COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (14/16)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (14/16)
Je suis chez moi avec ma nouvelle maîtresse, celle que je n’attendais plus, Christine !
Près de moi, mon téléphone sonne.
• Fred, oui bien sûr je suis là !
Oui, bien sûr, je suis disponible !
Oui, bien sûr, j’arrive !
Il faut ce lever quitter les bras de celle qui vient de m’annoncer une nouvelle surprenante.
Le 8 mai, jours anniversaire dès 80 ans de la reddition de l’Allemagne mettant fin à la guerre de 39 - 45, un complot que l’on peut dire international tout du moins européen doit avoir lieu.
Ils doivent amener au pouvoir par des coups d’État, les nostalgiques du petit monsieur à la petite moustache sous son nez responsable de million de morts en Europe.
À leur tête, Rodolf, qui m’a fait venir comme fille d’Olaf, m’ayant payé ma prestation avec une dénommée Solène venue de Paris.
Robert Lyon pour la France avec une grande sotte ne voyant pas où elle est venue par frustration familiale fourrer ses jolies miches, Christine ne semble pas toucher terre.
• Que fais-tu ?
Tu viens de dire à ton commissaire que tu arrivais !
• Dessus ou dessous, moi c’est pareil, j’y prends un même plaisir.
• Oui, mais je suis une femme et si tu le connais un peu mieux Fred, tu saurais que pour lui toutes les femmes sont des salopes sans la moindre parcelle d’intelligence.
Seuls les mâles dominants comme lui ont le droit de pensée.
Le problème c’est que c’est bien plus bas que son cerveau est placé, sa queue et pas plus haut.
Alors tu peux comprendre que je préfère te bouffer la chatte ou toi la mienne, c’est pour cela que je te propose dessus ou dessous.
• Tu as compris que j’aime être dominée, sinon ça aurait fait longtemps que j’aurais sonné à ta porte pour que tu me fasses jouir.
Nous roulons encore une fois ou deux, l’une en dessous et vice-versa.
C’est moi qui termine dessus, j’apprécie beaucoup ses seins sur mes seins, son ventre contre mon ventre et nos poils pubiens se frottant les uns contre les autres et que dire lorsque nos clitos viennent à se rencontrer !
Il ne nous reste plus qu’à unir nos lèvres dans un fougueux baisé.
Je me laisse glisser dans sa fourche, ce sont mes dents qui attaquent son clitoris qui est sorti seul de dessous son capuchon.
Elle a joui les autres fois et comme méticuleusement je lui mordille et que je le lape très rapidement, c’est de plaisir rattrapé par un orgasme que nous nous séparons.
J’aime faire attendre, Fred, monsieur le commissaire, mais que je le veuille ou non, la hiérarchie, même si en parlant de mon ex-amant cela existe pour moi.
Je serais un mâle comme lui, je dirais que je m’en bas la queue.
• Assez batifolé, je sais que cette fois n’est que la dernière.
Je dois tout de même rejoindre Fred qui me demande au commissariat.
Ma chérie, comment va-t-on faire, la situation est plus que complexe, mais l’on doit pouvoir s’arranger ?
Je suis mariée avec la chance que Jules s’absente souvent à l’étranger et principalement au Japon.
Tu l’es aussi à Lupin, mais tu es amoureuse de Robert.
• Je t’ai montré que je ne connais pas grand-chose dans le nom des choses sur le sexe.
Une chose que j’ai apprise, à ce jour, j’aimais les hommes et tu m’as appris à en faire de même avec les femmes.
Une copine d’enfance m’a dite qu’elle était comme moi aujourd’hui et qu’elles étaient bi-sexuelles.
Je vais faire une place à part égale dans mon cœur et vous aimerais autant l’un que l’autre.
• Et Anatole, ton mari ?
• Je m’en détache de plus en plus, il n’a qu’à retrouver sa pute de Yolande qui semble se contenter de sa petite bite.
Embrasse-moi, j’ai ton numéro de téléphone, on se rappelle.
Je vois que sa rancoeur est tenace, pour cela c’est une vraie femme.
Un peu comme moi avec Jules et la photo que j’ai vue dans les mains d’Olaf.
Lorsque j’aurais l’occasion de lui parler, il va s’en prendre une.
Avec une mineure en France, même si au Japon ça semble légal.
Qui de Christine ou de moi présentent le plus de rancœur ?
Si nous sommes bi-sexuelles, en amour nous sommes toutes les deux bien entières sur les questions essentielles de la vie, qui se ressemblent s’assemblent.
