui de la luxure et des femmes infidèles.
J’avais envie de hurler, mais de dépit lorsque j’ai senti sa verge entrer en moi.
• Sa queue ma chérie, ton mari, même si elle est petite, a une verge, un amant a une queue, un roste, un pieu, un, un, un, défonce chatte.
Il t’a mise bien profond en comparaison de ce que tu avais l’habitude de prendre.
• C’est vraie chérie, tu as raison…
Plus profondément le canon, salope, tu me baises avec ton pistolet.
• Je te baise, mais avec mon révolver automatique, pas mon pistolet, j’aurais envie moi aussi d’avoir une queue pour te défoncer.
Et la deuxième.
• En deuxième fois, attend, je vais jouiiiiir…comme…j’ai joui uneeee…première fois…avec Robert.
• Respire ma chérie, tu vois, nous les femmes on peut jouir même avec un simple révolver du moment que le canon pas plus long que le bite d’Anatole sait te pénétrer et caresser ton clitoris.
À mon tour de jouir, mais je veux ta langue qui me suce, qui me caresse qui me bouffe mon clito jusqu’à ce que j’éclate.

Je pose l’arme au sol à mon côté, je me place le dos appuyé sur mon oreiller.
Christine les yeux encore remplis de la jouissance qui vient de la frapper, se coule entre mes jambes.
J’ignore depuis combien de temps elle m’a fait quitter cette réunion de tarés, comment peut-on avoir envie de resusciter Hitler après la misère que son fanatisme a créé dans le monde.
Peu importe, présentement c’est à mon tour de me tordre de plaisir.
Christine si elle manque d’expérience des plaisirs qu’une femme peut apporter à une autre femme, sait très bien se servir de son petit bout de langue.
Elle finit par me tirer à elle pour que ma chatte soit plus facile à lécher de mon anus à ma grotte.
Robert m’a pissé à la figure comme j’en ai fait de même pour lui.
Mon amante, semble sans limite dans ces débordements, sa langue taraude ma pastille ce qui m’émoustille.
Une langue, un sexe féminin et à mon tour je déborde d’amour pour ma nouvelle maîtresse.

• J’ai été à la hauteur de Marie, chérie, tu sais, c’était la première fois, elle te faisait jouir plus fort que moi !

J’ai repris ma position assise après à mon tour d’avoir remis les pieds sur terre, Christine allongée, sa tête sur mes genoux ses pieds placé sur le côté pour éviter qu’ils ne tombent dans le vide.
Je lui caresse la tête d’une main l’autre sur son sein que malgré le plaisir que nous venons de prendre l’une et l’autre à des picots comme s’il avait froid, malgré le temps chaud.

