COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (3/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand.  Les filles d’Olaf (3/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (3/5)
Eh oui, je suis heureuse d’avoir franchi le rubicon comme l’a fait César en l’an 49 avant J-C, non pas Jean-Claude Dusse, l’autre.
Oui, celui, ayant aimé Marie-Madeleine, du moins c’est ce que l’histoire semble avoir retenu.
Tout ceci lorsque je missionne secrètement pour l’organisation montée de main de maître par Olaf mon souteneur.
Les seins de celle que je convoite, source de plaisir, car Françoise Loréal est loin d’être une planche à pain.
Du moins c’est ce que je ressens à la fin de mon vol plané digne des plus grandes cascadeuses tournant dans les films français.
Oh ! pas de chance, à cinq mètres environ de Françoise ma cheville flanche et je pars en vol plané me raccrochant là où je le peux.

• J’espère que je vous ai empêché de vous faire mal, cette pluie a tendance à rendre le sol glissant.
Mais dites-moi, le monde est petit, ne serait-ce pas vous que je vois déjeuner tous les jours de la semaine à une table dans le restaurant où je mange moi-même sur le parvis de la Défense ?
• Mon dieu, vous avez raison, le monde est petit, je ne vous aurais pas reconnue dans cette belle tenue de joggeuse, vous êtes de Besançon !
• Pas directement, la semaine je dirige une organisation parisienne et le week-end, je rejoins mon mari qui a de hautes fonctions dans ce département.
• Tu as des enfants, pardon je te tutoie, sans m’être présenté, Martine, moi aussi je travaille dans la capitale, mais ça tu l’as vue puisque l’on se rencontre.
• Non, tu as raisson, à se voir tous les jours depuis plusieurs semaines, je pense que nous sommes déjà de fait, de vieille relation.
De plus, ça me change de la semaine où je dois toujours être sur la réserve, si tu savais combien de personnes espèrent un faux pas de ma part pour me faire remplacer ?
• As-tu quelqu’un dans le viseur, tu sembles parler avec assurance de ceux qui voudraient t’évincer ?
Aie, la pluie redouble et ma cheville me fait horriblement souffrir !
J’ai un pavillon à quelques centaines de mètres, je commençais ma course et je suis bonne pour faire fauteuil tout le reste du week-end.
Quand elle t’a vu ma cheville doit avoir eu envie que je te saute dans tes bras.

Il faut savoir éviter d’en faire trop.
Je pense que j’ai déjà progressé de manière importante, surtout que je peux estimer la lourdeur du sein lorsqu’elle passe son bras autour de mon cou et qu’en claudiquant nous rejoignons mes pénates.
Par chance, le pavillon que Robert Lyon m’a loué est bien supérieur à celui de l’administration à Bordeaux.

• Je vais t’aider à enlever tes affaires, la pluie les colles à ta peau et tu risques de te faire mal après ton accident.
• Crois-tu que c’est bien raisonnable, ce sera la première fois que je serais nue devant une autre femme ?
Je suis très pudique, mais bien sûr, les circonstances doivent faire changer mes résistances.
• Pour ma part, je suis moi aussi assez pudique, mais j’ai grandi dans une école tenue par des religieuses et nous prenions nos douches entre filles, bien sûr en collectivité, la nudité ne me gêne pas.
• Alors toi aussi enlever tes vêtements, j’aurais mauvaise grâce à te voir attraper une pneumonie.
D’ailleurs met toi nue avant de m’aider, sinon je reste moi aussi à la merci de cette pneumonie.
• Tu as un joli bracelet, simple, mais très joli.
• C’est Alexandra ma fille qui me l’a offert, je lui ai juré ne jamais l’ôter.
De toute façon, c’est facile pour respecter ma parole, mon Pandora m’est comme qui dirait coller à ma peau.

Elle le prend dans ses doigts et le fait tourner, aucun fermoir pour pouvoir me l’enlever.
En arrivant, je suis passée prendre des serviettes de toilettes, nous nous essuyons.
Je veux éviter de la brusquer, si elle prend la mouche et remet ses vêtements avec précipitation pour me quitter, je reviendrais à la case départ.
Pire, elle risque de me rejeter pour inconvenance.
Je décide de prendre une autre voix, bien que je connaisse déjà la réponse surtout que Françoise s’est drapée dans le drap de bain que je lui ai fourni.

• As-tu des enfants ?
• Toi, tu viens de me parler de ta fille, moi j’ai des jumelles, je ne ferais pas la blague de te dire…
• Une paire ?
• Tu connais la blague avec leur étui.
• Elles t’attendent chez toi, tu les rejoins pour le week-end !
• Non, Ludovic, c’est mon mari est souvent pris alors elles sont en pension dans un institut près d’Évreux, nous les voyons lors de nos vacances, trop rarement.

Elle vient de me parler de son mari, je vois une ouverture.