Je dirais plutôt qui se ressemblent, s’emboitent parfaitement, physiquement et intellectuellement.
Ces pensées profondes, surtout lorsque ma langue est au fond de sa chatte, je répons à son interrogation.
• Tu as mon numéro de portable, qui te l’a donné, à ce jour je n’ai pas de souvenir de te l’avoir fait.
• Non, je l’ai volé dans le bureau d’Anatole dans son répertoire.
Je peux même te dire que je l’ai composé des dizaines de fois sans jamais appuyer sur « appel. »
• J’avais peur que tu ne me raccroches au nez, j’en serais morte de chagrin.
• Tu es bien bête et moi aussi, depuis le restaurant et à ton anniversaire de mariage, nous avons loupé toutes les deux ces occasions, je compte bien que nous nous rattrapions !
Nous nous levons, Christine remet les effets qu’elle avait dû enfiler lorsqu’elle m’a fait monter dans sa chambre à Berlin.
Dans la salle où se tenait la réunion, elle était comme moi en robe du soir.
Ils m’ont ramené certainement nue, je ne vois aucun effet près de mon lit.
Pas le temps à de telles réflexions, je suis parfaitement couverte avec mon Pandora, inutile de vous dire que c’est ma fille qui me l’a offert.
C’est dans ma voiture que je retrouve devant chez moi que je la vois s’éloigner.
Je me demande, comme je l’ai fait une fois dans ma chambre, comment réagirait Christine si elle apprenait que Robert, se tapent des putes à 5 000 € et leur pisse à la gueule se faisant en faire de même ?
Un jour, va-t-elle le découvrir et à ce moment sans lui dire jusqu’à ou avec lui nos rapports ont été loin et crade, je serais là pour la consoler.
Après tous ces bouleversements je retrouve l’atmosphère du commissariat de Beaune.
Marc est dans son bureau jouxtant le mien.
• Marc, j’ai une mission pour toi !
• Je t’écoute Martine, qui dois-je tuer pour te faire plaisir, cheffe.
• Un peu moins de chef, ce que je vais te demander tu ne dois le dire à personne, c’est strictement personnel !
• Même pas à Fred ?
• Surtout pas à Fred, nous allons essayer de rendre service à une amie.
J’explique à Marc, ce garçon qui est prêt à me manger dans la main depuis que je l’ai préparé à passer ses concours pour qu’il embrasse notre profession ce que j’attends de lui.
Nul doute qu’il finira commissaire, mais je lui laisse volontiers la place, si j’avais voulu faire carrière, il y a longtemps que je l’aurais fait et que j’aurais surplanté ce dégénéré sauf du calbute de Fred.
Ou cela m’a-t-il mené, à devenir une pute, qui privilégie son compte en banque à cette improbable carrière.
• J’ai tout compris, je me mets en route après que je sois passé chez moi.
Martine, tu as été absente de nombreuses fois depuis des mois, je dois te dire que je viens d’acquérir une vieille maison de vigneron à Nuits-Saint-Georges.
J’espère y fonder une famille, il me reste juste à la trouver.
J’ai même une cave voutée ou je vais pouvoir conserver du vin, lorsque j’aurais plus de moyen pour m’acheter des grands crus.
À mon retour, si je récupère ce que tu viens de me demander, tu viendras la visiter.
J’ai encore du sentiment pour ce garçon, je suis impayable.
J’en ai fait mon amant après que grâce à lui j’ai été sauvé de la sorcière de Salem, mais la hiérarchie m’obligeant, je m’interdis de dire ou de me montrer que nous avons été deux bons amants.
• Fred, je suis là, qu’as-tu à me demander ?
Lui aussi a été mon amant, est-ce possible que j’ai une chatte assez grande pour y loger toutes ces queues et que dire de mes amours féminins venants de s’agrandir d’un élément nouveau, Christine.
• Martine, te voilà, j’ai l’impression de gérer une étoile filante, depuis l’erreur que j’ai faite avec Lupin de te porter volontaire pour cette mission d’infiltration.
Tu sais comment sont les choses, on picole un peu trop et voyant une note passée dans nos deux commissariats, on s’amuse et on s’en veut énormément.
• Non, ne soit pas embarrassé, certes ce jeu aurait pu mal tourner, mais tu sais que je ne peux pas t’en dire plus, secret-défense intérieur.
Mais ce fut une expérience inoubliable qui doit se poursuivre encore quelque temps.