• Mais elle est jalouse ma petite salope, Marie, c’était Marie, toi c’est toi et c’est bien ainsi.
Les seins sur la table, ça c’était la première des deux fois !
Salope, alors que ton mari gisait sur son lit d’à côté et vous avez remis le couvert !
• J’étais comme folle, j’avais tellement joui que j’avais envie de le frapper de toutes mes forces, je me suis redressée et il m’a appuyé sur la tête.
Tu te rends compte, pour la première fois je prenais un sexe d’homme…
• Une bite, ma chérie, une bite d’homme, mon amour.
• Oui, ces mots sont vulgaires, une bite, mais si agréable à prononcer.
Une bite, une bite, une bite, je voudrais dire ce mot jusqu’à ce que ma gorge soit sèche.
• Tu lui as fait une fellation, une sucette avec ta langue.
• Tu as raison là encore, ces mots ne sont pas à mettre dans la bouche d’une enfant, mais ils sont si bons pour des femmes qui pratiquent l’adultère comme à partir de ce moment je l’ai pratiqué.
J’ai léché le sperme que Robert avait déchargé dans ma chatte.
• Tu as dû aussi avaler ta cyprine, lorsqu’il te baisait, tu devais mouiller.
• Tu me fais dire des horreurs, mais oui je dois le reconnaitre, je sentais l’intérieur de mes jambes ou ma cyprine comme tu le dis coulais.
Il a rebandé très rapidement avec mon estropié du sexe, jamais deux fois tout au long de notre mariage, on dirait, je ne trouve pas le mot.
• Frappe qu’un coup, certains hommes sont capables de rebander quelques minutes après avoir déchargé surtout si tu l’as aidé avec ta bouche.
D’autres il leur faut des heures, enfin certains ce sont des jours.
Anatole doit faire partie de cette dernière catégorie.
Je te parie que lorsqu’il a rebandé, de tes seins sur la table, tu es passée le dos sur cette même table et qu’il t’a de nouveau planté sa verge dans ta chatte de salope.
• Non ma chatte de salope, c’était après.
Avant tu as raison, il m’a couché sur la table, mais c’est sa bouche et sa langue qui ont nettoyé l’intérieur de mes jambes, là ou comme tu l’as dit ma cyprine avais coulée.
Tous ces jeux érotiques m’étaient inconnus, Anatole, je lui caressais la …queue, tu vois, j’ai encore du mal à le dire.
Sa queue et il venait sur moi, comme je te l’ai dit sans mouiller comme je mouillais avec Robert.
Je le regardais dans les yeux lui montrant ma réprobation à ce qu’il me faisait, mais ma bouche je dois bien le reconnaitre lui disait, non le suppliait de continuer.
Mon corps aussi, je donnais de grands coups de reins pour qu’il aille encore plus loin en moi.
Dit-moi Martine, je suis une pute, j’ai pris plaisir à tromper mon serment de mariage.
• Crois-tu que je respecte le mien, tu as vu ou tu m’as récupéré, sans parler de Marie dont tu as été jalouse ?
Mais dit moi comment tu t’es retrouvé à Berlin, tu étais la dernière personne que je pensais rencontrer.
• Robert après m’avoir fait jouir une nouvelle fois, m’a imposé de me revoir, il m’a promis de faire le nécessaire pour qu’Anatole retrouve une bonne place lorsqu’il serait remis sur pied.
Je vais être franche, j’en avais envie, après ce que je venais de découvrir.
Chez nous c’était risqué, je vais à Dijon deux à trois fois par mois directement chez lui.
J’ai fait croire à Anatole que je devais aller à l’hôpital voir une vieille dame étant hospitalisé en fin de vie.
Je sais, c’est vilain, mais je suis vilaine, tu viens de le constater.
• Oui et je t’en remercie, je te redemande comment t’es-tu retrouvé à Berlin.
• La deuxième fois que je suis allée chez lui, nous récupérions et j’ai vu un livre sur la table du salon.
• Il t’avait baisé sur le canapé !
• Non sur la moquette, j’ai honte de ce que je vais t’avouer !
• Inutile, je vais te dire, il t’a pris en levrette, c’est ce mot qui te gêne, pourtant c’est une parfaite position, j’adore la levrette.
• Tu es incroyable, que de retard j’ai pris à cause de mes parents qui m’ont presque imposé mon mariage.
Heureusement qu’ils sont décédés, sinon…

Je lui mets un doigt sur la bouche, pour la faire taire, il faut être respectueux de ses parents, même si ce sont des connards.

• Tu as raison, le principal c’est mieux de se taire.
C’est là que j’ai vu ce livre, je l’ai pris en main, le titre « Mein siegreicher Kampf. »
Avec en sous-titre en Français, « Mon combat gagnant. »
C’était la traduction du livre du neveu d’Hitler qui tu l’as vu, il prend la place de son enseigne dans notre mouvement.
• Votre mouvement…

Mes yeux se portent sur ma table de nuit, mes yeux croisent le Pandora de ma fille, je me demande où va s’arrêter ces confidences.
Je le prends en main, il a dû glisser dans la salle d’où Christine m’a extirpé, j’ignore pour quelle raison.
C’est drôle, je suis nue, mais sans lui une fraction de seconde, j’ai eu l’impression d’être encore plus nue.

• Oui, Robert est le chef du mouvement en France.
Je sais que je peux te faire confiance, le 8 mai, jour du 80ème anniversaire de la reddition de l’Allemagne et d’Hitler, dans les principaux États Européens, il va y avoir des mouvements importants.
Ils vont prendre le pouvoir et finir ce que le Fureur n’a pu terminer en 45.
Robert va diriger la France, je vais divorcer et il va m’épouser.
Je vais enfin prendre une place que je mérite grâce à lui.
Si je t’ai sorti de la salle, en faisant croire que tu faisais une crise d’épilepsie, c’est grâce à lui.
J’ai demandé à deux hommes de m’aider à t’emmener jusqu’à ma chambre où j’ai appelé Robert qui est venue nous chercher.
• Pourquoi as-tu fait ça, Robert n’était pas à Berlin ?
• Je suis allée avec lui à Madrid, nous représentation la France.
Rudolf était là aussi, il avait deux autres filles en laisse et dès qu’il a donné le feu vert à tous les débordements, ces gilles se sont fait massacrer sexuellement.
Je viens de te prouver l’intérêt que j’ai pour toi depuis bien du temps et notre rencontre.
J’ai voulu que tu sois protégé.

Je suis un peu circonspect, j’étais là pour le pognon, n’ai-je pas fait une grosse erreur.
C’est à ce moment que près de moi mon téléphone sonne.

• Fred, oui bien sûr je suis là !
Oui, bien sûr, je suis disponible !
Oui, bien sûr, j’arrive !...

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