• Eh ! avec ton mari, tout va bien, es-tu une femme comblée ?
• J’aimerais éviter de parler des rapports avec lui, dis-moi à part ta fille qui t’a offert ce bracelet, as-tu d’autres enfants ?
• Un garçon un peu plus vieux, mais contrairement à toi, je ne les vois plus.

Je mens, mais n’est-ce pas le cas, je les vois si rarement surtout depuis la voix que j’ai décidé de prendre en devenant une fille d’Olaf.
Je me vois mal qu’il découvre que leur mère a décidé de se prostituer, ils sont très bien là ou ils sont, même si quelquefois je pense à eux.

• Contrairement à toi, ils sont loin, très loin, mon mari était japonais et il est reparti avec eux à Kobe après notre divorce.
• As-tu fauté ?
• Fauté, est-ce que respirer, c’est fauter ?
Est-ce trouvé son plaisir là ou étant jeune lorsque je l’ai rencontré est-ce fauter.
• Je dois t’avouer quelque chose, je t’ai vu un soir où j’avais fini tard, tu sortais d’un bar au bras d’un homme.
Il y a cinq minutes que j’ai fait le rapprochement, tu étais plus sexy que celle que tu me montrais le midi au restaurant ou contrairement à ce que tu penses, je t’avais repérée.
Tu as eu un amant et il l’a su !
• Tu as tout compris et depuis je dois me battre pour gagner ma vie la semaine à Paris.

Je suis dans la merde, je suis sur une pente glissante, mais des fois la chance peut sourire aux audacieux.

• Tu es belle, bien faite, t’en es-tu sortie en faisant, j’ai du mal à le dire, mais ça m’intéresse si c’était le cas !

Au secours les pompiers, venez me sauver si ma réponse va me faire échouer ma mission.

• Oui, je pense que c’est le cas, mais pourquoi ça t’intéresse !
• Depuis la naissance de mes filles, je me refuse à mon mari, déjà le sexe m’intéressait peu et depuis, je refuse tout rapport.
Je n’ai pas de contraception et il refuse la capote, je lui paye des travailleuses du sexe de temps en temps.
Tu vas me prendre pour une grosse salope, j’aime le regarder faire l’amour à ces filles que je trouve sur Internet, serais-tu libre ce soir ?

Certains diront la chance du cocu, c’est Françoise qui vient de s’empaler toute seule sur la pique qu’elle s’est elle-même tendue.

• Je veux bien, mais à une seule condition, je refuse que tu me parles d’argent, je gagne très bien ma vie à Paris et ici ce sera pour le plaisir avec toi.
Je suis libre ce soir, où, quand, et à quelle heure ?

Les affaires de jogging étant sèches, je les avais placées dans le sèche-linge dans la petite buanderie après qu’elle se soit dénudée.
Françoise me quitte sans plus d’ambiguïté, je fais quelques achats sur Internet.

• Bonjour, oui c’est ici, je suis Martine !

Le monde de nos années grâce à Internet, est un monde que je trouve fascinant.
Une recherche, une commande, là où il vous aurait fallu des heures en vous déplaçant et Adam et Ève, boutique placée dans Besançon vous livre après paiement protégé.
Un cadeau pour Françoise et une tenue en cuir, jupe et bustier en cuir.
Vous avez même le temps d’essayer la tenue que vous porter lorsque vous arrêtez votre voiture de service banalisé évitant de montrer qu’en plus de pute, vous êtes flic.
Taille 38, si nécessaire il est resté lorsque j’ai essayé mon ensemble.
J’avais mis un peignoir sur ma nudité après le départ de Françoise, inutile que je passe la taille 40 qu’il a aussi apportée le 38 me va à merveille.
J’ai souffert d’isolement à Bordeaux dans la maison que l’état m’avait louée, ici près du Doubs à Besançon, la maison est plaisante et possède un canapé sur lequel Françoise avait posé ses fesses nues.
Je pose les miennes afin d’être à la bonne hauteur de la verge de Tristan, c’est le nom qu’il me donne avant que sa bite ne finisse dans ma bouche.
Jeune et résistant, jeune et bien montée pour ses 18 ans.
Lorsque j’ai ouvert une grosse moto dont j’ignore la cylindrée, excusez de ne pas tout connaitre.
Son casque enlevé, il m’a montré des boucles blondes comme les poils entourant sa verge.
Le casque, les gants et le blouson de cuir posé dans l’entrer sur une commode.
Il m’a suivi avec mes achats, me mattant lorsque j’essaye mes affaires et me baisant après la sucette dont il n’avait nul besoin.
Lorsqu’un homme, beau gosse lui aussi, grand, je dirais longiligne m’ouvre, je sais que contrairement à Tristan, il va me baiser alors que je suis en mission pour Robert Lyon.
TTristan est un jeune moderne, j’allais sortir une capote, car comme on le sait je baise toujours protégée, lui en sort de son jean.
Je jouis avec mon amant blond, j’espère qu’il en sera de même avec le mari de Françoise.

• Françoise, je t’ai apporté un petit cadeau, viens que je te montre comment ça fonctionne, j’espère que tu vas être surprise…

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