Si tu as le moindre problème au fil de mes absences très souvent pendant plusieurs heures, voire jours.
Prends ton téléphone et appel Robert Lyon, notre supérieur hiérarchique, sans le moindre problème il te donnera de mes nouvelles, il te dira qu’un ordre est un ordre.
Que j’exécute ses ordres venant d’un très haut niveau, tu comprends que je ne t’en dise pas plus.
Alors qui y a-t-il de si urgent, pour que tu carillonnes de partout en demandant que je te vois le plus vite possible ?
• Je comprends, soit sans crainte, tu sais que je veux éviter les ennuis avec le rayon supérieur, en coulisses on parle d’un remaniement et de la nomination justement de Lyon, comme ministre de l’intérieur !
Si ça se produit, il semblera que je sois en bonne position pour le remplacer.
Les ennuis de santé de Lupin, plus vieux dans la fonction, le discréditeraient pour atteindre ce niveau de responsabilité.
On mesure là, les égos de chacun, con comme un balai, même si un balai sa nettoie le parquet de notre commissariat, mais dans l’administration il faut s’attendre à tous, surtout dans la police !
Vous trouvez toujours un plus con que celui à qui vous pensez pour faire la connerie de le nommer.
On comprend pourquoi il est nécessaire pour moi, même avec mes miches, de faire du fric le plus vite possible pour enfin retrouver un havre de paix en dehors de tous ces cons.
Avec Fred, dans la chambre des glaces, j’ai baisé par envie de me voir multiplié par mille voire dix mille, maintenant seul le pognon m’intéresse.
• Voilà Martine, j’ai reçu un coup de téléphone de Beauvau.
Notre ministre vient pour la vente des vins aux hospices contrôler les forces mises en place, car cette année ils reçoivent Depardieu et le président ukrainien et comme tu peux le penser, ils ont peur d’un attentat par Poutine.
À cette occasion, il souhaite te remettre la médaille d’honneur pour acte de courage et de dévouement.
• Fred, tu sais que les honneurs et les distinctions je n’en ai rien à faire.
Pourtant j’accepterais cet honneur à une seule condition qui est non négociable, même avec lui !
Quel peut être cette condition et le ministre va-t-il l’accepter, comme l’on dit dans les feuilletons.
À suivre dans le prochain épisode…
Près de moi, mon téléphone sonne.
• Fred, oui bien sûr je suis là !
Oui, bien sûr, je suis disponible !
Oui, bien sûr, j’arrive !
Il faut ce lever quitter les bras de celle qui vient de m’annoncer une nouvelle surprenante.
Le 8 mai, jours anniversaire dès 80 ans de la reddition de l’Allemagne mettant fin à la guerre de 39 - 45, un complot que l’on peut dire international tout du moins européen doit avoir lieu.
Ils doivent amener au pouvoir par des coups d’État, les nostalgiques du petit monsieur à la petite moustache sous son nez responsable de million de morts en Europe.
À leur tête, Rodolf, qui m’a fait venir comme fille d’Olaf, m’ayant payé ma prestation avec une dénommée Solène venue de Paris.
Robert Lyon pour la France avec une grande sotte ne voyant pas où elle est venue par frustration familiale fourrer ses jolies miches, Christine ne semble pas toucher terre.
• Que fais-tu ?
Tu viens de dire à ton commissaire que tu arrivais !
• Dessus ou dessous, moi c’est pareil, j’y prends un même plaisir.
• Oui, mais je suis une femme et si tu le connais un peu mieux Fred, tu saurais que pour lui toutes les femmes sont des salopes sans la moindre parcelle d’intelligence.
Seuls les mâles dominants comme lui ont le droit de pensée.
Le problème c’est que c’est bien plus bas que son cerveau est placé, sa queue et pas plus haut.
Alors tu peux comprendre que je préfère te bouffer la chatte ou toi la mienne, c’est pour cela que je te propose dessus ou dessous.
• Tu as compris que j’aime être dominée, sinon ça aurait fait longtemps que j’aurais sonné à ta porte pour que tu me fasses jouir.
Nous roulons encore une fois ou deux, l’une en dessous et vice-versa.
C’est moi qui termine dessus, j’apprécie beaucoup ses seins sur mes seins, son ventre contre mon ventre et nos poils pubiens se frottant les uns contre les autres et que dire lorsque nos clitos viennent à se rencontrer !
Il ne nous reste plus qu’à unir nos lèvres dans un fougueux baisé.
Je me laisse glisser dans sa fourche, ce sont mes dents qui attaquent son clitoris qui est sorti seul de dessous son capuchon.
Elle a joui les autres fois et comme méticuleusement je lui mordille et que je le lape très rapidement, c’est de plaisir rattrapé par un orgasme que nous nous séparons.
J’aime faire attendre, Fred, monsieur le commissaire, mais que je le veuille ou non, la hiérarchie, même si en parlant de mon ex-amant cela existe pour moi.
Je serais un mâle comme lui, je dirais que je m’en bas la queue.
• Assez batifolé, je sais que cette fois n’est que la dernière.
Je dois tout de même rejoindre Fred qui me demande au commissariat.
Ma chérie, comment va-t-on faire, la situation est plus que complexe, mais l’on doit pouvoir s’arranger ?
Je suis mariée avec la chance que Jules s’absente souvent à l’étranger et principalement au Japon.
Tu l’es aussi à Lupin, mais tu es amoureuse de Robert.
• Je t’ai montré que je ne connais pas grand-chose dans le nom des choses sur le sexe.
Une chose que j’ai apprise, à ce jour, j’aimais les hommes et tu m’as appris à en faire de même avec les femmes.
Une copine d’enfance m’a dite qu’elle était comme moi aujourd’hui et qu’elles étaient bi-sexuelles.
Je vais faire une place à part égale dans mon cœur et vous aimerais autant l’un que l’autre.
• Et Anatole, ton mari ?
• Je m’en détache de plus en plus, il n’a qu’à retrouver sa pute de Yolande qui semble se contenter de sa petite bite.
Embrasse-moi, j’ai ton numéro de téléphone, on se rappelle.
Je vois que sa rancoeur est tenace, pour cela c’est une vraie femme.
Un peu comme moi avec Jules et la photo que j’ai vue dans les mains d’Olaf.
Lorsque j’aurais l’occasion de lui parler, il va s’en prendre une.
Avec une mineure en France, même si au Japon ça semble légal.
Qui de Christine ou de moi présentent le plus de rancœur ?
Si nous sommes bi-sexuelles, en amour nous sommes toutes les deux bien entières sur les questions essentielles de la vie, qui se ressemblent s’assemblent.
Je dirais plutôt qui se ressemblent, s’emboitent parfaitement, physiquement et intellectuellement.
Ces pensées profondes, surtout lorsque ma langue est au fond de sa chatte, je répons à son interrogation.
• Tu as mon numéro de portable, qui te l’a donné, à ce jour je n’ai pas de souvenir de te l’avoir fait.
• Non, je l’ai volé dans le bureau d’Anatole dans son répertoire.
Je peux même te dire que je l’ai composé des dizaines de fois sans jamais appuyer sur « appel. »
• J’avais peur que tu ne me raccroches au nez, j’en serais morte de chagrin.
• Tu es bien bête et moi aussi, depuis le restaurant et à ton anniversaire de mariage, nous avons loupé toutes les deux ces occasions, je compte bien que nous nous rattrapions !
Nous nous levons, Christine remet les effets qu’elle avait dû enfiler lorsqu’elle m’a fait monter dans sa chambre à Berlin.
Dans la salle où se tenait la réunion, elle était comme moi en robe du soir.
Ils m’ont ramené certainement nue, je ne vois aucun effet près de mon lit.
Pas le temps à de telles réflexions, je suis parfaitement couverte avec mon Pandora, inutile de vous dire que c’est ma fille qui me l’a offert.
C’est dans ma voiture que je retrouve devant chez moi que je la vois s’éloigner.
Je me demande, comme je l’ai fait une fois dans ma chambre, comment réagirait Christine si elle apprenait que Robert, se tapent des putes à 5 000 € et leur pisse à la gueule se faisant en faire de même ?
Un jour, va-t-elle le découvrir et à ce moment sans lui dire jusqu’à ou avec lui nos rapports ont été loin et crade, je serais là pour la consoler.
Après tous ces bouleversements je retrouve l’atmosphère du commissariat de Beaune.
Marc est dans son bureau jouxtant le mien.
• Marc, j’ai une mission pour toi !
• Je t’écoute Martine, qui dois-je tuer pour te faire plaisir, cheffe.
• Un peu moins de chef, ce que je vais te demander tu ne dois le dire à personne, c’est strictement personnel !
• Même pas à Fred ?
• Surtout pas à Fred, nous allons essayer de rendre service à une amie.
J’explique à Marc, ce garçon qui est prêt à me manger dans la main depuis que je l’ai préparé à passer ses concours pour qu’il embrasse notre profession ce que j’attends de lui.
Nul doute qu’il finira commissaire, mais je lui laisse volontiers la place, si j’avais voulu faire carrière, il y a longtemps que je l’aurais fait et que j’aurais surplanté ce dégénéré sauf du calbute de Fred.
Ou cela m’a-t-il mené, à devenir une pute, qui privilégie son compte en banque à cette improbable carrière.
• J’ai tout compris, je me mets en route après que je sois passé chez moi.
Martine, tu as été absente de nombreuses fois depuis des mois, je dois te dire que je viens d’acquérir une vieille maison de vigneron à Nuits-Saint-Georges.
J’espère y fonder une famille, il me reste juste à la trouver.
J’ai même une cave voutée ou je vais pouvoir conserver du vin, lorsque j’aurais plus de moyen pour m’acheter des grands crus.
À mon retour, si je récupère ce que tu viens de me demander, tu viendras la visiter.
J’ai encore du sentiment pour ce garçon, je suis impayable.
J’en ai fait mon amant après que grâce à lui j’ai été sauvé de la sorcière de Salem, mais la hiérarchie m’obligeant, je m’interdis de dire ou de me montrer que nous avons été deux bons amants.
• Fred, je suis là, qu’as-tu à me demander ?
Lui aussi a été mon amant, est-ce possible que j’ai une chatte assez grande pour y loger toutes ces queues et que dire de mes amours féminins venants de s’agrandir d’un élément nouveau, Christine.
• Martine, te voilà, j’ai l’impression de gérer une étoile filante, depuis l’erreur que j’ai faite avec Lupin de te porter volontaire pour cette mission d’infiltration.
Tu sais comment sont les choses, on picole un peu trop et voyant une note passée dans nos deux commissariats, on s’amuse et on s’en veut énormément.
• Non, ne soit pas embarrassé, certes ce jeu aurait pu mal tourner, mais tu sais que je ne peux pas t’en dire plus, secret-défense intérieur.
Mais ce fut une expérience inoubliable qui doit se poursuivre encore quelque temps.
Si tu as le moindre problème au fil de mes absences très souvent pendant plusieurs heures, voire jours.
Prends ton téléphone et appel Robert Lyon, notre supérieur hiérarchique, sans le moindre problème il te donnera de mes nouvelles, il te dira qu’un ordre est un ordre.
Que j’exécute ses ordres venant d’un très haut niveau, tu comprends que je ne t’en dise pas plus.
Alors qui y a-t-il de si urgent, pour que tu carillonnes de partout en demandant que je te vois le plus vite possible ?
• Je comprends, soit sans crainte, tu sais que je veux éviter les ennuis avec le rayon supérieur, en coulisses on parle d’un remaniement et de la nomination justement de Lyon, comme ministre de l’intérieur !
Si ça se produit, il semblera que je sois en bonne position pour le remplacer.
Les ennuis de santé de Lupin, plus vieux dans la fonction, le discréditeraient pour atteindre ce niveau de responsabilité.
On mesure là, les égos de chacun, con comme un balai, même si un balai sa nettoie le parquet de notre commissariat, mais dans l’administration il faut s’attendre à tous, surtout dans la police !
Vous trouvez toujours un plus con que celui à qui vous pensez pour faire la connerie de le nommer.
On comprend pourquoi il est nécessaire pour moi, même avec mes miches, de faire du fric le plus vite possible pour enfin retrouver un havre de paix en dehors de tous ces cons.
Avec Fred, dans la chambre des glaces, j’ai baisé par envie de me voir multiplié par mille voire dix mille, maintenant seul le pognon m’intéresse.
• Voilà Martine, j’ai reçu un coup de téléphone de Beauvau.
Notre ministre vient pour la vente des vins aux hospices contrôler les forces mises en place, car cette année ils reçoivent Depardieu et le président ukrainien et comme tu peux le penser, ils ont peur d’un attentat par Poutine.
À cette occasion, il souhaite te remettre la médaille d’honneur pour acte de courage et de dévouement.
• Fred, tu sais que les honneurs et les distinctions je n’en ai rien à faire.
Pourtant j’accepterais cet honneur à une seule condition qui est non négociable, même avec lui !
Quel peut être cette condition et le ministre va-t-il l’accepter, comme l’on dit dans les feuilletons.
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